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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1136

  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Gold, Jasper, and Carnelian: Johann Christian Neuber at the Saxon Court (through August 19, 2012 )

    Peter Paul Rubens (1577–1640), Helena Fourment, c. 1630, black, red, and white chalk and pen and ink, 24 x 21 1/2 inches; The Courtauld Gallery (Samuel Courtauld Trust)Since antiquity, gemstones (also known as hard or semiprecious stones) have been cut and polished for use in jewelry, in the creation of vases and cups, and in the decoration of palaces. Rediscovered and developed in sixteenth-century Florence, pietra dura (hard stone) objects were collected and sometimes used as political propaganda among the Medici. A sign of wealth, taste, and power, they were also offered as diplomatic gifts or acquired by foreign sovereigns. In the following centuries, they not only aroused admiration at major European courts but also prompted artists to work with gemstones. In eighteenth-century Saxony (part of Germany), the technique was revived again by Johann Christian Neuber (1736–1808), one of Dresden's most famous goldsmiths.

    Neuber specialized in creating small gold boxes decorated with local stone, such as agate, jasper, and carnelian, fashioning enchanting landscapes, elaborate floral designs, and complex geometric patterns with tiny pieces of cut and polished stones set in gold-framed cells, a technique known as Zellenmosaik (cell mosaic). Responding to the increasing interest of the European elite in the natural sciences, Neuber created the Steinkabinettabatiere (stone cabinet snuffbox), made of dozens of samples of local gemstones, each numbered on its gold rim and described in an accompanying booklet. Often incorporating Meissen porcelain plaques, cameos, and miniatures, these unique objects reflect the Saxon court's interest in both luxury items and the natural sciences.

    The Frick Collection presents the first comprehensive introduction to Neuber's oeuvre, including important diplomatic gifts and approximately thirty-five snuffboxes, bonbonnières (candy boxes), and fashionable
    accessories. These objects were appreciated not only at the Saxon court but also throughout Europe. Offered as refined gifts, they were also
    acquired to attest to the wealth and good taste of their owners. Snuffboxes were especially fashionable: more than containers for tobacco powder, they were elegant accessories of a highly sophisticated society. Carried in hand or taken from a pocket, the delicate box would immediately arouse admiration.

    The exhibition is co-organized by the Grünes Gewölbe of the Staatliche Kunstsammlungen Dresden, Galerie J. Kugel, Paris, and The Frick Collection. Support for the presentation in New York is generously provided by Walter and Vera Eberstadt, Aso O. Tavitian, Margot and Jerry Bogert, and an anonymous donor.

    http://www.frick.org/exhibitions/neuber/index.htm

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photos, Mes textes en prose, Voyage

    Funiculaire d'Evian(photos perso)

    Construit en 1907, le funiculaire évianais a été le témoin privilégié de la vie de cette cité avant que ne cesse son exploitation en 1969.
    Le tracé de ce funiculaire qui reliait la buvette Cachat à l'Hôtel Royal fut prolongé aux deux extrémités, d'une part à la station inférieure des Bains d'Evian en souterrain, et d'autre part vers la station supérieure de Neuvecelle.

    Son activité a cessé en septembre 1969, le funiculaire fut par la suite classé monument historique en 1983. Sa restauration à l'identique démarra en 1995 et dura prés de 6 ans.

    Après 33 ans de mise en sommeil, le funiculaire a ré-ouvert au public le 20 juillet 2002.

    Ce funiculaire figure à présent parmi les trois seuls survivant des funiculaires classés des XIXe et XXe avec ceux du Capucin au Mont Dore et de Besançon, le "petit métro" évianais est une pièce rare du patrimoine ferroviaire européen.

    Pour en savoir plus : Le Funiculaire d'Evian de Jean-Bernard Lemoine et Marcel Willems (12€) - en vente à l'office de tourisme.

    Ouverture : Le funiculaire est ouvert en saison estivale, du 15 mai au 20 septembre, tous les jours de 10h à 19h. Le transport est gratuit.

    Renseignements :

    Tél.  04 50 74 98 93
    E-mail : funiculaire.evian@veolia-transport.fr
    Site internet : www.leman-but.fr

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1205316931/page/index.html

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  • Catégories : Mes photos, Voyage

    Le Palais Lumière(photo perso)

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    Témoin prestigieux de l'architecture du début du XXe siècle, le Palais Lumière (thermes d'Evian de 1902 à 1984) a été reconverti en espace culturel et de congrès en 2006. Il accueille:

    Le hall d'accueil remarquable par sa décoration est accessible librement lors de l'ouverture aux expositions

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1207325014/page/Edifices.html

  • Catégories : Mes photos, Voyage

    La Villa-Lumière à Evian(photo perso)

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    Ancienne résidence d'été de la famille Lumière (inventeurs du cinéma), cette somptueuse villa de style classique français inspiré de la Renaissance, est devenue l'hôtel de Ville en 1927.

    A voir une scultpture en bronze du lyonnais Pascal Devaux d'une lionne qui défend toujours l'accès de l'escalier monumental en chêne.

    L'hôtel de ville a conservé le "Salon doré", où l'on célèbre les mariages. Les tentures en damas de soie jaune et les ors des lambris composent un ensemble de toute beauté...
    Visite libre du hall, du grand salon et du salon doré de 9h à 11h et de 13h30 à 17h en semaine toute l'année. 
    Télécharger le dépliant sur l'hôtel de ville (villa Lumière)

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1207325014/page/Edifices.html

  • Catégories : A lire, J'ai aimé, L'art

    Géo Art. Les impressionnistes

    Geoart07052012

    Geo Art, nouvelle extension de la marque Geo, a investit les kiosques le 9 mai. Chaque édition de ce nouveau magazine monothématique est consacrée à un courant artistique, à une période d’histoire de l’art ou à un artiste majeur connu du grand public. Ainsi le numéro de lancement est entièrement dédié à l’Impressionisme. Afin de faire la part belle au visuel (70 % du contenu) Geo Art a adopté un grand format : 23,3 * 30 cm.

    “GEO Art a pour volonté de rendre l’art accessible au grand public en donnant aux lecteurs les clés pour comprendre un courant artistique ou l’œuvre d’un artiste”, explique Eric Meyer, rédacteur en chef de Geo.

    Vendu 12,90 €, Geo Art compte 132 pages et restera en kiosques 2 mois. Le magazine est proposé avec un plus produit DVD relatant la naissance des Impressionnistes.

     http://www.tarifmedia.com/actualites/prisma-media-lance-geo-art

  • Catégories : A lire, Voyage

    Satori à Paris

    Satori à Paris

    "De retour d'un voyage en France à la recherche de ses origines, Jean Louis Lebris de Kerouac, le chef de file du mouvement beat, s'aperçoit qu'il a reçu une sorte d'illumination, un satori. Ne sachant à quel épisode précis attribuer cette révélation, il décide de revivre avec le lecteur ces dix journées passées dans notre pays, journées où abondent les situations inattendues, et où l'on sent ce besoin de sympathie et de chaleur humaine que Kerouac manifestait en maintes occasions."
    Présentation de l'éditeur

     

    Traduit de l'anglais par Jean Autret

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  • Catégories : Musique

    POP SATORI DELUXE

     Vingt ans après, il est une évidence qui d’emblée s’impose. Succès platiné à l’époque de sa sortie, Pop Satori est avant tout un album risqué. Un album qui fait alors rimer envergure avec futur. Il est un fier représentant de cette electropop visionnaire dont on pensait que seuls nos voisins britanniques avaient l’apanage. Entre arrangements idéalistes et mélodies osées, ambiances feutrées ou atmosphères désaxées, il excelle dans l’art du contre-pied. Ce sont ces qualités qui en font, aujourd’hui encore, une œuvre étourdissante. Et pas seulement pour cause de réhabilitation d’une décennie, les années 80, bien longtemps répudiées mais désormais exaltées. Ni pour les souvenirs qu’il ne manquera pas d’évoquer à tous ceux qui l’ont déjà croisé. Il s’agit d’un disque d’émois et de premières fois, de sentiments et de tâtonnements. Toujours en équilibre. Un jeu de piste que l’on se plaît à suivre, sans forcément savoir où il va nous mener. Où l’on désire même se perdre. Et où l’on se perd, d’ailleurs, une fois encore, étourdis entre autres par ces vingt-huit titres peu ou prou inédits – existe-t-il encore d’autres trésors comme ce Paris Le Flore murmuré avec les paroles anglaises originelles ? –, par cet incroyable remix signé Fischerspooner qui montre à quel point Tombé Pour La France était, de fait, en avance sur son temps. Par cette version sombre d’un Soleil De Minuit enfin à son zénith. Par ces versions live délurées – portées par un public déchaîné –, ces maquettes à peine déflorées – l’impertinence ensoleillée de Centerfold Romance“Merci beaucoup”, se surprend-on alors à murmurer. Sans même savoir si le principal intéressé nous entendra.


    Christophe Basterra.

    http://www.etiennedaho.com/

     

    Dans cet album, Etienne Daho reprend "Late night" de Syd Barret(cf. ci-dessous) et rend hommage à jACK kEROUAC(cf. ci-dessous) avec le Satori

  • Catégories : Des musées, J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai lu hier :Le Figaro musées N°38 - Le Musée Condé du Château de Chantilly

    N°38 - Le Musée Condé du Château de Chantilly

    "Princier, c’est le qualificatif qui vient immédiatement à l’esprit du visiteur qui découvre par une belle journée d’automne le Château de Chantilly ! Tout ici est princier, la forêt, le parc et ses allées dessinés par Le Nôtre, le château qui apparaît comme échappé d’un manuscrit des Très Riches Heures du Duc de Berry, les écuries, rêve de pierre extravagant et démesuré, les collections dont l’inventaire semble ne pouvoir jamais s’achever et enfin les princes tristes et splendides qui se sont succédé dans cette maison. Pendant cinq siècles, les familles les plus puissantes du royaume de France vont se léguer de branche en branche un domaine qui aurait fait l’orgueil d’un roi. Jusqu’en 1898 où le duc d’Aumale offrait à la France, le château de Chantilly et ses trésors.”

    Patrick de Carolis, Journaliste et écrivain
     
     
  • Catégories : Chagall Marc

    La Cour Chagall

     

    En 1964 pour agrémenter sa demeure parisienne, Ira Kostelitz commande à Marc Chagall une mosaïque monumentale ainsi que les deux sculptures Oiseau et Poisson. Quelque quarante ans plus tard, le mari d’Ira offre ces œuvres à Annette et Léonard Gianadda qui les exposent dans le Parc de sculptures de la Fondation Pierre Gianadda. Un pavillon est reconstitué à l’identique dans les Jardins pour accueillir définitivement La Cour Chagall. Ce don exceptionnel contribue à embellir le Parc de la Fondation, véritable panorama de la sculpture du XXe siècle.
    Il s‘agit de la première mosaïque de la collection de la Fondation, mais également de l’arrivée d’un nouvel artiste prestigieux, Marc Chagall, dans le Panthéon déjà renommé du Parc de sculptures.
    Les mosaïques sont peu nombreuses dans l’œuvre de Chagall. Celle-ci, montrée pour la première fois en public, a été inaugurée le 19 novembre 2003, jour du 25e anniversaire de la Fondation.
    Pouvait-on rêver d’un plus beau cadeau pour ce jubilé ?

    http://www.gianadda.ch/wq_pages/fr/expositions/la-cour-chagall.php
    Léonard et Annette Gianadda entourant Georges Kostelitz

  • Catégories : Des expositions, Des musées

    PORTRAITS - COLLECTIONS DU CENTRE POMPIDOU

    Exposition organisée par la FONDATION PIERRE GIANADDA et le CENTRE POMPIDOU - Paris
    2 mars au 24 juin 2012
    tous les jours de 10 h à 18 h

    Parmi les genres picturaux issus de l’Académie, le portrait, dont on pouvait penser qu’il serait rétif aux diverses révolutions esthétiques, modernistes notamment, a produit la plupart des icônes de l’art du XXe siècle. On ne fait pas un portrait impunément sans que surgissent d’emblée des présupposés philosophiques, religieux, mythiques ou métaphysiques.

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