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  • Catégories : CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LIRE, Les polars, Ma bibliothèque, Venise

    Je suis en train de lire:"Intrigue à Venise" d'Adrien Goetz

    Pénélope, la désormais fameuse conservatrice de Versailles, qui a déjà révélé les inquiétants mystères de la tapisserie de Bayeux (Intrigue à l'anglaise) et du château de Versailles (Intrigue à Versailles), passe une semaine à Venise pour un savant colloque. Un illustre écrivain français, qui ne publie que sur cette ville, meurt tragiquement. Bientôt, ce sont tous les "écrivains français de Venise", club d'habitude paisible, qui sont menacés. Pénélope se retrouve au cœur d'une énigme dont l'origine remonterait au fameux Bal du Siècle, donné par Carlos de Beistegui dans son palais de la Sérénissime en 1951. Aidée par son fiancé le journaliste Wandrille, elle se lance sur la piste d'un tableau de Rembrandt que personne n'a jamais vu et qui dormirait quelque part sur une des îles de la lagune. Les plus grands hommes de lettres français commencent à craindre pour leur vie...

    http://www.amazon.fr/Intrigue-%C3%A0-Venise-Adrien-Goetz/dp/2246779715

    première publication:

    07/04/2013 18:35

  • Catégories : A lire, Bienne,Suisse, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES

    L'esprit de Jankélévitch à travers sa correspondance

    Le Monde | 11.04.2013 à 15h00 • Mis à jour le 11.04.2013 à 17h36

    Par Fabienne Darge

     
     

    Bruno Abraham-Kremer incarne la pensée de Jankélévitch.

    Le titre, déjà, donne envie de l'aimer, ce spectacle : La vie est une géniale improvisation. A peine lu, l'esprit part en vadrouille. A l'issue de la représentation, c'est l'émotion qui vous étreint. Au Théâtre des Mathurins, Bruno Abraham-Kremer met en théâtre la correspondance du philosophe Vladimir Jankélévitch (1903-1985). Drôle d'idée, vous direz-vous peut-être.

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  • Catégories : Le Corbusier

    "Louise-Catherine" et Le Corbusier sont dans une péniche

    LE MONDE | 11.04.2013 à 14h52 • Mis à jour le 11.04.2013 à 17h22

     
     
     
    La péniche "Louise-Catherine" à Paris en décembre 2001.La péniche "Louise-Catherine" à Paris en décembre 2001. | AFP/PIERRE VERDY

     

    Esseulée dans le port de Paris-Austerlitz, le corps meurtri par l'usure du temps, Louise-Catherine pourrait bien retrouver ses attraits. La péniche en ciment armé, réaménagée par Le Corbusier pour l'Armée du salut, devrait vivre, samedi 13 avril, l'acte d'une nouvelle naissance : le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, doit s'y rendre pour décorer de la rosette d'officier de la légion d'honneur Michel Cantal- Dupart, architecte, urbaniste, professeur émérite au Centre national des arts et métiers. Et président de l'Association Louise-Catherine (Louise-catherine.com), qui veut redonner vie et dimension patrimoniale au bâtiment.

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  • Catégories : A voir, Des expositions, L'art, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Exposition à Paris Galerie G. Sarti

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Du jeudi 11 avril 2013 au vendredi 12 juillet 2013

    Pour l'amour de Caravage.

    La galerie G. Sarti crée l’événement en organisant une exposition de qualité muséale, qui réunit vingt-deux tableaux exceptionnels d’artistes italiens ayant travaillé dans la lignée du Caravage. Du "premier cercle" avec Bartolomeo Manfredi, Giovanni Battista Caracciolo, Cavarozzi, aux différentes écoles (Giuseppe Ribera, Daniele Crespi, Guido Reni), l’accrochage offre au public le plus bel ensemble d’œuvres caravagesques jamais réuni en galerie.

    Peu d’artistes peuvent s’enorgueillir d’avoir eu la postérité du Caravage. Dès sa mort à Rome en 1610, et au cours des années qui suivent, son style bouleverse totalement le paysage artistique. Les peintres réinterprètent les principes qui ont fait la force et l’originalité du maître, le clair-obscur, les personnages empruntés à la vie réelle...Signés de grands artistes des écoles romaine, napolitaine, toscane, génoise, lombarde et bolonaise, tous les tableaux présentés dans cette exposition ont été réunis par Giovanni Sarti au cours des dix dernières années.

    http://visitparis-cultureguide.parisinfo.com/fr/exposition/peintres-caravagesques-italiens-peintres-de-la-realite-exposition-e-894670

  • Catégories : La littérature

    Montaigne, père des blogueurs

     
    Pour Sarah Bakewell , «lire Montaigne, ce n'en est pas moins éprouver maintes fois le choc de la familiarité». <i> Gravure du XIXe siècle représentant le philosophe. </i>

    Pour Sarah Bakewell , «lire Montaigne, ce n'en est pas moins éprouver maintes fois le choc de la familiarité».  Gravure du XIXe siècle représentant le philosophe. Crédits photo : ©Bianchetti/leemage

    L'Anglaise Sarah Bakewel a écrit la biographie du philosophe sous la forme d'un guide spirituel

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  • Sur France 5, des archéologues étudient des épaves englouties au large de l'île italienne de Ventotene

    Les navires perdus de Rome
    À voir le 11/04/2013 à 21h40 surCe programme TV de France 5
     
    C'est une petite île ita­lienne qui répond au doux nom de Vento­tene. Une île au passé mystérieux dont les eaux renferment des épaves de la Rome antique, repérées par un sonar en 2010.
    Le documentaire Les Navires perdus de Rome, diffusé ce jeudi sur France 5, suit la course contre la montre d'archéo­logues qui disposent de cinq jours pour repêcher certains des objets qui se trouvaient à bord des bateaux romains lorsqu'ils ont fait naufrage.

    L'une des épaves est celle d'un ­bateau marchand. Sa coque en bois s'est décomposée mais les amphores que le navire transportait sont exceptionnellement bien conservées.

    Des plongeurs et le cameraman sous-marin Roberto Rinaldi, qui a travaillé avec le commandant Cousteau, s'enfoncent à 100 m ­en-dessous du niveau de la mer. Après vingt minutes passées au fond - un maximum à cette profondeur -, les explorateurs sous-marins remontent une amphore en excellent état pour une poterie demeurée aussi longtemps dans l'eau.

    Les archéologues sont saisis d'émotion à l'idée, comme le souligne l'un d'eux, que « le dernier à avoir toucher l'amphore, il y a environ 2 100 ans, est la personne qui l'a mise dans la cale du ­bateau en pensant qu'elle allait arriver à destination ».

    La réalité reprend vite le dessus et les scientifiques font parler leur trouvaille. La jarre date du Ier siècle avant Jésus-Christ ; elle vient d'Italie et servait à transporter du vin.
    Ces amphores ont assis le pouvoir de l'Empire romain : sans les marchandises vitales qu'elles contenaient, Rome n'aurait pas régné pendant cinq cents ans. 
     

    Sous les eaux, la Rome antique
     
     
     

  • Catégories : Des musées

    La belle renaissance du musée de Bayeux

    C'est un cas d'école, et un bel exemple à suivre pour bon nombre de villes françaises: Bayeux héritait d'un charmant musée ouvert en 1901, riche de collections de peintures, avec des dentelles (de Bayeux), de la porcelaine (de Bayeux, mais aussi d'Isigny, ce qui est plus rare), des armoires (normandes), beaucoup de charme, un peu de poussière, un vrai «musée de province» comme on disait autrefois avec tendresse - que la préfecture avait fait fermer en 2001 pour des raisons de sécurité.

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/04/10/03015-20130410ARTFIG00846-la-belle-renaissance-du-musee-de-bayeux.php

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Des femmes comme je les aime

    Zohra Benlakhdar, un esprit libre

    À l’occasion du Forum mondial des femmes francophones qui s’est tenu le 20 mars à Paris, « La Croix » a rencontré des personnalités exceptionnelles. Aujourd’hui, une chercheuse tunisienne qui dirige à Tunis l’un des grands laboratoires de physique du continent africain

     
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    11/4/13 - Mis à jour le 11/4/13 - 12 H 30
     
     
     
     
     
    Zohra Benlakhdar rêve d’une physique qui inspirerait le monde pour favoriser la curiosité et le q...

     

    Micheline Pelletier / L’Oréal-UNESCO For Women in Science

    Zohra Benlakhdar rêve d’une physique qui inspirerait le monde pour favoriser la curiosité et le questionnement.

    http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Zohra-Benlakhdar-un-esprit-libre-2013-04-11-941125

  • Catégories : A voir, Des expositions

    Demy gaieté, Demy tristesse

    Une exposition à la Cinémathèque française invite dans « Le monde enchanté de Jacques Demy ».La magie n’opère pas tout à fait, mais attise toutefois l’envie de voir ou revoir les films de « Jacquot de Nantes ».

     
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    10/4/13 - Mis à jour le 11/4/13 - 14 H 30
     
     
     
     
     
    Catherine Deneuve, photographiée sur le tournage du film Peau d’âne en 1970.

     

    Michel Lavoix © 2003 Succession Demy

    Catherine Deneuve, photographiée sur le tournage du film Peau d’âne en 1970.

    http://www.la-croix.com/Culture/Actualite/Demy-gaiete-Demy-tristesse-2013-04-11-940888

  • Catégories : Des évènements, L'art

    Trois salons Traits à l’aise à Paris

    10 avril 2013 à 22:06 (Mis à jour: 11 avril 2013 à 10:09)

    Par DOMINIQUE POIRET

     

     

    «Redressement, tondo», 2009, de Marc Couturier. - Photo courtesy Marc Couturier
     

    Le dessin est à l’honneur en cette fin de semaine à Paris avec trois salons. Le vétéran - créé en 1991 - et consacré au dessin ancien est installé au palais Brongniart (1), pour le plus grand bonheur des amateurs de belles feuilles, à l’encre, au crayon ou au fusain

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  • Zao Wou-ki, un peintre en liberté

    Valérie Sasportas

    • Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09

    Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

    C'est un grand peintre, un maî­­tre de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri ­Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hong­kong.

    En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.

    Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lu­mières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. ­Ses bonnes feuilles étaient ­exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres ­d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le pay­sage.

    Zao Wou-ki, le bonheur de peindre

    Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.

    Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.

    «La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture»

    Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.

    Folle échappée

    Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.

    En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.

    • Préc
      Ron Mueck à l'œuvre
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      Dominique de Villepin exprime sa «douleur» après la mort de Zao Wou-Ki
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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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  • Catégories : Des musées, Voyage

    À Alger, un musée qui gagne à être connu

     
    • Par Sébastien Le Fol
    • Le Musée national des beaux-arts de la capitale algérienne va être promu par l'Association des musées méconnus de la Méditerranée.

    • C'est l'un des plus beaux balcons sur la Méditerranée. Surplombant la baie d'Alger et le jardin d'Essai, le Musée national des beaux-arts vaut également le voyage pour son fonds inestimable. Des plâtres d'atelier de Charles Despiau cohabitent avec les toiles de Delacroix et de Fromentin. Un Portrait au crayon de Jean-Baptiste Corot succède à un Portrait du maréchal de Vieillevillede Clouet.

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  • Catégories : Chagall Marc, Nice(06,Alpes-Maritimes): séjours

    Les Pâques

    1968

    Huile sur toile
    160,3 x 159,5 cm
    Musée national d’art moderne - Centre de Création Industrielle, Centre Georges Pompidou,  dépôt au musée national Marc Chagall


    Malgré le titre à connotation chrétienne, le tableau fait allusion aux cérémonies de la Pâque juive, ce qui explique son atmosphère sombre. La composition, caractéristique des dernières années de l’artiste, s’articule autour de violentes taches de couleur dans un déséquilibre voulu.

    Dans la partie basse où dominent le noir et blanc, est évoquée la nuit dramatique qui voit la mort des premiers-nés d'Egypte, sauf ceux des Hébreux, dans un paysage qui cependant rappelle les villages russes de la jeunesse de Chagall.
    La mise en scène du repas de Pâques est reprise de celle des gouaches de la Bible, de 1931, elle-même inspirée d'une Haggadah du XVème siècle.
    Deux grandes figures traversent la partie supérieure, au-dessus des toits : un ange, sans doute manifestation du divin qui souffle la mort, et une tête de chèvre, symbole protecteur du foyer, éclairé de jaune, également couleur du divin.
     

  • Catégories : L'art

    7 tableaux spoliés rendus à leurs propriétaires

     

    Par Europe1.fr avec AFP

    Publié le 14 février 2013 à 11h35 Mis à jour le 14 février 2013 à 11h35

    La France s'apprête à rendre à deux familles juives sept tableaux spoliés lors de la Seconde guerre mondiale et conservés dans des musées, a indiqué le ministère de la Culture. Ces tableaux font partie de quelque 2.000 œuvres sans propriétaire identifié, dotées du statut de MNR (Musées Nationaux Récupération) depuis 1949. Sous la garde de l'Etat, elles sont conservées dans les musées français, qui se doivent de les signaler et de les montrer au public, en attendant leur réclamation.

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  • Catégories : A lire

    Hommes, femmes, avons-nous le même cerveau?

    Auteur : Catherine Vidal
    Collection : Les Petites Pommes du savoir n°94
    ISBN/EAN : 2746503220 / 9782746503229

    Le cerveau a-t-il un sexe ? Nos identités d'hommes et de femmes seraient-elles figées dès la naissance? Entre idées reçues et fausses évidences, les partisans du déterminisme biologique n’ont que l’embarras du choix. C’est pourtant oublier que le cerveau n’est pas un organe comme les autres – il est le siège de la pensée – et faire l’impasse sur les connaissances les plus récentes sur son fonctionnement. Or, les recherches en cours tendent à montrer que nos aptitudes et nos personnalités sont loin d’être figées dans le cerveau. Grâce à ses formidables propriétés de « plasticité », celui-ci fabrique sans cesse des nouveaux circuits de neurones en fonction de l'apprentissage et de l'expérience vécue. Garçons et filles, éduqués différemment, peuvent montrer des divergences de fonctionnement cérébral, mais cela ne signifie pas que ces différences sont présentes dans le cerveau depuis la naissance !

    Neurobiologiste, Catherine VIDAL est directrice de recherche à l’Institut Pasteur. Elle mène de front ses recherches et une réflexion sur les rapports entre science et société, notamment ceux qui concernent le cerveau, le sexe et le déterminisme en biologie.

    http://www.editions-lepommier.fr/ouvrage.asp?IDLivre=227

  • Catégories : Baudelaire Charles, Des anniversaires

    Doodle célèbre le 192ème anniversaire de Baudelaire

    Par la rédaction - Le 09/04/2013

     
    Doodle célèbre le 192ème anniversaire de Baudelaire

    http://www.bfmtv.com/high-tech/un-doodle-charles-baudelaire-192e-anniversaire-488226.html

    À l’heure de fêter le 192ème anniversaire de Baudelaire, ce mardi 9 avril 2013, Google lui rend hommage avec un Doodle représentant l’un des poèmes les plus emblématiques de son génie : L’Albatros, tiré des 'Fleurs du Mal'. Un recueil de poèmes sulfureux entré depuis au panthéon de la littérature française.

    http://www.evene.fr/

  • DANSE DE LA MARIÉE

    Lot 14 : Attribué à Martin Van Cleve (1527 - 1581) - LA


    Estimation : 30 000 / 40 000 €
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    Attribué à Martin Van Cleve (1527 - 1581)
    LA DANSE DE LA MARIÉE

    Panneau de chêne, renforcé
    41 X 59 cm
    Fentes, restaurations et petits manques

    Sujet très populaire, la danse de la mariée est un thème récurrent dans l’oeuvre de Martin Van Cleve. Inventée par Pieter Brueghel l’Ancien, la composition originale a été très diffusée notamment par la gravure. Cependant, issu de la même génération que Pieter Brueghel l’Ancien, Martin Van Cleve a sans doute eu directement connaissance de la composition originale, connue par une réplique datée de 1566 et conservée à Detroit (voir K. Ertz, Pieter Brueghel der Jungere, Die Gemälde, Luca Verlag, 2000, t. II, p. 665, repr. 541).

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