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La poésie - Page 4

  • J'ai aimé: Revue Arpa(poésie) numéro 99

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      Numéro 99 / SOMMAIRE

     

     
     
       

    Poèmes et proses : Horacio Castillo(traduit par Yves Roullière) • Gérard Pfister • Jean-Christophe Ribeyre • Philippe Rosset • Tonin Palazzotto • Robert Nédélec • Alain Quagliarini • Solesli • Isabelle Lévesque • Marie-Josée Desvignes • Philippe Fouché-Saillenfest • Christianne Rollet • Henri Heurtebise • Camille Ganne • Jacques Allemand • Thibault Marthouret • Jean-Louis Cluse • Anne Lugon-Moulin • Sanford Fraser(traduit par Françoise Parouty) • Jean-Pierre Farines

    Études : Jeanne-Marie Baude • Jean-Pierre Lemaire

     

    Chronique et lectures : Katty Verny-Dugelay • Denise Borias • Lucien Wasselin • Max Alhau • Colette Minois • Gérard Bocholier

    Gravures : Fabienne Yvetot

     

     
     
    Numéro 99 / SOMMAIRE

     

     
     
       

    Poèmes et proses : Horacio Castillo(traduit par Yves Roullière) • Gérard Pfister • Jean-Christophe Ribeyre • Philippe Rosset • Tonin Palazzotto • Robert Nédélec • Alain Quagliarini • Solesli • Isabelle Lévesque • Marie-Josée Desvignes • Philippe Fouché-Saillenfest • Christianne Rollet • Henri Heurtebise • Camille Ganne • Jacques Allemand • Thibault Marthouret • Jean-Louis Cluse • Anne Lugon-Moulin • Sanford Fraser(traduit par Françoise Parouty) • Jean-Pierre Farines

    Études : Jeanne-Marie Baude • Jean-Pierre Lemaire

     

    Chronique et lectures : Katty Verny-Dugelay • Denise Borias • Lucien Wasselin • Max Alhau • Colette Minois • Gérard Bocholier

    Gravures : Fabienne Yvetot

     

     
     
       
    Fabienne Yvetot
     
     
    Fabienne Yvetot
     
       
       
     
     
     
      Numéro 99 / SOMMAIRE

     

     
     
       

    Poèmes et proses : Horacio Castillo(traduit par Yves Roullière) • Gérard Pfister • Jean-Christophe Ribeyre • Philippe Rosset • Tonin Palazzotto • Robert Nédélec • Alain Quagliarini • Solesli • Isabelle Lévesque • Marie-Josée Desvignes • Philippe Fouché-Saillenfest • Christianne Rollet • Henri Heurtebise • Camille Ganne • Jacques Allemand • Thibault Marthouret • Jean-Louis Cluse • Anne Lugon-Moulin • Sanford Fraser(traduit par Françoise Parouty) • Jean-Pierre Farines

    Études : Jeanne-Marie Baude • Jean-Pierre Lemaire

     

    Chronique et lectures : Katty Verny-Dugelay • Denise Borias • Lucien Wasselin • Max Alhau • Colette Minois • Gérard Bocholier

    Gravures : Fabienne Yvetot

     http://www.arpa-poesie.fr/Derniernumero.html

    Le genre de revue qu'on trouve trop rarement en librairie(quand on trouve des revues de poésie... ou même de la poésie) mais que j'achète quand j'en trouve car ça fait vivre la poésie(pas comme celle sur les blogs) ou que j'emprunte dans les bonnes médiathèques comme celle de Saint-Etienne.

    Une autre raison de vouloir me réinstaller dans une grande ville

     
     
       
    Fabienne Yvetot
     

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  • Catégories : La poésie

    André du Bouchet, Aveuglante ou banale. Essais sur la poésie (1949-1959)

    Parution livre (édition)

    Information publiée le vendredi 15 avril 2011 par Laure Depretto

     

    André du Bouchet, Aveuglante ou banale. Essais sur la poésie (1949-1959)

    Édition établie par Clément Layet et François Tison

    Préface et notes de Clément Layet

    2011, 368 pages

    • ISBN: 978-2-35873-029-7
    • Prix: 23 euros

    Présentation de l'éditeur

    Ce livre recueille tous les essais sur la poésie publiés par André du Bouchet entre 1949 à 1959, devenus le plus souvent inaccessibles, ainsi qu'une vingtaine d'essais inédits, le plus souvent écrits ou ébauchés dans le cadre du C.N.R.S. où le poète fut chercheur entre 1954 et 1957. L'ensemble se révèle doublement précieux. Consacrés à Scève, Hugo, Baudelaire, mais aussi à des poètes contemporains (Reverdy, Char, Ponge) ou étrangers (Hölderlin, Joyce et Pasternak), ces essais sont d'abord l'oeuvre d'un jeune homme qui se livre éperdument à la poésie, pour en proposer chaque fois une lecture extrêmement personnelle. Avec le volume des Carnets que nous publions parallèlement sous le titre Une lampe dans la lumière aride, ces pages éclairent de manière saisissante toute son oeuvre ultérieure.

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  • En mars, les poètes mettent les voiles sur d’infinis paysages

     

    vendredi 11 mars 2011

    Tags : |

       

    A l’occasion de la 13e édition du Printemps des Poètes, notre région sera le théâtre de nombreuses manifestations qui œuvrent pour la diffusion et la valorisation d’une littérature trop souvent négligée.

     

    Si la poésie n’a pas bouleversé notre vie, c’est qu’elle ne nous est rien. Apaisante ou traumatisante, elle doit marquer de son signe ; autrement, nous n’en avons connu que l’imposture ». Cette citation d’Andrée Chedid illustre parfaitement la démarche du Printemps des Poètes, manifestation créée en 1999 à l’initiative de Jack Lang qui vise à célébrer la poésie partout en France, quelque soit sa forme d’expression. Aujourd’hui, cet événement se déroule sur cinq continents, dans une soixantaine de pays, et plus de 12 000 initiatives sont attendues aux quatre coins de l’hexagone.

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  • Vers d'infinis paysages au 13e Printemps des poètes

    D'infinis Paysages...

    Rédigé par Clémentine Baron, le lundi 07 mars 2011 à 11h01

    Aujourd’hui débute la 13e édition du printemps des poètes, avec pour thème « D’infinis paysages » et en particulier les infinis paysages ultra-marins en cette année qui leur est dédiée.

    La cérémonie d’ouverture aura lieu à midi et demi à la station Auber (RER A) où Juliette Binoche, marraine de l’édition 2011, nous lira certainement quelques vers. Puis, de 13 h 30 à 16 h 30, défileront dans les rues de Paris, plus de 400 comédiens qui réciteront des poèmes en pleine rue (voir l’itinéraire).

    À l’instar de la fête de la musique, le printemps des poètes regroupe chaque année depuis 1999 des millions d’amateurs de poésie à travers plus de 12 000 manifestations, en France et à l’étranger. Ainsi, différents évènements seront organisés entre le 7 et le 21 mars : dans les bibliothèques et médiathèques, mais aussi dans les établissements scolaires, en toutes sortes de lieux culturels et enfin, dans les rues de certaines villes, dont en France : Paris, Lyon, Tours, Montpellier et La Rochelle.

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  • La poésie engagée

    genere-miniatureCAQD15VS.gifTout au long du XXe siècle, des voix se sont élevées contre la guerre, le colonialisme et la barbarie.
    Les poètes engagés ont écrit des textes en vers ou en prose pour témoigner ou résister ; ils ont fait de leur plume une épée pour combattre les injustices de leur temps. Un mot d'ordre les guide : celui de liberté.

    http://www.decitre.fr/livres/La-Poesie-engagee.aspx/9782701151519

  • Catégories : Des expositions, L'art, La poésie

    Miró. Les couleurs de la poésie

    Les peintures colorées sont au premier plan dans l’exposition. Des travaux sur papier, des céramiques et des sculptures viennent se joindre aux tableaux. Le commissariat de l’exposition a été confié à Jean-Louis Prat, lui qui déjà du vivant de Miró avait monté certaines de ses expositions, et avec lequel il était lié d’amitié. Jean-Louis Prat a dirigé pendant plus de 30 ans la célèbre Fondation Maeght à St. Paul de Vence, dans le sud de la France. Il est mondialement reconnu en tant qu’expert en sculpture. Jean-Louis Prat avait déjà assuré le commissariat de l’exposition "Les sculptures des peintres" en 2008 ainsi que celui de la grande exposition dédiée à Marc Chagall, qui avait attiré plus de 190 000 amateurs d’art au musée.

    "Miró ne peignait ni de manière abstraite, ni de façon figurative, il employait un langage poétique dans ses peintures", déclare Jean-Louis Prat. Certains des contemporains de l’artiste avaient banni la couleur de leur peinture ; pour lui au contraire, la couleur a toujours revêtu une signification essentielle. Le rouge, le vert, le jaune et le bleu dominent de fait dans les tableaux visibles dans l’exposition, des tableaux qui rayonnent, baignés dans la lumière naturelle du bâtiment conçu par Richard Meier. Miró était admiratif face à la nature, aux objets du quotidien, et leur beauté le fascinait et l’inspirait. La liberté, l’humour, la légèreté mais aussi les ruptures esthétiques marquent l’oeuvre de l’artiste, né à Barcelone en 1893. Peintre, dessinateur et sculpteur, Miró s’est constamment efforcé de ne pas se figer dans l’immobilité ni de vivre dans l’ombre du passé.

    L’exposition donne également à voir les rares petits formats des jeunes années de création de Miró. Ces oeuvres permettent de mesurer l’évolution de son art, partant d’une représentation figurative pour arriver à des motifs picturaux symboliques et à des signes récurrents bien spécifiques. Ces signes mystérieux et les taches posées sur le canevas, qui évoquent une partition musicale comme tirée d’un univers onirique, sont typiques des peintures de Miró. On les retrouve d’ailleurs dans ses céramiques et sur ses sculptures, qui sont montrées en regard de ses tableaux.

    L’exposition du Musée Frieder Burda met en avant les moments charnières de la création de Miró. L’artiste affirmait à ce propos : "Les gens comprendront progressivement mieux que j’ai ouvert les portes menant à un autre futur, un futur dépourvu d’enseignements erronés et de fanatisme".

    Enfin, des textes explicatifs et des photographies historiques permettent aux visiteurs de se représenter la vie et l’influence de Miró. L’exposition s’accompagnée d’un catalogue : Miró. Les couleurs de la poésie, edité par Jean-Louis Prat et la Fondation Frieder Burda, Hatje Cantz Verlag, Ostfildern 2010, 224 pages, 24,80 €.

     

    http://www.moreeuw.com/histoire-art/exposition-miro-baden.htm

  • Catégories : La poésie

    De l’Election de son sepulcre

    de Ronsard (1524–†1585)
     
     
    ANTRES, et vous fontaines
      De ces roches hautaines
      Qui tombez contre-bas
        D’un glissant pas:
    Et vous forests et ondes         5
      Par ces prez vagabondes,
      Et vous rives et bois,
        Oyez ma voix.
    Quand le ciel et mon heure
      Jugeront que je meure,         10
      Ravy du beau sejour
        Du commun jour,
    Je defens qu’on ne rompe
      Le marbre pour la pompe
      De vouloir mon tombeau         15
        Bastir plus beau:
    Mais bien je veux qu’un arbre
      M’ombrage en lieu d’un marbre,
      Arbre qui soit couvert
        Tousjours de vert.         20
    De moy puisse la terre
      Engendrer un lierre,
      M’embrassant en maint tour
        Tout à l’entour:
    Et la vigne tortisse         25
      Mon sepulcre embellisse,
      Faisant de toutes pars
        Un ombre espars.
    Là viendront chaque année
      A ma feste ordonnée         30
      Avecques leurs troupeaux
        Les pastoureaux:
    Puis ayant fait l’office
      De leur beau sacrifice,
      Parlans à l’isle ainsi         35
        Diront ceci:
    Que tu es renommée
      D’estre tombeau nommée
      D’un, de qui l’univers
        Chante les vers!         40
    Et qui onq en sa vie
      Ne fut bruslé d’envie,
      Mendiant les honneurs
        Des grands Seigneurs!
    Ny ne r’apprist l’usage         45
      De l’amoureux breuvage
      Ny l’art des anciens
        Magiciens!
    Mais bien à noz campagnes
      Fist voir les Sœurs campagnes         50
      Foulantes l’herbe aux sons
        De ses chansons.
    Car il fist à sa lyre
      Si bons accords eslire
      Qu’il orna de ses chants         55
        Nous et noz champs.
    La douce manne tombe
      A jamais sur sa tumbe,
      Et l’humeur que produit
        En May la nuit.         60
    Tout à l’entour l’emmure
      L’herbe et l’eau qui murmure,
      L’un tousjours verdoyant,
        L’autre ondoyant.
    Et nous ayans memoire         65
      Du renom de sa gloire
      Luy ferons comme à Pan
        Honneur chaque an.
    Ainsi dira la troupe,
      Versant de mainte coupe         70
      Le sang d’un agnelet
        Avec du laict
    Desur moy, qui à l’heure
      Seray par la demeure
      Où les heureux espris         75
        Ont leur pourpris.
    La gresle ne la neige
      N’ont tels lieux pour leur siège,
      Ne la foudre oncque là
        Ne devala:         80
    Mais bien constante y dure
      L’immortelle verdure,
      Et constant en tout temps
        Le beau Printemps.
    Le soin qui sollicite         85
      Les Rois, ne les incite
      Le monde ruiner
        Pour dominer:
    Ains comme freres vivent,
      Et morts encore suivent         90
      Les mestiers qu’ils avoient
        Quand ils vivoient.
    Là là j’oiray d’Alcée
      La lyre courroucée,
        ET Sapphon qui sur tous         95
        Sonne plus dous.
    Combien ceux qui entendent
      Les chansons qu’ils respandent
      Se doivent resjouir
        De les ouir!         100
    Quand la peine receuë
      Du rocher est deceuë,
      Et quand le vieil Tantal
        N’endure mal!
    La seule lyre douce         105
      L’ennuy des cœurs repousse.
      Et va l’esprit flatant
        De l’escoutant.
     

  • Catégories : La poésie

    Croisière poétique

    Croisière poétique
    Croisière poétique
    Croisière poétique

    Baudelaire, Mallarmé, Hugo, Mac Orlan, Prévert, Tournier… Le public massé dans la salle de conférences du conseil général a voyagé dans l'archipel de la littérature, au fil de textes lus par les comédiennes Paule d'Héria et Isabelle Irène, se fiant aux indications du capitaine Paul Lera, le comédien concepteur de ce magnifique récital qu'est « D'îles en îles », proposé dans le cadre de la Quinzaine littéraire./Photo Joël Boyé.

    http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/16/928423-Croisiere-poetique.html

  • Catégories : La poésie, Le Maroc:vie et travail

    Le spleen de Casablanca

    arton8204.jpgEntre deux exils. Ecrit en partie au Maroc, en partie en France, ce recueil "se déroule comme le journal de bord d’un impossible retour" puisque "les pays, maintenant, se valent, en férocité".

     

    Une poésie très humaine, très accessible, qui associe la réflexion à la confidence, dénonce l’intolérance, la violence et donne à l’anecdote vécue une saveur oubliée.

    http://www.bladi.net/le-spleen-de-casablanca.html

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  • Déambulation poétique à Paris

    Déambulation poétique à Paris
    [jeudi 04 octobre 2007 - 10:00]
    Critique littéraire
    Couverture ouvrage
    Paris, Musée du XXIème siècle. Le dixième arrondissement
    Thomas Clerc
    Éditeur : Gallimard
    264 pages / 17,58 € sur
    Résumé :" Méthode : en marchant, je me saisis du monde dans le moment où il m'apparaît, par le corps et par les yeux, sans que voir me sépare." Thomas Clerc nous promène dans son Paris, Musée du XXIème siècle et nous livre un regard poétique sur le tumulte de la ville, les gens qui passent et autres petits incidents de "l'infra-ordinaire".
    Au XIXe siècle, la modernité de Balzac, que cite Walter Benjamin, s'essoufflait au seuil du Xe arrondissement de Paris : « Le grand poème de l'étalage chante ses strophes de couleurs depuis la Madeleine jusqu'à la porte Saint-Denis. »  . En courant à travers des blocs entiers d'immeubles - dentelles et lacis de matériaux brisés - et en exploitant les ressources de la construction métallique, les passages, remarque Benjamin, organisent comme des « mondes en miniature », mondes familiers et pourtant divergents qui en un même mouvement s'insinuent dans la ville et s'incorporent à la vie quotidienne. Paris, capitale du XXe siècle, rédigé par Walter Benjamin à la demande de l'Institut de recherche sociale de l'université de Francfort, dirigé par Max Horkheimer et Friedrich Pollock (étonnamment, Benjamin envoya son texte en mai 1935 à Adorno en revendiquant non ses années parisiennes mais ses années berlinoises et ses conversations avec Franz Hessel), montrait comment les « formes de vie nouvelle et les nouvelles créations à base économique et technique » du XIXe siècle entrent dans l'univers d'une fantasmagorie dont Haussmann fut le champion et Paris, la capitale. Et Paris, comme la foule, est un signe inévitable et débordé, un appel de notre imagination : « Rien d'étonnant à ce que tout intérêt de masse, la première fois qu'il monte sur l'estrade, dépasse de loin dans l'idée ou la représentation que l'on s'en fait ses véritables bornes », écrivaient Marx et Engels dans La Sainte-Famille.

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  • Catégories : La poésie

    Poésie sur les 5 continents

    poésie sur les 5 continents.jpgAfrique : Œuvre poétique, de Léopold Sédar Senghor (Sénégal).

    AmériqueLa centaine d’amour, de Pablo Neruda, poète chilien dont je savais par cœur un des poèmes il y a quelques années.

    Asie : Anthologie de haïkus de poétesses japonaises découverte à l’occasion du printemps des poètes 2010.

    Europe : Le peu du monde, suivi de Je te salue Jamais, de Kiki Dimoula, poétesse grecque découverte à l’occasion du Printemps des poètes 2010 « Couleur femme ».

    Océanie : Kenneth Slessor (Australie)


    http://defis5continents.wordpress.com/2010/03/23/laura-de-laura-vanel-coytte/#comment-114

  • Catégories : La poésie

    J'ai assisté hier soir aux JEUX DITS DE LA POESIE

    Poésie parlée  
     
    Pour quoi faire ?
    * Découvrir les tendances et la diversité de la poésie actuelle
    * Parler de la poésie du 21e siècle (écrite, sonore, audiovisuelle, numérique...), en lire, en écouter en voir…en toute simplicité


    C’est aux amateurs comme aux novices que s’adressent ces soirées auxquelles sont conviés gens de la poésie mais surtout, gens de la vie, chauffeurs de bus, cyclistes, musiciens, épiciers, chômeurs, danseurs… toute personne pour qui le monde n’est pas uniquement tel qu’il nous est montré.

    Chacun est invité à lire un ou plusieurs textes qu’il a envie de partager. Celui-ci peut être de vous-même ou un auteur que vous souhaitez faire connaître.

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  • Catégories : La poésie

    Puzzle multimédia à la Maison de la poésie

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  • Catégories : La poésie

    Anthologie de Haikus de poétesses japonaises découverte à l'occasion du printemps des poètes 2010.

    Au Japon, pays profondément patriarcal, les femmes ont longtemps été écartées des activités artistiques et littéraires. Toutefois, fort heureusement, on peut relever quelques exceptions notoires : certaines dames de cour ou certaines nonnes.
    Ainsi, parmi d’autres, Sei Shônagon (XI s.), cette dame d’honneur qui inventa la poésie du « fragment » en composant ses admirables Notes de chevet ; Seifu-jo, (1732–1814), cette nonne bouddhiste qui écrivit dans la veine de Bashô en l’enrichissant de sa sensibilité personnelle ; ou encore Kikusha-ni (1753–1826), cette fille de samuraï, devenue veuve à 28 ans, qui était à la fois peintre, musicienne (elle jouait du koto, cette cithare à 13 cordes) et poète. Il faut garder à l’esprit que, par le passé, les Japonaises n’avaient pas le droit d’accéder à l’écriture chinoise (savante) ; leur était réservée une écriture spécifique, dite « écriture de femmes » (onna-de : « main féminine ») qui – belle revanche – sera à la source d’une littérature raffinée et à l’origine des signes (hiragana) employés aujourd’hui par tous les Japonais.
    Parmi les poètes de haïku au Japon, l’histoire littéraire – ou plutôt une certaine historiographie réalisée par des hommes – retient peu de noms de femmes. Cependant, à l’orée du XX s., trois grandes figures féminines (ce ne sont pas les seules) se distinguent : Shizuno-jo, Hisa-jo et Tei-jo (cette finale des noms en « -jo » indique que ce sont des « demoiselles »).
    Ces femmes poètes gravitent autour de la revue Hototogisu (Le Coucou), fondée par Shiki et dirigée par Kyoshi ; leur génie est aussi d’avoir réussi à émerger et à s’imposer.
    Takeshita Shizuno-jo (1887-1951) ou Shizuno-jo, cette institutrice osa composer un haïku d’été sur l’épuisement et l’agacement d’une mère face à son enfant en pleurs :
     
    Par cette nuit brève / l’enfant au sein et qui braille / si je le jetais ? *

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  • Catégories : La poésie

    Pablo Neruda, poète chilien dont je savais par coeur un des poèmes il y a quelques années

    centaineamour.jpgPuisque est double la façon d’être de la vie,

    Puisque la parole est une aile du silence,

    Et qu’il est dans le feu une moitié de froid.


    Moi je t’aime afin de commencer à t’aimer,

    Afin de pouvoir recommencer l’infini

    Et pour que jamais je ne cesse de t’aimer :

    C’est pour cela que je ne t’aime pas encore.


    Je t’aime et je ne t’aime pas, c’est comme si

    J’avais entre mes deux mains les clés du bonheur

    Et un infortuné, un certain destin.


    Mon amour a deux existences pour t’aimer.

    Pour cela je t’aime quand je ne t’aime pas

    Et c’est pour cela que je t’aime quand je t’aime.


  • Catégories : La poésie

    Œuvre poétique, de Léopold Sédar Senghor

    oeuvresenghor.jpgChants d'ombre', 'Hosties noires', 'Ethiopiques', 'Nocturnes', 'Lettres d'hivernage', 'Elégies majeures', 'Poèmes perdus', ainsi que les 'Dialogues sur la poésie francophone' et un ensemble de poèmes divers.  Points Seuil

    Léopold Sédar Senghor:homme d'Etat et écrivain sénégalais(1906-2001)
    4 e de couverture:"J'écris d'abord pour mon peuple. Et celui-ci sait qu'une kôra n'est pas une harpe non plus qu'un balafong un piano. Au reste, c'est en touchant les Africains de langue française que nous toucherons mieux les Français et par delà mers et frontières, les autres hommes."
    C’est au lycée Louis-Le-Grand (où il fait une classe préparatoire) qu’il rencontre Georges Pompidou, avec qui il restera toujours ami, mais également Aimé Césaire, autre grand ami au contact duquel vont naître le concept et le mouvement de la « Négritude ». En 1935, il est reçu à l’agrégation de grammaire et devient le premier Africain agrégé.
    Fait prisonnier par les Allemands, il fait l’expérience douloureuse des camps de travail entre 1940 et 1942.

    Deux événements importants marquent, en 1945 les débuts de sa double carrière de poète et d’homme politique : son premier recueil, Chants d’ombre, est publié au Seuil, et il est élu député du Sénégal à l’Assemblée constituante. En 1955-1956, il devient secrétaire d’état à la présidence du Conseil dans le cabinet d’Edgar Faure et participe activement aux débats sur l’autonomie des colonies. En 1960, le Sénégal accède à l’indépendance et le 5 septembre, Senghor remporte les élections présidentielles : débutent alors vingt ans de pouvoir à la tête de l’état sénégalais, qu’il quitte volontairement avant la fin de son cinquième mandat, en décembre 1980.

     

    Source:

    http://crdp.ac-paris.fr/parcours/index.php/category/senghor

    Femme noire

     

    Femme nue, femme noire
    Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté
    J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux
    Et voilà qu'au coeur de l'Eté et de Midi,
    Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné
    Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle


     

    Femme nue, femme obscure
    Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais
    lyrique ma bouche
    Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du
    Vent d'Est
    Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur
    Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée

    Femme noire, femme obscure
    Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète, aux
    flancs des princes du Mali
    Gazelle aux attaches célestes, les perles sont étoiles sur la nuit de ta
    peau.

    Délices des jeux de l'Esprit, les reflets de l'or ronge ta peau qui se moire

    A l'ombre de ta chevelure, s'éclaire mon angoisse aux soleils prochains

    de tes yeux.

    Femme nue, femme noire
    Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l'Eternel
    Avant que le destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir les
    racines de la vie. (Chants d'ombre)

    http://defis5continents.wordpress.com/2010/04/09/laura-presente-oeuvre-poetique-de-leopold-sedar-senghor/

  • Catégories : La poésie

    Journée Mondiale de la Poésie

    poesie.gifLe 21 mars a été proclamé Journée mondiale de la poésie par la Conférence générale de l'Organisation des Nations-Unies pour l'éducation, la science et la culture, lors de sa 30e session, à Paris, en octobre et novembre 1999. L'objectif de cette journée est d'encourager la lecture, la rédaction, la publication et l'enseignement de la poésie dans le monde entier et de "donner une reconnaissance et une impulsion nouvelles aux mouvements poétiques nationaux, régionaux et internationaux".

    A l'heure où la poésie est en pleine expansion, cette Journée pourrait servir de cadre aux actions et efforts qui sont réalisés à différents niveaux pour soutenir la poésie, et plus particulièrement à promouvoir :

    • les efforts des petits éditeurs qui s'attaquent au marché du livre, en publiant de plus en plus de recueils de jeunes poètes
    • le retour à l'oralité, ou plutôt au spectacle vivant, car aujourd'hui les récitals de poésie attirent de plus en plus de monde
    • le rétablissement du dialogue entre la poésie et les autres arts tels que le théâtre, la danse, la musique, mais aussi la peinture, etc., et avec les thèmes d'actualité comme la culture de la paix, la non-violence, la tolérance, etc
    • l'association, à l'occasion de la Journée mondiale de la poésie, de tous les arts ainsi que de la philosophie qui lui est également très proche, afin qu'un sens puisse être redonné au mot de Delacroix qui écrivait dans son Journal "Il n'y a pas d'art sans poésie"
    • l'image de la poésie auprès des médias afin que l'art poétique ne soit plus considéré comme un art tombé en désuétude mais comme un art qui permet à la société tout entière de retrouver et d'affirmer son identité
    • Rapport sur la journée mondiale de la poésie en l'an 2000
    • Conclusion du débat consacré à la coordination des institutions poétiques à travers le monde
    • Conclusion du débat consacré à la préparation de la journée mondiale de la poésie en 2001 dans le cadre des Olympiades culturelles de Delphes


    Résolution de la 30ème session de la Conférence générale de l'UNESCO adoptée le 15 novembre 1999, message du directeur général de l'UNESCO à l'occasion de la Journée mondiale de la poésie - 21 mars 2003

    http://www.journee-mondiale.com/105/21_mars-poesie.htm