Les scientifiques cherchent à lever le voile sur ces quelques minutes où le monde extérieur s'efface et nos pensées s'effilochent. Cette phase du sommeil pourrait être le moment le plus propice à la créativité, en fournissant des microrêves inspirants.

Le vrombissement d'une moto en lisière de forêt, le vacarme des travaux en ville, le moteur d'un bateau sur un lac… Les sons de l'activité humaine ont des conséquences concrètes sur la santé des animaux et des plantes qui nous entourent.

Un projet de recherche vise à développer un outil dopé à l'intelligence artificielle afin de mieux quantifier le niveau de stress pour faire le lien avec le niveau de glycémie chez les personnes diabétiques.

Si les conséquences de l'intelligence artificielle dans nos vies et notre travail ne sont pas encore tout à fait mesurables, l'impact anthropologique, lui, est déjà clair. Pour « Les Echos de l'IA », Joséphine Boone reçoit Mathieu Corteel, philosophe et historien des sciences, chercheur à Sciences Po et Harvard.

Les ARN, essentiels au fonctionnement cellulaire, suscitent un intérêt croissant. Des découvertes récentes révèlent leur rôle dans des maladies neurodéveloppementales graves. Ces avancées soulignent l'importance d'explorer l'ADN non codant, ouvrant la voie à de nouvelles perspectives en génétique et en médecine.

Les modèles actuels de GenAI répondent sans se soucier du détail. C'est à l'humain, par son exigence, sa vision et son style, d'optimiser les derniers 20 % du travail.

Une étude à grande échelle vient d'apporter la preuve que la maîtrise de plusieurs langues ralentit fortement le vieillissement cérébral.