Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Mes bouquets de dimanche dernier




En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.






Pénélope, la désormais fameuse conservatrice de Versailles, qui a déjà révélé les inquiétants mystères de la tapisserie de Bayeux (Intrigue à l'anglaise) et du château de Versailles (Intrigue à Versailles), passe une semaine à Venise pour un savant colloque. Un illustre écrivain français, qui ne publie que sur cette ville, meurt tragiquement. Bientôt, ce sont tous les "écrivains français de Venise", club d'habitude paisible, qui sont menacés. Pénélope se retrouve au cœur d'une énigme dont l'origine remonterait au fameux Bal du Siècle, donné par Carlos de Beistegui dans son palais de la Sérénissime en 1951. Aidée par son fiancé le journaliste Wandrille, elle se lance sur la piste d'un tableau de Rembrandt que personne n'a jamais vu et qui dormirait quelque part sur une des îles de la lagune. Les plus grands hommes de lettres français commencent à craindre pour leur vie...
http://www.amazon.fr/Intrigue-%C3%A0-Venise-Adrien-Goetz/dp/2246779715
première publication:
07/04/2013 18:35
Le Monde | 11.04.2013 à 15h00 • Mis à jour le 11.04.2013 à 17h36
Par Fabienne Darge

LE MONDE | 11.04.2013 à 14h52 • Mis à jour le 11.04.2013 à 17h22
La péniche "Louise-Catherine" à Paris en décembre 2001. | AFP/PIERRE VERDY
Esseulée dans le port de Paris-Austerlitz, le corps meurtri par l'usure du temps, Louise-Catherine pourrait bien retrouver ses attraits. La péniche en ciment armé, réaménagée par Le Corbusier pour l'Armée du salut, devrait vivre, samedi 13 avril, l'acte d'une nouvelle naissance : le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, doit s'y rendre pour décorer de la rosette d'officier de la légion d'honneur Michel Cantal- Dupart, architecte, urbaniste, professeur émérite au Centre national des arts et métiers. Et président de l'Association Louise-Catherine (Louise-catherine.com), qui veut redonner vie et dimension patrimoniale au bâtiment.

Gerhard Richter. Felsenlandschaft, aquarelle sur papier, 1984. Galerie Jean-Luc Baroni. Crédits photo : GERHARD RICHTER
À Paris, deux salons, le Salon du dessin à la Bourse et Drawing Nowau Carrousel du Louvre, font la part belle aux œuvres contemporaines sur papier.
Du jeudi 11 avril 2013 au vendredi 12 juillet 2013
Pour l'amour de Caravage.
La galerie G. Sarti crée l’événement en organisant une exposition de qualité muséale, qui réunit vingt-deux tableaux exceptionnels d’artistes italiens ayant travaillé dans la lignée du Caravage. Du "premier cercle" avec Bartolomeo Manfredi, Giovanni Battista Caracciolo, Cavarozzi, aux différentes écoles (Giuseppe Ribera, Daniele Crespi, Guido Reni), l’accrochage offre au public le plus bel ensemble d’œuvres caravagesques jamais réuni en galerie.
Peu d’artistes peuvent s’enorgueillir d’avoir eu la postérité du Caravage. Dès sa mort à Rome en 1610, et au cours des années qui suivent, son style bouleverse totalement le paysage artistique. Les peintres réinterprètent les principes qui ont fait la force et l’originalité du maître, le clair-obscur, les personnages empruntés à la vie réelle...Signés de grands artistes des écoles romaine, napolitaine, toscane, génoise, lombarde et bolonaise, tous les tableaux présentés dans cette exposition ont été réunis par Giovanni Sarti au cours des dix dernières années.
CRITIQUE LITTERAIRE - L'écrivain et première femme professeur au Collège de France décrit avec esprit la quête amoureuse d'une jeune veuve entre Paris et Bruxelles, récit qui garde toute sa fraîcheur quarante-sept ans après sa parution.

Pour Sarah Bakewell , «lire Montaigne, ce n'en est pas moins éprouver maintes fois le choc de la familiarité». Gravure du XIXe siècle représentant le philosophe. Crédits photo : ©Bianchetti/leemage
L'Anglaise Sarah Bakewel a écrit la biographie du philosophe sous la forme d'un guide spirituel

C'est un cas d'école, et un bel exemple à suivre pour bon nombre de villes françaises: Bayeux héritait d'un charmant musée ouvert en 1901, riche de collections de peintures, avec des dentelles (de Bayeux), de la porcelaine (de Bayeux, mais aussi d'Isigny, ce qui est plus rare), des armoires (normandes), beaucoup de charme, un peu de poussière, un vrai «musée de province» comme on disait autrefois avec tendresse - que la préfecture avait fait fermer en 2001 pour des raisons de sécurité.
À l’occasion du Forum mondial des femmes francophones qui s’est tenu le 20 mars à Paris, « La Croix » a rencontré des personnalités exceptionnelles. Aujourd’hui, une chercheuse tunisienne qui dirige à Tunis l’un des grands laboratoires de physique du continent africain
http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Zohra-Benlakhdar-un-esprit-libre-2013-04-11-941125
Le peintre franco-chinois, l’un des maîtres de l’abstraction lyrique, est mort mardi 9 avril, en Suisse, à 93 ans
Une exposition à la Cinémathèque française invite dans « Le monde enchanté de Jacques Demy ».La magie n’opère pas tout à fait, mais attise toutefois l’envie de voir ou revoir les films de « Jacquot de Nantes ».
http://www.la-croix.com/Culture/Actualite/Demy-gaiete-Demy-tristesse-2013-04-11-940888
10 avril 2013 à 22:06 (Mis à jour: 11 avril 2013 à 10:09)
Le dessin est à l’honneur en cette fin de semaine à Paris avec trois salons. Le vétéran - créé en 1991 - et consacré au dessin ancien est installé au palais Brongniart (1), pour le plus grand bonheur des amateurs de belles feuilles, à l’encre, au crayon ou au fusain
10 avril 2013 à 22:06
Disparition. Le peintre franco-chinois du geste et du souffle est mort mardi en Suisse à l’âge de 93 ans.
Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans.
C'est un grand peintre, un maître de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hongkong.
En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.
Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lumières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. Ses bonnes feuilles étaient exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le paysage.
Zao Wou-ki, le bonheur de peindre
Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.
Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.
Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.
Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.
En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.
Dominique de Villepin exprime sa «douleur» après la mort de Zao Wou-Ki
Zao Wou-ki, un peintre en liberté
Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans.
La rédaction vous conseille :
Le Musée national des beaux-arts de la capitale algérienne va être promu par l'Association des musées méconnus de la Méditerranée.
C'est l'un des plus beaux balcons sur la Méditerranée. Surplombant la baie d'Alger et le jardin d'Essai, le Musée national des beaux-arts vaut également le voyage pour son fonds inestimable. Des plâtres d'atelier de Charles Despiau cohabitent avec les toiles de Delacroix et de Fromentin. Un Portrait au crayon de Jean-Baptiste Corot succède à un Portrait du maréchal de Vieillevillede Clouet.

Auteur : Catherine Vidal
Collection : Les Petites Pommes du savoir n°94
ISBN/EAN : 2746503220 / 9782746503229
Le cerveau a-t-il un sexe ? Nos identités d'hommes et de femmes seraient-elles figées dès la naissance? Entre idées reçues et fausses évidences, les partisans du déterminisme biologique n’ont que l’embarras du choix. C’est pourtant oublier que le cerveau n’est pas un organe comme les autres – il est le siège de la pensée – et faire l’impasse sur les connaissances les plus récentes sur son fonctionnement. Or, les recherches en cours tendent à montrer que nos aptitudes et nos personnalités sont loin d’être figées dans le cerveau. Grâce à ses formidables propriétés de « plasticité », celui-ci fabrique sans cesse des nouveaux circuits de neurones en fonction de l'apprentissage et de l'expérience vécue. Garçons et filles, éduqués différemment, peuvent montrer des divergences de fonctionnement cérébral, mais cela ne signifie pas que ces différences sont présentes dans le cerveau depuis la naissance !
Neurobiologiste, Catherine VIDAL est directrice de recherche à l’Institut Pasteur. Elle mène de front ses recherches et une réflexion sur les rapports entre science et société, notamment ceux qui concernent le cerveau, le sexe et le déterminisme en biologie.

http://www.bfmtv.com/high-tech/un-doodle-charles-baudelaire-192e-anniversaire-488226.html
À l’heure de fêter le 192ème anniversaire de Baudelaire, ce mardi 9 avril 2013, Google lui rend hommage avec un Doodle représentant l’un des poèmes les plus emblématiques de son génie : L’Albatros, tiré des 'Fleurs du Mal'. Un recueil de poèmes sulfureux entré depuis au panthéon de la littérature française.
Attribué à Martin Van Cleve (1527 - 1581)
LA DANSE DE LA MARIÉE
Panneau de chêne, renforcé
41 X 59 cm
Fentes, restaurations et petits manques
Sujet très populaire, la danse de la mariée est un thème récurrent dans l’oeuvre de Martin Van Cleve. Inventée par Pieter Brueghel l’Ancien, la composition originale a été très diffusée notamment par la gravure. Cependant, issu de la même génération que Pieter Brueghel l’Ancien, Martin Van Cleve a sans doute eu directement connaissance de la composition originale, connue par une réplique datée de 1566 et conservée à Detroit (voir K. Ertz, Pieter Brueghel der Jungere, Die Gemälde, Luca Verlag, 2000, t. II, p. 665, repr. 541).