Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Mes parents ont offert à mon mari:Un siècle au coeur de la vie des français
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Quitter Dakar, au rythme des foulées, aller jusqu’à Paris, se déplacer au gré des rencontres : tel était le pari de Pierre Cherruau. Ce reporter-écrivain a choisi de longer l’Atlantique à pied, d’emprunter des chemins de traverse pour raconter le continent africain. Nulle prouesse physique ou sportive, il a pris le pouls de l’Afrique, donné la parole aux habitants, écouté leurs colères, leurs enthousiasmes et leurs passions pour la terre rouge, couleur de latérite, qui les a vus naître.
Ce voyage est aussi personnel à plus d’un titre. La course est l’occasion de renouer en esprit avec un père parti trop tôt, cet autre Pierre Cherruau, lui aussi journaliste et écrivain, disparu avant d’avoir eu le temps d’écrire tous les livres rêvés. Un père qui en initiant son fils à la course, sur les rives de la Garonne lui a donné le goût de la liberté. Et puis, ses liens avec l’Afrique sont familiaux : sa femme est Sénégalaise et ses enfants, des héritiers de la culture nomade des peuls.
Ce récit, intime et sensible, est aussi un moment d’égarement volontaire, un « temps volé », où le professionnel de l’information cesse enfin d’être pressé et connecté, où il échappe à la frénésie de l’actualité. Il renoue avec ce qui fait l’essence de ce métier : les hommes et les imprévus
Biétry-Rivierre, Eric
16/01/2014 | Mise à jour : 19:26
Édition abonnésEXCLUSIF - Pendant plus de vingt ans, l'écrivain-diplomate a tenu un journal qu'il publie aujourd'hui. Au-delà de ses passions et engagements, on y retrouve beaucoup de monde, de Sarkozy à Villepin, en passant par Jean-Paul II et Johnny Hallyday. En voici trois extraits.
http://www.lefigaro.fr/livres/
Et si la folie était ce qu'on pouvait leur souhaiter de mieux ? Une nouvelle enquête de Jack Caffery.
Les patients de l'établissement psychiatrique de haute sécurité Beechway sont très sensibles à la suggestion. Une hallucination peut se répandre tel un virus. Aussi, lorsque plusieurs malades se livrent à des actes d'automutilation, et que l'un d'entre eux va jusqu'à se donner la mort, le fantôme de « la Maude », une infirmière sadique qui terrorisait les pensionnaires à l'époque où Beechway était un hospice, ressurgit.
Afin de mettre un terme à l'hystérie collective qui gagne même son équipe, AJ, infirmier psychiatrique fraîchement nommé coordinateur, décide de faire appel aux services du commissaire Jack Caffery. Il soupçonne l'un de ses patients, Isaac Handel, d'être à l'origine de la psychose. Si son intuition est juste, il faut agir rapidement. Car Handel vient d'être libéré. Et qui sait ce dont il est capable ?
Dans ce thriller dérangeant et rythmé construit à la manière d'un huis clos, Mo Hayder brosse une série de tableaux, plus inquiétants les uns que les autres, qui semblent donner vie à nos pires cauchemars.
http://www.pressesdelacite.com/site/fetiches_&100&9782258092389.html
La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Seizième escale dans le foisonnement de la création picturale, la rencontre du maître lorrain Georges de La Tour (1593 – 1652), de son époque et ses mouvements, révèle l’une des nombreuses manières dont l’art du Caravage a puissamment influencé l’Europe entière. Se nourrissant ici de sa force expressive, là de ses atmosphères ténébristes, La Tour invente une lumière vivifiante et théâtrale pour surprendre et immortaliser une délicate intimité, souvent méditative.
Le Tricheur à l’as de carreau
Entre chien et loup ou en plein jour, donnant aux thèmes sacrés le naturel de scènes quotidiennes, le peintre originaire de Vic-sur-Seille - au fil des quelque 40 tableaux qui nous sont parvenus - épure les formes, suit l’éclat caressant d’une bougie sur un visage, cadre au plus près ses figures pour en sonder la douceur, la fraicheur et la densité. Ses scènes religieuses campent des héros bibliques dans leur réalité intérieure. Débarrassés du mythe ils se chargent d’émotion et livrent du divin une vision humaniste. Le Nouveau-né, Le Songe de saint Joseph et Le Reniement de saint Pierre, actuellement présentés à Nantes, (Passage Sainte-Croix, jusqu’au 8 février) possèdent ce langage universel qui dit la maternité, le mystère, le doute... que La Tour saura aussi transposer dans des scènes de genre au ton picaresque. Ainsi, son Tricheur à l’as de carreau - thème repris du Caravage - illustre la naïveté victime de la fourberie. Tel un Cervantès ou un Molière, l’artiste teinte son œuvre d'une morale allusive. Regards, postures, jeux de couleurs et de matières se soumettent à une savante et rigoureuse composition dans l’unique but de bâtir son discours symbolique. Alors, dans la chaleur de ses clairs obscurs, dans l’abstraction d’intérieurs suggérés, dans l’humilité d’un quotidien banal, celui qui fut le peintre « ordinaire » de Louis XIII transmet, sans mot dire, aux yeux d’aujourd’hui, la vérité humaine et son essence comme un espoir, une force, un élan toujours vif.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11499/?nouveaute=1
VERNISSAGE |
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Le 17-01-2014 | |
VENDREDI 17 JANVIER 2014 de 18 H À 20 H //
“THE NEW YORK MOMENT” Pour la première fois, le Musée d’art moderne de Saint-Étienne Métropole et l’Opéra-Théâtre de Saint-Étienne célèbrent ensemble le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle. En 2014, les deux institutions se mettent à l’heure américaine, avec des concerts, des expositions et de nombreux événements consacrés à la création new-yorkaise, des années 1960 à aujourd’hui. Ce festival pluridisciplinaire vous invite à la découverte d’œuvres historiques, avec des figures marquantes des années 1970 et 1980, tels Philip Glass, Joel Shapiro, Peter Halley mais aussi la nouvelle génération de créateurs. The New-York Moment vous donne l’occasion rare de rencontrer la création new-yorkaise dans toute sa diversité au travers de concerts, opéras, expositions, spectacles, conférences !
LES EXPOSITIONS : JOEL SHAPIRO // Jusqu'au 18 mai PETER HALLEY // Jusqu'au 18 mai JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK // Jusqu'au 4 mai En lien avec le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle, l’exposition de la collection d’art américain du Musée met en perspective la création new-yorkaise depuis les années 1960, avec les œuvres d’artistes fondateurs comme Donald Judd, Sol LeWitt, Robert Morris, Ellsworth Kelly et Frank Stella, entre autres…
MICHA LAURY // Jusqu'au 21 avril 2014 |
Avec cet ouvrage qui, sur deux siècles, suit trois histoires parallèles, Colum McCann revient à ses origines irlandaises et tisse un lien magnifique entre plusieurs générations.
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Micha LAURY, "Fuck the art (Study for a Plaster cast"), 1967. Aquarelle, encore et crayon sur papier. 30 x 40 cm. Courtesy de l'artiste. © ADAGP, Paris 2014. |
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Sol LEWITT, "Serial project n°1, A 4", 1966. Tube de section carré en aluminium laqué. 70,5 x 203 x 203 cm. © ADAGP, Paris 2014. |
THE NEW YORK MOMENT
VERNISSAGE
Vendredi 17 janvier 2014 de 18 h à 20 h.
Cette exposition présente un panorama éclectique de la scène contemporaine new-yorkaise au travers de l’œuvre de dix jeunes artistes. Ce regard sur l’actualité de la création nous montre la prédilection des artistes pour le dessin et la peinture. En effet, certains médiums comme la vidéo ou la photographie - omniprésents il y a quelques années - semblent aujourd’hui délaissés par les jeunes créateurs. Chez Bea Camacho, la photographie retrace une performance.
Les artistes exposés puisent dans l’histoire de l’art (notamment dans l’art minimal) et dans la culture populaire de façon indistincte pour utiliser ces références comme de la matière iconographique ou picturale. Ils font aussi bien référence à des artistes fondateurs de l’art minimal comme Frank Stella ou à l’expressionnisme abstrait de Jackson Pollock, qu’aux cartoons et autres comic books de leur enfance.
Carl Andre écrivait : "L’art est ce que nous faisons. La culture est ce qui nous est fait." (1)
L’exposition Jeunes créateurs à New York nous offre une perspective dans laquelle l’art et la culture engagent un dialogue nourri, sans s’embarrasser des hiérarchies traditionnelles.
(Photo Olivia Fremineau)
Toute la presse magazine, qu'elle soit people, féminine ou news, a emboîté le pas de Closer depuis la révélation de la liaison entre le président et l'actrice.
Le scoop de Closer va profiter à l'ensemble de la presse magazine, qu'elle soit people, news ou féminine.
Il n'y a pas que l'électricité et le gaz qui enregistrent un repli de la consommation: le fuel domestique aussi est impacté, pour une part non négligeable, par les températures clémentes. Crédits photo : 56232639/absolutimages - Fotolia
Les énergéticiens souffrent d'une météo clémente.
La mairie de Londres lie directement ce regain d'intérêt à un «effet Jeux olympiques». Crédits photo : samott - Fotolia
En 2013, Londres a franchi la barre des 16 millions de touristes étrangers, devenant ainsi la ville la plus visitée au monde.
En cet après-midi de janvier, une averse passe dans la rue de Richelieu où se trouve le petit bureau de l'éditeur Pierre-Guillaume de Roux. Dans un immeuble où vécut jadis Diderot, se tient un homme rondouillet, un appareil de photo à la main. Il pourrait être un badaud de passage. Il a fait la route depuis Toulouse pour cet entretien, avant de repartir incognito dans les profondeurs du Sud-Ouest, vers une adresse inconnue.
Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan lors de son arrivée au Parlement, le 14 janvier à Ankara. Crédits photo : ADEM ALTAN/AFP
Le bras de fer entre le premier ministre et le chef de l'influente confrérie Gülen accentue l'instrumentalisation des juges.
LE | 14.12.2012 à 13h06 • Mis à jour le 14.12.2012 à 13h08 | Par Josyane Savigneau
Une pétition a été lancée pour élargir leurs horaires d'ouverture, qui seraient particulièrement restreints et dignes d'«un pays en voie de développement».
Le Musée Gustave-Moreau est un lieu poétique d'art néoclassique total. Crédits photo : (c) RMN / Stéphane Maréchalle
L'hôtel parisien que le peintre avait transformé en musée était en chantier depuis six mois. Il vient de rouvrir.
Garouste, c'est un capital humain de sympathie que les années concentrent comme un élixir au vert profond, entre précipité vital et poison existentiel. Grand, légèrement voûté comme un peintre de chevalet, ce bel homme tourmenté a son cercle de fidèles inaltérable, de Bernard Blistène, nouveau directeur du Centre Pompidou, à Lorand Hegyi, délicieux directeur du Musée de Saint-Étienne. Fils meurtri de la Collaboration, Garouste pratique la contrition sur la toile et à la tribune. Il se représente comme une moquerie ou une gargouille dans ses grands tableaux métaphysiques où la vie est un rébus, la raison un paramètre perdu dans un labyrinthe, la foi une étoile pâle dans le bleu de la nuit. Son lyrisme le transforme en capitaine Achab qui défie l'échelle du monde de ses Contes ineffables. Ce prédicateur humble et obstiné est contagieux.