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Casablanca et Maroc

Casablanca 2015-2020 : les élus affichent leurs craintes  

Plusieurs conventions ont été signées, en septembre dernier, et devraient en principe concrétiser les objectifs du programme de développement de la région du Grand Casablanca (2015-2020). Ces conventions portent sur la mobilité, la lutte contre l'habitat insalubre, la réhabilitation des infrastructures culturelles et sportives, la préservation du patrimoine... Il y a trois semaines, les pouvoirs publics ont annoncé aux Casablancais la feuille de route visant à faire aboutir le programme. Globalement, tout prête à croire que la réalisation de ces accords pourrait contribuer à faire évoluer les choses dans la région de Casablanca. Et pourtant…dans une déclaration aux ÉCO, ces élus soulignent qu’ils craignent que «le programme ne connaisse des difficultés, l’empêchant ainsi d’atteindre ses objectifs».

 

 

Risque terroriste, le royaume n’est plus sur la liste orange de la France 

Le Maroc ne fait plus partie des destinations où la France recommande à ses ressortissants une «vigilance renforcée». Ainsi, le Maroc retrouve sa position d’avant septembre, date à laquelle la France l’a inscrit sur une liste de 40 pays où le risque terroriste se trouve amplifié avec la menace Daech ou des groupes terroristes. Les autorités marocaines ont catégoriquement protesté contre cette évaluation qui dégrade l’image de la destination auprès des touristes. Le Maroc a entre-temps renforcé son dispositif sécuritaire et multiplié les mesures de prévention et les opérations de marketing, ce qui a apparemment payé, puisque début 2015, le pays retrouve la couleur verte, c'est-à-dire pays à risque «normal» comme l’Espagne ou même la France.

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