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Voyage - Page 50

  • J'ai aimé hier au musée Tony Garnier de Lyon

    Vive le Confort Moderne !
    Exposition du 12 octobre 2013 au 14 décembre 2014 Confort Moderne

    Au lendemain de la Grande Guerre, tout est à faire : reconstruire, aménager, renouveler l’équipement archaïque des foyers. L’amélioration du pouvoir d’achat des familles, la généralisation du crédit, le génie créatif des industriels et les réclames publicitaires jouant déjà sur tous les registres de la séduction, promettent aux néo-citadins un monde nouveau.

    Ainsi s’amorce une véritable révolution du quotidien : suces-poussière, douches à air chaud, machines lavantes ou armoires réfrigérantes allègent les corvées des ménagères. Dans cette dynamique, l’objet domestique offre ainsi la clef ouvrant les portes d’un monde meilleur où le vivre-mieux est à la portée de tous.

    Cette période des années 20-40 devient l’antichambre de la société de consommation. Les objets dessinés et manufacturés en série pour le plus grand nombre, sont déjà pensés pour être remplacés au plus vite par des nouveautés encore plus désirables...

    Cette exposition, ainsi que tous les rendez-vous culturels, éducatifs et festifs qui l’accompagnent, vous invite à un voyage inédit, pour saisir comment cette infernale stratégie du désir, fabriqua les Temps Modernes.

    HORAIRES ET TARIFS

    • De 14h à 18h du mardi au samedi
    • les dimanches 13/10/13, 10/11/13, 8/12/13, 12/01/14, 9/02/14, 9/03/14, 6/04/14, 18/05/14, 15/06/14, 21/09/14, 12/10/14, 9/11/14 et 14/12/14
    • Fermeture du 21/12/13 au 06/01/14, 27/07/14 au 19/08/14 et les jours fériés
    • Entrée : 5 € (catalogue offert)
    • Tarif réduit : 4 €
    • Gratuit pour les moins de 12 ans

    VISITES COMMENTÉES DE L’EXPOSITION

    • Individuels : tous les mercredis, vendredis et dimanches d’ouverture, à 15h (1,50 € + billet)
    • Groupes : scolaires et adultes (sur réservation)

    CONFÉRENCES

    • Tony Garnier et l’invention de l’urbanisme, par Pierre Gras,
      Mercredi 6 nov. 2013 à 18h30
    • La vie des objets, par François Portet,
      Jeudi 23 janvier 2014 à 18h30
    • Quels temps faisons-nous ? par Philippe Dujardin et André Micoud, rencontre animée par Michel Kneubühler et Jacques Bonniel,
      Mardi 25 mars 2014 à 18h30
      Salle des Mariages - Mairie du 8e - 12 avenue Jean Mermoz 69008 Lyon

    Informations et réservation au 04.78.75.16.75.

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La littérature, Les polars, Voyage

    Livres. Vient de paraître...

    CRITIQUE

    Une sélection du service Livres de Libération

     

    Romans

    Philippe Mezescaze Deux Garçons

    «C’est lui, c’est le Scipion que je veux. Demande-lui s’il accepte de travailler Caligula avec moi.» C’est ainsi que Philippe Mezescaze rencontre Hervé Guibert, âgé de 14 ans, par un désir littéraire autant que physique. Récit d’une éducation en province, où le narrateur veut être comédien parce que «c’était le moyen que j’avais trouvé de larguer ma mère et espérer devenir quelqu’un d’autre que son fils», mais aussi écho au Voyage avec deux enfants de Guibert (1982), Deux Garçons parle surtout des peaux qu’on s ...

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  • J'ai terminé hier soir:Le saut de Tibère(que ma mère m' a offert)

    Avec "Le saut de Tibère", Gilda Piersanti dit ciao à Capri

    LIVRES - Polar, thriller, roman noir... Chaque jeudi, retrouvez le coup de coeur de Marc Fernandez, cofondateur et rédacteur en chef de la revue "Alibi". Aujourd'hui "Le saut de Tibère", de Gilda Piersanti.

     
    Gilda Piersanti, la plus française des auteurs italiennes.
    Gilda Piersanti, la plus française des auteurs italiennes. Photo : BALTEL/LAMACHERE AURELIE/SIPA

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage, Voyage

    Retours de mer - MBA

    5 octobre 2013 - 31 janvier 2015

    La mer, de tous temps, est l’objet de fascination et de fantasmes. Le rêveur, le poète, le voyageur, le colonisateur, le commerçant, le navigateur,…. chacun développe un rapport intime et unique à cet infini miroir d’eau.

    Fondée sur les collections du musée accumulées au fil du temps, l’exposition Retours de mer nous conte une histoire des relations de Dunkerque et plus largement de l’Occident avec le monde. Pour la plupart données par des Dunkerquois ou des habitants de la région, capitaines au long cours, armateurs, consuls, explorateurs, négociants, collectionneurs… ces collections nous font voyager à travers les continents, de l’Océanie aux Amériques, du Maghreb au Groenland, de l’Afrique de l’Ouest au Moyen-Orient et à l’Asie du Sud-Est.
    Le musée de Dunkerque, comme celui de nombreuses autres villes portuaires, Boulogne-sur-Mer, Dieppe, Marseille, Nantes, La Rochelle…, offre ainsi un miroir de l’histoire des échanges entre les hommes, par-delà les mers et les frontières, qu’ils soient marqués par la curiosité, par des liens commerciaux, par la solidarité ou des rapports de force.

    Articulée autour de quelques œuvres emblématiques et de cartes maritimes, l’exposition met en lumière les rapports ambivalents que l’homme peut entretenir avec la mer : d’une part, l’inquiétude et l’effroi qu’elle engendre (tempêtes, naufrages, tsunamis,…), les violences qui s’y déroulent (batailles navales, traite et esclavage, boat people,…), les dominations qu’elle facilite (conquêtes, colonisation, exploitations commerciales…) ; d’autre part, l’invitation au voyage, les rêves qu’elle suscite, les rencontres et les découvertes qu’elle favorise. Retours de mer évoque également la façon dont, aujourd’hui, la mondialisation redéfinit les cartes.

     

    Dans le cadre de "Capitale régionale de la culture, Dunkerque 2013"

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  • La fronde des régions contre la SNCF fait rêver la concurrence

     
     

    13/2/14 - 00 H 00

     
     
     
     
    La région Midi-Pyrénées a suspendu ses paiements à la SNCF pour protester contre la dégradation du service des TER. Les concurrents privés de l'opérateur historique poussent à l'ouverture du marché domestique du transport des voyageurs.
    C'est au tour de la région Midi-Pyrénées de protester contre la qualité du service des TER. « L'exaspération exprimée par les passagers est à la mesure des désagréments qu'ils ont subis et acceptés lors des périodes de fermetures de lignes (…) et leur déception, à la hauteur de leurs espérances d'une amélioration significative de leurs déplacements ...
     
    WAINTROP Michel

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le Maroc:vie et travail, Voyage

    Etonnants Voyageurs dévoile son programme de Rabat et Salé(article lu sur internet ainsi:partielllement)

    Du 6 au 9 mars, le Festival Etonnants Voyageurs migre au Maroc dans le cadre de la saison France-Maroc 2014.

    Après le Montana, Dubin, Sarajevo, Haïfa, Bamako, Port-au-Prince et Brazzaville, le Festival Etonnants Voyageurs s'envole au Maroc et plus précisément dans sa capitale, Rabat, et sa voisine, Salé. 

    la manifestation se déroulera du 6 au 9 mars 2014. " Une édition d’Étonnants Voyageurs au Maroc, parce que nous sentons tous qu’en cette Méditerranée qui fut à la naissance de tant de civilisations

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Venise, Voyage

    Je viens de lire:Canaletto - Le Palais des Doges et la place Saint-Marc

    Le Musée du Monde - vol. 18

    La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. C’est à Venise, dix-huitième destination de ce voyage en peinture, que, sous les ors et les fastes ternis de la Sérénissime, entre langueur et frénésie, Giovanni Antonio Canal, a planté son chevalet et posé sa chambre noire. Son Palais des Doges reflète avec minutie son observation aigüe des rites et des usages d’un quotidien au fil de l’eau.

    Le Palais des Doges et la place Saint-Marc
    Canaletto raconte sa ville, son décor, son temps, sa lumière, ses passions et ses doutes. Tel le maître de ballet d’agiles gondoles sillonnant les canaux vénitiens, sur une lagune où  l’Europe entière fait escale, le peintre fixe l’architecture vivante de ses palais, consigne avec science, et un œil impartial, les faits et gestes de Vénitiens nostalgiques d’une splendeur qui ne sera bientôt plus qu’un souvenir. Car le XVIIIe siècle, dans la marche des Lumières, fera perdre à la cité de marchands son influence sur la Méditerranée, l’Orient et la destinée de l’Occident.  Pourtant, les paysages urbains (vedute) pointilleux et descriptifs deviennent un genre pictural qui conquiert les esthètes de France et d’Angleterre. Ces vues réalistes renouvellent une tradition héritée du siècle précédent. Francesco Guardi, Bernardo Bellotto lui emboiteront le pas, inaugurant avec Marco Ricci ces caprices de peintres qui mêlent aux vestiges antiques d’un passé mythifié, les fantaisies contemporaines d’artistes inventifs et raffinés. Mais la leçon de peinture que dispense Canaletto à une postérité rivale sera et restera  cette inaltérable force vive qui dans la magie de l’eau et de la lumière saisit le temps des hommes, en créant pour toujours, d’un regard introspectif, cette proximité humaine, sensible et rêveuse qui traverse les siècles comme un souvenir à partager.

     

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose, Voyage

    Le Qatar lève le voile sur ses trésors

     

    EN IMAGES - Après l'économie, la diplomatie, le sport et la communication, le Qatar joue une carte inattendue, celle du tourisme. Une destination testée en avant-première.

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Voyage

    Buvard

    Ernst Jünger, un anarchiste conservateur droit dans ses bottes

    Par , publié le 19/01/2014 à  14:02

    On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/ernst-junger-un-anarchiste-conservateur-droit-dans-ses-bottes_1314719.html#WyPrUJuM3V1wSyQq.99

    Ernst Jünger, un anarchiste conservateur droit dans ses bottes

    Par , publié le 19/01/2014 à  14:02

    On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/ernst-junger-un-anarchiste-conservateur-droit-dans-ses-bottes_1314719.html#WyPrUJuM3V1wSyQq.99

    Ernst Jünger, un anarchiste conservateur droit dans ses bottes

    Par , publié le 19/01/2014 à  14:02

    On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/ernst-junger-un-anarchiste-conservateur-droit-dans-ses-bottes_1314719.html#WyPrUJuM3V1wSyQq.99

    Deux personnes, elle est écrivain, lui chargé de l’interviewer, ont survécu à leur
    enfance se rencontrent,se racontent, l’ un à l’écoute de l’autre.
    Le dialogue,d’abord prévu pour une durée de quelques heures, va durer sept
    semaines et explorer les souvenirs de chacun notamment leur enfance terriblement
    violente qui les rapproche aujourd’hui. Caissière dans un café d’une station
    balnéaire, elle raconte comment elle va devenir un écrivain célèbre et reconnu.
    Le besoin d’écrire de Caroline est si fort qu’il provoque son divorce : « divorcer
    c’est comment rentrer de la guerre, recommencer à manger chaud,
    pouvoir écrire dans un endroit confortable. »
    Une histoire sur la naissance de l’écriture qui laisse longtemps des traces
    une fois le livre refermé

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Voyage

    Rendez-vous à Prague

    Rendez-vous à Prague

    Au XIVème siècle, Charles IV voulut faire de sa ville la nouvelle Jérusalem. Il la parsema d’églises et bâtit un pont célèbre sur la Moldau, d’où l’on contemple aujourd’hui la Prague gothique mais aussi les coupoles baroques, d’où l’on devine les palais Art Déco et les façades Art nouveau.

     http://boutique.lefigaro.fr/produit/122622-rendez-vous-a-prague

    Magnifiquement illustré, Le  Figaro Voyageur vous emporte dans une promenade étourdissante au cœur de la ville qui adopta Mozart, inspira Kafka et accueillit la renommée de Mucha. Des rois de Bohème à Rodolphe II de Habsbourg, de Jean Hus à Vaclav Havel, retrouvez les figures de l’histoire mouvementée de la Bohème, contemplez les richesses insoupçonnées de ses collections d’art et la symphonie architecturale qui fait de Prague la reine de l’éclectisme.

     

     

  • J'ai terminé hier soir:De Dakar à Paris

    De Dakar à Paris - © Scott Michael / Millenuim / Plaimpicture

    De Dakar à Paris

    Pierre Cherruau

    Non-Fiction / Documents

    Quitter Dakar, au rythme des foulées, aller jusqu’à Paris, se déplacer au gré des rencontres : tel était le pari de Pierre Cherruau. Ce reporter-écrivain a choisi de longer l’Atlantique à pied, d’emprunter des chemins de traverse pour raconter le continent africain. Nulle prouesse physique ou sportive, il a pris le pouls de l’Afrique, donné la parole aux habitants, écouté leurs colères, leurs enthousiasmes et leurs passions pour la terre rouge, couleur de latérite, qui les a vus naître.

    Ce voyage est aussi personnel à plus d’un titre. La course est l’occasion de renouer en esprit avec un père parti trop tôt, cet autre Pierre Cherruau, lui aussi journaliste et écrivain, disparu avant d’avoir eu le temps d’écrire tous les livres rêvés. Un père qui en initiant son fils à la course, sur les rives de la Garonne lui a donné le goût de la liberté. Et puis, ses liens avec l’Afrique sont familiaux : sa femme est Sénégalaise et ses enfants, des héritiers de la culture nomade des peuls.

    Ce récit, intime et sensible, est aussi un moment d’égarement volontaire, un « temps volé », où le professionnel de l’information cesse enfin d’être pressé et connecté, où il échappe à la frénésie de l’actualité. Il renoue avec ce qui fait l’essence de ce métier : les hommes et les imprévus

    http://calmann-levy.fr/livres/de-dakar-a-paris/

  • J'ai arrêté:« Ayeltgnu, le défi d’une vie debout » de Frank Bruno, une aventure en solitaire de plusieurs semaines

    Le deuxième livre de Frank Bruno disponible dés le jeudi 18 octobre 2012 dans toutes les librairies francophones : « Ayeltgnu, le défi d’une vie debout« .

    « Ayeltgnu ! » signifie « Tu as de la chance ! » en Tinglit, langue parlée en Alaska.C’est le leitmotiv de Frank Bruno lorsqu’il descend à la pagaie le fleuve Yukon malgré (ou parce que) il est amputé d’un membre inférieur depuis ses dix-huit ans.

    Une aventure en solitaire de plusieurs semaines comme un voyage initiatique au plus profond de lui-même, au cour d’une nature a priori hostile, qui se révélera comme une douce compagne. Un livre d’espoir, magnifique de grandeur d’esprit et d’humilité.

    Un livre de combat aussi. Depuis cette funeste soirée sur le porte-avions Foch où, jeune homme de 18 ans, Frank Bruno a perdu l’une de ses jambes, il n’a de cesse de relever le défi de la vie. Rien d’impossible au cabochard ! Sauveteur en mer, sportif de l’exploit et aventurier, rien dans sa vie n’est banal.

    Frank Bruno a reçu le « Prix Peter Bird » en 2009, remis chaque année par la Guilde européenne du raid et qui récompense un aventurier pour sa détermination et son abnégation. Il a effectué, en duo, la première traversée à la rame de l’Atlantique par des handicapés, rejoint le pôle Nord, la traversée du Groenland d’Ouest en Est avec Nicolas Dubreuil, fait l’ascension du plus haut volcan du monde (+ 6000 m). Il est aussi président de l’association « Bout de vie » qui accompagne des blessés par la vie.

    Aujourd’hui, il raconte son odyssée solitaire sur le fleuve Yukon, des milliers de kilomètres en kayak de Whitehorse à Grayling… un prétexte à se retrouver, à se regarder en face et à renouer avec l’harmonie fondamentale qui lie l’homme à la Nature. Un ouvrage sensible, grand public, écrit pour ceux qui doivent chaque jour conjurer le mauvais sort… les blessés de la vie certes mais aussi, certainement, le commun des mortels…

    Extrait de l’avant-propos

    «Je ne peux suivre un chemin tout tracé, je n’en ai pas envie et je sais que c’est dans l’adversité que l’on grandit. Quand deux routes se présentent à moi, je prends toujours la plus difficile. Un jour, une petite fille m’a dit qu’elle savait pourquoi j’étais amputé ! Du haut de ses dix ans, elle affirmait que si j’avais cette différence, c’est parce que j’étais plus fort que les autres ! Je ne sais pas si c’est juste, mais ce qui est sûr c’est que, chaque fois que j’ai reçu de la souffrance, je ne l’ai pas prise comme une punition mais au contraire comme une pierre blanche posée sur un chemin parfois obscur.»

    Editions : Au coin de la rue.
    Collection : Au coin du monde

    http://www.unmondedaventures.fr/livre-ayeltgnu-le-defi-dune-vie-debout-de-frank-bruno-une-aventure-en-solitaire-de-plusieurs-semaines/

  • Catégories : CE QUE J'AI ECRIT ET PUBLIE, Oser Venise, Voyage

    Merci à Elisabeth Leroy

    qui a fait un gentil article à propos d'"Oser Venise" sur son blog:

    http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/archive/2014/01/02/venise-a-decouvrir-autrement-5260703.html

    voyages,venise,culture,écriture,auteurs,livre,tourisme,société,littérature

     

    http://www.thebookedition.com/oser-venise-laura-vanel-coy...

    Allez découvrir ce blog et les 2 autres d'Elisabeth

    Enfin et surtout achetez ses livres en suivant les liens sur son blog.

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, Voyage

    J'ai lu hier:Gauguin - Sur la plage

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le quinzième volume nous entraîne dans le sillage de ce voyageur au regard simple et incisif. Un artiste loin des préjugés de son temps, qui réconcilie l’être et la nature.

    Sur la plage
    Une enfance péruvienne, une guerre de 1870 passée à bourlinguer pour la marine marchande ont nourri chez Paul Gauguin un goût de l’ailleurs. L’abandon de soi et des siens fut le prix de sa liberté dans un territoire immense et inconnu. Laissant derrière lui une brève carrière de courtier en Bourse et le possible confort d’une vie bourgeoise, il choisit l’aventure. Celle de la peinture, de l’impressionnisme aux nabis, du groupe de Pont-Aven à l’ambitieux projet de Van Gogh et de son grand atelier du Midi… Celle d’une recherche plastique, où l’imbrication harmonieuse et épaisse des formes unit figure et paysage. Dans l’élan de la découverte, sa quête le met à distance de son époque et de la course effrénée d’un progrès corrosif, voire illusoire. En visionnaire de l’essentiel, Gauguin capte le rythme de gens simples, leur immédiateté, leurs attitudes ordinaires, leur grâce discrète. Du même oeil, il immortalise Bretonnes et Polynésiennes, s’en faisant l’humble chroniqueur et l’éloquent avocat. Avec passion, et une douceur empreinte de mysticisme, il tente de réconcilier l’être et la nature. Les îles lointaines furent sa terre promise. Là, Sur la plage [Femmes de Tahiti], où le temps se traîne sans exotisme, où une mer d’huile épouse une indolence maorie dans des aplats colorés et massifs, ses Tahitiennes deviennent des déesses terriennes et maternelles. Pourtant leur silence parle à chacun et Gauguin y clame sa foi de peintre et d’homme. Semblant lancer une gifle à une modernité convenue, il revient aux sources, à l’originel : à l’autre. Comme Van Gogh ou Cézanne, il emprunte cette voie où l’épure, la sensation simple et vraie, la justesse appartiennent soudain à une vision philosophique du monde.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/musee-du-monde-15-gauguin.html

  • Somnanbule dans Istanbul

    Eric Faye - Somnanbule dans Istanbul.

    Après Mes Trains de nuit puis Nous aurons toujours Paris, voici le troisième et dernier volet d'une trilogie de " livres libres " qui marquent les étapes d'un parcours de rencontres avec des lieux et des personnes. Avec Somnambule dans Istanbul, Eric Faye s'interroge plus particulièrement, à la lumière de ses voyages, sur ce qui définit une identité. Des lieux ? Une langue ? Ou plutôt une époque, avec ses ciels de traîne et ses tonalités bien à elle ? Cette enquête sur une identité nous emmène sous des latitudes boréales, du Groenland à la Sibérie, mais aussi au Japon ou en Europe centrale et sur les lieux d'Hitchcock en Californie, quand ce n'est pas dans les rues d'Istanbul, à la poursuite somnambulique d'un " sultan rouge " déchu, celui-là même qui avait permis l'ouverture du mur de Berlin, dont il est aussi question ici.
    De l'Allemagne à Nagasaki, de Hiroshima à Okinawa, le passé hypnotise celui qui passe, comme si l'identité, au fond, n'était rien d'autre qu'un peu de temps porté sur les épaules.
     
  • Voyages (dans le sud de l'Amérique du Nord)

    William Bartram
    collection Biophilia n°5 | Corti, février 13
    édition naturaliste établie par Fabienne Raphoz | Illustrations en couleur

     

    William Bartram (1739-1823) fut et reste l’un des premiers et l’un des plus grands naturalistes américains. Sa renommée, toujours immense aux États-Unis, il la doit à ses Voyages (1775-1778) qui demeurent l’un des livres les plus étonnants du 18 ème siècle (il fut traduit en France au moment de la Révolution).

    William Bartram, sans le savoir, est un précurseur, car ses Voyages constituent un témoignage de première main sur des régions encore inexplorées du Nouveau-Monde (les deux Caroline, la Georgie et la Floride du Nord). Son apport sera décisif pour certaines disciplines (géographie, histoire naturelle, anthropologie, ornithologie, botanique). Ses descriptions précises, subtiles de la nature, des paysages, des Indiens, de la flore, des animaux, du vivant en général, anticiperont une nouvelle façon de voir et de parler du monde. S’il est surtout connu en Europe pour avoir inspiré Chateaubriand et les romantiques anglais (Wordsworth et Coleridge, notamment), son œuvre aura une influence non négligeable sur les écrivains américains de la nature, Emerson, Thoreau, etc.

    William Bartram est aussi un visionnaire, car bien avant que les idées de Darwin aient conquis les esprits, il a l’intuition que l’observation du monde permet de l’appréhender et de donner à chaque chose sa place dans le cycle de la vie, d’où son respect des Indiens, sa condamnation de l’esclavage, son amour de la nature et sa défense des animaux.

    Pour toutes ces raisons, la collection Biophilia accueille la première édition naturaliste des Voyages de Bartram dans la traduction d’époque remaniée. Elle comprend en outre un cahier en couleur de ses dessins et des photos prises sur le terrain de quelques paysages typiquement bartramiens d’aujourd’hui.

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse, Voyage

    J'ai terminé cet après-midi: le Premier numéro du Le Journal des Expositions 06|12|13

    L’art et la manière

    Le Journal des Expositions est en kiosques ce samedi 7 décembre. Consacré aux plus belles expositions en France et à l’international, il est dirigé par René-Marc Chaffardon, fondateur de Beaux-Arts Magazine et de Muséart.

     

    le journal des expositions en kiosques

     

    À mi-chemin entre magazine et beau livre d’art, sa maquette privilégie les visuels et l’épure. Sur 172 pages, expos et musées sont à l’honneur à travers une sélection à la fois éclectique et curieuse qui fait la part belle aux capitales européennes mais aussi à la province française. Rendez-vous immanquables, lieux oubliés, carnets de voyage, chroniques portant sur un courant ou un artiste, temps forts et grands noms, entretien avec une personnalité, sélection de beau livres sont au programme. Chaque numéro comportera également un flash back sur un évènement marquant et pour ce premier opus, c’est l’exposition Toutankhamon de 1967 à Paris qui tient la vedette de cette séquence souvenir.

     

    La régie du titre a été confiée aux Inrocks.

     

     Calendrier de parutions - remise des éléments techniques 10 jours avant parution : 20 février, 17 avril, 19 juin, 11 septembre, 20 novembre.

     

    - Périodicité : bimestrielle

    - Format : 220 x 285, dos carré collé

    - Tirage : 45 000 exemplaires

    - Tarif brut PQ – publicité commerciale : 8 000 euros

    - Tarif brut PQ -  publicité culture : 7 000 euros

     

    Contact publicité : Benjamin Cachot – 01 42 44 18 12 – (Activez le JavaScript, pour voir l'adresse Email) benjamin.cachot@inrocks.com

     

    http://www.lesblogsmedias.fr/2013/12/06/111404-premier-numero-pour-le-journal-des-expositions/

  • Fugue vénitienne

    Fugue vénitienne

    Trompée par son mari, tyrannisée par ses enfants en pleine crise d'adolescence, Clarisse craque ! Finies l'épouse idéale et la mère parfaite, Clarisse part à la reconquête de sa vie. Malgré les conseils de son entourage, elle est bien décidée à ne plus fermer les yeux. De rencontres fortuites en voyages impromptus, retrouver sa liberté ne se fait pas sans heurts ni désillusions. C'est alors qu'en solitaire, elle se décide pour une escapade vénitienne... Et si la magie de la ville des amoureux pouvait tout changer ?

    http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/marie-claude-gay-fugue-venitienne-1872651.php

  • J'ai lu cette nuit d'insomnie:La beauté du monde, Ennedi

    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    L'histoire...
    Construit sous la forme d’un journal, Ennedi, la beauté du monde raconte douze jours de périple à travers cette région désertique du nord est du Tchad, mettant en exergue ses paysages - parmi les plus beaux de l’Afrique Saharienne - et la diversité de ses populations. Ce carnet de voyage dessiné nous emmène de Fada aux lacs Ounianga Kébir et Ounianga Sérir en passant par la Guelta d’Arché, dévoilant au passage les splendides peintures rupestres de cette région.

    La nature et les hommes sont décrits avec la sobriété qui convient lorsque l’on est plongé dans un monde désertique caractérisé par ses intemporalité, virginité et immuabilité…

    Les auteurs croisent leur ressenti avec ceux des premiers aventuriers qui ont parcouru et décrit ces espaces : les géographes allemands du 19e siècle (Heinrich Barth, Gustav Nathingal…) mais aussi les méharistes français du début du 20e siècle.

    Un carnet qui constitue une invitation au voyage et présente pour cela, en fin d’ouvrage, quelques informations pratiques.
     
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