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Le wali de la région du Grand Casablanca traque les fonctionnaires fantômes

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Le wali de la région du Grand Casablanca traque les fonctionnaires fantômes  

Le wali de la région du Grand Casablanca met de l’ordre dans les rangs. Face aux scandales des fonctionnaires fantômes, il a envoyé une circulaire aux présidents du Conseil de la ville et des arrondissements communaux. Il réclame une fiche explicative détaillée de la situation de l’ensemble de leurs fonctionnaires, en actualisant la liste du personnel. Le but est d’en finir avec le personnel inexistant ou simplement absent régulièrement. Au fil des ans, le nombre de fonctionnaires à Casablanca s’est vu raboter. En 2003, le Conseil de la ville en comptait 24 000, il est descendu par la suite à 17 400 pour arriver à 15 300 selon le recensement de mars dernier. Pour le reste du pays, il faut compter 518.803 employés de la Fonction Publique. En s’attaquant aux fonctionnaires fraudeurs de Casablanca, le ministre de l’Intérieur en fait un bon exemple de la chasse aux fonctionnaires fantômes.

Risque pays : Le Maroc fait toujours preuve de résilience 

L’expert français de l’assurance-crédit «Coface» maintient son évaluation A4 pour le Maroc. L’annonce a été faite hier dans le cadre du colloque Coface Risque pays 2015 tenu à Paris.Un signe de résilience de l’économie marocaine par rapport aux chocs externes, mais également une source d’inquiétude quant à l’amélioration du climat des affaires pourtant érigé en priorité par le gouvernement. «La situation du Maroc reste stable et à un niveau relativement élevé. Il s’agit d’une note assez bonne. C’est un indicateur qui tient compte notamment de certaines des vulnérabilités structurelles du Maroc, notamment en matières d’endettement public et de déficit courant qui traduisent la vulnérabilité du pays», explique Julien Marcilly, responsable risque pays à la Coface.

Inondations, les dégâts estimés à 1,3 MMDH  

Les inondations qui ont touché l’ensemble des régions du royaume, il y a environ deux mois, ont causé d’innombrables dégâts. Fin novembre, l’urgence de la situation a relégué au second plan l’estimation du coût de ces dégâts, ainsi que de celui du réaménagement des zones sinistrées, car s’il était important d’un point de vue budgétaire et prévisionnel, de connaître l’ampleur des dommages causés, notamment par les crues des oueds, l’heure était au désenclavement de populations entières qui se sont retrouvées dépourvues d’accès aux régions limitrophes. À l’heure actuelle et grâce au programme de réparation des dégâts dans les zones affectées et au «traitement définitif des points de coupures dans le réseau structurant au niveau national», mis en œuvre par le ministère de l’Équipement et du transport, le coût estimé des dégâts engendrés par ces récentes inondations ayant affecté l’infrastructure routière est désormais connu.

 

Coopération judiciaire, tête-à-tête Ramid/Taubira, ce jeudi 

Après la tentative avortée de Mezouar, c’est Mustapha Ramid qui prend les choses en main. Le ministre de la Justice rencontre Christiane Taubira, la Garde des sceaux française, cette semaine. L’information a été confirmée par Salaheddine Mezouar, le mardi 27 janvier. Selon nos informations, cette rencontre se déroulera ce jeudi 29 janvier, à Paris. Au menu de cette rencontre figure bien évidemment la coopération judiciaire entre les deux pays. Une coopération suspendue depuis près d’un an entre le Maroc et la France. Cette rencontre marquera-t-elle le dégel entre ces deux proches alliés, aux relations d'ordinaire bien cadrées et qui traversent une crise diplomatique inédite.

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