Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Ce matin au musée de Roanne
Photos perso
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Le musée est ouvert au public tous les jours (sauf le mardi et les jours fériés) : de 10h à 12h et de 14h à 18h,
le samedi de 10h à 18h,
le dimanche de 14h à 18h
Ouvert sur demande pour les groupes le mardi
Des visites guidées et des animations sont organisées sur rendez-vous
Entrée : 4,50 € - Demi-tarif : 2,50 €
Carte abonnement : 9 €
Visite guidée groupe à partir de 10 personnes : 50 € + demi-tarif / personne
Visite guidée individuelle : 7,50 €
Gratuit pour les moins de 26 ans
Etudiants : demi-tarif
Gratuité tout public le mercredi après-midi
http://www.roanneasso.fr/asso/725-amis-du-musee-et-de-la-mediatheque-de-roanne.htm
22, rue Anatole France
42300 Roanne
04 77 23 68 77
04 77 23 68 78
musee@mairie-roanne.fr
Artiste céramiste né en 1967 en Angleterre, passionné par les Maîtres de la Renaissance, Paul Day construit en hautrelief d’incroyables scènes urbaines aux effets perspectifs étonnants. Dans ces panoramas très réalistes qui tiennent du cinémascope et de la frise antique, les foules des mégapoles se croisent, s’aiment et se détestent, jouent la solitude née de la promiscuité. Au coeur de ses grandes compositions spectaculaires, dans ces architectures savantes en trompe-l’oeil, le détail humaniste ou cynique invite à explorer chaque saynète qui anime la concentration des foules, à savourer les actes de la comédie humaine qui se jouent sous nos yeux. Le talent particulier de Paul Day est de mettre en scène le quotidien le plus intime dans les compositions les plus vastes.
http://www.roanne.fr/188-expositions-temporaires-musee-joseph-dechelette.htm
Le Musée de Roanne, fidèle à l’histoire de ses collections, organise presque chaque année une exposition autour des artistes les plus marquants de la céramique contemporaine. Bien qu’il ait été célébré partout en Europe, c’est la première fois qu’un musée français expose Paul Day, cet artiste honoré par des commandes publiques importantes, notamment à Londres « The Meeting Point » à la gare de l’Eurostar Saint- Pancras et le long de la Tamise avec le monument commémoratif « The Battle of Britain », pour lequel il a été choisi à l’issue d’un concours de projets. Dans ce dernier exemple l’artiste se fait historien, il reconstitue une époque, son décor et ses grandes et petites figures, de la Reine au petit peuple, pour rendre hommage au courage des londoniens pendant cette période.
Le musée présentera les terres cuites originales de l’oeuvre monumentale « The Meeting Point » ainsi que d’autres oeuvres ayant pour thème l’architecture (« Le Palais de Justice », « L’Opéra », Après cela », « The Nave », « The Saint-Hubert Galleries, etc.) mais aussi des bronzes ou résines, portraits, scènes intimes comme saisies sur le vif, avec humour et sensibilité. Des agrandissements de croquis préparatoires pour la frise qui orne le socle du spectaculaire « meeting point » (un couple de plus de dix mètres de haut qui se rencontre et s’enlace dans le hall de la gare), permettront de cerner l’imaginaire à l’oeuvre chez cet artiste virtuose.
Une exposition littéralement spectaculaire qui devrait faire naître des vocations – de sculpteurs, de dessinateurs, de voyageurs, d’observateurs de la société humaine.
Une publication est réalisée à l’occasion de cet événement. Elle sera en vente sur place au prix de 7 euros. |
Pendant longtemps, la majorité des femmes surent lire, mais pas écrire, l'écrit restant, dans la répartition traditionnelle des tâches entre les sexes, la chasse gardée des hommes. Quand elles accédèrent enfin au droit à l'écriture, elles durent mener une lutte encore plus longue, celle de la reconnaissance de leur production écrite. Alors que la plupart de ces femmes aspiraient à une vie sans contrainte, où elles auraient pu exprimer librement leur art, les obstacles qui ne cessèrent en effet de se dresser devant elles- trouver du temps pour écrire constituant déjà une tâche en soi - les vouèrent à un anticonformisme qui les mettait en danger. À ces contraintes sociales s'ajouta une contrainte intérieure, une quête inconditionnelle d'authenticité qui, entravée, put les mener à la folie ou au suicide. Cet ouvrage dresse le portrait d'une cinquantaine de ces auteures, depuis le Moyen Age avec Hildegard de Bingen et Christine de Pisan, jusqu'à l'époque contemporaine avec Carson McCullers, Marguerite Yourcenar, Anaïs Nin, Simone de Beauvoir, Marguerite Duras, Françoise Sagan - ou plus récemment Toni Morrison, Isabel Allende ou Arundhati Roy - en passant par les incontournables sœurs Brontë, George Sand, Colette, Virginia Woolf ou Karen Blixen.
http://www.babelio.com/livres/Adler-Les-femmes-quiecrivent-vivent-dangereusement/39141
Le vélo est une langue. Une langue où tout .se mêle dans l'essoufflement de l'effort. Une langue de cris. Une langue d'alerte et de joie qui perd dans Le silence de la montagne et se retrouve au coin du bois. Une langue du soir, paisible qui raconte et reraconte Ie souvenir des grands, et des petits. exploits. Je la parle couramment depuis. mon enfance et la voici rangée de A à Z. Ce petit dictionnaire fait la part belle aux mots, du peloton: on y flingue, on y bâche, on y gicle, mais aussi aux coureurs que j'admire les Robic, les Anquetilles, Ies Merckx: aux montagnes que je grimpe Izoard, Ie GaIibier. Le Tourmalet: aux batailles héroïques des grands. Tours et aux balades du dimanche dans la vallée de Chevreuse. C'est l'abécédaire d' une passion tranquille pour Ie vélo. cet engin merveilleux qui vous emmène sans bruit plus vite que vous-même, jusqu'au bout de la route. Paul Fournel
http://www.babelio.com/livres/Fournel-Meli-Velo/292211
C'est le mercredi 24 janvier 1962 que Jules et Jim, dans lequel Bernard Appelbaum avait fait de la figuration, sortit sur les écrans, et c'est le vendredi soir qu'avec sa mère, il est allé le voir au cinéma Vendôme, avenue de l'Opéra.
Après la séance, malgré le froid, sa mère lui donnant le bras, ils sont rentrés à pied jusqu'à leur domicile, au 7 de la rue Oberkampf, tout près du Cirque d'Hiver.
"As-tu lu le livre d'où a été tiré le film?" Non, il ne l'avait pas lu. "J'aimerais bien le lire", lui a-t-elle dit, et ce fut le commencement de ce qu'il allait apprendre de ses parents.
Cette histoire de Jules et Jim et Catherine -un pur amour à trois, avait dit François Truffaut- était comme l'écho de ce que sa mère avait vécu.
Ainsi, il avait fallu un film pour que cette histoire -un peu de son histoire- lui parvienne enfin.
"Si la vie est éphémère, disait Vladimir Jankélévitch, le fait d'avoir vécu une vie éphémère est un fait éternel."
http://www.babelio.com/livres/Bober-On-ne-peut-plus-dormir-tranquille-lorsquon-a-une-/198674
Par Adeline Journet (LEXPRESS.fr), publié le 04/02/2011 à 11:00
La couverture d'Alibi.
DR
Dans les librairies depuis le 19 janvier 2011, Alibi est une nouvelle revue entièrement dédiée à l'univers du polar et du noir. Les amateurs du monde du crime seront ravis. Mais ce projet, sur lequel Marc Fernandez, Jean-Christophe Rampal et le photographe Paolo Bevilacqua ont travaillé dans le plus grand secret pendant un an, a aussi pour volonté de parler de l'univers du noir d'un point de vue large et original.
Christian Doumet du même auteurUniversité Paris 8
La fameuse poétesse Ono no Komachi, étant parvenue au faîte de sa beauté et de son art, dut prendre part à une joute qui l’opposait à Ôtomo no Kuromushi. Sachant le talent de son adversaire, ce dernier entreprit d’espionner la poétesse afin de connaître l’ouvrage qu’elle préparait pour la circonstance. Il parvint à ses fins, et recopia le texte dans le livre du Man’yôshu, la...
Les Etats de la province se réunirent dans ce haut lieu de son histoire médiévale. François 1er y fut accueilli en 1536.
Un ensemble de 1970 blasons de l’époque décore sa voûte ogivale en bois, unique en France par son ancienneté.
La Ville de Montbrison l’acquit en 1862, à l’instigation du duc de Persigny, ministre de Napoléon III et forézien, la restaura, y installa la Société Historique et Archéologique du Forez, qui en prit le nom, et y aménagea une bibliothèque.
Le musée archéologique, créé dès 1881, témoigne de la richesse du passé forézien à travers des collections paléolithiques, néolithiques, protohistoriques, et médiévales.
Un trésor d’orfèvrerie gallo-romaine y est également exposé.
Société Historique et Archéologiques du Forez
7, Rue Florimond Robertet
42600 Montbrison
Tél : 04 77 96 01 10
Fax : 04 77 58 89 90
Site internet : www.ladiana.com
Musée des Pompiers
Le musée des Sapeurs Pompiers de Firminy est le deuxième de France par son importance. Il existe, en effet, peu d’établissements du même type à aborder le thème des soldats du feu. Toute la richesse de ce musée tient dans son parc de véhicules comprenant plus de 150 pièces. Suite à de récents travaux, il sera désormais ouvert au public toute l’année.
Le Musée des Sapeurs pompiers de la LOIRE, crée en 1997 occupe les locaux actuels depuis 1996, sous l’impulsion de Mr Bernard OUTIN, puis de Mr Dino CINIERI, maires de la commune, des Présidents respectifs du Conseil d’Administration du Service Départemental Incendie et Secours de la LOIRE, le Musée à connu une progression très importante ces dernières années.
Je me suis baignée dans la Loire(24 degrés) à 19h
Après une journée autour de 40, ça fait un bien fou!
-microentreprise ou entrepreneur
-numéro de siret
-participer à des salons et à plus de dédicaces
-être vendu dans les librairies
| 12.08.11 | 17h26 • Mis à jour le 12.08.11 | 17h26
Ornans, envoyé spécial - En 1847, un jeune sculpteur ambitieux, bientôt gendre de George Sand, Jean-Baptiste Auguste Clésinger (1814-1883) présente au Salon son marbre, Femme piquée par un serpent, nu grandeur nature. La posture suggère moins la souffrance ou la peur que la pâmoison et l'orgasme. La critique bien pensante s'indigne de cette lascivité d'autant plus violemment que la rumeur révèle bientôt que l'oeuvre a été exécutée à partir du moulage du corps nu d'Aglaé-Joséphine Savatier.
La jeune femme est bien plus connue dans l'histoire des arts et des lettres sous ses surnoms de Madame Sabatier et de la Présidente. Durant les décennies 1840 et 1850, elle est l'égérie des artistes et poètes modernes. Elle a - entre autres - Gautier, Nerval et Baudelaire pour admirateurs et soupirants. Elle tient salon. En 1846, elle est la maîtresse de l'industriel et collectionneur Alfred Mosselman, qui veut que ses amis mesurent son bonheur en constatant par eux-mêmes combien sa muse est séduisante. Il la fait donc mouler in extenso, puis sculpter par Clésinger, qui ne manque pas l'occasion de se rendre célèbre par ce coup d'éclat.
De ce scandale artistique et moral à ceux qui accueillent Les Baigneuses ou Le Sommeil, de Courbet, le passage est instantané : Courbet, autant que Clésinger, célèbre le corps féminin dans tous ses détails, sans rien négliger et en provoquant autant de colères que d'enthousiasmes. Si L'Origine du monde n'est pas dans l'exposition présentée au Musée Courbet d'Ornans, il est impossible de ne pas penser à elle tant il est évident que les deux artistes s'affranchissent des mêmes interdits. Sur ce point, Clésinger précède même Courbet de plusieurs années. Et tous deux savent que la photographie obscène est alors en train de devenir une industrie puissante. Même contexte donc, et même réaction.
Modèle partagé
Ce serait assez de ces raisons pour mettre en présence la sculpture de Clésinger et la peinture de Courbet, mais il en est d'autres. Les deux artistes se rencontrent à la fin des années 1840 et ont des amis communs. Ils ont, en au moins une occasion, le même modèle - et peut-être plus souvent si l'on compare les visages de plusieurs jeunes femmes, bustes et toiles. Par ailleurs, Courbet s'essaie à la sculpture pour rivaliser avec Clésinger, lequel exécute des paysages honorables dans le genre réaliste - et avec un rien de rusticité à la Courbet.
La fin de l'histoire est moins heureuse. Sous le Second Empire, les deux artistes s'écartent peu à peu l'un de l'autre, pour des raisons tant politiques qu'artistiques. Clésinger, en quête de commandes, s'efforce de plaire à Napoléon III et à sa cour, que Courbet défie ouvertement. En 1865, le sculpteur propose à l'empereur de dresser une colonne à sa gloire place de la Concorde. Elle serait parée de tout ce qu'il faut d'allégories antiques.
Courbet commente le projet de son ami en ces termes : "Quels sont ces bonshommes qui semblent jouer au pot de chambre aux quatre coins du piédestal ? Le génie casqué pour moi ressemble aussi bien à Don Quichotte qu'à un génie. Voudrais-tu m'expliquer votre idée ?" On imagine que Clésinger apprécia peu. Au reste, sa colonne ne fut jamais édifiée, ce qui a dispensé Courbet de lui faire subir le triste sort de la colonne Vendôme.
"Œuvres croisées : Courbet, Clésinger", Musée Courbet, place Robert-Fernier, Ornans (Doubs). Tél. : 03-81-86-22-88. Jusqu'au 3 octobre. De 10 heures à 18 heures, en août et septembre ; puis de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. Fermé mardi. De 4 € à 6 €. Musee-courbet.fr
Philippe Daegen
photo perso
cf. le site:
http://www.pays-beaujolais.com/france/DT1191501728/diaporama/index.html/typeid-10
Photo perso
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Type de construction: |
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Fonction / usage:
Centrale hydroélectrique |
Fait partie de:Aménagement hydroélectrique de la Loire
Bureaux, entreprises, etc. ayant contribué à cet ouvrage | ||
Légende: Phase des travaux | ||
Rôle | Nom | Partie de la structure |
Maître d'ouvrage | Electricité de France |
Informations techniques | ||
Description | Valeur | |
Matériaux de construction | ||
barrage | béton | |
Dimensions | ||
hauteur | 55.00 m | |
volume de retenue | 57.00 hm3 | |
longueur de crête | 206.00 m | |
largeur de la crête | 8.50 m | |
largeur à la base | 8.50 m | |
volume du barrage | 66 000 m3 |
Littérature pertinente | |
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Mauboussin, G. Aménagement de la Loire - Le barrage de Grangent, dans "Travaux", août 1958, n. 286 . |
http://fr.structurae.de/structures/data/index.cfm?id=s0003837
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