Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
"L'hiver" à Venise d'Henri de Régnier
https://books.google.fr/books?id=dCrTsbxerFwC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
https://books.google.fr/books?id=dCrTsbxerFwC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Gianni Basso
Si vous vous promenez à Cannaregio, il y a dans une petite calle, une boutique sur laquelle je veux attirer votre attention. |
C'est celle d'un imprimeur ! |
Oui mais pas n'importe quel imprimeur ! Gianni Basso qui se dit lui même "Le Gutenberg vénitien" |
Le nom de la rue, la calle del fumo, le nom de la boutique le sien, tout simplement. |
![]() |
http://www.venise-serenissime.com/petits_metiers/gianni1.htm
Annibale De Lotto (San Vito di Cadore, 29 luglio 1877 – Venezia, 21 novembre 1932) è stato uno scultore italiano.
Figlio dell'intagliatore Giovanni Battista De Lotto e di Maria Fiori, seguì il padre a Venezia e, probabilmente, svolse con lui l'apprendistato. Nel 1891 si iscrisse all'Accademia e divenne l'allievo favorito di Antonio Dal Zotto.
Al termine degli studi aprì uno studio nella zona di San Vio. Nel 1900 partecipò all'esposizione di Roma, presentando le opere In flagrante e Didone; quest'ultima, esposta poi alla Triennale di Milano, a Monaco di Baviera e a Londra, fu il suo primo lavoro di successo che lo affermò nel mondo dell'arte. Nel 1904 fu nuovamente alla Triennale con il Dannato.
In questo periodo il De Lotto si distinse come autore di sculture celebrative e ritratti. Realizzò, tra l'altro, dei busti di Vittorio Emanuele III per la sala del Consiglio provinciale di Venezia e per il circolo militare della stessa città e dei ritratti di Luigi Sugana per il teatro Goldoni, per la sede della Tarvisium Venetiae e per il teatro Sociale di Treviso.
Dal 1903 al 1924 partecipò a tutte le edizioni della Biennale di Venezia e per la sala stampa della manifestazione realizzò le due figure della Giustizia e della Libertà. Espose anche alle mostre collettive organizzate dalla fondazione Bevilacqua La Masa a Ca' Pesaro.
Altre sculture celebrative furono i monumenti a Giosuè Carducci (1912) e a Guglielmo Oberdan (1921) per i giardini della Biennale, il monumento agli Alpini di Belluno (1914), il medaglione con il ritratto di Giovanni Battista Zorzato per il teatro Accademia di Conegliano (1914), il ritratto di Giuseppe Previtali per la chiesa di San Salvador (1919).
In seguito alla Rotta di Caporetto, trascorse un periodo a Chieti dove, nel Municipio, lasciò un rilievo con il Leone marciano (1918).
Durante il primo dopoguerra gli furono commissionati soprattutto monumenti ai caduti (si citano quelli di Feltre, Asiago, Longarone, Calalzo di Cadore, Valle di Cadore, Conegliano). Suo fu anche il monumento al soldato serbo nel cimitero di Belgrado.
Fu molto ricercato anche per la realizzazione di monumenti funebri.
la poète Cécile SAUVAGE, mère du musicien Olivier MESSIAEN »
Je t’aimerai encore sous terre.
Je t’aimerai de tous mes os,
Comme ici-bas je fus ta mère,
Je veillerai sur ton repos.
(…)
Ce sera la nuit maternelle
L’intime et pur enlacement
De ton enfance aux membres frêles
Lorsque tu dormais dans mon flanc
Venise à la pointe de l'art contemporain
Le Point - Publié le 20/04/2011 - Modifié le 20/04/2011 à 10:17
Le petit garçon à la grenouille ("Boy with Frog", de Charles Ray) se dresse à la Pointe de la douane (à gauche). © DR
L’association turque DurDe et le réseau américain Projet 2015 invitent les Arméniens vivant dans d’autres pays du monde à l’événement commémoratif qui aura lieu le 24 Avril 2015 à Istanbul. « Notre présence à Istanbul sera une forme de résistance à l’effacement et au déni » a déclaré Nancy Kricorian membre du conseil Projet 2015.
![]() |
Christian Doppler est un mathématicien autrichien, né à Salzbourg le 30 novembre 1803, mort à Venise le 17 mars 1854. Successivement répétiteur de mathématiques à l'institut polytechnique de Vienne (1829-1833), professeur suppléant (1837), puis titulaire (1841) de mathématiques à l'école technique de Prague, professeur de mathématiques, de physique et de mécanique à l'école des mines de Schemnitz (1847), enfin professeur de physique à l'université de Vienne (1851), il fut élu membre de la société royale des sciences de Bohème en 1840 et de l'académie de Vienne en 1848. - ![]() Christian Doppler (1803-1854). |
La ministre n'a toujours pas versé les bourses au mérite destinées aux bacheliers de l'année et exigées par la justice. Lire |
Des drones en pagaille sous les sapins aux États-Unis Au pays de l'oncle Sam, les adolescents sont de plus en plus friands de ces engins volants. Reste à réussir à les faire voler... Lire |
|
||||||||||||||||
|
||||||||||||||||
|
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/litt_0047-4800_2005_num_139_3_1899
« … numquam se minus otiosum esse, quam cum otiosus, nec
minus solum esse, quam cum solus esset [1] Cicéron De Officiis, III, 1 : « … jamais il n’était... [1] . »
En 1337, cherchant à fuir la vie agitée d’Avignon, toute bruissante des souvenirs de ses années les plus frivoles, Pétrarque se retire dans l’ermitage du Vaucluse qu’il vient juste d’acquérir et qui va devenir son « Hélicon transalpin [2] « Hunc Elicona nostrum transalpinum vocitare soleo »,... [2] ». C’est là, à Fontaine-de-Vaucluse pour être précis, près de la résurgence de la Sorgue, dans une petite thébaïde au jardinet modeste qui s’avère un délicieux refuge loin des mondanités de la cité des papes, que seront conçues ou ébauchées, de son aveu même dans l’Epistola ad Posteros, la plupart de ses œuvres majeures – De Viris Illustribus, Africa, Septem Psalmi Penitentiales, Secretum meum… Cette décision fait suite à une période de mûre réflexion entamée au retour de huit mois de pérégrinations à travers l’Europe du Nord – Paris, Gand, Liège, Aix-la-Chapelle, Cologne, la forêt des Ardennes, les bords du Rhin, puis Lyon et Avignon –, sitôt après la rencontre, à la Sorbonne en 1333, du moine augustin et professeur de théologie Dionigi da Borgo San Sepolcro : celui-ci lui offre un exemplaire des Confessiones, à la lecture desquelles Pétrarque ressent l’inconsistance, sinon la vanité de son existence, jusque-là légère et dispersée. Tolle, lege…
|
||||
|
||||
|
Dans ce monde rempli de haine
Je veux croire en la vie souveraine
Qui m’aide à aimer
Ceux qui veulent bien m’entourer.
Pour lire la suite et d'autres poèmes de moi, cf. mes 14 recueils en vente sur ce blog.
Dans les bribes de paroles
J’entends la marche brumeuse
des autres mondes
et du temps le sombre vol,
je sais chanter avec le vent...
(traduction Serge Venturini)
Être poète russe, voulait dire encore il y a peu en Russie et sans doute encore, être un voyant.
Alexandre Blok fut cela, et, autant que Pouchkine, il aura marqué les lettres russes. Il aura été sans le vouloir à la jonction des mondes qui s'opposaient, et dans le passage fiévreux d’espoir de l'un à l’autre. Il pressentait qu’il lui faudrait vivre dans un autre temps. Il le désirait : il en fut terrassé de déceptions.
Et il se laissa quasiment mourir de désolation pour sa « patrie malade ». Alexandre Blok sera victime d'une sorte de non-désir de vivre : « Le poète meurt parce qu'il ne peut plus respirer. La vie a perdu son sens », a-t-il écrit. Comme ses amis poètes - Nicolas Goumilev, Serge Essénine, Maïakovski, Marina Tsvétaéva, Ossip Mandelstam...- il sera fauché avant que les blés ne soient mûrs. À 41 ans, le 7 août 1921, il disparaît, laissant dans la glaciation qui s’étend, une Russie figée où n’émergent qu’Anna Akhmatova et Pasternak réduits au silence et à l’effroi.
![]() |
ALERTE INFO > 11H43 |
La ministre de la Santé annonce une levée du préavis de grève des urgentistes
La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé la conclusion d'un accord avec les médecins urgentistes qui permet selon elle à ces derniers de lever leur préavis de grève.
"Je me réjouis de l'issue favorable de ces discussions", a-t-elle déclaré à la sortie du conseil des ministres. "La levée du préavis de grève des urgentistes est évidemment une excellente nouvelle", a-t-elle ajouté.
|
|||||||
|
|||||||
|
Grotte Chauvet : rebondissements autour de sa découverte il y a 20 ans
Dans un omnibus au Londres (Ezra Pound, 1915 ou 1916)
Les yeux d’une morte
M’ont salué,
Enchassés dans un visage stupide