Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Catégories : Jeux, La langue (française)/ les langues

    Les timbrés de l'orthogaphe

     

    Le numéro 3 de Timbrés de l’orthographe, 1er magazine entière consacré à la langue française, est actuellement disponible en kiosques au prix de 4,90 . En couverture de ce magazine de 84 pages : Tatiana de Rosnay, marraine de la 3e édition du concours des Timbrés de l’orthographe.

    Au sommaire :
    - un entretien avec Tatiana de Rosnay
    - un reportage sur l’Académie française
    - un dossier consacré aux mots venus du froid
    … et toujours 20 pages de jeux (dictées, quiz, jeux de lettres) et toutes les astuces pour ne plus faire de fautes.

     

    À noter également : ce numéro comporte les corrigés des tests de sélection 2013 du concours des Timbrés de l’orthographe.

     

    Découvrez les premières pages à feuilleter gratuitement :

     
     
     

     

     
  • Catégories : L'art, La presse

    Beaux Arts magazine n° 347 (Mai 2013)

    En couverture :
    Dossier : de Degas à Damien Hirst, que collectionnent les artistes. Les œuvres qu'ils achètent, celles qu'ils échangent, leurs motivations...
    Et aussi : marché de l'art, toutes les tendances 2013 + enquête, pourquoi l'impressionnisme fascine-t-il autant ?

    Au sommaire de ce numéro :

    1/ Le journal
    Les actus culture > voir le sommaire complet

    2/ Le magazine
    L'art en grand format > voir le sommaire complet

    3/ Le guide
    musées/expositions/galeries/marché> voir le sommaire complet

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-655-Beaux-Arts-magazine-n347

  • Catégories : A voir

    Le monde enchanté de Jacques Demy : l'exposition

    Conçue par La Cinémathèque française et présentée au printemps 2013, l’exposition Jacques Demy fera rimer ses extraits de films avec des photographies, peintures, dessins ou sculptures créés par l'artiste lui-même et par des artistes dont le réalisateur a revendiqué l’influence (Jean Cocteau, David Hockney, Alexander Calder, Raoul Dufy, Niki de Saint-Phalle).

    A la fois spectaculaire et intime, l’exposition nous plongera dans un univers coloré et musical !

    http://www.cinematheque.fr/fr/expositions-cinema/exposition-jacques-demy/

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai terminé hier soir:Nicolas Remin, "Les masques de Saint-Marc"

    couverture

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    LES MASQUES DE SAINT-MARC

    La visite de l'empereur François-Joseph et de son épouse Elizabeth est attendue dans la cité des doges, sous domination autrichienne. Dans le plus grand secret, afin de faire fléchir le Parlement qui compte réduire les dépenses militaires, François Joseph a mis sur pied un faux attentat contre sa propre personne. Un risque cependant bien mal calculé par son Altesse impériale : l'un des agresseurs supposé a bien l'intention de tuer le couple impérial ! L'issue fatale est parvenue aux oreilles du commissaire Tron, qui, grâce à des méthodes très personnelles, tente d'alerter l'entourage du Kaiser. La seule personne à le prendre au sérieux, n'est autre que Sissi... Parviendront-ils à renverser le cours de l'histoire?

    Traduit de l'allemand
    par Frédéric Weinmann

     

    http://www.10-18.fr/site/les_masques_de_saint_marc_&100&9782264051578.html

    Précédentes publications:

    27/01/2013 11:25

    16/04/2013 08:41

  • Catégories : A lire

    "Le Mal du pays", de Dominique Jamet

    Par La Différence, le mercredi 03 avril 2013 à 17:40:42

     

     

    •  

    illustration

     

    http://www.actualitte.com/communiques/le-mal-du-pays-de-dominique-jamet-1160.htmCommuniqué


    Salim Jay évoque ici l'essai de Dominique Jamet, Le Mal du pays, paru dans la collection Politique des Éditions de la Différence. L'éditorialiste et écrivain prolifique Dominique Jamet, fait ici l'état des lieux d'une France qu'il souhaiterait voir plus épanouie. Son mot d'ordre "N'ayons pas peur".


    Longtemps, les Gaulois ont été nos ancêtres. Tout commençait avec Vercingétorix, quelque part entre Gergovie et Alésia. Ensuite venaient tout naturellement Geneviève tenant tête à Attila, et Clovis courbant la sienne sous l’onction de Rémi. Par Bouvines et Crécy, par le malheureux roi de France pleurant sa défaite au soir d’Azincourt et par le sourire de Jeanne d’Arc menant Charles VII jusqu’à Reims, par Marignan et par Pavie, par la Saint-Barthélemy et l’édit de Nantes, par le siège de La Rochelle et les échanges de politesse et de coups de fusil de Fontenoy, par la prise de la Bastille, la Déclaration des droits de l’homme, la nuit du 4 août, le moulin de Valmy, les massacres de Septembre, l’exécution de Louis XVI, par Austerlitz et Waterloo, par les Trois Glorieuses et les journées de Juin, par la Commune de Paris et la condamnation du capitaine Dreyfus, par la Marne et Verdun, par les deux armistices de Rethondes, par De Gaulle et Pétain, par la cathédrale de Chartres et la Sainte Chapelle, par le palais de Fontainebleau et le château de Versailles, par les Invalides et l’Arc de triomphe, par Louis XIV et Napoléon, par l’Obélisque et la tour Eiffel, par Ronsard, La Fontaine, Voltaire et Victor Hugo, par la querelle du Cid, l’interdiction de Tartuffe, la bataille d’Hernani, le triomphe de Cyrano, la première du Sacre du printemps, un fil ininterrompu, qui courait au long du temps, reliait et pour ainsi dire cousait depuis deux mille ans les siècles, les générations et les Français les uns aux autres. Ce fil c’était celui de notre histoire, avec ses hauts et ses bas, ses blessures et ses cicatrices, ses moments d’unanimité, ses guerres, le plus souvent étrangères mais trop souvent civiles, ses fractures plus ou moins ouvertes, ses gloires et ses deuils qui s’inscrivaient dans une continuité.
    Ce fil, aujourd’hui, est-il brisé ?

  • Catégories : Des anniversaires

    Danse: cent printemps pour Le Sacre

     

    Home CULTURE Culture
      • Par Ariane Bavelier
      • Mis à jourle 19/04/2013 à 07:06
      • Publiéle 19/04/2013 à 07:00
    Le Ballet et l'Orchestre du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg interprète <i>Le </i><i>Sacre du printemps</i>.

    Le Ballet et l'Orchestre du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg interprète Le Sacre du printemps. Crédits photo : Natasha Razina

    L'anniversaire du chef-d'œuvre de Stravinsky et Nijinski, créé en 1913 au Théâtre des Champs-Élysées, à Paris, est célébré dans le monde entier.

     
    Publicité

    Bons Plans GPSSélection de GPS à prix exclusifs

    J'en profite
    1/5

    Le bruit est l'unité de mesure d'un scandale. Celui qui accompagna la création du Sacre du printemps fut si considérable que sur la scène, les quarante-six danseurs n'entendaient plus le grand orchestre symphonique de cent vingt musiciens. Vaslav Nijinski, debout sur une chaise dans la coulisse, devait leur hurler les mesures. «Étonne-moi», avait dit Serge de Diaghilev à Jean Cocteau, pour résumer sa ligne artistique. Ce 29 mai 1913, le mentor des Ballets russes s'avouait un peu dépassé par sa propre formule.

    Igor Stravinsky est à l'origine du Sacre du printemps. Dans la Russie qui s'ouvre alors vertigineusement vers l'Occident, il se veut, comme d'autres artistes, attentif aux racines slaves. «J'entrevis dans mon imagination le spectacle d'un grand rite sacral païen: les vieux sages, assis en cercle, et observant la danse à la mort d'une jeune fille qu'ils sacrifient pour leur rendre propice le dieu du printemps», note-t-il dans ses chroniques, alors qu'il travaille sur L'Oiseau de feu, en 1910.

    «Je crains que Le Sacre du printemps , où je ne fais plus appel à l'esprit des contes de fées ni à la douleur et à la joie tout humaines, mais où je m'efforce vers une abstraction un peu plus vaste, ne déroute»

    Igor Stravinsky

    Avec le peintre et ethnographe Nicolas Roerich, qui signe les costumes et les décors, ils ébauchent un livret. Serge de Diaghilev confie la chorégraphie de ces tableaux de la Russie païenne à Nijinski. Le dieu de la danse est fatigué des grands sauts qui font pâmer le Tout-Paris. Il cherche d'autres révolutions. Stravinsky aussi, qui devine qu'elles pourraient ne pas faire l'unanimité: «Je crains queLe Sacre du printemps, où je ne fais plus appel à l'esprit des contes de fées ni à la douleur et à la joie tout humaines, mais où je m'efforce vers une abstraction un peu plus vaste, ne déroute», écrit-il, sans museler pour autant son inspiration.

    «Combien de temps ça va durer?», demande Diaghilev quand Stravinsky lui joue pour la première fois au piano «La danse des adolescentes». «Le temps qu'il faudra», répond le ­compositeur. Nijinski ne cherche pas davantage à plaire. Les trois complices sont immergés dans leur souci de ­donner à voir et à entendre, selon le mot de Stravinsky, «la montée totale, panique, de la sève universelle» dans la Russie primitive. Nicolas Roerich ­habille les danseurs de longues ­tuniques. En cent vingt laborieuses ­répétitions, Nijinski leur commande de marteler le sol pieds en dedans et poings sur les joues. «La chorégraphie était incomparable ; à l'exception de quelques endroits, tout était comme je le voulais», écrit en 1913 Stravinsky, qui s'en dédiera plus tard.

    «Le travail d'un fou»

    «Un docteur!», non «Un dentiste», «Deux dentistes», hurle-t-on dans la salle le soir de la création de ce qu'on surnomme déjà «Le Massacre du printemps». Pierre Lanoy, journaliste au Temps, raconte: «J'étais placé au-dessous d'une loge remplie d'élégantes et charmantes personnes de qui les remarques plaisantes, les joyeux caquetages, (…) enfin les rires aigus et convulsifs formaient un tapage comparable à celui dont on est assourdi quand on entre dans une oisellerie. (…) Mais j'avais à ma gauche un groupe d'esthètes dans l'âme desquels Le Sacre du printemps suscitait un enthousiasme frénétique, une sorte de délire jaculatoire et qui ripostaient (…). L'un d'eux, pourvu d'une voix pareille à celle d'un cheval, hennissait de temps en temps (…) un“à la poooorte!” dont les vibrations déchirantes se prolongeaient dans toutes la salle.»

    «C'est de la musique de sauvage avec tout le confort moderne»

    Claude Debussy

    En vain, Diaghilev commande-t-il aux machinistes d'éteindre et de rallumer la lumière du théâtre pour calmer le public. Ravel, qui défend l'œuvre se fait traiter de sale Juif. Debussy, qui a cru perdre l'ouïe pendant les trente-trois minutes du spectacle, résume: «C'est de la musique de sauvage avec tout le confort moderne.» «Le travail d'un fou», assène Puccini, qui assiste à la seconde le 1er juin. Le scandale est si fracassant que son écho se propage encore: pourquoi tant de bruit? «La grande nouveauté duSacre du printemps, c'est le renoncement à la sauce», analyse génialement Jacques Rivière, détaillant son propos sur la musique et la danse dans la Nouvelle Revue ­française, en 1913. «Voici une œuvre absolument pure. Aigre et dure, si vous voulez, mais dont aucun jus ne ternit l'éclat, dont aucune cuisine n'arrange ni ne salit les contours ; (….) tout est ici franc, intact, limpide et grossier. Le ­Sacre du printemps est le premier chef-d'œuvre que nous puissions opposer à l'impressionnisme.»

    Avant d'être repris quatre fois à ­Londres, Le Sacre sera donné quatre fois à Paris. Dans la salle, Valentine Gross Hugo saisit les danses au crayon. Ses dessins, ajoutés à quelques photos, ­témoignages, notations de Marie ­Rambert, qui a assisté Nijinski, serviront à Millicent Hodson et Kenneth ­Archer à le reconstituer en 1987, soixante-quatorze ans après sa création.

     

    Lire la suite

  • Catégories : A lire

    Secret de Rita H


    Le Secret de Rita H,

    Auteur : Stéphanie Des Horts

    Elle incarne le glamour hollywoodien des années 40, donne son nom à l’une des premières bombes atomiques, est la star du box-office. Derrière le sourire enjôleur des photos sur papier glacé, Rita Hayworth cache une blessure que nul ne saurait guérir. Cette fille de modestes danseurs espagnols cherchera désespérément tout au long de sa vie la protection et l’amour des hommes. Elle épouse un prince et un génie. Mais ni Ali Khan ni Orson Welles ne lui apportent le réconfort tant attendu. À l’aube de la quarantaine, le spectre de la maladie d’Alzheimer s’approche, alors que Rita est au firmament de sa carrière. Stéphanie des Horts s’est nourrie de ce destin tragique pour raconter le roman d’une vie. Celui d’une femme désirée, adulée, mais jamais comblée.
     

  • Catégories : A lire, L'histoire

    LENTZ Thierry, 100 questions sur Napoléon

    Résumé / Avis : T. Lentz synthétise dans ce petit livre compact tout ce qu'il y a à savoir sur les différentes facettes de l'Empereur à l'aide de questions, habituelles ou inaccoutumées : Quelle était la langue maternelle de Napoléon ? Croyait-il en Dieu ? A-t-il ruiné la France ? Avait-il peur de la mort ? L'armée de Napoléon était-elle la meilleure du monde ? Napoléon pouvait-il vaincre pendant la campagne de France ?

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Les polars

    Camilla Läckberg : la suite des aventures d’Erica Falck en librairie le 5 juin !

    Camilla Läckberg

    Camilla Läckberg : la suite des aventures d’Erica Falck en librairie le 5 juin !

    05/04/2013
     

    Après La Sirène, Camilla Läckberg poursuit les aventures d’Erica Falck et Patrick Hedström dans Le Gardien de phare, annoncé chez Actes noirs (Actes sud) pour le 5 juin.

    Fidèle au poste, la reine du polar suédois Camilla Läckberg revient avec un nouvel épisode des aventures d’Erica Falck. Après La Sirène, on reste dans le registre maritime avec ce nouvel ouvrage intitulé Le Gardien de phare annoncé dans la collection Actes noirs d’Actes sud le 5 juin.

    Lire la suite

  • Catégories : Le cyclisme

    Eric Fottorino veut emmener vingt-deux jeunes sur les routes du Tour de France cet été

    Publié le vendredi 12 avril 2013 à 19H35

     
    Eric Fottorino présentant son dernier ouvrage à La Galerne :

    Eric Fottorino présentant son dernier ouvrage à La Galerne :

     

    En 2001, lorsqu’il était journaliste au Monde, Eric Fottorino avait couru Le Midi Libre. En éclaireur. Juste devant les pros du peloton.
    Douze ans plus tard, redevenu journaliste indépendant et écrivain, Eric Fottorino veut marquer de son empreinte le centenaire du Tour de France. Il recherche des jeunes à travers la France pour courir cet été le Tour de Fête, de la Corse à Paris.

    Lire la suite

  • Catégories : A lire

    Journal. Une anthologie 1889-1949, d'André Gide

    Une sélection du Journal de Gide, qui s'est retrouvé au carrefour des enjeux politiques, moraux et esthétiques de son temps.

    Cette édition abrégée du journal d’André Gide permet de revenir à l’oeuvre maîtresse de celui qui fut pendant un demi-siècle le «contemporain capital», selon le mot d’André Rouveyre. L’édition complète s’étend sur près de soixante années, 2500 pages, et occupe deux forts volumes de «La Pléiade». Voici donc, en 460 pages, la quintessence de la pensée de cet esprit paradoxal, de ce voluptueux tourmenté, de ce protestant en délicatesse avec la religion, sorte d’agnostique aux élans mystiques, pour qui la plus belle fonction à assumer était celle d’«inquiéteur».

    Gide s’est trouvé au rendez-vous de tous les grands enjeux, politiques, moraux ou esthétiques de son siècle. Paludes, ce joyau, est un coup de pied réjouissant dans le mobilier vermoulu du symbolisme et d’une littérature trop solipsiste : les débuts du Journal en portent la trace, même si Gide ne se montre pas toujours exempt de complaisances narcissiques. Il montre aussi, au jour le jour, les angoisses du créateur, notamment lors de la sortie de Corydon, dont «le sujet flotte dans l’air», et qui va faire de son auteur, entre autres, un pionnier de la défense de l’homosexualité, comme il sera plus tard l’observateur attentif du communisme, avant de le tailler en pièces, ou le pourfendeur du colonialisme…

    Cette édition d’extraits judicieusement choisis du Journal livre la substantifique moelle de cette conscience en marche, inimitable dans ses hardiesses prudentes, ses coups de griffe caressants, ses hésitations : ah ! les pages écrites pendant la guerre, ce constant balancement entre tous les inconvénients du choix… Et cet aveu ultime, presque au bout du chemin : «Un extraordinaire, un insatiable besoin d’aimer et d’être aimé, je crois que c’est cela qui a dominé ma vie, qui m’a poussé à écrire ; besoin quasi mystique, au surplus, car j’acceptais qu’il ne trouvât pas, de mon vivant, sa récompense.»

    http://www.magazine-litteraire.com/critique/non-fiction/journal-anthologie-1889-1949-andre-gide-26-06-2012-36869

  • Catégories : A lire

    Le journal des Goncourt

    De l'oeuvre littéraire des frères Goncourt, abondante, il reste essentiellement le Journal qui a été plusieurs fois réédité, notamment chez Robert Laffont en 1989 (collection «Bouquins»). Le succès de cette édition intégrale a entrainé la réédition de plusieurs des ouvrages littéraires et historiques des Goncourt. Citons, en particulier, le roman Germinie Lacerteux (1865) qui relate les tristes aventures d'une servante hystérique. Emile Zola, un de leurs lecteurs assidus, fera ce commentaire: «Ils ont des nerfs d'une délicatesse excessive qui décuplent les moindres impressions».



    La rédaction de leur Journal, dont les premières pages furent écrites au lendemain du coup d'Etat du 2 décembre 1851, assurera la postérité des Goncourt. Car les deux frères, surtout Edmond qui en a écrit les trois quarts, seront sans complaisance envers leurs contemporains mis à nu. Leurs remarques sont de véritables pointes sèches exécutées de main de maître. Après la mort de Jules, Edmond, qui se révélera un extraordinaire reporter sur la société de son temps, décida d'en publier une partie. Neuf volumes parurent entre 1887 et 1896. L'Académie Goncourt qui avait la charge, par testament, de publier l'intégralité du manuscrit, proposera en 1935 une édition tronquée préfacée par Lucien Descaves. Une autre le fut par André Billy.



    Au risque de procès en diffamation, il était encore trop tôt pour dévoiler la totalité de ce précieux document qui témoigne, sans fausse pudeur, de la vie artistique et mondaine de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le pastiche du Journal des Goncourt par Marcel Proust dans La Recherche du Temps Perdu est sans doute le plus bel hommage rendu aux deux frères.

     

    http://www.academie-goncourt.fr/?article=1229173796

  • Catégories : A lire, Voyage

    Journal d'Amiel

    Journal intime (1847 - 1881)

    Tome 12

    de Henri-Frédéric Amiel

    Editeur : L’Age d’Homme Parution : 15 Janvier 2000

    « Revois deux fois pour voir juste ; ne vois qu’une fois pour voir beau.  »

    de Henri-Frédéric Amiel

    Extrait du Journal intime

    Henri-Frédéric Amiel

    Henri-Frédéric Amiel

    Ecrivain suisse
    Né à Genève le 27 Septembre 1821

    Orphelin dès l'âge de 13 ans, Amiel est élevé par son oncle dans sa ville natale. Après de brillantes études, il voyage et découvre la Suisse, l'Italie, la France, l'Allemagne et...

    http://www.evene.fr/livres/livre/henri-frederic-amiel-journal-intime-1847-1881-13006.php

  • Catégories : A lire

    Autogenèses

    Autogenèses - Philippe LejeuneLes brouillons de soi 2

    Philippe Lejeune

    Date de parution 04/04/2013

     

    Comment transformons-nous notre vie en récit ? Pour le savoir, et connaître la genèse d’une autobiographie, Philippe Lejeune confronte le texte autobiographique à ses brouillons plutôt qu’à la vie hors texte, plus difficile à saisir.

    Lire la suite