Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 101

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Jean-François Larrieu, président de la Fondation Taylor (©DR).
Cet homme de culture (il fit installer l'obélisque à la Concorde), souhaite aider financièrement les artistes (peintres, sculpteurs, graveurs et architectes) pour encourager la création. « La Fondation joue toujours ce rôle. Ses revenus sont constitués uniquement de dons, de legs et de la gestion des biens qui en sont issus », rappelle son président, Jean-François Larrieu. Ce peintre (représenté par Opéra Gallery à Paris) souhaite donner plus de notoriété à la Fondation Taylor. Il élabore avec Bruno Foucart, son directeur scientifique, « un universitaire incollable sur l'histoire de l'art et celle de la fondation », un riche programme d'expositions, en France et à l'étranger.

M.B. (Lefigaro.fr) avec AFP
04/02/2010 | Mise à jour : 08:44




Peut-on ou non caricaturer Mahomet ? Et fallait-il recommencer à le faire ? Qu’en est-il de la responsabilité des dessinateurs ? Comme de celle des artistes ? Peut-on tout dessiner, tout peindre, tout dire, au nom de la liberté d’expression ? Autant de questions qui se posent depuis l’affaire des caricatures danoises fin 2005, mais qui, depuis le 7 janvier, prennent une dimension nouvelle en divisant en deux camps les dessinateurs de presse : le camp Plantu, qui incarnerait la position du journaliste « responsable », usant de l’allégorie et prenant mille précautions pour représenter les religions ; et le camp Charlie Hebdo, « journal irresponsable », qui ne s’imposerait aucun interdit pour défendre ses idées au risque, parfois, de glisser dans le militantisme… Pourtant, le sujet est plus complexe que d’un côté les responsables et, de l’autre, les irresponsables, le bien et le mal. « Je refuse le manichéisme qui voudrait ...

Avril 2016
Vaciller Le marché de l’art vacille. Selon Les Échos ou Le Journal des Arts [du groupe Artclair], il « ralentit » ou il « dégringole ». Tant mieux !, tant il semble entraîné dans une hausse incontrôlée. Les prix déraisonnables atteints par l’art moderne et contemporain, le recul des enchères au sein de maisons de ventes lancées dans une course effrénée pour offrir des garanties exorbitantes aux vendeurs, le dévissage des bourses et la crise asiatique expliquent ce phénomène. Les affaires judiciaires qui secouent le milieu aussi, parmi lesquelles les affaires Bouvier, celle des cols rouges de Drouot ou celle du Cranach du prince de Liechtenstein qui, saisi en mars par la justice française, pourrait déboucher sur un important trafic mondial de faux… Le marché vacille, donc, doit-on pour autant s’en réjouir ? Pas totalement. Car il n’existe pas un seul, mais plusieurs marchés de l’art, qui coexistent parfois sans se croiser. Ce marché de ...