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L'art - Page 82

  • J'ai lu hier:Delacroix - La Mort de Sardanapale- Le Musée du Monde - vol. 12

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Ce douzième opus plonge dans le romantisme avec Eugène Delacroix. Inspiré par l’Orient, le peintre s’oppose à la rigueur des Lumières en exaltant le sentiment et le rêve.

    La Mort de Sardanapale
    Charles Baudelaire aura pour le peintre des mots qui campent l’homme, l’artiste comme le territoire qu’il a choisi d’explorer : « Quel est donc ce je-ne-sais-quoi de mystérieux que Delacroix a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme. » Son Sardanapale (1827), aussi alangui qu’impassible, indifférent à son propre destin, est un emblème du héros mythique désabusé, qui préfère précipiter son peuple dans le chaos et le néant plutôt qu’accepter la défaite en renonçant au pouvoir. Il périra par le feu, et sa cour par les armes. Dans cet Orient romantique et imaginaire – que Delacroix ira étudier sur place – s’affirme le privilège du sentiment sur la raison, du rêve et de la fantaisie sur une vision lucide ou maîtrisée du monde. Les romantiques s’opposent à la rigueur rationnelle des Lumières et au néoclassicisme de leurs prédécesseurs. Le drame et la passion entrent dans l’histoire, et avec eux la délicatesse de Corot ou la sensualité de Géricault. Avaient-ils raison ? La violence d’un tigre au combat, le regard détourné d’une esclave dans un harem en disent peut-être davantage sur les moeurs et les idées d’un temps que bien des discours. Le regard de Delacroix possède ce pouvoir flamboyant de vie, nous répétant sans cesse que la modernité est en marche. Signac ou Van Gogh s’en saisiront, rappelant eux aussi que le romantisme n’a pas seulement traversé le xixe siècle mais les passions de tout temps.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-12-delacroix.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai terminé hier:Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham

     

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    Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham


    Le Musée du Monde - vol. 11

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    L'Honorable Mme Thomas Graham
    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le onzième volet de cette série met à l’honneur le maître anglais du xviiie siècle, qui a changé les portraits officiels en oeuvres spontanées et expressives.

    Peintre d’un univers idéal où l’homme vivrait en harmonie avec la nature, chantre d’une élégance oublieuse des bouleversements profonds de son temps, Gainsborough (1727-1788) réinvente le monde, pour en livrer sa vision intérieure, sensible et délicate. Aristocrates et personnalités du royaume seront ses commanditaires mais aussi ses sujets d’étude. Ses portraits en pied reflètent autant la psychologie de leur modèle que l’esthétique, les goûts et les aspirations d’une époque. Aussi, lorsqu’il immortalise Mary Graham, noble épouse de Thomas Graham, il campe un art de vivre, une douceur espérée. De la blancheur distinguée de son teint aux détails de sa soyeuse toilette, d’un fragment de colonne classique à une foisonnante et verdoyante campagne anglaise, l’artiste scelle son désir. Car à la ville urbanisée il préfère les paysages champêtres, hérités de la peinture hollandaise de ce xviie siècle qu’il admire. A la rigidité figée des peintures officielles, il oppose des figures aux gestes spontanés, naturels et expressifs. « La principale beauté est l’intention d’un portrait », prônait le peintre, insufflant à ses oeuvres fantaisie, poésie et rêverie – que son rival, Joshua Reynolds, n’hésitera pas à déprécier. Ainsi, au-delà des apparences, Gainsborough est peut-être un peintre frondeur, qui rompra d’ailleurs avec l’Académie et ne cessera d’affirmer sa vision idéale et classique, à l’instar d’architectes nommés Christopher Wren ou Robert Adam. Tel un précurseur du romantisme, le peintre aura offert au monde et à l’histoire une respiration, une échappée belle, une évasion, ce sentiment de flottement et d’inachevé qui ressemble à une idée du bonheur…

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Dans mon salon:Tiepolo - L'Immaculée Conception

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.

    L'Immaculée Conception
    Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
    l’éternité comme un socle de modernité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • J'ai terminé hier soir:Tiepolo - L'Immaculée Conception

     

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    Tiepolo - L'Immaculée Conception


    Le Musée du Monde - vol. 10

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.

    L'Immaculée Conception
    Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
    l’éternité comme un socle de modernité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai lu hier soir:Renoir - Bal du Moulin de la Galette

     
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    Renoir - Bal du Moulin de la Galette


    Le Musée du Monde - vol. 9

     

    Description

    Le « Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Neuvième maître à révéler  ses secrets, Pierre-Auguste Renoir  raconte à sa manière l’aventure des impressionnistes.

    Bal du Moulin de la Galette
    Tout commence à Paris, dans les années 1860, à l’Ecole des beaux-arts, dans l’atelier du peintre Charles Gleyre (1806-1874), orientaliste, enclin au symbolisme, où Renoir, Monet, Sysley et Bazille font leurs armes. « Rappelez-vous, jeune homme, que quand on exécute une figure, on doit toujours penser à l'antique... » scande le peintre académique à Claude Monet. Chacun en retiendra sa leçon.  Mais plus que tout autre, Renoir (1841-1919) ne cessera d’observer, d’explorer et d’interpréter cette figure humaine qu’il dépeint dans près de six mille œuvres. A Montmartre, le Bal du Moulin de la Galette est un prétexte pour éterniser avec brio une fête éphémère, camper ses amis dans le mouvement de leur danse, comme l’expression d’une liberté de peindre sur l’instant, le vif et le motif. Pourtant, dans la légèreté et l’enthousiasme de son chef-d’œuvre se concentrent les aspirations, les ruptures et les combats de toute une bande d’artistes déterminés à en découdre avec la rigidité et les canons de l’académie alors toute puissante. Au diable le dessin descriptif et figé des aînés. Les fluctuations de la lumière, la souplesse de formes en mouvement, la carnation de visages réjouis éveillent et chantent une peinture nouvelle qui se distingue du naturalisme de l’Ecole de Barbizon ou du réalisme de Courbet. Une force s’anime. Elle entraînera dans son sillage l’Europe entière. Mais Renoir lui offre un destin plus personnel, fondé sur un idéal féminin puisé chez Ingres, Rubens et le Titien. Alors, brossée avec vivacité, sa représentation de la femme, à la fois généreuse, allusive et candide, devient l’icône d’une époque, comme on invente un mythe, comme on fixe l’imaginaire en le faisant entrer dans l’histoire… à la lumière du jour.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art

    Masurovsky : «L'affaire Gurlitt prouve l'opacité du monde de l'art»

    Home MON FIGARO Mon Figaro

    Chercheur associé au Musée de l'Holocauste à Washington, l'Américain Marc Masurovsky travaille sur les œuvres d'art spoliées aux Juifs et a cofondé le Holocaust Art Restitution Project. Il replonge dans les méandres de l'affaire Gurlitt, cette collection de près de 1500 tableaux disparus depuis la guerre et qui a refait surface dans un appartement munichois où vivait, reclus, Cornelius Gurlitt, le fils d'un marchand d'art ayant prospéré sous les nazis.

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art

    Un nouveau record pour Francis Bacon ?

    Mots clés : Francis Bacon

    de Rochebouët, Béatrice
    10/10/2013 | Mise à jour : 19:45


    Christie's vient d'annoncer la vente à New York de cette pièce majeure de Bacon qui sera présentée dès le 13 octobre, à Londres, pendant la Frieze Art Fair.

     

    Voici un nouveau coup de tonnerre qui va faire beaucoup de bruit pendant la semaine des ventes d'art contemporain, à New York, à la mi-novembre. Avant de vivre ce moment exaltant des enchères, Christi...
     
  • Catégories : Des musées, L'art, Venise

    Pauline Borghèse Bonaparte en Vénus(1805-1808) d'Antonio Canova (1757-1822)

    Pauline Borghèse Bonaparte en Vénus

    Qui est cette femme dénudée sur une banquette ? Quel sens a-t-elle ?

    Une jeune femme à demi allongée se repose sur une banquette à l’antique, appuyée du bras droit sur des coussins [ image principale ]. Sa semi-nudité et la pomme qu’elle tient dans la main gauche permettent d’identifier Vénus. À l’issue d’un concours de beauté arbitré par Pâris, Vénus avait en effet reçu la pomme d’or qui devait revenir à la plus belle déesse. Mais cette sculpture est aussi le portrait de Pauline Bonaparte, commandé vers 1804 par le prince Camillo Borghèse, son mari, à Antonio Canova.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art

    Roy Lichtenstein, le dynamiteur de clichés

    Le Centre Pompidou consacre une rétrospective à l’artiste pop américain. Un grand recycleur d’images de la modernité, armé d’un regard critique.

     
    28/8/13 - Mis à jour le 28/8/13 - 17 H 06
     
    M-Maybe a été réalisée en 1965 par Roy Lichtenstein, cette peinture est la propriété du musée Lud...
    M-Maybe a été réalisée en 1965 par Roy Lichtenstein, cette peinture est la propriété du musée Lud...

    Rheinisches Bildarchiv Köln/ ADAGP

    M-Maybe a été réalisée en 1965 par Roy Lichtenstein, cette peinture est la propriété du musée Ludwig (Cologne, Allemagne).

     

    Rheinisches Bildarchiv Köln/ ADAGP

    M-Maybe a été réalisée en 1965 par Roy Lichtenstein, cette peinture est la propriété du musée Ludwig (Cologne, Allemagne).

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai fini hier:Les 200 plus beaux tableaux du monde

    Couverture du livre Les 200 plus beaux tableaux du monde (broché)

    « Est beau, en définitive, ce qui est digne d’attention ». A partir de cette définition, ce livre nous montre en quelques mots, en s’appuyant sur les jugements des plus grands historiens de l’art, en quoi chacune des deux cents œuvres choisies est plus particulièrement digne d’attention.

    Étant bien entendu que la beauté d’une œuvre « s’éprouve et ne se prouve pas », le livre offre au lecteur l’expérience d’un parcours au sein des plus grands musées du monde, mêlant les plaisirs esthétiques complémentaires de la tradition et ceux de la rupture, depuis 1400 (moment de l’histoire où le « tableau » se détache en tant qu’objet de contemplation) jusqu’à nos jours.

    Collection : Les 200 plus beaux
    Parution : 05 Mai 2010
    EAN : 9782812301889
    Nuart : 3423506
    Format : 210x276 mm
    Pages : 416
     
  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai lu hier:Michel-Ange - La Sainte Famille

    Celui qui fut un maître de la couleur préférait pourtant la sculpture et l’architecture. Etre et artiste complexe, protégé des princes et des papes, il aimera l’équilibre comme la démesure, les lignes douces et fluides comme la sauvage véhémence de la nature.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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