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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le Maroc:vie et travail

Le Maroc

Juste après le discours royal, Chabbat et Labbar en viennent aux mains  

Dans son discours d’ouverture de la session automnale de la quatrième année législative, SM le roi Mohammed VI a mis sur la sellette les partis politiques marocains en des termes peu amènes. L’altercation, survenue juste après le départ du souverain, le vendredi 10 octobre, entre le SG du Parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, et l’ex-député PAM, Abdelaziz Lebbar en dit long sur la conduite des élites. L’injure et la rixe sont devenues la marque de leurs discours. Dès lors on comprend mieux l’exaspération royale. Mais que s'est-il donc passé entre nos deux députés pour qu’ils en viennent aux mains ? Interrogé par Al Massae, le SG du Parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, allègue qu’Abdelaziz Lebbar serait simplement un suppôt du Parti justice et développement (PJD) et que, de ce fait, il aurait été instrumentalisé par ce parti au pouvoir pour "parasiter" une réunion de coordination prévue entre les partis d’opposition à la suite du discours royal. Une accusation rejetée catégoriquement par son adversaire, dans une réponse à Al Massae. "Le PJD n’a strictement rien à voir avec cette histoire", a-t-il démenti, en expliquant qu’il s’est fait violenter par Chabat pour avoir refusé de lui renvoyer l’ascenseur en lui souhaitant un "mabrouk Al Aïd" préférant plutôt lui lancer un "Que Dieu nous aide à prendre revanche sur toi". Encore heureux qu’ils aient attendu le départ du roi avant de partager leurs affinités (peu) électives. Quoi qu’il en soit, chacun de ces hommes et de leurs formations, porte une part de responsabilité. En mettant à l’indexe les comportements des hommes politiques, le souverain a abordé dans son discours les agissements et l’absence de vision de la classe politique.

Les militants se mobilisent contre la peine de mort au Maroc  

Un sit-in sous le thème “Le trouble mental n'est pas un crime : Le traitement à la place du meurtre'' est organisé ce lundi, devant le parlement, par les militants de la Coalition marocaine contre la peine de mort. L'objectif est de relancer le débat sur la peine capitale. Cette manifestation s'inscrit dans le cadre de la campagne organisée par la coalition, qui regroupe plus d'une vingtaine d'ONG.
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Ban Ki Moon sera en visite au Maroc  

En marge du 13éme congrès annuel qu'organise Arab Thought Foundation, le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki Moon sera en décembre en visite au Maroc. Organisé au palais des congrès de Skhirat, le thème de cette année sera "l'intégration arabe : entre le rêve d'unité et la réalité de division", il se tiendra du 3 au 5 décembre et connaîtra la participation de personnalités de haut rang, notamment le Prince Khalid Al Faisal Al Saud, ministre de l'éducation du Royaume d'Arabie Saoudite et président de ce think-thank.
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Economie

Boeing veut booster sa présence industrielle dans le ciel marocain  

Le groupe américain envisage de renforcer ses investissements pour doper sa présence industrielle et commerciale dans le ciel marocain. Selon Bob Noble, vice-président, Partnering for Success, Boeing Commercial Airplanes, le Royaume fait partie des pays où devront se jouer ces développements. «Nous allons accélérer notre croissance au Maroc et dans le continent», déclare le manager. Cette croissance se fera sur deux grands aspects: un renforcement du dispositif industriel, et un rapprochement commercial plus étroit avec RAM. La compagnie nationale est déjà listée parmi les premiers clients du constructeur dans la région.
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12,5% des cigarettes en circulation au Maroc sont issues de la contrebande  

L’enquête lancée par les services de la Douane, le 17 mars 2014 pour l’estimation du taux de la contrebande des cigarettes sur le marché marocain, révèle que 12,5% des cigarettes en circulation sont issues du circuit informel. Les parties prenantes lors de cette réunion ont saisi l’occasion pour examiner les modalités d’organisation de la prochaine étude qui sera lancée au mois d’octobre courant : Objectif : Suivre l’évolution du phénomène, déterminer la tendance de la contrebande de cigarettes et doter les différents intervenants de la connaissance de l’environnement de ce fléau. La réunion annuelle s’est déroulée au siège de l’Administration des Douanes et Impôts Indirects à laquelle ont pris part les membres de cette Commission représentant les Départements de l’Intérieur, de la Gendarmerie Royale ainsi que les représentants de la Société Marocaine des Tabacs, des sociétés North Africa Tobacco Company, Japan Tobacco International, British American Tobacco et Philip Morris International

 

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