Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aimé la semaine dernière:Marie-Paule Chabrolle à l'Artclub Gallery de Lyon
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http://www.theatrelesateliers-lyon.com/index.php?page=12&spectacle=9
écrit par Bernard Kudlak
L'atelier du peintre, le champ du grand-oncle et le minibus de la fanfare (extrait n°2 du 16 mars 2007) par Bernard Kudlak
Source:Wikipédia
Photos perso
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Un monument en forme d'écran géant courbe a été érigé à leur mémoire place Monplaisir à Lyon en face de la Villa Lumière, ancienne résidence d'Antoine Lumière, leur père, qui abrite aujourd'hui l'Institut Lumière. La partie concave, peinte en blanc uni, permet la projection de films en plein air.
source: wikipédia: photo perso
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A partir du jeudi 20 octobre sur France 5 à 20h35 François Busnel nous propose chaque mois une collection inédite : Les carnets de route de François Busnel. Le premier numéro est intitulé Un air de New York.
François Busnel vous propose de découvrir une autre Amérique à travers le regard de ses écrivains, avec des rencontres, des surprises et des interrogations. Un voyage en littérature qui débute le 20 octobre à 20h35 avec, entre autres, Paul Auster, Toni Morrison et Jonathan Franzen, dans Un air de New York.
La force de cette comédie baroque du XVIIe siècle espagnole tient dans une idée maîtresse : la vie est un songe, toute réalité n'est qu'illusion trompeuse. Les protagonistes de l'histoire vont en faire l'expérience. Basile, roi de Pologne, a fait enfermer son fils Sigismond. Les astres avaient prédit la mort de sa mère au moment où elle donnerait naissance à leur enfant Sigismond. Et les astres ne se sont pas trompés. La reine est morte. Le roi ne veut plus croire qu'à la seule puissance des astres souverains, il se réfugie dans l'occultisme. Endormi par un puissant narcotique, Sigismond devenu jeune homme va lutter, se réveiller et prendre conscience de lui-même. Mais alors, que croire ? La réalité est-elle une fiction ou la fiction du sommeil est-elle la réalité ? À partir de cette trame, Calderon joue de l'aller-retour grisant entre rêve et réalité. Chef-d'oeuvre de l'art baroque La vie est un songe a marqué par sa puissante originalité tout le siècle. Corneille s'en souviendra en écrivant L'Illusion comique. La vie est un songe demeure une oeuvre visionnaire d'une grande modernité. Une pièce qui n'a rien perdu de sa jeunesse ni de son souffle, une pièce qui nous renvoie chaque fois l'image de notre réalité ou de notre irréalité. Un plaisir vertigineux qui nous invite, comme Sigismond, à remporter une victoire sur soi-même. --Denis Gombert
http://www.babelio.com/livres/Calderon-de-la-Barca-La-Vie-est-un-songe/16544
La 26e édition de la Fête du Livre de Saint-Etienne se déroulera les 14, 15 et 16 octobre 2011.
Après avoir choisi pour thématique en 2010 les notions d'image et d'imaginaire en littérature à travers la thématique « Des images et des mots », la Fête du Livre de Saint-Étienne met cette année à l'honneur la liberté.
2010-2011 : la soif de libertés aimante l’actualité, y compris sur le plan littéraire et culturel : Nobel de Littérature à Mario Vargas Llosa, dont l’œuvre et les engagements les plus récents au Pérou attestent de son attachement à la liberté de tous, Nobel de la Paix au résistant et écrivain chinois Liu Xiaobo, fort souffle démocratique dans de nombreux pays de dictature, mise en cause du hiatus entre les libertés économiques et financières et les libertés sociales, libération de Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière : oui, la défense et la promotion des libertés publiques, et en parallèle la revendication à la liberté individuelle, sous-tendent plus que jamais la course de notre monde.
Diffusé le 11/10 à 11h
http://replay.fr/soir-au-musee-jeudi-13-octobre-2011-21-40-300591
J'ai vu Sophie Marceau dans une pièceci-dessus sur mon blog) de théâtre, j'étais au premier rang et je l'ai vue de très près
puis (grâce à une personne qui a l'habitude de le faire, moi, je ne l'avais fait, jamais osé même pour Etienne Daho que j'ai vu 2 fois) je l'ai attendue à l'entrée des artistes
Moi(comme d'autres), elle m' a signé un autographe(ci-dessus), accepté de poser avec moi (ci-dessus; et d'autres)
Je lui ai dit que je l'admirais depuis 25 ans et elle m'a remercié
Très sympa, simple, belle, moins ronde que l'on croit
bon dimanche
dans la partie ce(ux) que j'aime de ce blog et mes photos(catégorie de ce blog de la partie " ce que j'écris/ce que je crée) comme mes lectures, visites, voyages ou balades
ne sont pas un loisir
mais une partie d'un tout, ma vie qui nourrit ce que j'écris et que vous pouvez commander en passant par les bannières sur ce blog.
A la une 04-10-2011 à 13:45
Thierry Frémaux et son parterre d'invités lundi soir à la Halle Tony Garnier - LyonMag
La troisième édition du Festival Lumière s’est ouverte lundi soir devant 4 000 spectateurs à la Halle Tony Garnier, avec la projection en avant-première du film The Artist, en compagnie de Jean Dujardin et Bérénice Béjo, et de son réalisateur Michel Hazanavicius.
Imaginons notre globe terrestre agité par tant de tempêtes et de chaos, soudain recouvert de minuscules miroirs découpés en carrés parfaitement juxtaposés, figurant ainsi une boule à facettes gigantesque réfléchissant vers les astres nos pulsions, nos émotions, nos interprétations, nos désirs, nos envies et nos illusions…
Ne dérogeant pas à cette règle qui édicterait que le Théâtre serait le reflet de notre monde, les Célestins prendront à leur tour, au cours de la saison 2011/2012, l’allure d’une boule à facettes, miroir tantôt déformant, souvent intransigeant de nos réalités et de nos vécus, projetant ainsi vers le dehors images, paroles et gestes transcendés par la grâce et la créativité des artistes qui nous accompagnent.
Car c’est à une véritable itinérance au milieu d’un parcours balisé de miroirs, telle une attraction de fête foraine suscitant tour à tour le rire, l’étonnement et le questionnement à laquelle nous vous convions.
Ces miroirs, ce sont des spectacles qui se parlent et se répondent, inscrits, pour bon nombre d’entre eux, en diptyque, en triptyque, générant, de fait, un compagnonnage encore plus affirmé avec les artistes pour un voyage plus en profondeur, plus durable…
Ainsi, le petit Chinois du Dragon d’or (de Roland Schimmelpfennig, mis en scène par Claudia Stavisky, créé en mars 2011 puis repris en octobre aux Célestins) dérivant à contre-courant sur le Huang He, le fleuve Jaune, fait écho à Vanina dans Une nuit arabe (de Roland Schimmelpfennig mis en scène par Claudia Stavisky qui sera créé en septembre 2011) qui rêve de fuir vers le désert, dans la ville de Kinsh el Sar.
Au beau milieu de toutes les facettes, les Célestins ont glissé un petit miroir correcteur rétablissant notablement certains déséquilibres paritaires en honorant les femmes créatrices.
Nathalie Fillion créera, en janvier prochain aux Célestins, la nouvelle pièce dont elle est l’auteure, À l’Ouest.
Sur le territoire de l’intime et en solitaire (ou presque !), de merveilleuses interprètes comme Sophie Marceau (Une histoire d’âme), Catherine Frot (Oh les beaux jours), Simona Maïcanescu (Fièvre), Martine Vandeville (La Rimb), Cécile Garcia Fogel (Fous dans la forêt / Shakespeare Songs) s’échapperont de leur psyché pour mieux nous enchanter, nous transporter.
Une saison délibérément ponctuée de spectacles qui s’érigent en réflecteurs tels Ô mon pays ! (un diptyque de la compagnie Pôle Nord), Ça va ? Combien de « ça va » faudrait-il pour que ça aille vraiment ? et Verticale de fureur (réalisés par le Groupe Décembre et le Théâtre Narration) ainsi que Nicomède et Suréna, deux magistrales tragédies de Corneille mises en scène par Brigitte Jaques-Wajeman.
En outre, la complicité qui nous unit avec Wajdi Mouawad (les Célestins ont accueilli le quatuor intitulé Le Sang des promesses regroupant Littoral, Incendies, Forêts et Ciels, puis lors de la saison écoulée, Seuls), nous entraînera vers l’exploration des tragédies de Sophocle avec, dès cette saison, la trilogie Des Femmes composée des Trachiniennes, d’Antigone et d’Électre. Ici encore, le désespoir en amour de Déjanire répondra au désir de vengeance d’Électre et à la soif de justice d’Antigone.
Au registre des complicités, celle entretenue avec le Maly Drama Théâtre de Saint-Pétersbourg, permettra de créer un réel événement avec la venue pour la première fois en France des Trois Sœurs de Tchekhov mises en scène par Lev Dodine et de Lorenzaccio (en version russe surtitrée) de Musset dirigé par Claudia Stavisky, spectacle créé en décembre 2010 à Saint-Pétersbourg. Les deux spectacles seront interprétés par les comédiens de la troupe permanente du Maly Drama Théâtre révélant, au travers de cette double résonance, une identité, une densité et une intensité tout à fait exceptionnelles.
Au chapitre international encore, la deuxième édition du festival Sens Interdits, espace de confrontation esthétique des trajectoires politiques, historiques et culturelles des peuples, génèrera un singulier kaléidoscope de formes théâtrales, armes improbables et pourtant si vaillantes et déterminées contre la barbarie, l’oppression et la tyrannie. L’édition 2011 accueillera des équipes en provenance du Cambodge, de Tunisie, d’Afghanistan, du Chili, du Mali, de Russie, de Pologne, de République tchèque et des Pays-Bas.
Cette multiplicité de propositions, qu’elles émanent de compagnies régionales ou de prestigieuses productions nationales et internationales, s’imbriquent entre elles et se coordonnent pour nous dévoiler la complexité de ce monde et nous offrir des milliers de faisceaux lumineux, voies fluorescentes dessinées dans la nuit, chemins fertiles à la profusion de nos réflexions et interrogations, sur lesquels nous pouvons progresser afin d’apporter notre contribution à l’indispensable transformation de ce monde trop enlisé dans ce qu’on nomme, la crise.
C’est en effet conjointement, artistes et public réunis, que la magie va s’opérer.
Antonin Artaud, dans le Théâtre et son double (nous y voilà encore !) exhortait la passivité du public et en appelait à l’éveil de ses sens au travers de l’instauration d’un nouveau langage théâtral.
Aujourd’hui, ce n’est pas un langage, mais des langages démultipliés, animés par la pluralité et l’éclectisme, qui vous seront livrés au cours de cette saison 2011/2012 en attente de vos ressentis et nous l’espérons, de votre adhésion.
Ensemble, rassemblons-nous sous cette boule à facettes qui, symbole de notre volonté de diversité, retrouvera une place plus traditionnelle, en fin de saison, avec la venue des « filles » du Cabaret New Burlesque immortalisées par le film de Mathieu Amalric, Tournée.
Ensemble, mêlons nos figures et nos pensées sous cet objet ludique et festif et envoyons vers le monde nos énergies galvanisées par la féérie de nos émotions artistiques… Bonne saison à tous !
Claudia Stavisky et Patrick Penot
http://www.celestins-lyon.org/index.php/Menu-thematique/Les-Celestins/Les-Celestins-Theatre-de-creation
Chaque année le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.
Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.
Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais.
Chaque année le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.
Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.
Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais
Ainsi il ya des poètes et ils sont vivants. On en a même trouvé 111 qui ont posé un temps leur sac à terre dans notre région.
Bien sûr, habiter en Rhône-Alpes n’est pas une qualité littéraire, ce n’est pas un défaut non plus, la question est ailleurs, et les anthologistes n’ont pas semblé rencontrer de graves difficultés à nous proposer cette coupe, ces strates de poésie, qui s’écrivent à nos portes. Ils nous font un simple signe qu’il en est probablement ainsi partout, pourvu qu’on veuille bien y porter attention.
On pense à Bashô, bien sûr, et ses 111 Haïkaïs. Ces extraits errants dans le labyrinthe d’une œuvre, ces fragments comme de hasard, ont bien souvent l’effet de révélateur du Haïku, sa soudaine lumière sur la marche d’un poète.
ALIBI, le premier magbook français du polar. Un magazine-livre de 148 pages dédié au "noir".
ALIBI vous raconte le monde à travers le prisme "polar". Vous saurez tout sur les romans policiers, mais aussi sur les séries télé, la musique des films noirs et même sur ce que mangent les héros, flics ou truands...
Plus qu'une revue, plus qu'un magazine, ALIBI : un livre-objet à ranger dans sa bibliothèque.
On connaît tous l'oeuvre d'Alphonse Daudet (1840-1897) : Les lettres de mon moulin, Le Petit Chose, Tartarin de Tarascon, Les contes du lundi… On a eu une image mièvre et scolaire de cet écrivain provençal dont l'oeuvre de mémorialiste reste encore à ce jour largement méconnue. Alphonse Daudet fut un témoin privilégié du XIXe siècle et du Second Empire. Après une jeunessemouvementée, cet enfant de Nîmes travailla entre 1861 et 1865 au cabinet du duc de Morny, le plus haut personnage de l'Empire, après Napoléon III. Aussi ces Mémoires se lisent-ils comme une feuille de température politique et artistique sur le Second Empire, la Commune et le début de la IIIe République. Car Daudet fut avant tout un portraitiste de premier ordre. Il décrit aussi bien la bohème de Murger que les personnages politiques de premier plan comme Gambetta ou Henri Rochefort. Mais c'est aussi toute l'effervescence de la vie littéraire, des frères Goncourt, en passant par Tourgueniev, que croque l'écrivain dans un style vif et mordant. Dans ses Mémoires d'une sombre beauté, il n'oublie pas non plus d'évoquer la genèse et l'histoire de ses livres (Tartarin de Tarascon, Le Petit Chose, etc.). Voici le livre qui rendra toute sa place à Daudet dans le panthéon des écrivains du XIXe siècle.
http://www.babelio.com/livres/Daudet-Quarante-ans-de-Paris--1857-1897/296998
Du 20 octobre 2011 au 21 octobre 2011, Université de Caen. MRSH
L'« anti-critique » des écrivains au XIXe siècle
Université de Caen (MRSH) – 20-21 octobre 2011
Laslar- EA4256
Jeudi 20 octobre 2011
14h00 : Brigitte Diaz (Université de Caen) et Julie Anselmini (Université de Caen), introduction du colloque.