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Fin de:L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde

  • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519 | BnF, département des Cartes et plans
  • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519
  • Informations pratiques

  • Site François-Mitterrand

    Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]

    mardi - samedi de 10h à 19h
    dimanche de 13h à 19h
    sauf lundi et jours fériés

    tarif plein : 7 €
    tarif réduit : 5 €

    billet couplé 2 expositions : 10 €
    billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €

    Réservations FNAC au               0892 684 694        0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com

du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie

Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.

http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_expositions/f.age_dor_cartes_marines.html

Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

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