Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Richard Texier, le nouvel alchimiste
Ce n’est pas parce que l’on est antiquaire depuis quatre générations que l’on ne peut s’ouvrir à l’art plus contemporain.
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Ce n’est pas parce que l’on est antiquaire depuis quatre générations que l’on ne peut s’ouvrir à l’art plus contemporain.
Depuis le 25 septembre 2014, est présentée dans l’espace d’exposition du Centre Akbank Sanat à Istanbul l’exposition « Words, things, concepts » autour de l’artiste belge Marcel Broodthaers. C’est la première exposition solo avec des œuvres de l’artiste en Turquie. Des pièces maîtresses de l’œuvre de Broodthaers, comme « Pense-Bête » (1964), « Miroir d’Époque Regency » (1973) et« 289 coquilles d’œufs" (1966), peuvent y être admirées jusqu’au 29 novembre 2014.
Le débat budgétaire s'annonce particulièrement compliqué pour le gouvernement, pris en tenaille entre les exigences européennes et les revendications de sa majorité.
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Le chef de l'Etat sera l'invité de la chaîne privée pour une émission spéciale en direct, qui sera également retransmise sur RTL. |
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Chaque année, l’un des événements marquants à Venise, c’est son Carnaval. Les amateurs ne voudraient pour rien au monde le manquer et s’activent à créer leur costume. Les curieux vont s’y balader pour découvrir ce monde irréel et magique. © Carnevale di Venezia >
10/10/2014
Actualité
Accueillir les paquebots sur une île artificielle au large de Venise tout en permettant aux passagers de conserver l’entrée par le canal de la Giudecca et la magie de la vue qu’elle offre, c’est le projet ambitieux qui va être étudié à Venise.
Par Matthieu Hoffstetter En plein coeur de la lagune vénitienne, l'île de Crevan est à vendre. Ce confetti de 0,5 hectare avec son fort napoléonien transformé en résidence de luxe pourrait coûter 11 millions de francs à qui veut l'acquérir.
Un portrait de Colette par le photographe Irving Penn, présenté au Palazzo Grassi de Venise, le 13 avril 2014
afp.com/Giuseppe Cacace
La Fondation François Pinault a choisi une sélection d'exception des oeuvres d'Irving Penn pour le baptême photographique de sa gigantesque collection d'art, visible au Palazzo Grassi de Venise jusqu'au 6 janvier 2015.
"C'est la première fois que le Palazzo Grassi présente une exposition dédiée de manière exclusive à la photographie (...). C'est aussi la première fois qu'on lève le voile sur la collection photographique de la collection Pinault," se réjouit Martin Béthenod, directeur de la Fondation Pinault.
Pour l'occasion, les 130 clichés de l'exposition "Resonance" mettent en exergue la maîtrise technique de l'américain Irving Penn (1917-2009), photographe majeur du XXème siècle, connu pour ses images de mode, ses portraits et ses natures mortes.
"Penn est l'un des rares géants qui ont comme ça traversé le siècle (...). On voit à quel point les photographies de Penn sont travaillées, comme pouvaient l'être des peintures ou des sculptures classiques", estime Martin Béthenod.
Pablo Picasso, Truman Capote, Marcel Duchamp... Les célèbres clichés que Penn fit des icônes de la peinture, du cinéma et de la littérature des années 1950 à 1970 ne manquent pas pour la première exposition de cette envergure consacrée au photographe en Italie.
Outre cette oeuvre personnelle, Penn a fait toute sa carrière au magazine de mode Vogue, où il a débuté en 1943. Ses clichés de mode sont cependant absents de l'exposition, qui préfère mettre en valeur des photographies peu connues ou inédites, reflétant des thèmes chers à l'artiste.
Ainsi la série dite des "petits métiers" réalisée en France, aux Etats-Unis et en Angleterre dans les années 1950, dans laquelle Penn immortalise des activités en voie de disparition dans ces pays: vendeurs de journaux, chiffonniers et ramoneurs défilent, en tenue, dans son studio.
- 'Fugacité' -
L'exposition présente aussi les clichés ethnographiques rapportés dans les années 1960 et 1970 du Bénin, de Nouvelle-Guinée et du Maroc, datant des années 1960 et 1970, ainsi que des photographies composées de mégots, de fruits ou encore de crânes d'animaux photographiés au Musée d'Histoire Naturelle de Prague en 1986.
Saisir l'éphémère - de la célébrité, des pratiques sociales, de la vie - est comme le fil rouge de l'exposition, qui met l'accent sur l'importance toute particulière que Penn donnait au tirage et à ses techniques.
"Il cherche à retenir l'instant présent, et à lui donner par la beauté et la qualité du tirage, ces fameux tirages au platine, la plus grande chance de toucher à l'éternité", explique M. Béthenod. "Au-delà de la diversité des sujets, (il y a) comme une volonté d'arrêter le temps et de donner à tout ce qui fuit, à tout ce qui vieillit, l'espoir d'une forme d'éternité".
"La vie est fugacité et transformation. C'est une charmante mascarade" est donc l'exergue choisie par les commissaires de l'exposition.
Une grande partie des photographies présentées proviennent de la collection de la japonaise Kuniko Nomura, constituée dans les années 1980 avec la contribution d'Irving Penn.
La collection Pinault compte près de 3.000 oeuvres, des années 1960 à nos jours, de la peinture à l'installation vidéo, qui vont bien au-delà de la vingtaine d'artistes généralement associés à ce collectionneur compulsif.
Depuis 2006, un millier d'oeuvres de plus de 200 artistes de la collection ont été montrées dans diverses expositions à Venise et dans le monde.
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Le gouvernement catalan a annoncé lundi qu'il renonce à organiser un référendum sur l'indépendance le 9 novembre prochain, face à l'opposition du gouvernement espagnol. |
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Juste après le discours royal, Chabbat et Labbar en viennent aux mains
Dans son discours d’ouverture de la session automnale de la quatrième année législative, SM le roi Mohammed VI a mis sur la sellette les partis politiques marocains en des termes peu amènes. L’altercation, survenue juste après le départ du souverain, le vendredi 10 octobre, entre le SG du Parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, et l’ex-député PAM, Abdelaziz Lebbar en dit long sur la conduite des élites. L’injure et la rixe sont devenues la marque de leurs discours. Dès lors on comprend mieux l’exaspération royale. Mais que s'est-il donc passé entre nos deux députés pour qu’ils en viennent aux mains ? Interrogé par Al Massae, le SG du Parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, allègue qu’Abdelaziz Lebbar serait simplement un suppôt du Parti justice et développement (PJD) et que, de ce fait, il aurait été instrumentalisé par ce parti au pouvoir pour "parasiter" une réunion de coordination prévue entre les partis d’opposition à la suite du discours royal. Une accusation rejetée catégoriquement par son adversaire, dans une réponse à Al Massae. "Le PJD n’a strictement rien à voir avec cette histoire", a-t-il démenti, en expliquant qu’il s’est fait violenter par Chabat pour avoir refusé de lui renvoyer l’ascenseur en lui souhaitant un "mabrouk Al Aïd" préférant plutôt lui lancer un "Que Dieu nous aide à prendre revanche sur toi". Encore heureux qu’ils aient attendu le départ du roi avant de partager leurs affinités (peu) électives. Quoi qu’il en soit, chacun de ces hommes et de leurs formations, porte une part de responsabilité. En mettant à l’indexe les comportements des hommes politiques, le souverain a abordé dans son discours les agissements et l’absence de vision de la classe politique.
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Mardi 14 octobre 2014 |
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Quatre des douze eurodéputés qui gagnent plus de 10 000 euros par mois en dehors du Parlement européen sont Français, selon les chiffres publiés par Transparency International publiés lundi. |
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Le fondateur de la galerie Obsis, Didier Grandsart, est décédé le 30 septembre dernier dans sa soixante-septième année.
Trois cents œuvres, issues de treize musées français, seront prêtées au Louvre Abu Dhabi pour son ouverture, le 2 décembre 2015.
Après un appel public à candidatures, Emma Lavigne a été élue à la tête du Centre Pompidou-Metz, à l’unanimité des représentants des collectivités au sein du conseil d’administration de l’établissement.