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Le Maroc:vie et travail - Page 18

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Mausolée Mohammed V

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    Pouvait-il y avoir un endroit plus prestigieux que l'esplanade de la mosquée Hassâne, pour abriter le tombeau du plus populaire des sultans et rois du Maroc, Mohammed V, père de l'indépendance ?

    Dix ans auront été nécessaires pour achever le monument conçu par un architecte d'origine Vietnamienne VO TOAN, mais érigé dans un classicisme des plus purs.

    Légèrement surélevé, faisant face à l'océan et aux colonnades de la Tour Hassan, le mausolée Mohammed V est bâti en marbre blanc d'Italie et coiffé d'un toit pyramidal recouvert de tuiles vertes, symbole de la royauté. 

     

     

     

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le Maroc:vie et travail, Rabat

    Kasbah des Oudaïa à Rabat

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    La Kasbah des Oudaïa est un petit quartier fortifié située à Rabat (Maroc).

    Ce fut à l'origine une petite forteresse érigée par les Almoravides pour lutter contre les tribus Bouraghouata. Toutefois son histoire ne débute qu’avec les Almohades qui en font un ribat surplomblant l'embouchure de l'oued Bou Regreg qu’il nomme Mehdiya.

    Le site tomba en désuétude après les Almohades et c’est l’arrivée des Morisques d'Andalousie qui va le faire renaître. La Kasbah allait être restaurée et renforcée. La dynastie alaouite va à son tour entreprendre des travaux d’aménagement du site entre 1757 et 1789 puis entre 1790 et 1792. Toute cette histoire agitée du site transparaît à travers les monuments qui compose la Kasbah des Oudaya tel l’enceinte almohade et sa fameuse porte monumentale (Bab el Kébir) un des emblèmes de l’architecture almohade, la mosquée connue sous le nom de Jamaa el Atiq, l’enceinte alaouite et la maison princière dressée à l’ouest et l’ouvrage militaire borj Sqala.

    (http://fr.wikipedia.org/wiki/Kasbah_des_Ouda%C3%AFa)

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le Maroc:vie et travail, Rabat

    Rabat,capitale du Maroc

    Rabat (الرباط ar-ribâT en arabe, רבאט en hébreu) est la capitale administrative du Maroc . Elle est située sur le littoral Atlantique du pays, sur la rive gauche de l'embouchure du Bouregreg, en face de la ville de Salé. Elle compte 1.5 million d' habitants, 2 million 300 000 habitants pour l'agglomérationmedium_100px-Rabat-blason.jpg.

    Des peuplements sont attestés sur le site de Rabat depuis l'Antiquité. La ville à proprement parler est fondée en 1150 par le sultan almohade Abd al-Mumin, qui fait édifier une citadelle (future Kasbah des Oudaïa), une mosquée et une résidence. C'est alors ce qu'on appelle un ribat, une forteresse. Le nom actuel vient de Ribat Al Fath, « le camp de la victoire ». C'est le petit-fils d'al-Mūmin, Ya'qub al-Mansūr, qui agrandit et complète la ville, lui donnant notamment des murailles. Par la suite, la ville sert de base aux expéditions almohades en Andalousie.

    Elle entre dans une période de déclin après 1253, quand les Mérinides choisissent Fès comme capitale. En 1609, suite au décret d'expulsion de Philippe II, des milliers de Mauresques trouvent refuge dans la ville. Une période de croissance commence pour la ville, sous la dynastie des Alaouides.

    En 1912, Lyautey fait de Rabat la capitale du protectorat du Maroc et le siège du résident général. En 1956, lors de l'indépendance du Maroc, la ville reste capitale.

    HISTOIRE

    L'histoire urbaine de Rabat, de son site, de ses monuments, est l'histoire diachronique d'un lieu singulier porteur d'une passion partagée. En effet, près de huit siècles séparent l'édification, sur la rive gauche du Bou Regreg, du noyau initial de la ville, le Ribat d'Abd al-Mumin, de celle de la résidence générale du protectorat français dans la nouvelle capitale du Maroc.

    De ces époques, le même site allait porter et préserver de manière forte et durable, jusqu'à nos jours, d'une part, les témoignages d'une cité grandiose, restée inachevée et, d'autre part, ceux de principes pionniers en matière d'art urbain au début du siècle. Sur l'océan Atlantique, à l'embouchure du Bou Regreg, une haute falaise s'élève à pic, à plus de trente mètres au-dessus du niveau de la mer et surplombe le fleuve dont elle commande l'entrée. C'est sur cette position de défense naturelle que Abd al-Mumin, fondateur de la dynastie almohade, fait édifier, en 1152, un ribat ou une forteresse, lieu de rassemblement des combattants de la foi, point d'étape dans l'épopée almohade pour la conquête de l'Andalousie.

    Cette construction, qui s'identifie en grande partie avec l'actuelle Qasba des Oudaïa, fut appelée Ribat al Fath, le Camp de la Victoire, en témoignage des succès remportés dans la guerre sainte contre les chrétiens d'Espagne. À partir du Ribat d'Abd al-Mumin, son petit-fils, Yacoub el Mansour, héritier d'un empire allant de la Castille à Tripoli, allait projeter une cité grandiose, couvrant plus de quatre cents hectares, enceinte de murailles imposantes percées de portes monumentales et dotée d'une mosquée gigantesque, Tour Hassan, restée inachevée, mais qui eût été l'un des plus grands sanctuaires du monde musulman.

    Ainsi, bien que Ribat al Fath ne reçut jamais la population que son enceinte eût pu abriter, les grandes orientations de la ville étaient tracées. Les remparts et les portes monumentales de l'époque témoignent aujourd'hui encore de l'ampleur de la ville almohade. Tout comme en témoignent le minaret et les vestiges de la Mosquée de Hassan, sur un site dont le caractère sacré a été accentué et revalorisé par l'édification du Mausolée Mohammed V, symbole de piété filiale, qui, de par sa décoration exceptionnelle, œuvre d'art collective, est un hommage au Souverain qui y repose et un témoignage de la renaissance de l'artisanat traditionnel.

    De la fin du règne almohade, vers la fin du XIIIe siècle, jusqu'au début du XVIIe siècle, l'importance de Rabat diminue considérablement. De cette période date la nécropole du Chella, édifiée à l'extérieur des remparts, de même que Jama' el Kbîr et Hammâm ej-Jdîd. La localisation de ces équipements publics permet d'affirmer que la vie citadine n'était pas concentrée uniquement aux abords immédiats de la Qasba et que plusieurs quartiers de la médina actuelle étaient habités.

    À partir de 1610, Rabat reçut une forte population de réfugiés musulmans chassés d'Al-Andalus qui s'établirent dans la Qasba et à l'intérieur de l'enceinte almohade, dans la partie nord-ouest, qu'ils délimitèrent et protégèrent par une nouvelle enceinte, la muraille andalouse.

    Pendant quelques dizaines d'années, Rabat, alors connue de l'Europe sous le nom de Salé-le-Neuf, fut le siège d'une petite république maritime, la République du Bou Regreg, jusqu'à l'avènement des Alaouites qui s'emparèrent de l'estuaire en 1666. Sa principale activité était, alors, la course en mer contre les Chrétiens qui lui procurait la totalité de ses ressources et Salé-le-Neuf devint le premier port du Maroc.

    CULTURE

    Le théâtre National Mohamed V est l'une des plus grandes institutions culturelles de Rabat, mais le coût de son fonctionnement dépasse les possibilités des compagnies existentes au Maroc et l'amphithéâtre reste souvent fermé. La majeur partie de spectacles y sont co-organisés avec les Institut Culturels européens.

    Les galeries officielles : Bab Rouah, Bab El-Kébir aux OUDAYAS et Mohamed El-Fassi

    Les espaces culturels indépendants : L'appartement 22 http://www.appartement22.com est didié à la création contemporaine, marocaine et internationale. Ce lieu fond, fondé par le critique d'art Abdellah Karroum, est devenu une résidence d'artistes qui fonctionne de manière coopérative depuis 2004.

    Des grands projets culturels sont lancés dans les années 2000, notamment celui de la Bibliothèque publique, du Musée des Arts Contemporains et de l'Institut Supérieur de la Musique et de la Danse.

    En 2006, la Fondation ONA inaugure a Rabat son second lieu culturel, la Villa des Arts.

     

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  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Casablanca

    medium_100px-Logo_casa.gifCasablanca (الدار البيضاء addar al-baïda en arabe classique - dar beïda en marocain dialectal - littéralement « maison blanche ») est la plus grande ville du Maroc. Capitale économique du pays et première ville du Maghreb [1], elle est située sur la côte Atlantique à environ 90 km au sud de la capitale du pays, Rabat. Elle appartient à la région du Grand Casablanca qui, sur 1 615 km², regroupe également les villes de Mohammedia (120 000 hab.), Ain Harrouda, les deux provinces Mediouna et Nouasser et compte environ 5,6 millions d’habitants en 2005 [2] [3]. La ville est candidate pour l'organisation des Championnats du monde d'athlétisme en 2011.

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  • Catégories : Des lieux, Le Maroc:vie et travail, Voyage

    La mosquée la Koutoubia à Marrakech.

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    C’est le monument religieux le plus célèbre de Marrakech. Cette mosquée d'une grande allure architecturale et d'une richesse décorative a une histoire complexe. Elle s’agit en réalité d'un double sanctuaire muni d'un minaret.
    La première koutoubia fut inaugurée en 1157 et la deuxième ainsi que le minaret furent construit un an plus tard en 1158 JC sur ordre d’Abdelmoumen. Les deux sanctuaires se distinguent par leur plan innovateur qui donne une importance capitale au mur de la qibla. En effet cette valorisation se laisse voir par le plan en T dessiné par le recoupement entre des deux nefs principales de la salle de prière qui sont la nef axiale et la nef longitudinale.
    Ce qui met en exergue ce monument est son minaret gigantesque qui constitue une des merveilles de l’art et de l’architecture en Islam. Érigé en pierre de taille, il comporte à l’intérieur un rampe qui permet d’accéder à des salles couvertes de coupoles ainsi qu’à son sommet. Sa hauteur est de 77 m. Il comporte des registres décoratifs sur des façades supérieures fait de carreaux de céramique verte et blanche.
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    Hôtel transatlantique à Meknès

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    L'hôtel Transatlantique inauguré en 1927 a la particularité de présenter 2 ailes. Une traditionnelle où le zellige, le bois et le plâtre ciselé se combinent. Et l'autre, plus moderne, en conformité avec tous les standards internationaux. L'hôtel Transatlantique vous offre une vue imprenable sur les jardins de l'hôtel et la Médina de Meknès.
    L'hôtel, construit sur un très beau parc de 6 hectares, vous accueille dans ses 120 chambres. Le Transatlantique propose un cadre chaleureux et met à votre disposition une infrastructure complète: vaste piscine, 2 restaurants, snack bar ainsi que plusieurs salons.
    A 800 m du centre de la Médina, l'hôtel Transatlantique est proche de la majorité des monuments comme la célèbre porte Bab Mansour El Aleuj, le Dar jamai (ou musée des arts marocains) ou encore la Medersa Bouanania.
    Un mélange agréable de modernité et de tradition, un jardin planté d'oliviers (une des spécialités de la région) et de palmiers où se côtoient moineaux et chats.