Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
La Comédie humaine selon Jean-Louis Forain
- Connaissance des Arts |
- Peinture & Sculpture |
- 08 mars 2011 |
- 531 mots
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Chroniqueur du XIe siècle dont on ne connaît guère la vie que par quelques détails qu'il nous en a transmis lui-même dans son ouvrage. Après avoir été élevé à l'école épiscopale de Liège, dont la célébrité à cette époque est bien connue de tous ceux qui étudient l'histoire littéraire de l'empire germanique au Moyen âge
, il devint chanoine puis doyen du chapitre de Saint-Lambert. Il était né probablement pendant les dernières années ou peu après la mort de l'évêque Notger (1007). Il fut l'ami de ses successeurs Wazon (1042-1048) et Théoduin (1048-1075), sous le pontificat duquel il mourut.
Parc des Princes (Les Grands Footballeurs), 1952
Huile sur toile, 200 x 350 cm
Collection particulière
Cet immense tableau de 7 mètres carrés, où la pâte est étalée avec fermeté à l’aide de larges spatules, a été commencé, dans l’exaltation, la nuit même du match. Il y a là des masses de matière, tangibles, colorées qui laissent surgir des corps, sous la menace d’un grand fond noir qui peut à tout moment les engloutir. Ces masses (blanches, vertes, ocres, bleues), mises côte à côte, jouent comme une partition humaine pour qu’émerge une silhouette. La bataille des formes sur la toile rejoint la bataille des joueurs sur le stade. Une bataille qui évoque celle de Paolo Uccello, admirée par le peintre.
Chez de Staël, le couteau ou la taloche ne sont pas les outils d’une expression “spontanée”, mais cherchent à saisir la forme-couleur dans une unité première, la pâte colorée. Cela fait de la couleur une matière vivante, corporelle, qui exige des manipulations complexes, et une maîtrise des pulsions. L’émotion, chez lui, ne coule jamais directement sur la toile par le tube, le pinceau ou la truelle, à l’inverse de Jackson Pollock et de l’expressionnisme abstrait américain.
http://www.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-destael/ENS-destael.html
L'œuvre d'art totale (de l'allemand Gesamtkunstwerk) est un concept esthétique issu du romantisme allemand et apparu au XIXe siècle en Europe.
Une œuvre d'art totale se caractérise par l'utilisation simultanée de nombreux médiums et disciplines artistiques, et par la portée symbolique, philosophique ou métaphysique qu'elle détient. Cette utilisation vient du désir de refléter l’unité de la vie[1].
Richard Wagner est le premier à avoir réalisé une œuvre d'art totale, notamment à Bayreuth.
Le concept a été transposé dans un courant architectural pour lequel l’intégration d’œuvres d’art, la décoration intérieure, le mobilier, la conception des espaces ou des jardins revêtent autant d’importance que le bâtiment lui-même.
Les artistes du Black Mountain College, dans les années 1950, ont remis au gout du jour l'idée d'œuvre d'art totale par le truchement de la performance et des happenings où danse, théâtre, musique et arts plastiques se déclinaient simultanément dans un temps unique.
Plus récemment, la série des Cremaster de Matthew Barney ont également suivi les grandes lignes d'une œuvre d'art totale : cinéma, sculpture, performance, dessin s'y agencent conjointement a chaque étape de l'œuvre.
Alfred SISLEY 1839-1899
• Paysage à Louveciennes
• Huile sur toile 54 cm x 73 cm
• Signé et daté en bas, à droite, « Sisley 73»
• Peint en 1873
• Localisation : collection particulière . Expositions : Paris, 1921; Londres, 1981
http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-alfred-sisley-paysage-louveciennes-55126.html
http://media.eduscol.education.fr/file/HDA/83/3/College_Ressources_HDA_128833.pdf
"Rédiger son appréciation esthétique d’un tableau après avoir pris en compte le goût des autres"
Avec des élèves de seconde, il fallait choisir parmi deux tableaux et dire lequel était préféré selon un cheminement argumentatif nécessairement partagé par les élèves d’un même groupe. L’apprentissage du délibératif étant justement la prise en considération dans l’avis collectif des dissensions individuelles, tout autant que la nécessité de concéder avant de prendre une position personnelle.
Alexis Lucas, Lycée Professionnel Jean Moulin, Roubaix
http://www4b.ac-lille.fr/~lettreslp/giseh/article.php3?id_article=662
René Magritte est un peintre majeur du XXème siècle.
Après des études artistiques classiques, il se livra dans la première moitié des années 20 à diverses recherches, d'abstraction ou de couleur.
Puis, par l'intermédiaire de son ami l'écrivain Louis Scutenaire, il rentra en contact avec les surréalistes et se rallia au mouvement.
Dès lors il creusera obstinément ce même sillon pendant une quarantaine d'année, jusqu'à sa mort d'un cancer en 1967.
Image:
http://seriesmagritte.blogspot.com/2008_05_01_archive.html

Sans être une rétrospective de plus, cette exposition entend situer le peintre Edouard Manet dans son temps, entre l'héritage réaffirmé du romantisme, l'impact de ses contemporains et le flux médiatique de son époque. Comment ? En parcourant successivement les liens qu'il a résolument noués ou dénoués avec la sphère publique et politique, l'enseignement de Thomas Couture, l'impulsion de Baudelaire, la réforme de l'art religieux, l'imaginaire érotique, l'art du fragment (é), le rapport à la peinture féminine, la tentation mondaine, son impressionnisme décalé, sa complicité avec le Mallarmé le plus noir.
http://www.evene.fr/culture/agenda/manet-inventeur-du-moderne-30872.php
"La peinture n’est pas un soulagement. La raison pour laquelle je peins est le désir de créer. Je dois le faire ! J’ai vu ça, je peux encore m’en souvenir, je dois le peindre." Otto Dix.
L'artiste peintre allemand Otto Dix (Wilhelm Heinrich Otto Dix), naît le 2 décembre 1891 à Untermhaus près de Gera. C’est le deuxième fils de Ernst Franz Dix, fondeur, et de Pauline Louise Dix, couturière. Il décède 25 juillet 1969 d’une congestion cérébrale à l’hôpital de Singen.
Au cours de son enfance, Otto Dix séjourne souvent à Naumburg, chez le peintre Fritz Amann.
De 1897 à 1906, il fréquente l’école primaire de Untermhaus, où il est encouragé par son professeur de dessin, Ernst Schunke. De 1906 à 1910, il suit un apprentissage de peintre-décorateur à Gera, chez Carl Senff et prend des leçons de dessin le soir, à l’école de Untermhaus.
http://www.muzeocollection.co.uk/uk/reproduction-tableau/o316433-sainte-marie-madeleine-nue-mi-corps-eve-tendant-pomme-correggio-correge-dit.html
Les peintures colorées sont au premier plan dans l’exposition. Des travaux sur papier, des céramiques et des sculptures viennent se joindre aux tableaux. Le commissariat de l’exposition a été confié à Jean-Louis Prat, lui qui déjà du vivant de Miró avait monté certaines de ses expositions, et avec lequel il était lié d’amitié. Jean-Louis Prat a dirigé pendant plus de 30 ans la célèbre Fondation Maeght à St. Paul de Vence, dans le sud de la France. Il est mondialement reconnu en tant qu’expert en sculpture. Jean-Louis Prat avait déjà assuré le commissariat de l’exposition "Les sculptures des peintres" en 2008 ainsi que celui de la grande exposition dédiée à Marc Chagall, qui avait attiré plus de 190 000 amateurs d’art au musée.
"Miró ne peignait ni de manière abstraite, ni de façon figurative, il employait un langage poétique dans ses peintures", déclare Jean-Louis Prat. Certains des contemporains de l’artiste avaient banni la couleur de leur peinture ; pour lui au contraire, la couleur a toujours revêtu une signification essentielle. Le rouge, le vert, le jaune et le bleu dominent de fait dans les tableaux visibles dans l’exposition, des tableaux qui rayonnent, baignés dans la lumière naturelle du bâtiment conçu par Richard Meier. Miró était admiratif face à la nature, aux objets du quotidien, et leur beauté le fascinait et l’inspirait. La liberté, l’humour, la légèreté mais aussi les ruptures esthétiques marquent l’oeuvre de l’artiste, né à Barcelone en 1893. Peintre, dessinateur et sculpteur, Miró s’est constamment efforcé de ne pas se figer dans l’immobilité ni de vivre dans l’ombre du passé.
L’exposition donne également à voir les rares petits formats des jeunes années de création de Miró. Ces oeuvres permettent de mesurer l’évolution de son art, partant d’une représentation figurative pour arriver à des motifs picturaux symboliques et à des signes récurrents bien spécifiques. Ces signes mystérieux et les taches posées sur le canevas, qui évoquent une partition musicale comme tirée d’un univers onirique, sont typiques des peintures de Miró. On les retrouve d’ailleurs dans ses céramiques et sur ses sculptures, qui sont montrées en regard de ses tableaux.
L’exposition du Musée Frieder Burda met en avant les moments charnières de la création de Miró. L’artiste affirmait à ce propos : "Les gens comprendront progressivement mieux que j’ai ouvert les portes menant à un autre futur, un futur dépourvu d’enseignements erronés et de fanatisme".
Enfin, des textes explicatifs et des photographies historiques permettent aux visiteurs de se représenter la vie et l’influence de Miró. L’exposition s’accompagnée d’un catalogue : Miró. Les couleurs de la poésie, edité par Jean-Louis Prat et la Fondation Frieder Burda, Hatje Cantz Verlag, Ostfildern 2010, 224 pages, 24,80 €.
http://www.moreeuw.com/histoire-art/exposition-miro-baden.htm
Oui, l’œuvre sort plus belle
D’une forme au travail
Rebelle,
Vers, marbre, onyx, émail.
Point de contraintes fausses !
Mais que pour marcher droit
Tu chausses,
Muse, un cothurne étroit.
| 25.10.10 | 15h07 • Mis à jour le 10.12.10 | 20h49
C'est l'histoire d'un ancien trader devenu artiste et objet de scandale. Il a nom Paul Gauguin (1848-1903). La Tate Modern de Londres montre, en onze salles et une centaine de tableaux bien accrochés, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, des fragments de correspondances et des photographies, comment le petit banquier a forgé son propre mythe, jusqu'à se prendre de passion pour ceux des autres et achever sa vie dans la mouise, mais au paradis terrestre.
Par Béatrice De Rochebouet
08/11/2010 | Mise à jour : 11:38

Par Béatrice De Rochebouet
28/10/2010 | Mise à jour : 13:58

Par lefigaro.fr
22/08/2010 | Mise à jour : 10:53
