Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Je pars
ce soir pour Saint-Etienne où je vais subir demain une infiltration intra-discale pour soulager les douleurs qui ne me quittent guère depuis 1 an et demi.
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ce soir pour Saint-Etienne où je vais subir demain une infiltration intra-discale pour soulager les douleurs qui ne me quittent guère depuis 1 an et demi.
La suite dans le Libé d'aujourd'hui
lun 09 nov 01:00
On a sans doute assisté ce 8 novembre au meilleur match de Ligue 1 de ce début de millénaire ! Ca fait un peu pompeux dit comme ça, mais réfléchissez-y, vous verrez qu'il n'y a aucun doute. Car il y avait absolument tout ce dont on peut rêver dans ce Lyon-Marseille qui restera longtemps, très longtemps dans les mémoires. Et pourtant, j'aime autant vous dire tout de suite que je ne suis pas de ceux qui pensent que le nombre de buts fait la qualité d'une rencontre. Mais là, honnêtement, je ne vois ce que les deux équipes auraient pu faire de plus.
Satanés escaliers
Qui m’ont tant fait chuter.
Je me suis si souvent pris les pieds
Dans leurs marches damnées…
Manque d’équilibre inné ?
Trop la tête dans la lune étoilée ?
Ca s’est peu à peu arrangé
Mais j’en ai gardé la peur irraisonnée
Des escaliers trop escarpés.
L’attirance du vide à dominer.
Peut-être ces faits du passé
Expliquent-ils mes douleurs insensées ?
Satanés escaliers !
Le 30 novembre 2009
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
FOOTBALL - Le président-mécène de Montpellier, doyen des dirigeants de clubs de L1, reconnaît que seules de rares équipes démunies réussissent.
» Clubs de Ligue 1 cherche sponsor pour arrondir ses fins de mois
Suite et fin ici:
Eurosport - mar, 03 nov 21:39:00 2009
Ligue des Champions - Källström : "On ne jouera pas le nul"
Alors que Lyon n'a besoin que d'un point contre Liverpool pour obtenir son billet pour les 8e de finale de la Ligue des Champions, Kim Källström assure que l'OL visera la victoire. Le Suédois reconnaît par ailleurs craindre tout particulièrement la force de frappe de Fernando Torres.
FOOTBALL - Le Conseil Fédéral de la FFF a dévoilé mercredi la liste des stades retenus en vue de l'Euro 2016, sans distinguer les titulaires des réservistes. Metz et Montpellier sont les deux grands perdants.
La suite ici:
http://www.lefigaro.fr/sport/2009/11/11/02001-20091111ARTSPO00479-une-liste-sans-surprise.php
Dans un livre, le champion de tennis américain reconnaît avoir consommé de la méthamphétamine et avoir menti pour éviter une suspension sportive.
Suite et fin ici:
ARTICLE POUR CEUX QUI STIGMATISENT LE CYCLISME
et aussi:
"Sa carrière finie, Agassi peut se confesser"
Retraite. Meriem Selmi, psychologue à l’Insep, analyse le rapport amour-haine du champion face à son sport.
http://www.liberation.fr/sports/0101602412-sa-carriere-finie-agassi-peut-se-confesser
LEMONDE.FR | 06.11.09 | 15h25 • Mis à jour le 06.11.09 | 15h43
Le 14 novembre est une date importante pour les fans de sport. Certes, à Dublin, l'équipe de France de football jouera une partie de son avenir mondial contre l'Irlande, mais c'est à Toronto (Canada) que se disputera une autre compétition d'envergure internationale, les championnats du monde de pierre-papiers-ciseaux.
TENNIS - Sensation à Bercy où Julien Benneteau s'est offert le scalp du numéro 1 mondial en trois sets (4/6 7/6 6/4). Le Bressan retrouvera son compatriote Gaël Monfils au prochain tour.
La suite ici:
http://www.lefigaro.fr/sport/2009/11/11/02001-20091111ARTFIG00559-julien-benneteau-triomphe-de-federer-.php
Vincent Duchesne
20/10/2009 | Mise à jour : 23:36
Les Assises Internationales du Roman : Un événement conçu et organisé par Le Monde et la Villa Gillet
« Comment le roman nous parle-t-il du monde ? De quelle façon la littérature peut-elle non seulement refléter la réalité, mais aussi, pourquoi pas, la transformer?
C’est autour de ces questions que se sont dessinées les Assises Internationales du Roman, co-organisées depuis 2007 par Le Monde et la Villa Gillet. Le projet partait d’un constat très simple : le roman n’est pas mort, ni même agonisant, mais vivant, vivace et indispensable, tant du point de vue esthétique que politique, au sens large du terme.
Car la littérature ne se contente pas de représenter le monde, elle l’éclaire et tente d’en percer les mystères. Elle en fait saillir les paradoxes, les profondeurs inattendues, les contradictions et les douleurs, plus clairement que beaucoup de traités. Outil de compréhension, en même temps que support de rêve, le roman est un lieu de liberté.
Dès l’origine, les Assises ont été appuyées sur un postulat fondamental : il ne s’agissait pas d’organiser une énième foire du livre, où chaque auteur viendrait défendre son propre ouvrage, mais des rencontres, autour de thèmes bien précis et de textes préparés à l’avance.
Discuter de littérature, en somme, plutôt que de parler-des-livres-dont-on-parle. Soutenue par la Région Rhône-Alpes, la Ville de Lyon et l’État, renforcée par une co-réalisation avec les Subsistances et par de précieux partenariats – en particulier avec France Inter et les éditions Christian Bourgois, qui publient les interventions lues pendant les Assises et le Lexique Nomade, recueil de courts textes écrits par les auteurs invités – la manifestation a maintenu ce pari d’exigence. Et développé, au fil des années, les enrichissements qui font sa force aujourd’hui : débats nocturnes, conférences de romanciers étrangers de maintenant sur des écrivains français d’hier, grands entretiens avec des personnalités extérieures à la littérature, lectures musicales etc. Avec, toujours, le souci de l’excellence et ce désir, aussi fou que délicieux : faire en sorte, sans cesse, que l’esprit circule. »
Raphaëlle Rérolle - Chef-adjoint au Monde des Livres
Guy Walter - Directeur de la Villa Gillet et des Subsistances
Vous avez transcrit une cascade de douleurs
Avec une avalanche de couleurs
Le 5 septembre 2006
Poème complet lisible dans le recueil "Paysages" en vente en haut de ce blog.
J'ai programmé des notes et il y en a plein d'autres anciennes...
Vos commentaires(modérés) seront validés à mon retour ou entre deux ... si je trouve un cyber ... et du temps.
Projets:revoir des lieux que je n'ai pas vus depuis trois ans... et en découvrir d'autres.
La gare de l'est refaite.
Manger indien et de quoi cuisiner... indien à mon retour.
Faire une virée chez Gibert boulevard Saint-Michel... et dans quelques librairies connues et aimées/ou que j'ai evie de découvrir.
Aller au musée du Quai Branly ouvert quand j'étais au Maroc.
Une expo... de peinture sans doute.
Revoir ma Sorbonne et ma bibliothèque.
Revoir mon ancien appart.
Retourner sur les lieux baudelairiens et nervaliens.
Tout dépendra du temps(météo; si sec, plus de balades; si humide, plus de lieux fermés) et du temps: mon mari part pour le travail d'où adaptation.
Mes notes sur mon précédent séjour parisien:
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html#comments
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-2.html#comments
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-1.html#comments
Un voyage de 10h en voiture (aller-retour) qui va sûrement me faire mal au dos(après douleurs des épaules aux pieds depuis plusieurs mois,visite médecin vendredi, precription d'une radio le 16 et IRM le 18 mars pour voir si le tassement de vertèbres ne s'est pas aggravé) mais aussi me faire penser à autre chose qu'à nos affaires toujours au Maroc... et autres choses négatives.
MONDIAUX DE VAL D'ISÈRE - Marie Marchand-Arvier a pris une superbe médaille d'argent derrière l'intouchable Lindsey Vonn lors du Super-G.
» Suivez les mondiaux en direct avec sport24.com
Handball : les Français champions du monde
Au terme d'un match d'un engagement total, l'équipe de France a décroché son 3e titre mondial en dominant la Croatie (24-19). Un exploit extraordinaire, qui survient six mois tout juste après un sacre olympique.
Appel à contribution
Information publiée le vendredi 28 novembre 2008 par Alexandre Gefen (source : Alain Vaillant)
Date limite : 15 janvier 2009
Appel à communications
LE RIRE MODERNE
Paris X – Nanterre, 15-17 octobre 2009
Colloque organisé par l'équipe PHisTeM (Poétique historique des textes modernes ; resp. : Alain Vaillant et Roselyne de Villeneuve) du Centre des sciences de la littérature française de l'université Paris X – Nanterre.
La singularité du XIXe siècle français, venant après la chute de l'Ancien Régime et la Révolution française, peut être caractérisée de bien des manières. Politiquement, par le lent, difficile et contrarié apprentissage du parlementarisme et de la vie démocratique ; économiquement, par l'entrée dans l'ère du capitalisme industriel et par la constitution d'un marché massifié des biens de consommation ; socialement, par l'irrésistible ascension de la bourgeoisie et des classes moyennes, ainsi que par l'émergence d'un prolétariat urbain ; plus généralement, par un bouleversement profond et irréversible de tous les aspects de la vie quotidienne. Mais, du point de vue culturel, l'innovation la plus spectaculaire, la plus indiscutable et, cependant, peut-être la moins considérée est la consécration du rire, au point que cette présence obsédante et multiforme du rire paraisse à bon droit comme la marque distinctive de la modernité.
Editeur : Grasset
Publication :5/3/2008
« C’est cette volonté de lucidité, qu’elle gardera jusqu’au bout, qui rend si douloureux son combat contre elle-même »
'En 1983, les éditions Belfond m'ont proposé de traduire un recueil de nouvelles de Scott Fitzgerald : 'Love Boat'. Vingt-cinq ans déjà. Trois autres recueils ont suivi (cinquante nouvelles) et deux chefs-d' oeuvre : 'Tendre est la nuit' (1985) et 'Gatsby le magnifique' (1996). Traduire ces livres a fini par faire naître entre nous une sorte de familiarité respectueuse qui s'est vite étendue à Zelda, présente à chaque page. Je me suis laissé prendre à l'image brillante d'un couple symbolisant les années d'or de l'immédiat après-guerre. En déchiffrant phrase à phrase les aveux secrets de 'Tendre est la nuit',j'ai compris que ces apparences étaient vaines, qu'il existait entre Scott et Zelda un amour d'autant plus profond qu'il a résisté à de grandes douleurs et à de longs déchirements, qu'accentuaient la schizophrénie de l'une et l'alcoolisme maladif de l'autre.'
Jacques Tournier
Dans la taverne d’un port de la mer Noire, Ismaël, un petit garçon juif doté d'une voix et d'un sens de la poésie hors du commun, chante les douleurs et les joies des truands, des prostituées, de tous les misérables qui se retrouvent dans le bouge. Un soir, un poète déchu et ivrogne, qui fait couler à flots l'or et la vodka, écoute le gamin et en est subjugué. Il l'offre à sa maîtresse, riche veuve désoeuvrée, qui s'entiche de l'enfant. Arraché à la pauvreté, Ismaël goûte au luxe d’une société aristocratique aussi prompte à l’enthousiasme qu’au mépris, qui le rejettera inexorablement, l'abandonnant bientôt à un cruel destin.
La voix envoûtante de Jeanne Balibar nous entraîne dans ce conte tragique d’une enfance sacrifiée à l’impitoyable égoïsme des adultes. Et comme Ismaël, elle nous chante de sa voix pure les mélodies mélancoliques qui font pleurer truands et seigneurs.
Les liens que Picasso a entretenus avec le monde du cirque ont été très fréquents tout au long de sa carrière. Dans la Barcelone du tournant du XIXe siècle, Picasso va voir les cirques de passage dans la ville, bien qu'il ne reste aucune trace de ce moment dans son œuvre. Plus tard, les cirques ambulants des boulevards de Paris deviendront un lieu de rendez-vous habituel pour le jeune Picasso et ses amis lors de leurs premiers séjours dans cette ville. C'est à la fin de l'année 1904 et en 1905 que le cirque – le Medrano est un point de référence dans sa vie et dans son œuvre – s'érige le thème central de ses compositions de l'époque. L'artiste crée une scène fictive où des acrobates et des équilibristes – qui apparaisent déjà dans la tradition littéraire et picturale du romantisme pour symboliser la solitude et la souffrance humaine – jouent des rôles de la vie quotidienne, expriment leurs problèmes personnels, leur solitude et l'incompréhension à laquelle leurs sentiments sont en butte. Les scènes de famille où les saltimbanques et les arlequins deviennent les véritables protagonistes de cette période sont l'héritage des groupes familiaux qui ont leurs racines dans la période bleue. Ces compositions seront à l'origine d'un grand tableau auquel Picasso pensait depuis longtemps, La Famille de saltimbanques, réalisé en 1905. Comme le Minotaure le sera dans les années 1930, l'Arlequin devient l'alter ego de l'artiste. Ce personnage, qui renvoie aux personnages marginaux de la période bleue, sera le véritable héros de ce que l'on appelait la période rose.
Henri Desgranges, le directeur du journal L'auto a été coureur avant sa carrière de journaliste, ici dans une course en 1892.
Paris-Brest-Paris est une course cycliste créée en 1891 par Pierre Giffard du Petit Journal.
Créée en 1891, la course cycliste Bordeaux-Paris a connu 86 éditions, la dernière en 1988.
Cette épreuve était unique en son genre, par sa longueur d'environ 600 km et par son déroulement. Pendant la seconde partie du parcours, le coureur se plaçait derrière un engin motorisé appelé derny, conduit par l'entraîneur, afin de réduire la résistance de l'air, ce qui lui permettait d'atteindre des vitesses de l'ordre de 50 à 60 km/h. Ce règlement a cependant subi de nombreuses adaptations successives.
Histoires de famille délicates
par Dinah Brand
Lire, février 2002
L'inspecteur divisionnaire Alan Banks aime le pur malt, siroté près de sa cheminée en écoutant quelques CD de jazz ou de musique classique. Des instants de répit au milieu des nombreuses galères de son métier. La dernière en date est de taille: son supérieur, plutôt vachard, lui demande de retrouver sa fille de seize ans, fugueuse invétérée dont il vient de voir la photo sur un site porno. Vite récupérée par Banks, la jeune Emily est retrouvée morte quelques jours plus tard, assassinée d'une manière particulièrement atroce. Banks se sent tenu de retrouver l'assassin de cette gamine sans défense qu'il a appris à connaître et même à apprécier. Cette découverte va l'obliger à plonger dans des histoires de famille tout à fait délicates.
Peter Robinson est à la fois un ami et un disciple de John Harvey. On retrouve chez son personnage, Alan Banks, le même charme que chez Resnik, le flic sentimental et amateur de jazz du célèbre romancier anglais. L'enquête est minutieuse et subtile, mais ce qui prime chez Peter Robinson est la manière de raconter la vie quotidienne de son héros, ses angoisses de flic, ses difficultés familiales. Peu à peu, l'inspecteur devient un familier, avec ses envies de bonne cuisine et son plaisir à regarder le soleil se lever sur la lande. Face à des morts tragiques, il ne s'affiche pas comme un justicier mais comme un homme qui fait son devoir, sûr de lui, capable de gestes médiocres qu'il rachète comme il peut. Le charme opère, sans mièvrerie, sans facilité, dans cette histoire policière intrigante et humaine à la fois.
http://www.lire.fr/critique.asp/idC=39398/idR=216/idTC=3/idG=5