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  • Les « macchiaioli »(expo vue jeudi dernier) sont-ils vraiment des impressionnistes ?

     
      • Par Adrien Goetz
      • Mis à jourle 08/05/2013 à 17:17
      • Publiéle 08/05/2013 à 17:09

    La plage de Castiglioncello, en Toscane, l'une des plus élégantes stations balnéaires d'Italie, avec sa tour médicéenne et ses villas aux volets rouillés, est à la mode tous les cent ans. En 1960, elle accueillait les vedettes de cinéma qui bronzaient sur les rochers. Dans les années 1860, autour de Diego Martelli, proche de Degas et de Nadar, aussi

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/05/08/10001-20130508ARTFIG00318-les-macchiaioli-sont-ils-vraiment-des-impressionnistes.php

  • Les tribulations d'un architecte en Chine

     

    Planche de calligraphie chinoise qui a servi d'inspiration au projet du Namoc. Le fameux trait de pinceau a donné lieu à la forme dynamique du bâtiment. Crédits photo : Ateliers Jean Nouvel & BIAD
     

    En exclusivité, Jean Nouvel révèle son projet pour le futur National Art Museum of China qui sera construit à Pékin, à proximité du stade le «Nid d'oiseau».

     
     

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  • Chercher la croissance au long cours

    Par Valerie Froger | 15/05 | 00:19

     

     

    Les PME françaises exportent peu. Pourtant, des opportunités de business existent dans de nombreux pays, au-delà de l'Europe, des Etats-Unis et des BRIC.

    Chine, Inde, Russie, Pologne Malaisie… Plus de marchés inaccessibles aux PME. A condition de définir minutieusement sa stratégie export. - Photo Adam Dean/NYT-Redux-RéA
    Chine, Inde, Russie, Pologne Malaisie… Plus de marchés inaccessibles aux PME. A condition de définir minutieusement sa stratégie export. - Photo Adam Dean/NYT-Redux-RéA

    Le constat est désormais acquis. Les PME qui exportent s'en sortent mieux et les enquêtes ne cessent de le rabâcher. D'après le 56 e baromètre de conjoncture d'Oséo, seules les PME avec une dimension internationale ont conservé une croissance significative en 2012 avec une hausse moyenne de leur chiffre d'affaires de 3,9 %. « Les chefs d'entreprise ont compris que, pour se développer, il faut aller chercher la croissance dans d'autres pays. C'est un phénomène nouveau pour un pays qui a longtemps privilégié le marché intérieur », analyse Christophe Lecourtier, directeur général d'Ubifrance. Résultat, la part des PME exportatrices, en chute libre depuis le début des années 2000, repart à la hausse. En 2012, elles étaient 119.000, contre 117.000 en 2011.

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  • L'Express se «réinvente»

     
      • Par Philippe Larroque
      • Mis à jourle 15/05/2013 à 09:29
      • Publiéle 14/05/2013 à 19:58
    La une du magazine (ci-dessus du 15 au 21 mai) ne présentera plus qu'un seul sujet fort, qui sera développé sur 10 à 12 pages à l'intérieur.

    La une du magazine (ci-dessus du 15 au 21 mai) ne présentera plus qu'un seul sujet fort, qui sera développé sur 10 à 12 pages à l'intérieur.

    À l'occasion de ses soixante ans, le news propose une nouvelle formule qui abandonne un déroulé par rubrique et doit permettre d'«anticiper l'actualité

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  • Universal Music fait renaître le disque

     
      • Par Benjamin Ferran
      • Mis à jourle 15/05/2013 à 11:35
      • Publiéle 14/05/2013 à 19:04
    Le format Blu-ray permet d'accueillir les fichiers sonores sans aucune compression, contrairement au CD et au MP3. Il est lisible par des lecteurs comme la PlayStation 3, la Freebox Revolution et tous les ordinateurs compatibles.

    Le format Blu-ray permet d'accueillir les fichiers sonores sans aucune compression, contrairement au CD et au MP3. Il est lisible par des lecteurs comme la PlayStation 3, la Freebox Revolution et tous les ordinateurs compatibles.

    Le nouveau format «Blu-ray Pure Audio» apporte une qualité sonore inégalée. Il cible notamment les acheteurs de vinyles, à la recherche d'un son plus authentique.

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  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose

    40e anniversaire de la mort de Henry de Montherlant (20 avril 1895-21 septembre 1972)

    Enfant unique, qui grandit dans une grande maisonnée, à Paris, "remplie d'oncles à n'en plus finir", mais élevé par sa mère et surtout par sa grand-mère maternelle, fervente catholique, à laquelle il écrivit près de mille lettres, Henry de Montherlant connaît la passion d'écrire dès l'âge de sept ans.

    Ses premières œuvres autobiographiques, La relève du matin (1920) et Le Songe (1922), retracent sa jeunesse catholique et son expérience de la guerre. Devenu en 1919 secrétaire général de l'ossuaire de Douaumont, il raconte sa nouvelle existence, partagée entre la pratique du sport et la création littéraire, dans Les Olympiques (1924).

    En 1925, parti pour "dix ans de nomadisme" en Méditerranée, il écrit alors Les Bestiaires (1926), récit de ses expériences tauromachiques en Espagne, puis, installé à Alger, La Rose de sable (1930-1932) , roman anticolonialiste avant l'heure, qui ne paraîtra qu'en 1968.

    Son premier roman à succès, Les Célibataires (1934), reçoit le prix de l'Académie française, suivi de la série romanesque Les Jeunes Filles (1936-1939), publiée à près d'un million d'exemplaires. Après L'Équinoxe de Septembre (1938), livre anti-munichois qui sera interdit par l'occupant, et Le Solstice de juin (1941), qui marque une sorte d'acceptation, Montherlant fait retraite dans le théâtre avec de grandes œuvres dramatiques : La Reine morte (1942) ; Fils de personne (1943) ; Le Maître de Santiago (1947) ; Malatesta (1946) ; La Ville dont le prince est un enfant (1951) ; Port –Royal, (1954) ; Le Cardinal d'Espagne (1960).

    Il reviendra au roman avec Le Chaos et la Nuit (1963), Les Garçons (1969) et Un assassin est mon maître (1971), avant de se donner la mort, le 21 septembre 1972, jour de l'équinoxe.

    http://www.france.fr/hommes-et-femmes-dexception/40e-anniversaire-de-la-mort-de-henry-de-montherlant-20-avril-1895-21-septembre-1972

     

  • Liberté, égalité, fraternité… et esprit d'entreprise ?

     

    Alors que les Français attendent des prochaines annonces du président de la République qu'elles tracent le chemin qui mène au redressement de notre pays, l'occasion lui est offerte d'établir la corrélation entre l'esprit d'entreprise et la liberté d'entreprendre - dont il a su défendre les mérites en clôture des Assises de l'entrepreneuriat - et le relèvement de nos défis collectifs, qu'il s'agisse de l'emploi, des retraites ou de la résorption de nos déficits.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/05/14/10001-20130514ARTFIG00483-liberte-egalite-fraternite8230-et-esprit-d-entreprise.php

  • Catégories : Camilleri Andrea, Les polars

    Je n'arrive pas à lire:"La disparition de Judas"

    Titre original : La scomparsa di pató
    Traduit de l'italien par Serge Quadruppani
     

    A Vigàta, le vendredi saint de l'an 1890, est représenté le mystère de la Passion du Christ, dit Les Funérailles Le comptable Patò, fonctionnaire irréprochable et époux exemplaire, incarne avec humilité le personnage de Judas. Comme prévu, au moment de la pendaison du mauvais apôtre, la trappe s'ouvre et Patò disparaît, mais pour ne plus réapparaître. Où est passé Patò? Fugue, assassinat, fracture spatio-temporelle?

    Houspillés par leurs supérieurs, menacés par les jeux des puissants, le délégué de la sécurité publique et le maréchal des carabiniers vont devoir oublier leurs rivalités pour traquer la vérité. Et, quand ils l'auront trouvée, le plus dur sera de savoir qu'en faire.

    Camilleri, avec son inimitable talent, met à la disposition du lecteur un dossier complet et hilarant: catalogue des langues bureaucratiques, savantes ou argotiques, défilés de personnages hauts en couleur jeux du pouvoir qui parlent du passé de la Sicile pour éclairer son présent. Comme toujours, un régal de lecture !




    http://www.editions-metailie.com/fiche_livre.php?id_livre=837
  • Picasso érotique (DVD)

    de Valérie Manuel

    l’œuvre de Picasso est tout entière érotique, depuis ses premiers dessins jusqu’aux derniers réalisés quelques semaines avant sa mort à l’âge de 92 ans. Pour Picasso, « l’art et la sexualité, c’est la même chose ».

    Toute sa vie Picasso a cherché la vérité en regardant véritablement les choses en face, en créant tantôt des images de rêve et d’émotion, tantôt des visions inacceptables pour forcer le regardeur à comprendre qu’il vit dans un drôle de monde. Chaque femme a été pour lui le moyen de préciser ce qui l’attire et ce qui l’effraie dans la passion amoureuse.

    Picasso Erotique décline le féminin à travers les expériences d’une longue vie amoureuse, peuplée de nombreuses compagnes. Il raconte les désirs, émois, angoisses, pulsions et voluptés de l’artiste qui peuvent aussi trouver un écho en chacun de nous.

    http://www.editionsmontparnasse.fr/p935/Picasso-erotique-DVD

     

  • Catégories : A lire, Les polars

    "Une belle saloperie" de Robert Littell

    Robert Littell : "Sous la bonne étoile de Chandler"

    Le Monde | 08.05.2013 à 18h24 • Mis à jour le 09.05.2013 à 10h45

    Par Franck Nouchi

     
     

     Ce mardi 30 avril, il fait froid et gris sur Paris. Robert Littell nous a donné rendez-vous à La Rotonde, place de la Bataille-de-Stalingrad. "C'est bien, souligne-t-il, d'avoir gardé ce nom de Stalingrad, et d'avoir voulu ainsi rendre hommage au courage des soldats russes."

    Robert Littell.

    Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés

    Avec Robert Littell, l'histoire, la grande histoire, n'est jamais loin. Dans son maître-livre, La Compagnie. Le grand roman de la CIA (Buchet-Chastel, 2003), l'ancien journaliste de Newsweek, autrefois spécialisé dans les affaires soviétiques, a démontré à quel point espionnage et littérature pouvaient faire bon ménage. En 2009, il s'est aventuré loin des services secrets avec un merveilleux livre intitulé L'Hirondelle avant l'orage (Baker Street) consacré au poète russe Ossip Mandelstam (1891-1938). Deux ans plus tard, il est revenu à "son" sujet, consacrant un livre étonnant à Kim Philby, l'un des cinq "espions de Cambridge", ce groupe d'étudiants britanniques qui travailla pour le compte de l'URSS (Philby. Portrait de l'espion en jeune homme, Baker Street).

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  • Nous avons aimé vendredi matin:Les impressionnistes slovènes et leur temps

    Les impressionnistes slovènes et leur tempsDATE : Du Jeudi 18 avril 2013 au samedi 13 juillet 2013

    LIEU : Le Petit Palais (Paris 75008)

     

     

    HORAIRE : Du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h. Fermé le lundi et les jours fériés.

    TARIF : de 4 à 8 euros

    L'école slovène
    Les impressionnistes slovènes et leur temps offre au public français de découvrir quatre peintres à la charnière des XIXe et XXe siècles originaires de ce pays, alors province de l'empire austro-hongrois. Formés ensemble à Munich, Ivan Grohar, Matija Jama, Matej Sternen et Rihard Jakopi? aimaient peindre en plein air et furent pour cela qualifiés d'impressionnistes. En réalité, leur peinture a plus à voir avec le post-impressionnisme. À découvrir également, les sculptures prenantes de leurs contemporains, Franc Berneker, Lojze Dolinar ou Ivan Zajec, la reconstruction de Ljubljana après le tremblement de terre de 1895, une belle collection d'illustrations Art nouveau et des photos et caricatures de l'époque.

    État de l’ex-Yougoslavie devenu indépendant en 1991, la Slovénie est encore une province de l’empire austro-hongrois (la Carniole) quand elle commence à s’ouvrir à la modernité à la fin des années 1880. Cette période est aussi celle de l’affirmation d’un fort sentiment d’identité nationale auquel les artistes (peintres, sculpteurs, écrivains, architectes) vont tenter de donner forme.

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  • Catégories : Baudelaire Charles, J'ai vu, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    J'ai aimé voir jeudi

     

    Dans l'intimité de l'atelier Geoffroy-Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique

     

    Mercredi 24 avril 2013 - Lundi 22 juillet 2013

    © Fonds Geoffroy-Dechaume, MMF/CAPA

    Cette exposition propose une immersion dans l’atelier d’un sculpteur au XIXe siècle afin de montrer le processus créatif d'un artiste inventif et fécond : Adolphe Victor Geoffroy-Dechaume.

    Particulièrement doué pour la conception de modèles d'orfèvrerie (il est le créateur de chefs-d’œuvre présentés au musée du Louvre) il participe aussi comme sculpteur à des chantiers de restauration d’édifices majeurs (la Sainte Chapelle, Notre-Dame-de-Paris, la cathédrale de Chartres) aux côtés d’architectes emblématiques tels que Viollet-le-Duc ou Lassus.

    Par la diversité et la qualité des objets présentés, cette exposition révèle les différentes étapes de la création au travers de croquis, dessins, photographies, estampes, cires, moules, plâtres originaux, moulages sur nature, objets révélateurs des pensées premières de l’artiste. Ces traces émouvantes, laissées derrière lui dans le secret de l’atelier, témoignent du travail d’un artiste dont la finesse et l’inventivité n’ont d’égale que sa capacité érudite à restaurer la sculpture monumentale.

    Découverte d'un autoportrait de Charles Baudelaire
    dans le fonds de l'atelier du sculpteur


    Lors de l’inventaire des oeuvres graphiques du complément de donation Geoffroy-Dechaume effectué en décembre 2011, un dessin aquarellé attire l'attention d'Emmannuel Bréon, conservateur au musée et se révèle être un autoportrait de Charles Baudelaire (1821-1867). Jean Paul Avice, spécialiste baudelairien a pu le confi rmer à Carole Lenfant, attachée de conservation, commissaire de l’exposition. Ce dessin inédit sera prochainement présenté dans l’exposition « Dans l’intimité de l’atelier : Geoffroy- Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique ».

    http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24944-dans_lintimite_de_latelier_geoffroy-dechaume_1816-1892_sculpteur_romantique.html

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  • Catégories : J'ai vu, Le Musée de l'Orangerie(Paris 1er)

    J'ai aimé voir jeudi après-midi:Les Macchiaioli 1850-1874

    Des impressionnistes italiens ?

    Du 10 avril au 22 juillet 2013

     

    Giovanni Fattori :
    La Rotonda dei bagni Palmieri
    © Archives Alinari, Florence
    Dist. RMN-Grand Palais / Nicola Lorusso

     
     


    Majoritairement originaires de Toscane, les Macchiaioli constituent à Florence dès les années 1850 un groupe d'artistes révoltés.
    Qui sont ces Macchiaioli au surnom intraduisible ?
    Littéralement des "tachistes", cette désignation péjorative est apparue dans la presse en 1862 à l’occasion d’une exposition, et le terme fut adopté par eux-mêmes. En rupture avec la tradition picturale néoclassique et romantique dominante, ils donnent un souffle nouveau à la peinture italienne ; leur volonté de trouver une nouvelle forme d’expression picturale en réaction à un art trop élitiste est une priorité absolue. Ainsi, ils rompent avec les compositions académiques de la peinture d’histoire, des portraits officiels. Le choix des sujets est nouveau et une véritable révolution s’opère dans le traitement de ces derniers : l’image de la réalité est un contraste exprimé sur la toile par alternance de taches de couleurs et de clair-obscur.

    Les Macchiaioli sont considérés comme les initiateurs de la peinture moderne italienne, et exerceront  une influence capitale sur des cinéastes italiens, comme Luchino Visconti et Mauro Bolognini.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Une passion française. La collection Marlene et Spencer Hays

    Un couple d'amateurs d'art américains, amoureux de la culture française, a réuni pendant plusieurs décennies un ensemble exceptionnel d'oeuvres du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

    Les liens d'amitié tissés entre les propriétaires et le président des musées d'Orsay et de l'Orangerie permettent aujourd'hui la présentation de cette collection.
    Parmi celle-ci se trouve le septième panneau des Jardins publics d'Edouard Vuillard, dont le musée d'Orsay conserve déjà cinq des neufs panneaux, mais aussi des oeuvres de Bonnard, de Ranson, de Roussel, ainsi que plusieurs peintures envoûtantes de Vuillard ou encore des panneaux décoratifs de Maurice Denis ainsi que deux chefs-d'oeuvre symbolistes de Redon.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Par Annick Colonna-Césari (L'Express), publié le29/03/2013 à 16:46

     

    ROMANTISME NOIR AU MUSEE D'ORSAY - Une étonnante exposition. Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons.

    © Musée d'Orsay, dist. RMN / Patrice Schmidt

    Les sorciers de Harry Potter et les vampires de Twilight n'ont qu'à bien se tenir. Le musée d'Orsay vient de convoquer entre ses murs tous les monstres, les démons et les spectres de la terre, exposés sous l'intitulé L'Ange du bizarre. Depuis la fin du 18ème siècle, le goût du fantastique et du macabre irrigue en effet les arts européens. Réaction aux Lumières et fruit du vent de liberté qui se met alors à souffler, ce mouvement a bousculé les conventions sociales, morales et esthétiques. 

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le musée d'Orsay propose, jusqu'au 9 juin, une étonnante exposition autour du "romantisme noir". Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons. Vous êtes déjà mordus? Suivez le guide. 

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  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite de jeudi :L'ange du bizarre

    Le Romantisme noir, de Goya à Max Ernst

     

     
    mars 2013

    Dès la fin du XVIIIe siècle, dans toute l’Europe, les artistes multiplient les solutions plastiques pour plonger leurs spectateurs dans les vertiges du terrible et du grotesque.  Ce hors-série propose de relire les sources littéraires et
    artistiques de l’univers de la fantaisie noire qui continue d’imprégner nombre de films, jeux vidéos et créations musicales de notre temps.

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-625-L-ange-du-bizarre.html
     
    Précédente publication:
    07/03/2013 20:16
     
     
     
  • Catégories : A voir

    Le Mexique au Louvre, chefs-d’oeuvre de la Nouvelle Espagne

    Axe d’ouverture et de développement de la collection hispanique du Louvre, l’art mexicain s’invite dans  les salles du musée au printemps.

    Une sélection d’une dizaine d’oeuvres présentera au milieu des peintures espagnoles le meilleur de cette école « cousine ». Du zurbaranisme monumental de José Juárez à la fougue baroque de Cristóbal Villalpando en passant par la suave douceur de Rodríguez Juárez, le visiteur découvrira le visage changeant de deux siècles de création du Nouveau Monde et appréciera ses rapports à la fois proches et indépendants avec l’art ibérique.

    Peu connu en France, l’art d’Amérique latine est néanmoins représenté dans les collections publiques. Forte du travail de recensement de l’art hispanique entrepris par le Louvre et l’Institut national d’histoire de l’art (projet BAILA), la publication qui accompagne cet accrochage offre l’occasion de rappeler les oeuvres majeures de cette école dans le patrimoine national, d’en questionner les origines et d’en étudier la fortune.

    Commissaire(s) :

    Guillaume Kientz, musée du Louvre, et Jonathan Brown, New York, Institute of Fine Arts.

    http://www.louvre.fr/expositions/le-mexique-au-louvre-chefs-d-oeuvre-de-la-nouvelle-espagne-xviie-et-xviiie-siecles