Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Ce matin, je bois du thé turc
pour en savoir plus, lire cette note:
http://delicesdeturquie.canalblog.com/archives/2009/01/26/12228036.html
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Publié le 23/12/2012 à 06:00
Photo DR |
Situé derrière la basilique Sainte Sophie, le palais de Topkapi était la résidence des Sultans, aussi appelée "Sérail", ou encore "palais des mille et une nuits" en occident. Son emplacement, à la pointe sud du quartier Sultanahmet, est un point stratégique à l'entrée du Bosphore.
Il fut progressivement délaissée à partir du XIXième siècle au profit des palais de style plus européen situés sur les rives du Bosphore, comme le palais de Dolmabahçe.
La visite complète du palais coûte relativement chère car divisée en trois parties, chacune payante : le palais, le harem et le trésor. Cela n'empêche pas le site d'être bondé de touristes, surtout les week-ends et l'été.
Le plan du palais s'organise en quatre cours intérieures plus le harem.
Le train est sans doute le moyen de transport permettant de profiter au mieux de paysages magnifiques. Son allure modérée et ses grandes vitres permettent de se sentir en vacances dès le démarrage. Adeptes du slow travel, montez à bord des trains mythiques du monde !
Ce train mythique a inspiré les plus belles plumes : Agatha Christie y a mis en scène son personnage fétiche Hercule Poirot; Graham Greene s’est inspiré du fameux train pour l’intrigue de « Stamboul Train »; sans oublier Guillaume Apollinaire qui décrit des scènes plutôt crues se déroulant à bord du train, dans l’un de ses romans érotiques au nom très évocateur des Onze mille verges.
L’Orient Express qui fonctionne depuis 1883 reliait Paris à Vienne et Istanbul.
Depuis 1982, c’est la compagnie Venice-Simplon-Orient-Express qui gère les trajets. Le parcours s’étend de Calais à Istanbul, en passant par Paris, Venise, Vienne (ou Innsbruck)
D’illustres passagers ont voyagé à bord : Agatha Cristie, Marlène Dietrich, Jean Gabin, Mata Hari, Lawrence d’Arabie et Pierre Loti.
Le trajet classique (et romantique !) de l’Orient Express est sans doute celui qui relie Paris à Istanbul. Attention de ne pas le manquer : il n’y a qu’un seul départ par an ! Pour cette année, le départ a lieu le 2 septembre. Les prochains départs auront lieu le 31 août 2012 et le 30 août 2013.
Budapest, Bucarest, Bulgarie … de magnifiques paysages dérouleront devant vos yeux pendant que vous serez très confortablement installés dans les célèbres cabines bleues et or. Le voyage est ponctué de délicieuses attentions comme le thé servi à l’heure du Tea Time, les dîners gastronomiques et les escales permettant de se dégourdir les jambes et d’apprécier des visites comme celles du château de Peles ou la très jolie campagne bulgare.
Comptez 6 jours à bord du train, pour un prix allant de 6780 € pour une cabine double à 10 240€ pour la suite.
La suite p.2> le Transsibérien
Evocation d'une ville, roman de formation et réflexion sur la mélancolie, 'Istanbul' est tout cela à la fois. Orhan Pamuk se remémore ses promenades d'enfant, à pied, en voiture ou en bateau, et nous entraîne à travers ruelles en pente et jardins, sur les rives du Bosphore, devant les villas décrépites, dessinant ainsi le portrait fascinant d'une métropole en déclin.
http://www.evene.fr/livres/livre/orhan-pamuk-istanbul-27737.php
source de l'image: http://halldulivre.fr/cgi-bin/db2www.cgi/nancy.mac/show_book?book_index=9782850258954&ref_id=autre&revue=&nb=
L'0rient est une préoccupation générale qui agite l'Europe du XIXe siècle ; la production picturale reflète très précisément l'histoire de cet intérêt né avec la campagne d'Egypte de 1798 et lié aux évolutions de la " question d'Orient ", dont l'insurrection grecque à partir de 1821 ou la prise d'Alger en 1830 marquent entre autres les étapes.
Le détroit du Bosphore sépare l'Europe de l'Asie. Il relie la mer de Marmara à la mer noire tandis que le détroit des Dardanelles, avec lequel on le confond souvent, relie la mer de Marmara à la mer méditerranée.
Ne manquer pas de consacrer une journée, au départ d'Istanbul, pour faire l'une des nombreuses excursions proposées sur le Bosphore. Les rives du détroit sont tout simplement magnifiques.
(Re-)Découvrez-les en 70 photos : hôtels luxueux, "yalis" (villas en bois au bord de l'eau), palais de marbre, forteresses et autres villages de pêcheurs sont au programme...
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Qu’elle soit l’année de toutes les réussites
De celles que l’argent accrédite
Ou des rêves qu’on ressuscite ;
Qu’elle soit l’année des dettes qu’on acquitte ;
L’année où le corps s’agite
De bons mouvements, où il s’excite
De baisers et de caresses inédites
Qu’elle ne soit pas l’année des fuites
En avant, de ces années dont on évite
De parler mais de celles qu’on cite
En exemple, vive 2013 !
BONNE ANNEE A TOUS
Pour lire d'autres textes de moi, cf mes 11 livres en vente sur ce blog
du 26 octobre 2012 au 1er janvier 2013 - Avant première le 24 octobre
La comédie musicale absolue
Lorsque West Side Story ouvre à New York le 26 septembre 1957, en plein âge d’or de Broadway, les critiques sont loin d’imaginer le phénomène que ce musical va devenir. Les auteurs, Jerome Robbins, Leonard Bernstein
et Arthur Laurents, travaillaient depuis longtemps sur une version de Roméo et Juliette des temps modernes sans concrétiser le projet. Avec l’arrivée de Stephen Sondheim en 1955 pour en écrire les lyrics (chansons), le quatuor trouve l’équilibre parfait entre le livret, la musique, la danse et la mise en scène.
Pour la première et seule fois de toute l’histoire de la comédie musicale américaine, la chorégraphie de Jerome Robbins fait avancer le récit au même titre que le livret. Le film de 1961 et ses dix Oscars, dont celui du meilleur film, donnera une notoriété aux Jets et aux Sharks dans le monde entier, faisant de West Side Story une œuvre culte jamais égalée.
Spectacle présenté en version originale surtitrée
Acte I : 75 minutes
Entracte : 20 minutes
Acte II : 45 minutes
Photo: Nilz Boehme
VIDÉOS
Des audiodescriptions sont mises en place sur les spectacles suivants: le 25 novembre (dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire), les 13 et 15 décembre 2012
Réalisation Accès Culture avec le soutien de la Mairie de Paris.
Des casques sont à retirer au contrôle après réservation préalable par téléphone au 01 40 28 28 40.
Le tarif appliqué est le demi-tarif, sur les catégories 1, 2, 3 et 6 pour le non-voyant et l'accompagnateur.
http://chatelet-theatre.com/2012-2013/west-side-story-fr
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Récit de voyage, flânerie érudite, évocation poétique...
« Après Tanger et Alexandrie, avec cet Istanbul, Daniel Rondeau arrive au terme d’un voyage en Méditerranée commencé il y aura bientôt vingt ans. Trois villes entre deux mondes, entre deux mers, situées sur le parcours d’un voyage homérique, trois villes comme des charnières à la surface du monde…
Istanbul ou la Sublime Porte : le portrait d’une ville magique, une promenade dans ses mystères, et une autre façon d’interroger l’histoire et la littérature. De nombreux séjours ont conduit l’auteur à entrer dans l’intimité de la ville. À la manière de Pausanias, ce voyageur et géographe grec du IIe siècle, qui parcourut les villes de la Grèce, petites et grandes, pour en faire une Description dans un style simple et sans prétention, Rondeau raconte ce qu’il voit là où ses pas le mènent : le long de la muraille, sur les rives du Bosphore, aux îles des Princes, dans les cimetières d’Europe et d’Asie.
Choses vues, choses lues, choses vécues aussi, glanées en quelques années de fréquentation assidue d’une ville inoubliable : une invitation au voyage merveilleusement écrite, un souffle chargé de couleurs et de passions.
Son livre nous parle des choses qui sont et de celles qui ne sont plus, de la Grèce et de Rome, de la culture des tulipes, de la vente des tourterelles, des yeux clairs des Natacha, des Arméniens et des Juifs, des travestis qui courent sur l’Istiklal, de la mémoire et de l’histoire, et des trois Dieux qui veillent sur l’ancienne capitale ottomane. « Le lyrisme et la culture de Rondeau effacent la poussière du temps », écrivait Bruno Corty dans le Figaro littéraire au sujet d’Alexandrie… » (présentation de l'éditeur)
« Rondeau est le seul écrivain français à ma connaissance qui est sensible aux quartiers non touristiques d'Istanbul et à la vie du menu peuple qui y vit. Qui aurait en effet l'idée de parler non pas des cimetières de la Corne d'Or chers à Loti, mais des cimetières de voitures américaines. (...) Cela dit, l'auteur parle aussi de cimetières, de tous les cimetières de la ville pour commémorer les morts, tous les morts, qu'ils soient musulmans, chrétiens ou juifs. Daniel Rondeau porte un nouveau regard sur une ville ancienne pour y déceler des vies cachées et faire des portraits de gens dont on ne parle pas (...).
En dépit de quelques coquilles concernant les noms de lieux, ce beau livre est un des rares ouvrages qui parlent à la fois des slpendeurs et des misères de ma ville bien-aimée qui m'a suivi partout et dont le souvenir, tel un fer rouge, est à jamais planté dans ma mémoire. Rondeau a trouvé une belle métaphore pour expliquer son expansion qui fait peur : "Un jour, la ville a sauté le mur. Depuis, elle galope." » (extraits d'un article de Nedim Gürsel, Le Monde, décembre 2002)
Un extrait sur le site de l’éditeur
http://www.bibliomonde.com/livre/istanbul-1024.html
Du 1er avril au 31 décembre
L’exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 5 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis, aquarelles et peintures qu’il ramène en France à son retour.
Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant.
A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans son œuvre : œuvres en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, la collection présentée au Musée de Lamballe propose des peintures, dessins et estampes
http://www.bretagne-japon2012.fr/empreintes-d-un-voyage-au-japon/
La mosquée bleue (Sultan Ahmet Camii) tire son nom des 20000 carreaux de faïence bleue d'Iznik qui décorent son dôme et ses murs intérieurs. Elle fut construite entre 1609 et 1616 sur ordre du sultan Ahmet Ier.
La mosquée comprend six minarets très élancés qui dominent le bosphore et la mer de marmara. C'est une des mosquées les plus belles et les plus visitées au monde et sa silhouette est devenue emblématique d'Istanbul.
Pour apprécier pleinement la visite de la mosquée, le mieux est d'y accéder depuis le portail d'entrée sur la place de l'hippodrome. Il ouvre directement sur la cour princi
Vor 100 Jahren fand in Köln eine der wichtigsten Ausstellungen der jüngeren Kunstgeschichte statt. Die heute legendäre Kölner Sonderbundausstellung war im Sommer 1912 angetreten, dem konservativen Kaiserreich die moderne Kunst nahe zu bringen – mit durchschlagendem Erfolg. Die Schau wurde in Deutschland zum wichtigsten Wegbereiter für die Moderne. Qualität und Quantität der Exponate waren atemberaubend. Rund 650 Kunstwerke – darunter alleine 130 Gemälde von van Gogh, 26 von Cézanne, 25 von Gauguin, 32 von Munch und 16 von Picasso – waren in der eigens für die Schau errichteten Ausstellungshalle zu sehen. Das Spektrum der ausgestellten Kunst reichte vom Postimpressionismus bis hin zum deutschen Expressionismus, den jungen Malern der Brücke und des Blauen Reiters.
Anlässlich des Jubiläums der Sonderbundausstellung zeigt das Wallraf mit „1912 – Mission Moderne“ vom 31. August bis 30. Dezember 2012 einen spektakulären Rückblick auf diese Jahrhundertschau. Mit mehr als hundert Meisterwerken, die damals zu sehen waren, wird die ursprüngliche Ausstellung in ihren Schwerpunkten und Zielsetzungen rekonstruiert. Die hochkarätigen Exponate kommen aus der ganzen Welt nach Köln. Zu den Leihgebern zählen unter anderen das Amsterdamer Van Gogh Museum, die Staatlichen Museen Berlin, das Art Institute Chicago, die National Gallery London, das Museum of Modern Art in New York, das Munch-Museum Oslo, das Musée d`Orsay in Paris und die National Gallery Washington. Aber auch zahlreiche private Sammler trennen sich für die Retrospektive von Meisterwerken, die teils seit Jahrzehnten nicht mehr öffentlich ausgestellt wurden.
Mit der Ausstellung macht das Wallraf die zu Beginn des 20. Jahrhunderts herrschenden künstlerischen Tendenzen wieder sichtbar. Und dank des historischen Abstandes von hundert Jahren wird die faszinierende Retrospektive verdeutlichen, wie revolutionär und bahnbrechend die Sonderbundausstellung für ihre Zeit war.
Metin Arditi pour son roman «Le Turquetto» (Actes Sud).
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Sur la couverture du «Turquetto» apparaît la main de «l’Homme au gant» du Titien, célèbre tableau exposé au Louvre. Et si ce tableau n'était pas du pinceau du maître, mais de celle d'un peintre tombé dans l'oubli? Une anomalie relevée dans la signature permet toutes les suppositions...
Elevé à Constantinople, le petit Elie n'a qu'une passion: le dessin. Mais quand on est fils de marchand d'esclaves – activité réservée aux juifs par les Turcs –, dessiner est inimaginable. Pourtant, le jeune garçon s'obstine, s'initie à la calligraphie avec un musulman, copie les fresques de Saint-Sauveur... Parti de Constantinople pour Venise, Elie change de nom, prenant celui de «Turquetto», et travaille auprès des maîtres italiens du Cinquecento, dont il devient l’égal – Véronèse, Titien. Il dévoile ses origines juives en peignant une «Cène» somptueuse. L'église le fait immédiatement arrêter et juger. Condamné à mort, ses toiles brûlées, il échappe de peu à la pendaison grâce à un prélat. De son œuvre, il ne restera que cet « l’Homme au gant » miraculé. Réflexion sur la création et sur la difficulté d’échapper à un destin tracé, ce récit «historique» est enlevé et profond. Un beau prix Giono.
http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20111018.OBS2713/prix-jean-giono-a-metin-arditi.html
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Rûmî (1207-1273) fut l'initiateur des derviches tourneurs, mais aussi un grand poète soufi. Sont proposés des extraits du Diwan et du Masnawi.
ATTENTION : LE FICHIER PODCAST COMPORTE 3 MINUTES DE SILENCE en début d'émission, puis 4 minutes de musique : avancez le curseur de votre lecteur à la 7ème minute pour écouter le début de l'émission.
0 jour, lève-toi,
Les atomes dansent,
Les âmes éperdues d'extase dansent
écrit le grand poète mystique Jalâl al-dîn Rûmî, inspirateur de la confrérie des derviches tourneurs, dont ...
Ulysse | 24.11.2011 à 09h59 Par Marie-Amélie Carpio
Le port de Heybeli, à portée de vue d'Istanbul. | MARIE DORIGNY
Jusqu'au 28 août, la Vieille Charité accueille l'exposition, "L'Orientalisme en Europe : de Delacroix à Matisse". Cette exposition rassemble cent vingt peintures et sculptures d’artistes européens.
Organisée par la Réunion des musées nationaux (RMN) et la Ville de Marseille, la grande rétrospective présentée au Centre de la Vieille Charité du 28 mai au 28 août, débute avec la campagne de Napoléon en Egypte (1798-1801) et le goût que l’Europe en garda pour se terminer avec le séjour de Matisse en Afrique du nord (1906).
Avec plus de 120 oeuvres, peintures et sculptures, venant des plus grandes institutions internationales et de collections particulières, l'exposition offre un vaste panorama de l'orientalisme non seulement en France mais aussi dans toute l'Europe. Aux côtés des chefs-d'oeuvre d'Ingres, Delacroix, Fromentin, Gérôme, figurent des oeuvres d'artistes anglais, comme Lewis ou Alma-Tadema, allemands, (Bauernfeind, Müller), belges, (Portaels, Evenpoel), espagnols,(Villegas, Sorolla), italiens (Fabbi, Simoni), et même un orientaliste turc, formé à Paris, Osman Hamdi Bey. Renoir, Matisse, Kandinsky, Klee, Macke, illustrent le dernier chapitre de l'exposition consacrée à l'orientalisme moderniste