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Catégories : Nerval Gérard de

Investissement affectif dans le "Voyage en Orient" de Nerval

O. C, II, 382, Les pyramides : « La branche du Nil entre Roddah et Gizeh a une telle largeur, qu’il faut une demi-heure environ pour la passer.
Quand on a traversé Gizeh, […] on a encore devant soi deux lieues de plaines cultivées à parcourir avant d’atteindre les plateaux stériles où sont posées les grandes pyramides, sur la lisière du désert de Lybie.
Plus on approche, plus ces colosses diminuent. C’est un effet de perspective qui tient sans doute à ce que leur largeur égale leur élévation. Pourtant, lorsqu’on arrive au pied, dans l’ombre même de ces montagnes faites de main d’homme, on admire et l’on s’épouvante. »


Paysage ambulatoire
cadrage


Mes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book edition sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."

http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-laura-vanel-coytte-p-1283.html

En plus, les frais de port sont gratuits jusqu'au 31 mai 2008.

Commentaires

  • Merci pour ce voyage qui s'est fait à pied pour Nerval, car une demi heure pour traverser le Nil, c'est un prétexte pour regarder les paysages. Et les décrire avec intensité....

  • Merci de faire partie des rares qui suivent ce voyage et regardent ces paysages...

  • Tu me connais Laura. Bon repos pour ce week end.

  • Nous nous sommes un peu reposés, heureux de nous retrouver à 2... chez nous

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