Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Baroque Donna Leon
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Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l'une des artistes les plus populaires du milieu du XXe siècle.
Camille Claudel fait flamber les enchères
En savoir plus sur l'exposition
> Télécharger le dossier de presse de l'expositionLa Galerie Mitterrand est heureuse d'annoncer une nouvelle exposition de l'artiste Niki de Saint Phalle cet automne, proposée en résonnance de la rétrospective organisée au Grand Palais à partir du 17 septembre 2014 et jusqu'au 2 février 2015
L'Académie française sous le charme de Dominique Bona
N° 83 - octobre 2014 - 9,50 €
ISSN : 0998-8041
Dounia? C'est pourri pour les intégristes musulmans! Cela signifie “la vie en ce bas monde, la vie sur terre”. Rien de sacré!», explique, tout à trac, Dounia Bouzar. Un prénom qu'elle porte comme un étendard. Depuis plus de vingt ans. Car, pour l'état civil, elle reste Dominique, le prénom donnée par sa mère alors que son père aurait voulu imposer Amina. Dominique s'est transformée en Dounia lorsqu'un garçon dont elle s'occupait comme éducatrice lui a lancé: «T'as pas une tête à t'appeler Dominique! T'as qu'à mélanger Dominique et Amina.» Mixité, double culture, identité… «Ne faisons pas de la psychologie de café du commerce», tranche l'intéressée, qui préfère parler de ce qu'elle fait.
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![]() Le changement de sexe fascine depuis la nuit des temps. Il représente tout à la fois la quintessence de la liberté et le comble du tabou. Or, pour vivre libre, les femmes ont parfois choisi de devenir des hommes : savantes, artistes, pirates, philosophes, saintes ou guerrières, elles ont osé enfreindre les codes sociaux et vestimentaires et changer de genre, transgressant ainsi à la fois les lois... Editeur : First Editions Date de parution : 15 Mai 2014 Catégorie : Histoire et Actualité Voir le livre » |
Catalogue d’exposition, ed. Stephan Berg, Letizia Ragaglia, Ellen Seifermann
textes (all./ang.) par Stefan Gronert, Barbara Hess, Letizia Ragaglia et aved des interviews avec l’artiste par Richard Shusterman, Francesca Pietropaolo, Robert Storr et Stefan Gronert
168 p avec 100 illustrations en couleur
format 31 x 23,5 cm, broché avec des rabats
ISBN 978-3-86442-080-1
L’artiste italienne Tatiana Trouvé, qui vit aujourd’hui à Paris, a participé, en plus de nombreuses autres expositions majeures, à la Biennale de São Paulo 2010 et à la Biennale de Venise 2007. La présentation à grande échelle de ses œuvres toujours spécifiques à un lieu dans huit espaces pour installations du Kunstmuseum de Bonn est sa première exposition solo dans un musée allemand ; celles de Bolzano et Nuremberg seront très différentes. Le catalogue de ces trois évènements d’envergure veut pour la première fois donner un aperçu complet des installations et des dessins grand format. Le travail de l’artiste, qui a passé une grande partie de son enfance en Afrique, se distingue notamment par le minimalisme avec lequel des matériaux aussi simples que des morceaux de métal, des pierres, des chaises, du verre, de la terre ou de l’eau sont utilisés pour évoquer ensemble dans de surprenantes constructions le souvenir, l’histoire ou la poésie. Les espaces de Tatiana Trouvé ne présentent jamais symboliquement quelque chose d’absent, mais attirent le spectateur de manière concrète et parfaitement vivante dans une situation chargée de fantaisie et d’imagination qui semble flotter entre légèreté et monumentalité, permanence et volatilité, fiction et quotidien. L’artiste elle-même raconte une petite histoire très révélatrice à ce sujet : « lorsque j’étais enfant à Dakar, les griots frappaient à notre porte pour nous raconter l’histoire de nos ancêtres, nous expliquer leur rôle dans le village, leurs métiers. Cela n’avait rien à voir avec la véritable histoire des quatre personnes qui composaient notre famille blanche d’origine italienne, ils racontaient l’histoire des habitants d’un village qui avait occupé l’emplacement de notre maison, comme si le passé avait coexisté ou vécu parallèlement à la réalité présente sans la moindre contradiction entre les deux. Cette histoire orale chantait un hymne à la chance de voir deux temporalités exister à côté l’une de l’autre dans un même espace. Cette découverte m’a ouvert la porte d’une dimension encore inconnue et depuis, cette idée ne m’a plus quitté l’esprit. C’est pour cette raison que j’aime les histoires qui influent sur l’espace et y interviennent. »
Exposition :
Kunstmuseum Bonn, 30/1–30/5/2014
Museion Bozen, 23/5–6/9/2014
Kunsthalle Nürnberg, 13/11/2014–8/2/2015
Ce mois-ci L’Œil fait genre. Le magazine consacre ses pages aux femmes, à toutes celles qui, artistes, muses et épouses, conservatrices de musées, commissaires d’expositions et collectionneuses, « ont fait et font l’art ». Pourquoi ? Parce que l’actualité immédiate autour des artistes du Deuxième Sexe s’y prête, voire le réclame. L’importante rétrospective « Niki de Saint Phalle », qui se tient au Grand Palais du 17 septembre au 2 février, ouvre une saison qui met à l’honneur Sonia Delaunay, Camille Claudel et Tania Mouraud, pour les événements les plus médiatiques. Si toutes les quatre ont nourri un travail singulier réductible à aucun autre, fût-il celui d’hommes aussi importants que Jean Tinguely, Robert Delaunay ou Rodin, toutes ont en commun d’être des artistes indépendamment de leur sexe, et de voir enfin leur travail réévalué par un système (écoles, galeries, musées) qui leur a ...
Célèbre pour son rôle majeur dans la synthèse des arts, Sonia Delaunay est une figure cardinale dans l'histoire de l'abstraction picturale.
L’Hôtel de ventes de Genève propose cette semaine sa vente Automnale sur 4 jours. Le 8 Octobre, vous pourrez découvrir à partir de 19h la partie Art Contemporain avec le travail de l’artiste française Geneviève Asse, dont plusieurs toiles seront mises aux enchères. Nous retiendrons une huile sur toile de 1985 titrée « Temps bleu » et estimée entre 15 000 et 25 000 CHF. Le 9 Octobre, la maison Leclere organisera à Marseille une vente de sculptures allant du Moyen Âge jusqu’à nos jours. Les lots phares de cette vente sont deux œuvres contemporaines de Philippe Hiquily : un « Rocking chair » en bronze doré estimé entre 40 000 et 50 000 € (Lot 121, photo ci-contre) et une girouette en fer estimée entre 15 000 et 20 000 € (Lot 122).
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Quand le va-nu-pieds (Gad) O'Malley rencontre Duchesse (Sophie Marceau) et ses trois chatons. Voilà pour l'argument de cette comédie romantique ...
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