Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Dossier de l'Art n° 239:MASSÉOT ABAQUESNE. L'ÉCLAT DE LA FAÏENCE À LA RENAISSANCE

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ET SI… Avec des si on mettrait Paris en bouteille. L’adage est connu : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé », dit Pascal dans ses Pensées, qui souligne par là que, sans la beauté de la reine d’Égypte – qu’elle soit inventée ou non par Shakespeare importe peu ici –, Rome serait demeurée une république. Ce mode de raisonnement, appelé « histoire contrefactuelle » ou « uchronie » dans sa version littéraire (mot inventé par Renouvier en 1857), est le sujet d’un livre passionnant écrit par deux historiens français : Pour une histoire des possibles [Seuil, 450 p., 24 €]. En France, « ces fictions plaisantes sont inutiles, la cause est entendue », ironisent Quentin Deluermoz et Pierre Singaravélou dans leur introduction, qui font néanmoins la démonstration au fil de leur enquête de la pertinence de l’approche contrefactuelle – la What if History américaine. Celle-ci ...



Peintre du quotidien américain, Edward Hopper (1882-1967) fait figure de dernier des classiques. Son œuvre est ici célébrée par de grands écrivains américains (Russell Banks, Joyce Carol Oates) et français (Pierre Furlan, Michel C. Thomas) qui nous offrent chacun une nouvelle originale, et par quelques-uns des plus grands poètes new-yorkais, de Frank O'Hara à John Ashbery. De leur côté, l'Américain Peter Schjeldahl et le Français Alain Cueff, tous deux critiques d'art, poursuivent leur réflexion sur le style « hopperesque » qui pourrait bien être, débarrassé de l'encombrant héritage européen, la première tentative réussie d'édification d'un art purement américain.
http://boutique.telerama.fr/index.php/hors-series/art/hopper.html
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Histoire de sous. « Je compte sur vous, parce que nous avons besoin de vous ! » La formule, bien connue des associations d’aide humanitaire, gagnerait-elle les musées ? On peut le penser en écoutant Claude Jeannerot, sénateur PS, président du conseil général du Doubs, lancer sur le site Internet du Musée Courbet à Ornans cet appel en faveur de l’acquisition du Chêne de Flagey de Gustave Courbet. « Le département, dans ce contexte de crise, n’a pas les moyens de mobiliser autant d’argent public, alors j’ai décidé de faire appel à vous », explique M. Jeannerot qui doit encore recueillir un million d’euros sur les quatre demandés par un collectionneur japonais avant d’accrocher au mur du musée du Doubs, mi-novembre, ce chef-d’œuvre aussi appelé Le Chêne de Vercingétorix. Un million d’euros, c’est peu et c’est beaucoup en regard des nombreux appels à souscription lancés récemment

LE MONDE DES LIVRES | 25.11.10 | 10h23 • Mis à jour le 25.11.10 | 10h23
Par Valérie Duponchelle
11/05/2010 | Mise à jour : 16:26
Les Demoiselles d'Avignon de Pablo Picasso. Crédits photo : AFP

ET SI… Avec des si on mettrait Paris en bouteille. L’adage est connu : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé », dit Pascal dans ses Pensées, qui souligne par là que, sans la beauté de la reine d’Égypte – qu’elle soit inventée ou non par Shakespeare importe peu ici –, Rome serait demeurée une république. Ce mode de raisonnement, appelé « histoire contrefactuelle » ou « uchronie » dans sa version littéraire (mot inventé par Renouvier en 1857), est le sujet d’un livre passionnant écrit par deux historiens français : Pour une histoire des possibles [Seuil, 450 p., 24 €]. En France, « ces fictions plaisantes sont inutiles, la cause est entendue », ironisent Quentin Deluermoz et Pierre Singaravélou dans leur introduction, qui font néanmoins la démonstration au fil de leur enquête de la pertinence de l’approche contrefactuelle – la What if History américaine. Celle-ci ...

Les affiches colorées de Michel Quarez (prononcer quoirèze)
Par FTV avec AFP
"Le jardin d'Eden" de Jan Brueghel dit le Jeune, rappelle "L'allégorie de la terre et des eaux" restitué en 2010

L'Oeil N°690
Mai 2016
Bon anniversaire À 90 ans, « the iconic French artist », comme le qualifiait le magazine Vogue sur son compte Twitter en avril, se maintient toujours en haut de l’affiche. Et au-delà même. L’affichiste, gentleman décolleur au verbe généreux et au chapeau vissé sur la tête, n’a rien perdu de son élégance ni de sa jeunesse. Il est certes un peu dur de la feuille – le comble pour un artiste tel que lui – mais assure que son trouble auditif n’est pas lié à son âge, celui-ci ayant été diagnostiqué il y a longtemps. « À l’école, déjà, mes professeurs disaient que je n’entendais que ce que je voulais entendre. Mais je ne les entendais pas ! », s’amuse Villeglé. S’amuse, oui, car Jacques Mahé de La Villeglé, né le 27 mars 1926 à Quimper, dans le Finistère, a conservé son esprit mutin intact. Sa mémoire et sa vivacité intellectuelle également. Il faut écouter l’inventeur du « lacéré anonyme » – ce personnage à la ...
