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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi matin:David d'Angers

     

    Dessins des musées d'Angers

     

    David d’Angers, Garnier, Percier, Cortot, Ingres à l’Institut (détail) - 140 * 87 px

    Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.

    Aile Denon, 1er étage, salles Mollien, jusqu'au 20 Mai 2013

    http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers

  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé visiter jeudi matin:De l'Allemagne

    De l'Allemagne - Catalogue de l'expositiondu 28 Mars 2013 au 24 Juin 2013

     

    Remerciements :
    Cette exposition bénéficie du soutien du CERCLE INTERNATIONAL DU LOUVRE, avec la collaboration des AMERICAN FRIENDS OF THE LOUVRE, et du concours de
    BMH AVOCATS.

    Le catalogue bénéficie du mécénat de Rudolf-August Oetker Stiftung.
    La scénographie a bénéficié du soutien de Deloitte.
    La communication de l’exposition bénéficie du soutien de l’Office National Allemand du Tourisme.

    L’œuvre d’Anselm Kiefer a bénéficié du soutien de la galerie Thaddaeus Ropac.

    Riche de plus de deux cents oeuvres, l’exposition propose une réflexion autour des grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939. Elle replace la production artistique et les artistes, de Caspar David Friedrich à Paul Klee, de Philipp Otto Runge à Otto Dix, dans le contexte intellectuel de leur création et les confronte aux écrits des grands penseurs, au premier rang desquels figure Goethe

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu

    J'ai pris plaisir à lire pour préparer ma visite:De l'Allemagne

    1800-1939

     
    mars 2013

    Dans une Allemagne multiconfessionnelle, marquée par une discontinuité géographique et des contextes politiques différents, la notion de Kultur est apparue comme la plus susceptible de constituer le terreau sur lequel inventer une tradition allemande moderne. Le hors-série revient sur les grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939 et s’attache à analyser la façon dont les beaux-arts, du romantisme à la Nouvelle Objectivité, ont pu participer à la création de l’identité culturelle allemande.
  • Catégories : A lire, Chagall Marc, Ma bibliothèque

    J'ai acheté en sortant de l'exposition "Chagall" au Luxembourg

    Présentation de l'éditeur

    C'était plein à craquer, des maçons, des peintres en salopettes prenaient le pousse-café au comptoir où nous attendions dur se libère une table. Le menu était affiché à la craie sur un des miroirs, ce jour-là c'était une blanquette de veau. Papa portait une veste en velours et un béret serré comme celui d'Auguste avec bien évidemment une chemise à carreaux. Un ne dépareillait pas du tout dans le restaurant où, très vite, on avait trouvé à s'asseoir. Les deux ouvriers à la table à côté ont regardé les mains de Papa, tachées de couleurs diverses, ces mains dont il disait souvent qu'elles étaient imprégnées jusqu'à l'os. Il avait alors plus de soixante-dix ans, mais avec son allure énergique et l'impression de puissance qui émanait de lui, il pouvait très bien passer pour un peintre en bâtiment. Vous avez un chantier dans le coin ? demanda l'un d'eux. Je refais un plafond à l'Opéra, répondit mon père, attaquant son œuf dur mayonnaise. David McNeil puise dans sa mémoire des souvenirs colorés, comme ces galets peints qu'avec son père, Marc Chagall, ils jetaient dans la mer pour le plaisir des méduses. --Ce texte fait référence à l'édition Broché . alors que j'ai pris l'édition de poche

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  • Catégories : Chagall Marc, J'ai vu

    J'ai aimé voir mercredi après-midi:Marc Chagall "Entre guerre et paix", au Musée du Luxembourg

    Publié le 20/02/2013 à 11H39, mis à jour le 09/03/2013 à 14H55

    Exposition Chagall au Palais du Luxembourg

    Exposition Chagall au Palais du Luxembourg

    © Remy de la Mauvinière/SIPA
    "Entre guerre et paix", tel est le nom de cette nouvelle exposition consacrée à l'oeuvre de Marc Chagall, au Musée du Luxembourg (21 février - 22 juillet 2013). Des tableaux nourris par les guerres et l'exil. La violence, ce juif de Russie, l'a connue dès son plus jeune âge.

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  • Catégories : Chagall Marc, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu, La presse

    J'ai fini de lire en allant à Paris pour préparer ma visite:Chagall

    La saga d'un artiste universel

     

     
    février 2013

    Ce hors-série part à la découverte d’un homme passionnant – grand témoin du siècle, juif né en Biélorussie au temps des Tsars, exilé en Allemagne, en France, en Amérique – et de son univers artistique – il connut les grands artistes de son époque et tous les grands courants artistiques, les cubistes, les abstraits, les surréalistes… tout
    en gardant son indépendance – à l’occasion de la passionnante exposition du musée du Luxembourg.

     
  • Catégories : A voir, Boudin Eugène, Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite:Eugène Boudin

    Eugène Boudin

    Figaro Hors-Série

    Eugène Boudin : L'inventeur de l'impressionnisme.

     

    Michel de Jaeghere - Directeur de la rédaction du Figaro Hors-série

    Il avait le visage hâlé d’un loup de mer, la voix douce, le parler lent, les yeux « d’un bleu de faïence ». Il ne fréquentait pas les cafés où se pressaient les figures de la bohème parisienne, entre deux verres d’absinthe, un air de french cancan. Il leur préférait les déjeuners arrosés de malaga, savourés dans l’intimité familiale.
    Ami de Courbet, de Monet, de Fantin-Latour, de Carolus-Duran, ce solitaire n’avait voulu se rattacher à aucune école qui fut « consacrée et sacrée ». Cinq mois avant sa mort, en 1898, arrivé à un état de

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  • Catégories : Boudin Eugène, J'ai vu

    J'ai aimé voir mercredi après-midi:Eugène Boudin

    Pour la première fois depuis 1899, une institution parisienne organise une exposition rétrospective de peintures, pastels et aquarelles de celui que Corot surnomma le "roi des ciels". Eugène Boudin, que Monet considérait comme son maître et comme l’un des précurseurs de l’impressionnisme, a parcouru l’Europe dans une quête toujours renouvelée de la lumière. De sa Normandie natale à Venise, en passant par Anvers, Dunkerque, Berck, la Bretagne, Bordeaux ou la Côte d'Azur, il a su saisir l’atmosphère si particulière de chacun des lieux qu’il a visités.

    EugèneBoudin,le"roidesciels"àParis

    Connu pour ses marines et ses scènes de plage, Eugène Boudin (1824-1898) fut l’un des premiers artistes français à poser son chevalet hors de l’atelier pour réaliser des paysages. Dans ses nombreux tableaux, il s’est tout particulièrement attaché au rendu des éléments et des effets atmosphériques. Il a ainsi été l’un des initiateurs d’une vision renouvelée de la nature, précédant dans cette démarche les impressionnistes et son ami Claude Monet.

    Au fil des années, sa palette s’éclaircit et sa touche s’allège pour mieux restituer les reflets du ciel et de l’eau. De la Normandie à Venise, qu’il découvre à la fin de sa vie, il peint des paysages en mouvement, dans une subtile harmonie de gris colorés. Véritable "roi des ciels", Eugène Boudin a su transcrire à la perfection des éléments aussi changeants que la lumière, les nuages et les vagues.

    Uneexpositioninédite

    L’art de Boudin a très tôt suscité l’intérêt des amateurs américains. Dès 1886, il fait partie des peintres présentés lors de la grande exposition impressionniste organisée à New York par son marchand Durand-Ruel. Ainsi, les musées nord-américains possèdent aujourd’hui de nombreuses œuvres de l’artiste, pour lesquelles il n’existe pas d’équivalent dans d’autres collections publiques. Grâce aux prêts exceptionnels accordés par de grands musées américains, comme la National Gallery de Washington ou le Museum of Fine Arts de Boston, certaines de ses œuvres seront présentées pour la première fois en France.

    Pour cette exposition, le Musée Jacquemart-André a également bénéficié du concours de musées étrangers, tels le Museo Thyssen-Bornemisza et le Musée national des beaux-arts du Québec, et tout naturellement du soutien du Musée d’Art moderne André Malraux du Havre et du Musée Eugène Boudin d’Honfleur, qui possèdent les plus grands fonds d’œuvres de l’artiste en France.

    Exceptionnellement réunis pour rendre hommage à cet artiste indissociable de la mer et de ses paysages, près de soixante peintures, aquarelles et dessins permettront de suivre Eugène Boudin dans sa quête de la lumière, d’Honfleur à Venise.

    Lecommissariatdel'exposition

    Commissaire général de l’exposition : Laurent Manœuvre, Chef du Bureau de la diffusion numérique des collections Direction générale des patrimoines Service des musées de France.
    Spécialiste d’Eugène Boudin, peintre lui-même, Laurent Manœuvre a consacré plusieurs études et ouvrages à l’artiste, parmi lesquels Boudin et la Normandie (éd. Herscher, 1991) et Boudin – le ciel et la mer (éd. Herscher, 1994). Il a également participé à l’organisation de nombreuses expositions, en France et à l’étranger, et tout particulièrement à la rétrospective Eugène Boudin présentée en 1992 au musée Eugène Boudin d’Honfleur.
    Commissaire associé de l’exposition : Nicolas Sainte Fare Garnot, Conservateur du Musée Jacquemart-André

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    Légendes visuels

    Concert au Casino de Deauville
    1865, huile sur toile, 41,7 x 73 cm
    Washington, National Gallery of Art, Collection of Mr and Mrs Paul Mellon, Washington - © Courtesy Galerie nationale d'Art, Washington

    Pêcheuses sur la plage de Berck
    1881, huile sur bois, 24,8 x 36,2
    Washington, National Gallery of Art – Alisa Mellon Bruce collection - © Courtesy Galerie nationale d'Art, Washington

    Scène de plage, soleil couchant
    1864, huile sur toile, 36 x 58 cm
    Mexico, collection Pérez Simón - © Collection Pérez Simón, Mexique

    Abbeville
    1884, huile sur bois, toile, 44,5 x 37 cm
    Madrid, Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid - © Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid

    Scène de plage, Trouville
    1869, huile sur toile, 29 x 47 cm
    Madrid, Collection Carmen Thyssen-Bornemisza en depôt en el Museo Thyssen-Bornemisza - © Colección Carmen Thyssen-Bornemisza en depósito en el Museo Thyssen-Bornemisza

    Fête dans le port d'Honfleur
    1858, huile sur panneau, 41 x 59,3 cm
    Washington, National Gallery of Art, Collection of Mr. And Mrs. Paul Mellon - Courtesy National Gallery of Art, Washington

    Venise, le quai des esclavons le soir, la Douane et la Salute
    1895, huile sur toile, 46 x 65 cm
    Québec, Musée national des beaux-arts du Québec, Don de la succession Maurice Duplessis.Restauration effectuée par le Centre de conservation du Québec - © Photographe, Patrick Altman

    Trouville
    1891, huile sur panneau, 27 x 21,3 cm
    Québec, Musée national des beaux-arts du Québec, Don de la succession Maurice Duplessis - Photo : MNBAQ, Idra Labrie

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/eugene-boudin

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Des femmes comme je les aime, J'ai aimé

    J'ai aimé voir mercredi matin:Marie Laurencin au Musée Marmottan-Monet : une exposition pour un public cible ?1

    A partir du 21 février jusqu'au 30 juin 2013

    Lieu: Musée Marmottan, 2, rue Louis-Boilly, 75016 Paris

    Contact: 01 44 96 50 33

    Liens: Réservez vos billets avec la Fnac

     

    Plus de cinquante ans après sa disparition, le Musée Marmottan s’efforce de rendre hommage à une artiste à l’aura trop longtemps occultée, d’après le commissaire de l’exposition Daniel Marchesseau. Nous avons assisté au vernissage de cette première rétrospective dans un musée français.

    Si l’hommage rendu à Berthe Morisot semblait une évidence, la peinture de Marie Laurencin ne fait pas toujours l’unanimité. Certes, elle fut la compagne d’Apollinaire, la muse et l’amante d’Henri-Pierre Roché, ainsi qu’une figure de la vie mondaine pendant les années folles. Cela ne saurait suffire à réhabiliter sa peinture. Elle-même le disait : « Si je ne suis pas devenue peintre cubiste, c’est que je n’ai pas pu. Je n’en étais pas capable, mais leurs recherches me passionnent. ».

    Pourtant, en traversant les salles lumineuses du musée Marmottan, baignées par la vibration des derniers nymphéas de Monet, nous espérions en apprendre davantage sur le parcours de celle qui demeure une des rares femmes à mener une carrière de peintre dès le début XXe siècle. La déception n’a eu d’égale que le caractère répétitif de l’œuvre de Marie Laurencin

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  • Catégories : Voyage

    J'ai acheté chez Monica Lisait(Boulevard Bonne Nouvelle à Paris 10e) pour préparer notre voyage

    On arrive à Venise comme, après tous les méandres de l'insomnie, on finit par descendre sur la plage d'un songe. On vole vers Venise comme à un rendez-vous d'amour. La hâte du désir fait compter les minutes lentes. On désespère de toucher au bonheur. La ville ne paraît pas. Rien ne l'annonce. On la cherche au Levant. On s'attend à en voir quelque signe, et sur le ciel flotter les pavillons de la chimère. L'horizon, où elle se dérobe, est un infini muet, miroitant et désert. Parfois, on a cru découvrir une tour, un clocher sur la plaine marine ; mais on doute du mirage salin. Est-ce la mer ? est-ce la terre ferme ? ou plutôt, quel mélange fluide, quel transparent accord des deux pâtes sur la palette ? Tout est ciel. C'est le ciel immense des salines, une vasque de rose et d'azur tendre, un océan de nacre, qu'irise, çà et là, quelque perle de nuage. On appelle la mer, et on l'a au-dessus de soi, ce firmament tranquille. Puis, le crépuscule rougit. Une tache de sang coule sur la voûte et s'étend vers la terre. Venise n'apparaît toujours pas. Elle est là-bas, pourtant, dans l'ombre lucide, d'un violet si délicat et si languissant qu'on pense au sourire de la volupté douloureuse. André Suarès, Voyage du condottiere

    Venise, aquarelles de Turner

    Préface:Andrew Wilton

     http://www.decitre.fr/livres/venise-9782909808246.html

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai aimé lire en allant à Paris pour préparer une visite

    Dossier de l'Art n° 205 - Mars 2013

    En concevant son propre « De l’Allemagne », le Louvre s’est donné pour ambition de révéler et de faire comprendre la peinture allemande à un public français qui la méconnaît largement ou l’aborde avec réticence. L’occasion était belle de le faire en 2013, au moment où l’on célèbre le cinquantenaire de la signature du traité de l’élysée. L’amplitude de la période, qui se déploie de 1800 à 1939, de Friedrich à Beckmann, a conduit à réunir près de 200 œuvres d’une qualité exceptionnelle. Elle permet d’éclairer les enjeux, les ressorts et les développements d’un art qui a accompagné l’élaboration d’une conscience nationale, qui s’est cherché et questionné sans relâche, et qui a tracé des voies fortes, sans équivalent en Europe.

     

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars

    J'ai terminé ce matin de bonne heure

    Le Vengeur des catacombesDes catacombes aux procès de délinquants sexuels, un journaliste bon vivant s'invite dans les couloirs du '36'. Irrévérencieux et truculent, il aime bien la police quand elle est efficace, et certains de ses membres quand ils sont féminins. L'intrigue tire ici sa force des liens de respect et de connivence tissés entre policiers et journalistes. En dépit du ton badin, la bonne et la mauvaise conscience de la société finiront par remonter en surface

    http://www.evene.fr/livres/livre/pj-lambert-le-vengeur-des-catacombes-32428.php

  • Catégories : Des expositions

    Félicie de Fauveau. L'amazone de la sculpture.

     

    Le personnage de Félicie de Fauveau (1801- 1886) est aussi emblématique qu'il est unique. Nostalgique d'une époque qu'elle n'a pas vécue, royaliste, catholique, célibataire et féministe, cette sculptrice a engagé sa vie et son art pour défendre une utopie politique s'exprimant avant tout par l'image mise au service de l'Histoire.
    Ralliée à la duchesse de Berry, organisatrice des soulèvements vendéens avec la comtesse de La Rochejaquelein, elle accepta l'exil et se fixe à Florence. Elle déclina une iconographie catholique militante et exaltée, nourrie de la symbolique de l'héraldique, et lui donna les formes d'un néo-gothique et d'un néo-renaissant inspirés. Ses sculptures sont dispersées et peu visibles, pour la plupart hors de France. L'exposition qu'organisent l'Historial de Vendée et le musée d'Orsay sera la toute première rétrospective à lui être consacrée.

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  • Catégories : Des expositions

    La médaille en France aux XIXe et XXe siècles. Au creux de la main.

    L'art de la médaille prend au cours du XIXe siècle une place sans cesse croissante au sein de la vie artistique française. Le Salon annuel lui consacre une section autonome et à partir des années 1890, sous l'impulsion d'un conservateur, Léonce Bénédite, le musée du Luxembourg alors dédié aux artistes vivants et "ancêtre" du musée d'Orsay, débute la constitution d'une collection à part entière : c'est une partie de ce fonds de plus de deux mille médailles qui est présentée ici.

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