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Mon texte inédit sur ce blog: La bibliothèque pour le défi 270 des Croqueurs de mots

 

Voici le thème proposé par ANNEà la barre pour la quinzaine pour le défi 270:

CES OBJETS QUI FONT NOTRE ENVIRONNEMENT :

– Pour le défi du lundi 24 octobre: Faire parler un objet qui raconte sa propre histoire

pendant un moment déterminé ou bien son quotidien.

– Pour le 1er jeudi poésie 20 octobre,: Décrire un objet qui a beaucoup compté pour vous.

– Pour le 2ème jeudi 27 octobre : Écrire un poème ou  une courte nouvelle

évoquant un moment de vie influencé par un objet.

Le Môt de Dômi 

Merci à vous tous pour votre participation au défi 269

mené par Renée. J’ai eu beaucoup de plaisir à vous lire

toutes et tous . Beaucoup d’émotion en lisant les commentaires

des uns et des autres même de ceux qui ne me connaissent pas.

Merci à toi Renée de m’avoir mise à l’honneur toute cette quinzaine.

Merci à toi Anne de prendre la barre pour cette quinzaine.

Merci à toi Eglantine de permettre à Anne de publier sur ton blog.

Voilà en espérant de n’avoir oublier personne et si

tel est le cas merci à tous les oubliés 

Bises amirales !

Dômi

http://croqueursdemots.apln-blog.fr/

Pendant mon premier déménagement de veuve, à part les fonctions essentielles comme dormir (et s’habiller) et se nourrir, il fallait que je case dans un espace plus petit, tout ce qui est essentiel… pour moi soit le train de mon mari (évoqué le lundi 24 ici) et ma bibliothèque (en fait mes). La bibliothèque du salon a été d’abord installée au mauvais endroit (malgré les indications et les plans que j’avais faits) ce qui l’a fragilisée et depuis elle m’est tombée dessus plusieurs fois. La dernière mouture du salon (à lire) est toujours bancale et à ranger.

La bibliothèque du bureau avec les livres lus est affreuse car les étagères sont plus resserrées pour beaucoup de livres d’art que j’ai dus empiler au lieu de les placer joliment et verticalement. Heureusement que j’ai beaucoup jeté et trié car je me suis malgré tout retrouvé pendant des mois avec des livres en vrac par terre, tordus ; je marchais dessus, m’en prenais sur la tête.

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