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Des expositions - Page 25

  • Catégories : A voir, Des expositions, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Cheveux chéris

    frivolités et trophées

     
    Affiche de l'exposition © musée du quai Branly

    du mardi 18 septembre 2012 au dimanche 14 juillet 2013

    • mezzanine Ouest
    • billet Collections

    commissariat 

    • Yves Le Fur, Directeur du département du Patrimoine et des collections du musée du quai Branly

    autour de l'exposition

    visites, catalogue et événements autour de l'exposition

    l'exposition

    Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux. 

    Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.

    Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.

    La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.

  • Nous avons aimé vendredi matin:Les impressionnistes slovènes et leur temps

    Les impressionnistes slovènes et leur tempsDATE : Du Jeudi 18 avril 2013 au samedi 13 juillet 2013

    LIEU : Le Petit Palais (Paris 75008)

     

     

    HORAIRE : Du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h. Fermé le lundi et les jours fériés.

    TARIF : de 4 à 8 euros

    L'école slovène
    Les impressionnistes slovènes et leur temps offre au public français de découvrir quatre peintres à la charnière des XIXe et XXe siècles originaires de ce pays, alors province de l'empire austro-hongrois. Formés ensemble à Munich, Ivan Grohar, Matija Jama, Matej Sternen et Rihard Jakopi? aimaient peindre en plein air et furent pour cela qualifiés d'impressionnistes. En réalité, leur peinture a plus à voir avec le post-impressionnisme. À découvrir également, les sculptures prenantes de leurs contemporains, Franc Berneker, Lojze Dolinar ou Ivan Zajec, la reconstruction de Ljubljana après le tremblement de terre de 1895, une belle collection d'illustrations Art nouveau et des photos et caricatures de l'époque.

    État de l’ex-Yougoslavie devenu indépendant en 1991, la Slovénie est encore une province de l’empire austro-hongrois (la Carniole) quand elle commence à s’ouvrir à la modernité à la fin des années 1880. Cette période est aussi celle de l’affirmation d’un fort sentiment d’identité nationale auquel les artistes (peintres, sculpteurs, écrivains, architectes) vont tenter de donner forme.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Une passion française. La collection Marlene et Spencer Hays

    Un couple d'amateurs d'art américains, amoureux de la culture française, a réuni pendant plusieurs décennies un ensemble exceptionnel d'oeuvres du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

    Les liens d'amitié tissés entre les propriétaires et le président des musées d'Orsay et de l'Orangerie permettent aujourd'hui la présentation de cette collection.
    Parmi celle-ci se trouve le septième panneau des Jardins publics d'Edouard Vuillard, dont le musée d'Orsay conserve déjà cinq des neufs panneaux, mais aussi des oeuvres de Bonnard, de Ranson, de Roussel, ainsi que plusieurs peintures envoûtantes de Vuillard ou encore des panneaux décoratifs de Maurice Denis ainsi que deux chefs-d'oeuvre symbolistes de Redon.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Par Annick Colonna-Césari (L'Express), publié le29/03/2013 à 16:46

     

    ROMANTISME NOIR AU MUSEE D'ORSAY - Une étonnante exposition. Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons.

    © Musée d'Orsay, dist. RMN / Patrice Schmidt

    Les sorciers de Harry Potter et les vampires de Twilight n'ont qu'à bien se tenir. Le musée d'Orsay vient de convoquer entre ses murs tous les monstres, les démons et les spectres de la terre, exposés sous l'intitulé L'Ange du bizarre. Depuis la fin du 18ème siècle, le goût du fantastique et du macabre irrigue en effet les arts européens. Réaction aux Lumières et fruit du vent de liberté qui se met alors à souffler, ce mouvement a bousculé les conventions sociales, morales et esthétiques. 

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le musée d'Orsay propose, jusqu'au 9 juin, une étonnante exposition autour du "romantisme noir". Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons. Vous êtes déjà mordus? Suivez le guide. 

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  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite de jeudi :L'ange du bizarre

    Le Romantisme noir, de Goya à Max Ernst

     

     
    mars 2013

    Dès la fin du XVIIIe siècle, dans toute l’Europe, les artistes multiplient les solutions plastiques pour plonger leurs spectateurs dans les vertiges du terrible et du grotesque.  Ce hors-série propose de relire les sources littéraires et
    artistiques de l’univers de la fantaisie noire qui continue d’imprégner nombre de films, jeux vidéos et créations musicales de notre temps.

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-625-L-ange-du-bizarre.html
     
    Précédente publication:
    07/03/2013 20:16
     
     
     
  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi matin:David d'Angers

     

    Dessins des musées d'Angers

     

    David d’Angers, Garnier, Percier, Cortot, Ingres à l’Institut (détail) - 140 * 87 px

    Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.

    Aile Denon, 1er étage, salles Mollien, jusqu'au 20 Mai 2013

    http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers

  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé visiter jeudi matin:De l'Allemagne

    De l'Allemagne - Catalogue de l'expositiondu 28 Mars 2013 au 24 Juin 2013

     

    Remerciements :
    Cette exposition bénéficie du soutien du CERCLE INTERNATIONAL DU LOUVRE, avec la collaboration des AMERICAN FRIENDS OF THE LOUVRE, et du concours de
    BMH AVOCATS.

    Le catalogue bénéficie du mécénat de Rudolf-August Oetker Stiftung.
    La scénographie a bénéficié du soutien de Deloitte.
    La communication de l’exposition bénéficie du soutien de l’Office National Allemand du Tourisme.

    L’œuvre d’Anselm Kiefer a bénéficié du soutien de la galerie Thaddaeus Ropac.

    Riche de plus de deux cents oeuvres, l’exposition propose une réflexion autour des grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939. Elle replace la production artistique et les artistes, de Caspar David Friedrich à Paul Klee, de Philipp Otto Runge à Otto Dix, dans le contexte intellectuel de leur création et les confronte aux écrits des grands penseurs, au premier rang desquels figure Goethe

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  • Catégories : A voir, Boudin Eugène, Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite:Eugène Boudin

    Eugène Boudin

    Figaro Hors-Série

    Eugène Boudin : L'inventeur de l'impressionnisme.

     

    Michel de Jaeghere - Directeur de la rédaction du Figaro Hors-série

    Il avait le visage hâlé d’un loup de mer, la voix douce, le parler lent, les yeux « d’un bleu de faïence ». Il ne fréquentait pas les cafés où se pressaient les figures de la bohème parisienne, entre deux verres d’absinthe, un air de french cancan. Il leur préférait les déjeuners arrosés de malaga, savourés dans l’intimité familiale.
    Ami de Courbet, de Monet, de Fantin-Latour, de Carolus-Duran, ce solitaire n’avait voulu se rattacher à aucune école qui fut « consacrée et sacrée ». Cinq mois avant sa mort, en 1898, arrivé à un état de

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  • Catégories : Des expositions

    Félicie de Fauveau. L'amazone de la sculpture.

     

    Le personnage de Félicie de Fauveau (1801- 1886) est aussi emblématique qu'il est unique. Nostalgique d'une époque qu'elle n'a pas vécue, royaliste, catholique, célibataire et féministe, cette sculptrice a engagé sa vie et son art pour défendre une utopie politique s'exprimant avant tout par l'image mise au service de l'Histoire.
    Ralliée à la duchesse de Berry, organisatrice des soulèvements vendéens avec la comtesse de La Rochejaquelein, elle accepta l'exil et se fixe à Florence. Elle déclina une iconographie catholique militante et exaltée, nourrie de la symbolique de l'héraldique, et lui donna les formes d'un néo-gothique et d'un néo-renaissant inspirés. Ses sculptures sont dispersées et peu visibles, pour la plupart hors de France. L'exposition qu'organisent l'Historial de Vendée et le musée d'Orsay sera la toute première rétrospective à lui être consacrée.

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  • Catégories : Des expositions

    La médaille en France aux XIXe et XXe siècles. Au creux de la main.

    L'art de la médaille prend au cours du XIXe siècle une place sans cesse croissante au sein de la vie artistique française. Le Salon annuel lui consacre une section autonome et à partir des années 1890, sous l'impulsion d'un conservateur, Léonce Bénédite, le musée du Luxembourg alors dédié aux artistes vivants et "ancêtre" du musée d'Orsay, débute la constitution d'une collection à part entière : c'est une partie de ce fonds de plus de deux mille médailles qui est présentée ici.

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  • Catégories : Des expositions

    Jules Dalou ou la République en personne

     
      • Par Adrien Goetz
      • Mis à jourle 02/05/2013 à 07:17
      • Publiéle 01/05/2013 à 16:42

    Le jour de l'inauguration, une haie de gardes républicains sabre au clair soulignait la glorieuse architecture du Petit Palais, blanche pâtisserie conçue pour les fêtes et les célébrations. C'était le mois dernier, en l'honneur de la visite d'État du président slovène­ - qui inaugurait l'exposition se tenant en parallèle en ces lieux, consacrée aux «impressionnistes» de son pays -, mais on aurait pu croire que ces cuirasses au soleil saluaient la gloire renaissante de Jules Dalou.

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/05/01/03015-20130501ARTFIG00099-jules-dalou-ou-la-republique-en-personne.php

  • Catégories : Des expositions

    Expos à Orsay

     
    Accrochage
     
    11 décembre 2012 - 9 juin 2013
     
     
     
     

     

     
     
     
     
     
     

     

     
    Exposition
     
    16 avril - 18 août 2013
     
     
     
     

     

  • Manet plus moderne que jamais à Venise

     
    <i>Le Grand Canal à Venise</i> (détail), 1874, Édouard Manet.

    Le Grand Canal à Venise (détail), 1874, Édouard Manet. Crédits photo : Coll. Part./ Palazzo Ducale di Venezia

    Baudelaire, Zola et Malraux croyaient le peintre sous influence espagnole. Une exposition au Palais des doges révèle plutôt une passion pour les maîtres italiens.

     
    Manet, peintre de Venise? Très peu. On ne connaît de lui que deux vues exécutées lors de son dernier séjour, en 1874. De ces deux petites huiles au scintillement de lumières et d'ombres sur un Grand Canal troublé par le passage des gondoles, et qui lui faisait dire «ce sont des culs de bouteille de champagne qui surnagent», une seule, celle de Seattle, est présente dans l'exposition ouverte depuis hier du Palais des doges. L'autre, celle du Shelburne Museum de Vermont, fait défaut. On ne les a vues réunies qu'une fois, à la Fondation Beyeler de Bâle. C'était en 2008. «On a proposé des montagnes de merveilles en échange au Shelburne, mais ce sont des têtes de mule», peste Guy Cogeval, président du Musée d'Orsay et commissaire de «Manet. Retour à Venise».

    Dès lors, pourquoi une exposition sur ce thème? Faut-il croire, à la suite de tant de grands noms ayant écrit sur lui, de Baudelaire à Malraux en passant par Zola, qu'Édouard Manet (1832-1883) a avant tout tiré sa modernité de l'Espagne? De la fierté de ce pays, de ses couleurs tranchées, de son présent âpre et où perce encore la sauvagerie. Tout ce sexe et cette mort

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  • Dossier de l'Art hors-série n° 18 CANALETTO À VENISE Septembre 2012

    Dossier de l'Art hors-série n° 18 - Septembre 2012CDI paris bouquet nov 2012 089.jpgPrécédente publication:

    21/11/2012 19:36

    Une promenade à travers Venise en quelque cinquante toiles de Canaletto : voici ce que propose le musée Maillol, qui entend également montrer le processus de création de ces merveilleuses vedute grâce à la présentation de nombreux dessins et du carnet du peintre, exceptionnellement prêté.

     

    Articles

    • Sur les pas de Canaletto
    • À l’origine d’un genre, la veduta
    • Canaletto ou l'oeil de Venise
    • Joseph Smith, collectionneur obsessionnel
    • Le chant du cygne de la Sérénissime
    • Canaletto et son temps
    • Le précieux quaderno
    • Gagnez un voyage à Venise sur les pas de Canaletto avec Intermèdes
    • Promenade dans la Venise du XVIIIe

    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 199 - Les Arts de l'Islam au Louvre
    Numéro suivant : Dossier de l'Art n° 200 - RAPHAEL LES DERNIERES ANNES

    http://www.dossier-art.com/numero-18/canaletto-a-venise.3650.php

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     

    photo  perso du musée Maillol samedi

    précédente publication:

    18/11/2012 18:02

  • Catégories : Des expositions, Le paysage, Venise

    Canaletto-Guardi:Les deux maîtres de Venise

    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

     


     

     

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/



  • Catégories : A voir, Des expositions, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Le torchon brûle entre le Louvre et Berlin

     
    <i>L'enfer des oiseaux </i>(détail)<i></i>de Max Beckmann: les médias allemands voient dans cette œuvre une allégorie de la dictature nazie.

    L'enfer des oiseaux (détail)de Max Beckmann: les médias allemands voient dans cette œuvre une allégorie de la dictature nazie. Crédits photo : ADAGP 2013, Paris © Richard L. Feigen

    L'exposition « De l'Allemagne », jugée caricaturale outre-Rhin, a déclenché une vive polémique. Ses organisateurs regrettent un malentendu.

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  • Catégories : A voir, Des expositions, L'art, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Exposition à Paris Galerie G. Sarti

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Du jeudi 11 avril 2013 au vendredi 12 juillet 2013

    Pour l'amour de Caravage.

    La galerie G. Sarti crée l’événement en organisant une exposition de qualité muséale, qui réunit vingt-deux tableaux exceptionnels d’artistes italiens ayant travaillé dans la lignée du Caravage. Du "premier cercle" avec Bartolomeo Manfredi, Giovanni Battista Caracciolo, Cavarozzi, aux différentes écoles (Giuseppe Ribera, Daniele Crespi, Guido Reni), l’accrochage offre au public le plus bel ensemble d’œuvres caravagesques jamais réuni en galerie.

    Peu d’artistes peuvent s’enorgueillir d’avoir eu la postérité du Caravage. Dès sa mort à Rome en 1610, et au cours des années qui suivent, son style bouleverse totalement le paysage artistique. Les peintres réinterprètent les principes qui ont fait la force et l’originalité du maître, le clair-obscur, les personnages empruntés à la vie réelle...Signés de grands artistes des écoles romaine, napolitaine, toscane, génoise, lombarde et bolonaise, tous les tableaux présentés dans cette exposition ont été réunis par Giovanni Sarti au cours des dix dernières années.

    http://visitparis-cultureguide.parisinfo.com/fr/exposition/peintres-caravagesques-italiens-peintres-de-la-realite-exposition-e-894670

  • Catégories : A voir, Des expositions

    Demy gaieté, Demy tristesse

    Une exposition à la Cinémathèque française invite dans « Le monde enchanté de Jacques Demy ».La magie n’opère pas tout à fait, mais attise toutefois l’envie de voir ou revoir les films de « Jacquot de Nantes ».

     
    cle
    10/4/13 - Mis à jour le 11/4/13 - 14 H 30
     
     
     
     
     
    Catherine Deneuve, photographiée sur le tournage du film Peau d’âne en 1970.

     

    Michel Lavoix © 2003 Succession Demy

    Catherine Deneuve, photographiée sur le tournage du film Peau d’âne en 1970.

    http://www.la-croix.com/Culture/Actualite/Demy-gaiete-Demy-tristesse-2013-04-11-940888

  • Catégories : Des expositions

    Fin de l'expo:La collection Michael Werner

    octobre2012-3mars2013/

    J’ai assis la Beauté sur mes genoux. (…) Et je l’ai injuriée. Rimbaud

    Gaston Chaissac Grande porte de bois peint 1953 Peinture sur bois Donation Michael Werner au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris © ADAGP, Paris 2012 photo © Lothar Schnepf, Köln
    Image prédécente
    Image prédécente
     

    L’exposition « La Collection Michael Werner » réunit près de 900 œuvres dont une partie des 127 peintures et sculptures données récemment au musée par le marchand d’art allemand.  Rassemblant une quarantaine d’artistes, cette présentation rend hommage au travail accompli par Michael Werner au cours des cinquante années de son activité de galeriste et de collectionneur.

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