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Le Paris de la modernité (1905-1925)

Le Paris de la modernité (1905-1925)

Le Petit Palais retrace dans une exposition l’entrée de Paris dans la modernité, de la Belle Époque jusqu’aux Années folles, une période qui voit la capitale devenir un foyer culturel bouillonnant, attirant de nombreux artistes. Ce hors-série dresse un panorama du tourbillon créatif qui emporte Paris, touchant tous les domaines de la création : peinture, sculpture, arts décoratifs, mode, théâtre, danse, photographie, cinéma…

 

Au sommaire : 

Un ballet mécanique artistique : Conservatrice en chef du patrimoine et commissaire de l’exposition au Petit Palais, Juliette Singer revient sur les grands enjeux du Paris de la modernité.
Pépinières de l’art neuf : De la Belle Époque aux Années folles, Paris attire, accueille et concentre une population cosmopolite d’artistes faisant de Montmartre, puis de Montparnasse, les creusets de l’avant-garde.
Salons et anti-salons : La multiplicité des Salons de peinture à Paris, de la fin du XIXe siècle jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, traduit les dissensions artistiques, éthiques, sociales et politiques qui animent les acteurs d’un marché de l’art en plein essor.
Artistes artisans : Innovations techniques et mécaniques, mode, danse… De nouvelles disciplines enrichissent la création artistique en ce début de siècle. Au sein de l’exposition, on assiste à un véritable éloge de la vitesse.
Art patriotique : Les manifestations patriotiques organisées par les autorités pendant la Grande Guerre parviennent difficilement à occulter les ravages du conflit révélés par les revues illustrées et les récits d’anciens poilus.
En temps de guerre : Pendant le conflit, après une brève interruption, la vie culturelle reprend de plus belle et les artistes continuent de créer.
Une époque exaltée : Marquées par un imaginaire de frivolité, d’exubérance et d’effervescence culturelle, les Années folles témoignent de la soif de vivre qui suit la Première Guerre mondiale.
Choquer le bourgeois : En multipliant les manifestes et les scandales, dadaïstes et surréalistes s’emploient à bousculer l’ordre établi pour mieux « régénérer la société ».
Paris « lumière liberté » : Le XXe siècle est le laboratoire fécond de l’image en mouvement : le cinéma incarne l’attrait de la vitesse et le tourbillon créatif de cette période révolutionnaire – non seulement par ses innovations techniques, mais aussi dans ses moeurs profondes.
Années folles au spectacle : Si l’on a coutume de coller l’épithète « folles » aux années qui courent de 1919 à 1929, c’est pour traduire au mieux le climat d’allégresse qui survient après la période de souffrances et de privations de la Première Guerre mondiale.
1925 : Paris, ville moderne : L’événement de ce quart de siècle consacre les arts décoratifs dans une immense exposition transversale, Paris accueille des créateurs et créatrices du monde entier, toutes disciplines confondues, dans cette célébration des arts et de l’industrie : l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes.

 

Entretien, études d’œuvre, infos pratiques… Ce hors-série constitue une présentation richement illustrée de l’exposition « Le Paris de la modernité (1905-1925) » au Petit Palais en préparation ou en complément de votre visite !

 

Novembre 2023 – 68  pages

https://www.connaissancedesarts.com/publications/hors-serie-le-paris-de-la-modernite-1905-1925-connaissance-des-arts/

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