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Lyon(Rhône,69:études,travail) - Page 18

  • Catégories : A voir, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier soir:Jean Martin : Les années expressives

     
     

    Exposition-dossier, du 3 mars au 4 juin 2012

    À la suite de l’exposition Le Poids du monde. Marcel Michaud (1898-1958), le musée des Beaux-Arts de Lyon rend hommage au peintre lyonnais Jean Martin.

    En 2009, le musée reçoit en donation de la femme de l'artiste, le tableau Les Aveugles (1937) ainsi qu'un ensemble de dessins des années 1930-1940. Aujourd’hui, l'exposition permet de découvrir le parcours de l’une des personnalités artistiques majeures de l’entre-deux-guerres.

    Fils d’ouvrier, Jean Martin est né à Lyon, dans le quartier industriel de Vaise, en 1911. Artiste autodidacte, il s’initie à la peinture auprès du peintre Lucien Féchant, sociétaire du salon du Sud-Est, et se lie à ses débuts avec le peintre Jean Couty et le sculpteur Georges Salendre, avec lesquels il expose à partir de 1935 à la galerie du décorateur André Sornay, rue Paul Chenavard, non loin du musée des Beaux-Arts. Dès 1933, il participe au salon d’Automne où son envoi est salué par le poète, critique et galeriste Marcel Michaud, puis expose annuellement au salon du Sud-Est à partir de l’année suivante.

    Plus d'infos sur le
     
     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai vu, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai vu hier:Robert Combas au Musée d'art contemporain de Lyon: parfois aimé, parfois détesté, toujours intéresée, à voir(photos à venir)

     

     | 10/03/2012

    Lyon, jour de printemps avant le printemps, avec un vent du nord froid qui traverse la ville par le Rhône. Pour moi, c'est toujours la ville qui nous introduit à l'Europe centrale et continentale, sans souci d'attirer le touriste –...

     

    Les choix du service culture

    article | 10/03/2012

    Les expos se bousculent au portillon de l’actualité et c’est tant mieux. D’autant qu’il y a une vie artistique à part les «vedettes» parisiennes (Matisse,...

    Combas, de la figuration libre au premier rôle

    Critique | 8/03/2012 | Par CATHERINE COROLLER De notre correspondante à Lyon

    Rétrospective . Durant cinq mois, le Musée d’art contemporain de Lyon présente plus de 600 œuvres mêlant arts plastiques et rock.

    http://www.liberation.fr/recherche/?q=COMBAS&period=last_180&period_start_day=0&period_start_month=0&period_start_year=0&period_end_day=0&period_end_month=0&period_end_year=0&editorial_source=&paper_channel=&sort=-publication_date_time

  • Robert Combas, au MAC

     
     

    Du vendredi 24 février au dimanche 15 juillet

    Après une rétrospective sur Ben, le Mac de Lyon consacre ses murs à un autre artiste français et vivant : Robert Combas. 200 œuvres de l’artiste devraient être présentées en 2012, du mois de février au mois de juillet.
    Robert Combas sélectionnera pour l’occasion des œuvres des années 70 à nos jours et il installera aussi dans le musée un atelier studio d’enregistrement où il créera des peintures et des clips. La rétrospective devrait s’intituler "Greatest Hits".

    Première grande rétrospective consacrée à Robert Combas, qui affirme "Ma peinture c’est du rock", l’exposition Greatest Hits présente plus de 200 oeuvres, des années 70 à aujourd’hui, accompagnées à la guitare, basse et batterie par une bande son puisée dans l’immense discothèque de l’artiste et par des interventions live totalement inédites. Une expo "Rock on the wide size/wild side" sur 3000 m2 et 3 niveaux, avec la présence quotidienne pendant 2 mois de Robert Combas, qui installe au macLYON un atelier/studio d’enregistrement où il crée en direct peintures et clips azimutés.

    A propos de l'artiste
    Le peintre né à Lyon en 1957, occupe une place singulière dans l’histoire de l’art des trente dernières années. Robert Combas aime comparer sa peinture à du rock. Il est l’initiateur du mouvement de la figuration libre avec un autre artiste : Hervé Di Rosa. Après avoir étudié à l’École des Beaux-arts de Montpellier, Robert Combas prend l’art conceptuel - très en vogue à cette époque - à contre-pied et revient à la figuration.
    Site de l’artiste

     Plus d’infos sur le site du MAC


    http://www.culture.lyon.fr/culture/sections/fr/musees__expositions/actualites/greatest_hits_de_robert_combas_au_m

  • J'ai aimé cet après-midi:Le Plateau, espace d'exposition - Truphémus

    Le Plateau c'est l'espace d'exposition du Conseil régional. Deux à trois expositions se succéderont par an sur les 600m2 de cet espace situé juste à l'entrée de l'Hôtel de Région. Multidisciplinaire, Le Plateau a pour vocation d'accueillir des expositions de tous styles avec un point commun : l'entrée est gratuite pour tous.

    L'exposition aura lieu du 3 mars au 23 juin 2012, du lundi au samedi de 10h à 19h, à l'Hôtel de Région Rhône-Alpes. Deux médiateurs seront présents au quotidien afin d'informer les visiteurs. Lors de ces quatre rendez-vous, des reportages et des documentaires seront diffusés en partenariat avec l’INA.

    Venir au "Plateau"

    Le Plateau est situé dans le hall d'entrée du nouveau siège de la Région à Lyon Confluence (2e arrondissement).

    REGION RHONE-ALPES
    1 esplanade François Mitterrand - CS 20033
    69269 Lyon Cedex 02
    Téléphone :
    04 26 73 40 00

    Tram T1 arrêt Hôtel de Région-Montrochet (niveau 101 cours Charlemagne)
    GPS : 45,740858, 4,819629
    Plan et accès au siège

    Ils sont partenaires de l'exposition Truphémus

    • Découvrez Le Plateau grâce à Radio Quenelle qui a consacré un sujet à l'espace d'exposition de la Région.

    Jacques Truphémus 1951 - 2011 : une rétrospective de taille

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  • Catégories : Lyon(Rhône,69:études,travail), Mes photos

    Monument lumière

    100_2041.JPG

    Un monument en forme d'écran géant courbe a été érigé à leur mémoire place Monplaisir à Lyon en face de la Villa Lumière, ancienne résidence d'Antoine Lumière, leur père, qui abrite aujourd'hui l'Institut Lumière. La partie concave, peinte en blanc uni, permet la projection de films en plein air.

    source: wikipédia: photo perso

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  • Catégories : Lyon(Rhône,69:études,travail)

    Le Festival Lumière passe la troisième

      

     

    Thierry Frémaux et son parterre d'invités lundi soir à la Halle Tony Garnier - LyonMag

    Thierry Frémaux et son parterre d'invités lundi soir à la Halle Tony Garnier - LyonMag

    La troisième édition du Festival Lumière s’est ouverte lundi soir devant 4 000 spectateurs à la Halle Tony Garnier, avec la projection en avant-première du film The Artist, en compagnie de Jean Dujardin et Bérénice Béjo, et de son réalisateur Michel Hazanavicius.

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  • Théâtre des Célestins hier soir

    Imaginons notre globe terrestre agité par tant de tempêtes et de chaos, soudain recouvert de minuscules miroirs découpés en carrés parfaitement juxtaposés, figurant ainsi une boule à facettes gigantesque réfléchissant vers les astres nos pulsions, nos émotions, nos interprétations, nos désirs, nos envies et nos illusions…
    Ne dérogeant pas à cette règle qui édicterait que le Théâtre serait le reflet de notre monde, les Célestins prendront à leur tour, au cours de la saison 2011/2012, l’allure d’une boule à facettes, miroir tantôt déformant, souvent intransigeant de nos réalités et de nos vécus, projetant ainsi vers le dehors images, paroles et gestes transcendés par la grâce et la créativité des artistes qui nous accompagnent.
    Car c’est à une véritable itinérance au milieu d’un parcours balisé de miroirs, telle une attraction de fête foraine suscitant tour à tour le rire, l’étonnement et le questionnement à laquelle nous vous convions.
    Ces miroirs, ce sont des spectacles qui se parlent et se répondent, inscrits, pour bon nombre d’entre eux, en diptyque, en triptyque, générant, de fait, un compagnonnage encore plus affirmé avec les artistes pour un voyage plus en profondeur, plus durable…
    Ainsi, le petit Chinois du Dragon d’or (de Roland Schimmelpfennig, mis en scène par Claudia Stavisky, créé en mars 2011 puis repris en octobre aux Célestins) dérivant à contre-courant sur le Huang He, le fleuve Jaune, fait écho à Vanina dans Une nuit arabe (de Roland Schimmelpfennig mis en scène par Claudia Stavisky qui sera créé en septembre 2011) qui rêve de fuir vers le désert, dans la ville de Kinsh el Sar.
    Au beau milieu de toutes les facettes, les Célestins ont glissé un petit miroir correcteur rétablissant notablement certains déséquilibres paritaires en honorant les femmes créatrices.
    Nathalie Fillion créera, en janvier prochain aux Célestins, la nouvelle pièce dont elle est l’auteure, À l’Ouest.
    Sur le territoire de l’intime et en solitaire (ou presque !), de merveilleuses interprètes comme Sophie Marceau (Une histoire d’âme), Catherine Frot (Oh les beaux jours), Simona Maïcanescu (Fièvre), Martine Vandeville (La Rimb), Cécile Garcia Fogel (Fous dans la forêt / Shakespeare Songs) s’échapperont de leur psyché pour mieux nous enchanter, nous transporter.
    Une saison délibérément ponctuée de spectacles qui s’érigent en réflecteurs tels Ô mon pays ! (un diptyque de la compagnie Pôle Nord), Ça va ? Combien de « ça va » faudrait-il pour que ça aille vraiment ? et Verticale de fureur (réalisés par le Groupe Décembre et le Théâtre Narration) ainsi que Nicomède et Suréna, deux magistrales tragédies de Corneille mises en scène par Brigitte Jaques-Wajeman.
    En outre, la complicité qui nous unit avec Wajdi Mouawad (les Célestins ont accueilli le quatuor intitulé Le Sang des promesses regroupant Littoral, Incendies, Forêts et Ciels, puis lors de la saison écoulée, Seuls), nous entraînera vers l’exploration des tragédies de Sophocle avec, dès cette saison, la trilogie Des Femmes composée des Trachiniennes, d’Antigone et d’Électre. Ici encore, le désespoir en amour de Déjanire répondra au désir de vengeance d’Électre et à la soif de justice d’Antigone.
    Au registre des complicités, celle entretenue avec le Maly Drama Théâtre de Saint-Pétersbourg, permettra de créer un réel événement avec la venue pour la première fois en France des Trois Sœurs de Tchekhov mises en scène par Lev Dodine et de Lorenzaccio (en version russe surtitrée) de Musset dirigé par Claudia Stavisky, spectacle créé en décembre 2010 à Saint-Pétersbourg. Les deux spectacles seront interprétés par les comédiens de la troupe permanente du Maly Drama Théâtre révélant, au travers de cette double résonance, une identité, une densité et une intensité tout à fait exceptionnelles.
    Au chapitre international encore, la deuxième édition du festival Sens Interdits, espace de confrontation esthétique des trajectoires politiques, historiques et culturelles des peuples, génèrera un singulier kaléidoscope de formes théâtrales, armes improbables et pourtant si vaillantes et déterminées contre la barbarie, l’oppression et la tyrannie. L’édition 2011 accueillera des équipes en provenance du Cambodge, de Tunisie, d’Afghanistan, du Chili, du Mali, de Russie, de Pologne, de République tchèque et des Pays-Bas.
    Cette multiplicité de propositions, qu’elles émanent de compagnies régionales ou de prestigieuses productions nationales et internationales, s’imbriquent entre elles et se coordonnent pour nous dévoiler la complexité de ce monde et nous offrir des milliers de faisceaux lumineux, voies fluorescentes dessinées dans la nuit, chemins fertiles à la profusion de nos réflexions et interrogations, sur lesquels nous pouvons progresser afin d’apporter notre contribution à l’indispensable transformation de ce monde trop enlisé dans ce qu’on nomme, la crise.
    C’est en effet conjointement, artistes et public réunis, que la magie va s’opérer.
    Antonin Artaud, dans le Théâtre et son double (nous y voilà encore !) exhortait la passivité du public et en appelait à l’éveil de ses sens au travers de l’instauration d’un nouveau langage théâtral.
    Aujourd’hui, ce n’est pas un langage, mais des langages démultipliés, animés par la pluralité et l’éclectisme, qui vous seront livrés au cours de cette saison 2011/2012 en attente de vos ressentis et nous l’espérons, de votre adhésion.
    Ensemble, rassemblons-nous sous cette boule à facettes qui, symbole de notre volonté de diversité, retrouvera une place plus traditionnelle, en fin de saison, avec la venue des « filles » du Cabaret New Burlesque immortalisées par le film de Mathieu Amalric, Tournée.
    Ensemble, mêlons nos figures et nos pensées sous cet objet ludique et festif et envoyons vers le monde nos énergies galvanisées par la féérie de nos émotions artistiques… Bonne saison à tous !

    Claudia Stavisky et Patrick Penot

    100_1998 théâtre.JPG100_1999.JPGhttp://www.celestins-lyon.org/index.php/Menu-thematique/Les-Celestins/Les-Celestins-Theatre-de-creation

  • Nous avons aimé hier soir:19ème édition de la traditionnelle soirée "Tapis Rouge" de la rue Auguste Comte.

    100_1992.JPGChaque année  le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.

    Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.

    Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
    Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
    Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais.

    Chaque année  le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.

    Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.

    Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
    Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
    Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais

    4019_quartier_auguste_comte.gifhttp://www.lyonweb.net/agenda/e/6020/Tapis-Rouge.htm

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  • Catégories : Lyon(Rhône,69:études,travail)

    Michel Desvigne, paysagiste du projet urbain Lyon Confluence, primé...

    Science & technique
    Écrit par Gérald Bouchon   
    Jeudi, 19 Mai 2011 01:41

    Le grand prix de l'urbanisme 2011 a été décerné au paysagiste Michel Desvigne par le ministère français de l’écologie et du logement...Né à Montbéliard en 1958, Michel Desvigne est géologue, botaniste et diplômé de l’école nationale supérieure du paysage de Versailles.

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  • Catégories : Des musées, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    Juin au musée

    Un site internet traduit en 9 langues et une application mobile !

     
     
    Ouvrez les portes du musée, où que vous soyez, quand vous le voulez. L'application iPhone est disponible, téléchargez-la gratuitement ! Sur l'AppStore et courant juin sur Android.
    Afin de répondre à une demande croissante du public étranger, le site internet du musée est aujourd'hui accessible en 10 langues.
     

    Expositions

     
     

    LE GÉNIE DE L'ORIENT. L'EUROPE MODERNE ET LES ARTS DE L'ISLAM
    Jusqu'au 4 juillet
    Visites tous les lundis, jeudis et samedis
    Visites en famille
    entre Orient et Occident.
    Dimanche 19 juin à 14h30

    EXPOSITION-DOSSIER LE GÉNIE DE L'ORIENT, LYON ET LES ARTS DE L'ISLAM
    Découvrez le goût des grands amateurs lyonnais du XIXe siècle pour les arts de l’Islam et l’influence de nouveaux décors sur les créations de soieries lyonnaises.
    Jusqu'au 19 septembre
    Visites
    tous les jeudis à 15h (1h).
    Du 7 juillet jusqu'au 15 septembre

     

    Événements

     
     

    Nocturne  : Le premier vendredi de chaque mois jusqu'à 22h, le musée ouvre ses portes à l'occasion de nocturnes thématiques.
    Soirée Art moderne :
    performances Slam, conférence Aragon et la peinture moderne, rencontres thématiques autour de Rodin, Gauguin, Bacon. 5€/ Gratuité.
    Le café-restaurant vous accueille jusqu'à 23h. Vendredi 3 juin de 18h à 22h
    Dernière Nocturne de la saison : vendredi 1er juillet, soirée Sculptures dans le jardin et la chapelle.

    Week-end thématique : Le génie de l'Orient
    Ateliers enfants, visites commentées de l'exposition parents et individuels, démonstration de calligraphie arabe, concert...
    Samedi 18 et dimanche 19 juin

    Fête de la musique : concerts de musique orientale traditionnelle et jazz fusion dans le jardin du musée. Entrée libre dans la limite des places disponible.
    Mardi 21 juin de 18h30 à 22h

    Ouverture exceptionnelle de l'exposition à l'occasion de la Fête de la musique.
    Mardi 21 juin de 18 à 22h.
    5€/ Gratuité

    Carte musées de la Ville de Lyon : 6 musées municipaux en accès illimité = 20€ par an ! En vente à la billetterie du musée.

     

    Activités culturelles

     
     

    Découvrir le musée : Antiquités/ Peintures/ Le musée et ses chefs-d'œuvre 

    Découvrir l'exposition Le génie de l'Orient, Lyon et les arts de l'Islam cet été
    Visites tous les jeudis à 15 (1h).
    Du 7 juillet jusqu'au 15 septembre

    Atelier enfants : inscrivez-vous dès aujourd'hui pour les vacances d'été
    5/6 ans
    : le musée à petits pas
    7/9 ans : Rêves d'Orient
    10/12 ans : Sur les traces de Champollion

  • J'ai aimé hier:L'estampe au temps de l'impressionnisme

    Salles des pastels - 2e étage - Impressionnistes
    Jusqu'au 23 mai 2011

    Entre 1860 et la fin du XIXe siècle, nombreux sont les peintres qui, à l’instar des impressionnistes, expérimentent de façon novatrice les techniques traditionnelles de la gravure. Qu’il s’agisse d’eau-forte ou de lithographie, la liberté du trait, les effets de texture et le caractère d’inachèvement caractérisent généralement ces œuvres graphiques.

     
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    Edouard Manet, Lola de Valence, eau forte, 1862-63
     

    Le peintre Félix Bracquemond (1833-1868) est l’un des initiateurs de cet intérêt nouveau des peintres pour la gravure. Il est le fondateur en 1862 à Paris avec l’imprimeur Alphonse Cadart (1828-1875) de la Société des Aquafortistes, association qui expose et diffuse avec succès les eaux-fortes proposées en albums.   

    Les œuvres gravées d’Edouard Manet (1832-1883) sont bien représentées dans les collections du musée des Beaux-Arts. L’artiste contribue au renouvellement de la technique de l’eau-forte, en lien avec les thèmes de ses peintures. Il interprète parfois lui-même en gravure ses propres tableaux, comme Lola de Valence d’après le tableau de 1862, conservé au musée d’Orsay.
    Il exploite magistralement les possibilités de la lithographie : le visage de Berthe Morisot (1841-1895), amie du peintre souvent choisie comme modèle, y est saisi avec vivacité en quelques traits, loin d’une représentation photographique figée.

    A la suite des impressionnistes, les paysagistes cherchent à rendre les aspects changeants de la lumière suivant les variations atmosphériques liées aux études en  plein-air au fil des saisons. En gravure, leurs approches diffèrent suivant les sensibilités ou l’instant saisi : travail du trait en petites touches pour Soleil couchant dans le port d’Anvers de Johan Barthold Jongkind (1819-1891), fines zébrures du rendu de la pluie pour Les fiacres sous la pluie de Félix Buhot (1847-1898), et en lithographie, velouté de la chaleur d’été pour La Pêche du lyonnais Adolphe Appian (1818-1898).

     

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:Max Schoendorff, Accrochage

    Salles 200 - 2e étage - Art moderne
    Jusqu'au 3 mai 2011

    Le musée des Beaux-Arts possédait deux œuvres de Max Schoendorff dont l’une acquise dès 1970. Grâce à la générosité de plusieurs donateurs – André Dubois, Françoise Dupuy-Michaud, Jean-Paul Jungo, Gilbert Monin – la collection du XXe siècle s’est enrichie d’un ensemble de dessins, de peintures et de lithographies. À l’occasion de ces donations, le musée invite à redécouvrir les travaux de cet artiste.

     
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    Max Schoendorff, Florizel et Perdita, 1988 © Lyon, musée des Beaux-Arts
     

    Max Schoendorff, né à Lyon en 1934, est issu d’une famille de cristalliers lorrains. Son père lui fait découvrir la langue et la culture germaniques. Après des études littéraires qui le conduisent au professorat, il renonce à son poste d’enseignant pour assister un de ses amis, l’homme de théâtre Roger Planchon. Puis il abandonne l’écriture au profit de la peinture. Dorénavant, il expose régulièrement, à Lyon notamment, d’abord à la galerie Folklore-Marcel Michaud, puis, à partir de 1966, à la galerie Verrière.

    Au début des années 1960, c’est le théâtre qui l’accapare encore. Il est tour à tour décorateur, costumier, scénographe et metteur en scène. Dans les années 1970, il collabore, entre autres, avec le metteur en scène Jacques Rosner, travaille pour le T.N.P. de Villeurbanne, la Comédie-Française, les Opéras de Paris et de Lyon, ou encore le Schiller Theater de Berlin. Le cinéma est également une de ses passions : il est l’un des cofondateurs de la revue Premier Plan, du Congrès indépendant du cinéma international (C.I.C.I.), enfin décorateur pour Jean-Marie Straub et Danièle Huillet.

    Schoendorff appartient à une génération profondément marquée par l’imaginaire surréaliste. Les écrivains Antonin Artaud et Georges Bataille, les peintres Max Ernst, André Masson et Hans Bellmer ont enrichi sa recherche. Mais sa peinture semble également nourrie par des maîtres anciens comme Greco, Rubens, ou Grünewald.

     

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