Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'évangile du lundi 5 février 2024
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La religion, comme tout ce que j'aime, inspire ce que j'écris à acheter ici

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Chrysole ou Chryseuil est l'un des sept missionnaires à porter la parole de l'évangile en Ménapie. C'est un saint de l'Église catholique.
https://www.infocatho.fr/sur-les-pas-de-saint-chrysole-eveque-et-martyr-evangelisateur-du-nord/
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Tous ensemble, réjouissons-nous dans le Seigneur, célébrons ce jour de fête en l’honneur de tous les saints. Les anges se réjouissent avec nous de cette fête ; ils en glorifient le Fils de Dieu.
Moi, Jean, j’ai vu un ange qui montait du côté où le soleil se lève, avec le sceau qui imprime la ma...
Au Seigneur, le monde et sa richesse,la terre et tous ses habitants !C’est lui qui l’a fondée sur le...
Bien-aimés, voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu...
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchè...
Notre bonheur sur terre est bien fragile. Un problème de santé, des difficultés conjugales ou profes...
Antienne d’ouverture Tous ensemble, réjouissons-nous dans le Seigneur, célébrons ce jour de fête en....
Dieu nous te louons

Le Seigneur est mon appui : il m’a dégagé, m’a donné du large, il m’a libéré, car il m’aime.
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L'Épiphanie célèbre la manifestation de Dieu aux mages. L'évangile dit : "Ils se prosternèrent et l'adorèrent. Ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe." L'or est la marque de la royauté, l'encens, celle de la divinité et la myrrhe, utilisée dans l’embaumement, celle de la renaissance.
Georges Brassens
Les caïnites ou caïnistes, apparus vers l'an 159, vénèrent Caïn et les Sodomites, et possèdent un Evangile de Judas dans lequel ce dernier est présenté comme un initié ayant trahi Jésus, à sa demande, pour assurer la rédemption de l'humanité.
Le 2ème évêque de Lyon, Irénée (+ 208) dénonce cet évangile comme hérétique : « Ils (les caïnites) déclarent que Judas le traître était bien avisé de ces choses, et que lui seul, connaissant la vérité comme aucun autre, a accompli le mystère de la trahison. Ils ont produit une histoire fictive de ce genre, qu’ils ont appelé l'Evangile de Judas 7.
Epiphane de Salamine (+ 402/403) combat également cet écrit hérétique.
Une copie de la version plus ancienne rédigée en grec, est découverte par un paysan près d’El Minya dans le désert égyptien en 1978. Elle fait partie d'un papyrus d'une soixantaine de feuillets (entre 62 et 66 suivant les sources) appelé Codex de Tchacos, qui contient également 2 autres textes apocryphes : l'Épître de Pierre à Philippe et la Première Apocalypse de Jacques.
L’Evangile de Judas, écrit en copte dialectal (sahidique), restauré et traduit par Rodolphe Kasser, ancien professeur de coptologie à l'université de Genève, et publié à Washington le 5 avril 2006 par la revue américaine The National Geographic, est authentifié comme datant du IIIe siècle ou du début du IVe.
Les caïnites ont pour Judas [celui qui volait dans la bourse (Jean 12,6) et dans lequel Satan entra (Jean 13,21-27)] une vénération particulière et le louent comme un homme admirable : le plus illustre des fils de Caïn.
Ils désirent réhabiliter Caïn, si maltraité dans le Pentateuque, et donnent la législation judaïque pour l'œuvre du Dieu du mal, ce Yahvé, rempli d'ignorance et d'orgueil, qui a créé le ciel et la Terre.
Selon les conceptions gnostiques, le créateur, le démiurge, est un dieu mauvais, le malin, responsable de toutes les imperfections du monde.
Pour les caïnites, Judas seul sait le mystère de la création des hommes et c'est pour cela qu'il a livré le Christ à ses ennemis. Par là il a rendu un grand service à l'humanité, car le Christ voulait réconcilier les hommes avec le Dieu créateur, alors qu'il fallait, au contraire, envenimer la haine des hommes contre celui-ci. La mort de Jésus devant procurer de grands biens au monde, Judas a fait une bonne action en la précipitant.
Ce qui vient en premier dans cet évangile, c'est la critique de l'action de grâces au-dessus du pain, telle que les disciples la pratiquent. Ensuite, Judas dit à Jésus : « Je sais qui tu es et d'où tu viens : du Royaume immortel de Barbélo. Je ne suis pas digne de prononcer le nom de celui qui t'a envoyé » (Barbélo, dans la tradition gnostique, est l'aspect féminin de la Divinité et serait à l'origine du malheur dans ce monde parce qu’ayant créé le dieu mauvais ; Barbélo se serait repenti, après quoi Dieu aurait envoyé le Christ sur Terre pour sauver l'humanité). Puis, Jésus dit à Judas : « Tu surpasseras tous les autres, car tu sacrifieras l'homme qui me sert d'habit ». Il lui annonce qu'il sera le treizième disciple, qu'il sera maudit à travers les générations et qu'il viendra régner sur elles. Alors, « Les grands prêtres s'approchèrent de Judas et lui demandèrent : « Que fais-tu ici, toi, le disciple de Jésus ? Judas leur donna la réponse qu'ils souhaitaient. Et il reçut de l'argent et il leur livra. ». A la fin, le titre apparaît : Évangile de Judas. 8
http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/gnosticisme.htm
est un écrivain, poète, journaliste, scénariste et réalisateur italien, né le 5 mars 1922 à Bologne et assassiné dans la nuit du 1er au 2 novembre 1975[1] sur la plage d'Ostie, à Rome.
Son œuvre artistique et intellectuelle, politiquement engagée, a marqué la critique, malgré une vie privée mouvementée. Doué d'éclectisme, il se distingue dans de nombreux domaines. Connu notamment pour son engagement à gauche, mais se situant toujours en dehors de l'institution, il est un observateur des transformations de la société italienne de l'après-guerre, et ce, jusqu'à sa mort en 1975. Son œuvre suscite souvent de fortes polémiques (comme à son dernier opus, Salò ou les 120 Journées de Sodome, sorti en salles l'année même de sa mort), et provoque des débats par la radicalité des idées qu'il y exprime. Il se montre très critique, en effet, envers la bourgeoisie et la société consumériste italienne alors émergente, prenant très tôt ses distances avec un certain esprit contestataire de 1968.
Avec plus de quatorze prix et neuf nominations, l'art cinématographique de Pier Paolo Pasolini s'impose dès 1962[2] avec notamment L'Évangile selon saint Matthieu, puis avec Les Contes de Canterbury.
Quelques chants de L'Énéide dans un manuscrit du XIIe siècle. La lumière du printemps sur les tombes du cimetière juif de Worms. Un hadith sur un parchemin enluminé du XVIIIe siècle. Le plus vieux manuscrit existant de l'Évangile de Jean. Des traces. Des éclats de ce qui fut jeté au creuset de l'Europe, venant de l'Espagne musulmane, de Jérusalem, des communautés juives de Mantoue ou de Prague, de l'Égypte antique, des cloîtres cisterciens ou des bibliothèques de l'Italie renaissante. Orient -Occident ressemble à un cabinet de curiosités, qui ne contiendrait que des joyaux rassemblés par une âme un peu borgésienne désirant avoir sous les yeux le matériel immatériel d'une civilisation. Car chaque objet a une voix et dit quelque chose, qu'interprète en vis-à-vis la parole claire et riche des plus grands spécialistes. En noir et blanc, la couleur des idées et des aspirations spirituelles. L'Europe n'est pas que cela, mais vient aussi de là.
Plutôt que l'image pétrifiée d'une identité, l'entrelacement vivace des racines. Une quadruple racine spirituelle, si l'on en croit la division du livre : antiquité, judaïsme, christianisme, islam. Mais cette division est trompeuse, si on la tient pour une simple juxtaposition : pas seulement diversité, mais intrication et mouvement, conflits et influences réciproques, chemins savants ou brûlants de l'un à l'autre. Une circulation qui aura déterminé les coordonnées d'un espace intellectuel, esthétique et spirituel, mais surtout le principe vital d'une histoire jamais close.
«ORIENT-OCCIDENT -RACINES SPIRITUELLES DE L'EUROPE» de Frédéric Möri, Éd. du Cerf- Fondation Bodmer, 544 p., 99 €.
http://www.lefigaro.fr/livres/2009/12/17/03005-20091217ARTFIG00487-une-histoire-jamais-close-.php