Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Gouverner au nom d'Allah
Islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe
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Islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe
" J’en demande pardon aux professionnels, je ne puis résister à l’envie de m’établir, pour un jour, " critique d’art ". La faute en est à Claude Monet. Je suis entré chez Durand-Ruel, pour revoir à loisir les études de la cathédrale de Rouen dont j’avais eu la joie dans l’atelier de Giverny, et voilà que cette cathédrale aux multiples aspects, je l’ai emportée avec moi. Je ne puis m’en débarrasser. Elle m’obsède. Il faut que j’en parle, et, bien ou mal, j’en parlerai. " Georges Clemenceau. Cet article, paru dans La Justice le 20 mai 1985, témoigne de la profonde entente qui liait l’artiste et l’homme politique, son voisin de campagne et ami. Monet a peint entre 1982 et 1983 trente toiles sur le thème de la cathédrale de Rouen.
Mots clés : Edouard Manet, Le Déjeuner sur l'herbe, Musée d'Orsay
Par Aurélia VertaldiEn collaboration avec Stéphane Guégan, spécialiste du XIXe siècle et commissaire de l'exposition, Lefigaro.fr apporte un éclairage sur cette oeuvre.
Manet, inventeur du moderne , musée d'Orsay, jusqu'au 3 juillet 2011.
Catalogue de l'exposition, Gallimard/Musée d'Orsay, 304 pages, 42€.
Hors-série du Figaro,Manet un certain regard,7.90€ LU SUPERBE!
Quand «Le Grand 8» aura vécu, Roselyne Bachelot pourra tenir un salon. Dans le bel hôtel Napoléon III d'Éléphant Paname, où elle a choisi de dédicacer son dernier ouvrage, Verdi amoureux chez Flammarion, on déploie des rangées de sièges pour essayer d'asseoir la centaine de personnes venues l'écouter. Elle fait les honneurs du lieu, évoque son restaurant et son exposition Verdi actuellement en cours pour le bicentenaire de la naissance du compositeur. Elle a le compliment aussi facile que le sourire. Dans sa bouche, tout est «magnifique». Elle parle debout, sans regarder ses notes, robe noire assortie aux huit reflets du maestro dont le portrait s'affiche derrière elle. Conférencière? Très peu. Plutôt, pour quelques heures, maîtresse de cette maison dont elle vient de faire l'éloge
Révélé en 2008 avec «Seul le silence», R. J. Ellory s'est imposé en quatre livres comme un des auteurs
de thrillers favoris des Français. Crédits photo : Photo : Stephane LAVOUE / PASCO
PORTRAIT - Père inconnu, mère décédée, orphelinat, prison : la vie n'a pas toujours été facile pour Roger Jon Ellory. Un passé douloureux dont il a su faire une arme littéraire : hantés par le thème de l'enfance, ses thrillers font partie des meilleurs du genre.
Doris Lessing. Crédits photo : /©Lebrecht/Leemage
La Prix Nobel 2007 est décédée à l'âge de 94 ans. Militante féministe, anticolonialiste et antiapartheid, elle avait traité les réalités africaines au travers de romans autobiographiques
Laurent Fabius devant "La cathédrale de Rouen. Le portail et la tour d'albane, temps gris", Claude Monet, 1894. ©C.Helie Gallimard
du lundi 03 novembre au jeudi 06 novembre 2014 à l'OLympia
http://www.olympiahall.com/variete-francaise-disco/etienne-daho.html
© Karim Sadli
Le festival Days Off est heureux de vous annoncer qu'Étienne Daho sera l'invité d'honneur de l’édition 2014 !
Le chanteur, après de sérieux soucis de santé cet été, avait du décaler la sortie de ce 12e album. Une opération de l'appendicite qui vire à la péritonite, et au cauchemar : deux mois d'hôpital et une convalescence dont il sort à peine. Aujourd'hui, Daho a repris du poil de la bête et le titre de son disque sonne comme un heureux présage.
Douzième album pour Etienne Daho
On a frôlé l'album posthume, c'est ce que dit Daho lui-même, et ironie du sort, tout cela est arrivé alors que le chanteur à 57 ans, venait d'achever un album solide, accompli, comme s'il balayait les étapes de sa carrière, de la chanson sophistiquée qui est la sienne maintenant, à un regard assez tendre sur ses jeunes années pop.
Un peu comme cette pochette espiègle, en noir et blanc où un Daho pose à l'entrée d'un jardin luxuriant, à coté d'une inconnue aux seins nus et gantées de noir, fantôme ou vestale du Palace ou des Bains Douches.
Pourtant, pas un brin de nostalgie dans ces titres. C'est la grande élégance de cet album, qui se penche parfois sur les couleurs acidulées des années 80 avec l'expérience du Daho d'aujourd'hui, qui multiplie les clins d'oeil, sans que rien ne soit daté musicalement. Il a compris l'alchimie de cette époque, qui est la même que l'essence du style Daho : les années 80, celle d'Epaule Tatoo, ou de Week-end a Rome, étaient faussement désinvoltes, imprégnées d'une "gravité légère" selon les mots du chanteur.
Celle-ci se retrouve à peu près partout, puisque le désir d'Etienne Daho, au départ, était de danser, de mettre la dedans de la "disco noire". Ce qui devait d'ailleurs être le premier titre de l'album. Les autres titres se présentent, eux, avec une dramaturgie très étudiée, des morceaux à tiroirs, inquiétants, hypnotiques et qui font couler les violons de belle manière.
Certaines mélodies se sont imprégnées des visites de Daho dans l'univers de Jean Genet (dont le chanteur avait repris Le condamné à mort, avec Jeanne Moreau) ou dans l'univers de Francis Bacon. Daho a justement écrit tout le disque à Londres, près de l'atelier du peintre, qui fut aussi le théâtre de la relation tumultueuse qui liait Bacon à son amant et muse Georges Dyer.
Les passions, la violence, l'hédonisme, tout cela dessine de toute façon en creux un Daho bien planqué derrière les notes de chaque album.
Mots clés : Impressionnisme, Paris, Gustave Caillebotte, Artcurial
Sasportas, Valérie
03/10/2013 | Mise à jour : 12:35
Publié le 18 novembre 2013 à 12h09 Mis à jour le 18 novembre 2013 à 12h28
La photo illustrant le nouvel album d'Etienne Daho, Les Chansons de l’innocence retrouvée, a été censurée par la RATP. © Polydor