Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
24 Bleus mettent le cap sur Tignes et le Mondial
Par Cyrille Haddouche
18/05/2010 | Mise à jour : 17:12
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Par Cyrille Haddouche
18/05/2010 | Mise à jour : 17:12
Entre ciel et terre,
Se croire en mer.
Laisser la pesanteur,
Suspendre les douleurs
Femme libre, peintre, torturée par des douleurs physiques et sentimentales, Frida Kahlo a laissé une oeuvre à son image. Le Palais des Arts de Bruxelles rend hommage à la peintre mexicaine, avec une exposition jusqu'au 18 avril 2010 baptisée "Frida Kahlo y su mundo".
Enfant puis adolescente, Frida Kahlo, née en 1907 au Mexique, se destinait à une vie émancipée, et à une carrière de médecin. Le second destin fut enterré à l'âge de 17 ans, lorsqu'elle fut grièvement blessée dans un accident d'autobus. Son corps était en morceau, elle resta hospitalisée et alitée pendant des mois. C'est alors que Frida commença à peindre. On suspendit un miroir au dessus d'elle dans son lit à Baldaquin. Elle put alors prendre sa propre silhouette pour modèle. C'est ainsi que naquît une oeuvre particulière : peu prolifique, 143 peintures, et composée aux deux-tiers d'autoportraits, qui montraient crûment et simplement ses états d'âme et ses souffrances physiques. La vie de Frida Kahlo, décédée en 1954, rongée par la maladie, fut aussi marquée par son amour tumultueux avec Diego Rivera, peintre lui aussi. Signalons à ce sujet une biographie écrite par J. M. Le Clézio, publiée en 1995, "Diego et Frida". Frida vécut aussi son émancipation par son engagement politique. Elle se dirigea très rapidement vers le Parti Communiste. Lorsqu'elle hébergea Léon Trotski des années plus tard alors qu'il était en exil, elle eut une relation avec lui.
http://www.wikio.fr/article/peintures-frida-kahlo-bruxelles-culturebox-164487281
Une anthologie publiée par la collection Dix de Plume, regroupant des nouvelles et des poèmes tournant autour du même thème : le chocolat.
Les auteurs : Abel, Anne-Laure BUFFET, Yves CAIROLI, Dominique CANO, Cecyl, Hans DELRUE, Michèle DESMET, Tom DOWNSON, Monique-Marie IHRY, Jean-François JOUBERT, Marie H MARATHÉE, Audrey MEGIA, Ceddric MICHOACAN, Fabienne MOSIEK, Kira NAGIO, Jacques PAIONNI, Ludmila SAFYANE, Macha SENER, Anne STIEN, Elizabeth SWANSTON, Stéphane THOMAS, Laura VANEL-COYTTE, Brigitte VASSEUR, Frédéric VASSEUR.
J'avais déjà parlé ici de Dix de Plume pour évoquer leur antho sur les psychopathes. Cette fois, la collection se penche sur le chocolat. Ce produit, plutôt appétissant, peut être le sujet central, comme dans le "chocolat sur le divan", où le chocolat lui-même raconte son histoire. Il devient aussi un outil de futurisme dans "Bien trop lait", où le chocolat est devenu un produit interdit et vendu sous le manteau. Mais en règle générale, il est un élément de la vie quotidienne qui accompagne les histoires. Il y a de l'intrigue policière classique : "Joyeuses Fêtes", d'Anne-Laure Buffet, où on utilise le chocolat pour assassiner une vieille tante. Il y a des récits de la vie ordinaire : "Un chagrin ordinaire", "Un dernier pour la route", "Un amour chocolat". Il y a aussi une saga familiale corse sur fond de chocolaterie : "L'histoire de Luiggi". Heureusement, l'humour n'est pas écarté : "Un encombrant trésor", où des voleurs s'attaquant à une banque dévalisent une chocolaterie. Plus noir, "La révérence", où Fred Vasseur nous présente un candidat à la pendaison.
En définitive, je dois dire que j'ai moins accroché à cette antho qu'à celle sur les psychopathes. Il est vrai que les deux sujets n'avaient rien de comparable.
Manuel Ruiz sur son blog:
samedi en en battant Bordeaux 3-1.
Le monde de lundi
LEMONDE.FR | 19.03.10 | 12h22 • Mis à jour le 19.03.10 | 14h35
Pour la première fois depuis 2004 et l'AS Monaco, il y aura un club français en demi-finale de la Ligue des champions. Le sort a en effet désigné un quart de finale franco-français avec un choc fratricide entre l'Olympique lyonnais et les Girondins de Bordeaux. Le champion de France en titre aura la chance de recevoir au match retour.
N'en déplaise à leurs détracteurs, qui considèrent que la farce n'a que trop duré, les Héraultais ne montrent aucun signe d'affaiblissement. |
LE MONDE DU 8 MARS 2010
qui en décembre 2008-sachant que je cherchais du travail- m'a envoyé une liste d'adresses d'écoles privées dans ma région pour que j'y postule...
Je lui avoue ici que - ne croyant plus trop trouver un travail(qui me plaise)- j'ai attendu septembre 2009 pour postuler auprès des établissements.
Beaucoup de réponses sympa mais négatives et une qui évoquait une possibilité de remplacement dans les mois à venir.
Je n'y pensais plus trop , m'inscrivit à des concours des bibliothèques(que je passe en ce moment) et m'essayait à un travail alimentaire (ce que j'ai fait par le passé)... en vain.
Cafard... car je voulais travailler pour ...notamment financer mon rêve d'écriture.
Jusqu'à ce que-au retour de mon infiltration intra-discale un vendredi pour douleurs datant de plusieurs mois(sans effet d'ailleurs)- je reçoive un mail m'indiquant que le directeur adjoint de l'établssemment dont j'ai parlé plus haut souhaitait me rencontrer.
Le lundi, j'accompagnais mon mari pour sa visite pré-opération d'une hernie à l'aine.
Et le mardi, je passais sur le gril... avec succès.
C'était avant les vacances de NOEL(pendant lesquelles mon mari devait se faire opérer) et j'ai speedé pour faire toutes les démarches avant la rentrée car même si je devais démarrer officiellement le 15 janvier, il y avait de fortes chances que ma collègue parte en congés avant.
En effet, au moment du réveillon de nouvelle année, j'ai su que je démarrerais le 6 à charge pour moi de faire les dernières démarches le 5.
Depuis le 6 janvier, je suis MA 2, remplaçante de professeur-documentaliste jusqu'au 6 mai 2010.
De plus, j'aime ce travail.
Alors double MERCI à Enriqueta dont vous pouvez admirer dans cette note 2 calligraphies.
Et allez voir son blog:
La suite ici:
http://www.lefigaro.fr/rugby/2010/02/24/02002-20100224ARTSPO00577-chabal-a-la-rescousse.php
VANCOUVER (Canada) (AFP) - Le biathlète Martin Fourcade, deuxième de l'épreuve de mass-start (15 km départ en ligne), a apporté dimanche une huitième médaille à la délégation française aux jeux Olympiques de Vancouver, après quatre jours sans le moindre podium.
Avec cinq des huit médailles à son actif, le biathlon a largement contribué au bilan (provisoire) français.
PORTRAIT - Le président français de la Juventus Turin, hier inconnu du monde du football, doit relancer un club prestigieux qui connaît un délicat passage à vide sportif.
Soutenu par la Mairie de Paris, le club réclame une nouvelle enceinte. Mais le projet est de plus en plus menacé.
» INTERVIEW - Goasguen s'oppose à «ce projet uniquement dédié au sport-business»
SKI ALPIN - Au terme d'une seconde manche de toute beauté, la Française Sandrine Aubert a décroché sa deuxième victoire de la saison en slalom du côté de Zagreb. Une victoire qui lui permet de prendre la tête de la discipline.
http://www.liberation.fr/sports/1101717-l-annee-sportive-2009-en-images
Foot. Un tour d’horizon des clubs, du carton de Montpellier à la lente agonie de Saint-Etienne.
http://www.liberation.fr/sports/0101610575-ligue-1-bilan-de-noel-avant-le-mercato
Une semaine (très chargée pour nous deux) après mon infiltration intradiscale, mes douleurs au dos n'ont pas faibli.
Mon généraliste me dit de patienter encore un peu... avant d'envisager une solution plus radicale.
J'espère que ma rhino(fatigue et chute de température de 10 degrés en un jour) ne tournera pas en bronchite et que je serais en pleine forme pour accompagner mon mari à la clinique mardi.
Attention âmes sensibles s'abstenir ! Par son réalisme illusionniste, le baroque espagnol - l'andalou particulièrement - est d'une force qui épate toujours, jusqu'au plus blasé des aficionados de la 3D numérique sur écran géant. Il a été développé par des gens de grande foi persuadés que pour véhiculer le message divin, le meilleur moyen était de frapper les esprits de la façon la plus spectaculaire possible.
À Séville, Cordoue ou Grenade, nous sommes à la frontière des terres d'un islam qui prohibe la représentation anthropomorphe dans l'art religieux. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, leurs églises résolument contre-réformistes choisissent d'en prendre l'exact contre-pied.
Dépasser le réalisme
Les artistes qui décorent la cathédrale de Tolède ou qui célèbrent la récente canonisation d'Ignace de Loyola vont alors faire saigner les christs à gros bouillon, flageller les dos en sueur des pénitents, exhiber les stigmates de saint François ou la tête fraîchement tranchée de saint Jean le Baptiste pour que les foules s'agenouillent toujours plus nombreuses au pied de la Croix. Ouailles, brebis égarées, voire mahométans troublés.
À la National Gallery de Londres, l'exposition «Le Sacré rendu réel» rappelle toute l'ingéniosité - mais aussi le génie - de cette esthétique. Dans les sculptures du fils de Dieu supplicié, crucifié ou gisant, on peine à réaliser que les yeux et des larmes sont de verre, et les dents en ivoire. Dans ce corps mort gisant sur son suaire de Gregorio Fernández (prêt du Prado), le sang coagulé n'est autre que la sève séchée du bois. On l'a fait suinter avant de la peindre en rouge. Quant aux ongles des mains, ils sont en corne de taureau.
Mais le plus intéressant de cette exposition est qu'elle met pour la première fois en regard seize peintures célèbres d'Andalousie avec autant de sculptures, mal connues à l'étranger, de cet âge d'or espagnol. Diego Velázquez et Francisco de Zurbarán (sa Crucifixion de 1627 est un prêt remarquable de l'Art Institute de Chicago) sont ainsi présentés avec beaucoup de sens aux côtés de remarquables pièces richement polychromées, certaines toujours consacrées et vénérées dans les monastères, les églises et lors des Fêtes-Dieu de la péninsule. Ainsi, le saint François d'Assise en méditation, que Pedro de Mena réalisa en 1663, n'avait jamais quitté la sacristie de la cathédrale de Tolède.
«Une sculpture n'était considérée comme telle qu'une fois peinte, note Xavier Bray, commissaire de l'exposition. Et ce furent ceux qui devinrent les peintres les plus célèbres de leur temps qui s'en chargeaient.» Principaux mécènes, les chartreux (robe de bure blanche) et franciscains (robe de bure brune) faisaient vivre les nombreux ateliers dans lesquels ils s'épanouissaient. Ainsi est-ce probablement au jeune Velázquez qu'on doit la splendide robe d'or et d'azur de l'Immaculée Conception, une Vierge venue de Séville et attribuée à Juan Martinez Montañés.
Autre sculpteur, Francisco Pacheco enseigna au futur peintre des Ménines, devenu plus tard son beau-fils, ainsi qu'à toute une génération d'artistes. Ces plasticiens dont les noms ne sont guère passés à la postérité léguèrent à ces peintres devenus des gloires de l'histoire de l'art occidental le sens de l'expression faciale ou gestuelle maximale. De fait, miséricorde, compassion, extrême sensibilité aux douleurs d'ici-bas se lisent d'abord dans les œuvres peintes. Bien après discerne-t-on le désir d'égaler ou de dépasser le réalisme dérangeant des figures de bois creux, de tissu, de plâtre ou de papier mâché.
Jusqu'au 24 janvier. Catalogue National Gallery Company, 208 p., 19.99 £. www.nationalgallery.org.uk
Immaculée
Conception, 1620
de Juan Martinez Montañés
(ci-dessus) . Crucifixion, 1627,
de Francisco
de Zurbarán
(ci-contre).
The Art Institute of Chicago. Robert A. Waller Memorial
Fund (1954.15)/National Gallery
SELECTION FIGARO
» Achetez « Vélasquez et l’art du portrait baroque » de la Collection Les Grands Maîtres de L’Art.