Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'envolée de Flavie van der Stigghel
Flavie van der Stigghel, Vestige, 2013, terre cuite émaillée, 20 x 50 cm (©Georges Meguerditchian).
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Flavie van der Stigghel, Vestige, 2013, terre cuite émaillée, 20 x 50 cm (©Georges Meguerditchian).
Le Monde.fr | 19.06.2014 à 11h08 • Mis à jour le 19.06.2014 à 12h06 | Propos recueillis par Guillaume Perrier (Istanbul, correspondance)
Orhan Pamuk ne sera pas à Toulouse, mais son œuvre y fera l’objet de nombreuses lectures. Alors que le Prix Nobel de littérature 2006 fait paraître en France son premier roman, Cevdet Bey et ses fils, publié en Turquie en 1982, « Le Monde des livres » l’a rencontré à Istanbul.
Pour l’œuvre de jeunesse qu’est Cevdet Bey et ses fils, vous avez puisé dans votre propre histoire…
De nombreux Chinois étaient venus voir cette Composition à fond rouge. Pourtant, le jour venu, aucun acheteur ne s'est déclaré et le silence a envahi la salle. Enquête faite, ce jour-là Chu Teh-Chun était incinéré et par respect pour lui, aucun de ses compatriotes ne pouvait enchérir... Revoilà donc ce tableau, estimé entre 800 000 EUR et 1 000 000 EUR, dans une vente d'art contemporain et abstrait, auprès d'oeuvres de Zao Wou-Ki.
di Redazione
Prune Nourry, Terracotta Daughters, Magda Danysz Gallery, Shanghai, photographie par Prune Nourry (Courtesy galerie Magda Danysz).
Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)
« Connu pour ses romans et ses relations de voyages, Pierre Loti l'est moins pour ses textes courts, évocations et nouvelles. L'intérêt de ces quatre textes autour de Constantinople réside dans leur forme autant que dans leur fond. Écrits plusieurs années après Azyadé, ils ne montrent pas seulement la Turquie pittoresque mais un pays à l'identité menacée. À travers ce constat, confronté au cosmopolitisme qui désagrège les traditions ottomanes, Loti dresse le bilan de sa propre vie, en s'identifiant à la ville qu'il a le plus aimée. Constantinople est le fidèle reflet de la déchirure de l'écrivain partagé entre l'invention de sa vie et sa vie réelle. » (présentation de l'éditeur)
Préface de Sophie Basch.
Dans BiblioMonde
Istanbul. Le regard de Pierre Loti : Une soixantaine de photographies de Pierre Loti et des extraits inédits de son journal
Les Désenchantées
Aziyadé - Fantôme d'Orient
http://www.bibliomonde.com/livre/constantinople-fin-siecle-416.html
Martial Raysse, Made in Japan, 1963, collage, photographie, huile et bois sur toile, 125 x 192,5 cm (©Collection Pinault).
Photo non datée, de Jean Ballard et les écrivains français André Gide et Paul Valéry. (Photo AFP)
Pour l'heure, certains experts attribuent la toile au Florentin Giuliano Bugiardini ou à l'un de ses disciples. Elle pourrait dater de 1515. Crédits photo : LTMI
Plusieurs experts sont intrigués par ce tableau acheté par un particulier en avril dernier, à Vienne. La main du maître ?
Jacques Villeglé, Prototype (La Spirale singulièrerouge), vers 2006, lithographie sur boîte en Plexiglas, 61 x 61 x 19 cm,éd. Jacques Boulan.
BERLIN (ALLEMAGNE) [12.06.14] - Sept mois après sa création, la taskforce chargée d’enquêter sur la provenance de la collection Gurlitt a émis sa première recommandation de restitution. Provoquant, l’exaspération de Christopher Marinello, l’avocat des héritiers Rosenberg. PAR Isabelle Spicer (Correspondante à Berlin)
Thomas Heming, The Bute Epergne [surtout], inspiré d’un dessin de William Kent, 1756, argent doré (Courtesy Sotheby’s Picture Library).
Haroon Mirza, installation dans le cadre de l’exposition « The Light Hours » à la Villa Savoye, Poissy (©Martin Argyroglo).
Constantinople vers 1900. (Photo Paukrus. Flickr)
Modeled in London in 1871 Bronze sculpture, rich brown patina, Aigle impériale seal. H : 40,7 cm, L : 15,8 cm, D : 15,7 cm If you are interested in this work, thank you to send us an email and we will send you extra pictures with more details and a complete description. |
Hervé Sénamaud | 8 juin 2014, 07h00
C’est la rencontre de deux folies qui ne ressemblent pas. En 1947, alors qu’il vient de passer plusieurs années à l’hôpital psychiatrique de Rodez où on lui a infligé une cinquantaine d’électrochocs, Antonin Artaud visite à Paris une exposition consacrée à Van Gogh. La vue de ces tableaux lui inspire un texte qu’il écrit en quelques jours : ce sera "Le suicidé de la société", un jet de lave où il accuse pêle-mêle la société, le frère du peintre et le docteur Gachet (chez qui Vincent a passé les derniers jours de son existence, à Auvers-sur-Oise) d’être responsables de la mort prématurée de l’artiste.
© MARC CHAGALL (1887-1985). La sieste