Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Ma journée aux AIR, par Bruno Meyssat
Le Monde.fr | 22.05.2014 à 11h27
Rencontre entre David Treuer et Leonora Miano modéré par Catherine Simon. | © Bertrand Gaudillère / Item
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Le Monde.fr | 22.05.2014 à 11h27
Rencontre entre David Treuer et Leonora Miano modéré par Catherine Simon. | © Bertrand Gaudillère / Item
Introduction Documents d'histoire, sources d'inspiration pour la création contemporaine, les collections sont orientées selon deux grands pôles : l'Orient et l'Occident. Tapisseries coptes, tissus de la Perse sassanide, tissus byzantins et musulmans, tapis d'Asie mineure, retracent l'évolution des civilisations orientales. La genèse de l'Occident se fonde sur les productions de Sicile et des républiques italiennes, bientôt relayées par l'essor artistique français. Les productions lyonnaises occupent une place prépondérante avec les dessinateurs ornemanistes Pillement, Philippe de Lasalle ou Dugourc. Le XIXe siècle est illustré par les commandes impériales et royales, qui ont permis une reprise de l'activité textile lyonnaise. Le savoir-faire lyonnais est enfin confirmé jusqu'au XXe siècle avec des talents tels que Raoul Dufy et Sonia Delaunay. |
Du 13 mars au 21 avril 2012, les Archives municipales présentent « le 7e fête ses cent ans». Pour marquer l’anniversaire de l’arrondissement, cette exposition vous invite à voyager à travers 100 ans d’Histoire, qui ont inspiré les artistes de Cité Création dans la réalisation de « la Fresque du centenaire ».
Vive le Confort Moderne !
Exposition du 12 octobre 2013 au 14 décembre 2014
Au lendemain de la Grande Guerre, tout est à faire : reconstruire, aménager, renouveler l’équipement archaïque des foyers. L’amélioration du pouvoir d’achat des familles, la généralisation du crédit, le génie créatif des industriels et les réclames publicitaires jouant déjà sur tous les registres de la séduction, promettent aux néo-citadins un monde nouveau.
Ainsi s’amorce une véritable révolution du quotidien : suces-poussière, douches à air chaud, machines lavantes ou armoires réfrigérantes allègent les corvées des ménagères. Dans cette dynamique, l’objet domestique offre ainsi la clef ouvrant les portes d’un monde meilleur où le vivre-mieux est à la portée de tous.
Cette période des années 20-40 devient l’antichambre de la société de consommation. Les objets dessinés et manufacturés en série pour le plus grand nombre, sont déjà pensés pour être remplacés au plus vite par des nouveautés encore plus désirables...
Cette exposition, ainsi que tous les rendez-vous culturels, éducatifs et festifs qui l’accompagnent, vous invite à un voyage inédit, pour saisir comment cette infernale stratégie du désir, fabriqua les Temps Modernes.
Informations et réservation au 04.78.75.16.75.
D’habitude, les tableaux sont à l’intérieur des musées. Dans le musée urbain Tony Garnier c’est le contraire, ils sont dehors :
Ce musée Tony Garnier « en plein air » et en pleine ville est une balade faisable à pied ou à Vélo’v en groupes ou en famille. Le quartier lui-même participe de la visite puisqu’il a été la première approche de la »cité idéale » rêvée, théorisée et détaillée par l’architecte urbaniste Tony Garnier (lauréat du prix de Rome, il a séjourné à la Villa Médicis entre 1899 et 1904).
C’est cette cité idéale et ses autres vues mondiales que vous allez visiter à travers ces 25 oeuvres.
On y va.
exposition
bibliothèque
Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne).
Cette séquence est la seule de la rive droite réalisée dans la première tranche du projet Rives de Saône.
Elle s’étend du pont Bonaparte aux bretelles du pont Maréchal-Juin, où plusieurs édifices historiques se succèdent en front de quai : le chevet de la primatiale Saint-Jean, le Palais Saint-Jean et l’ancien Palais de justice, construit par Louis-Pierre Baltard entre 1835 et 1847.
La passerelle, construite en 1983 est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la Saône. Elle enjambe la rivière depuis le quai Saint-Antoine, sur la presqu’île, pour déboucher devant le Palais de Justice.
L’impulsion donnée au plus haut niveau de l’Etat pour susciter des initiatives en matière de commémoration du Centenaire de la Grande Guerre ne pouvait laisser indifférents les services d’archives des collectivités territoriales, dépositaires de la mémoire collective et individuelle du territoire.
Récits, théâtre, journal, poésie, essais, aphorismes, abécédaire… Œuvre avant tout autobiographique, aucun genre littéraire n’a échappé à Louis Calaferte dont les écrits sont aussi abondants et inspirés que divers. Homme volontairement isolé, créateur prolixe, auteur de plus d’une centaine d’ouvrages, il laisse à son décès, le 2 mai 1994, des milliers de pages manuscrites et des archives littéraires constituées, entre autres, de dessins, d’illustrations, d’affiches, de correspondances.
Guillemette Calaferte, selon le vœu de l’écrivain et au fil des parutions, a donné depuis 1996 cet ensemble à la Bibliothèque municipale de Lyon. Le département Langues et Littératures de la BmL a traité et encodé les documents offrant ainsi aux chercheurs un fonds Louis Calaferte exhaustif quasi unique. L’exposition de 1988, où Louis Calaferte proposait ses créations graphiques et celle de 1996, au moment de la première donation, mettant l’accent sur l’œuvre théâtrale, lui rendaient hommage.
Installation interactive sonore et musicale Jean-Baptiste Barrière, compositeur et artiste multimédia
Grame et Image Auditive - musées Gadagne - Columbia University New York
[7 au 29 mars 2014]
Dans les grottes de fraîcheur des jardins suspendus des musées Gadagne ou au Miller Theater de Columbia University à New York, Jean-Baptiste Barrière propose aux visiteurs une expérience singulière.
Elle est conçue à la fois comme une installation autour des rêves racontés par des gens du monde entier et comme une performance musicale et visuelle connectée entre Lyon et New York où des "stations de rêves" permettront à chacun de déposer son jardin secret.
Seul ou en petit groupe, le visiteur se trouve immédiatement confronté à sa propre image, projetée sur un miroir/écran. Cette image lui ressemble, mais paraît à la fois proche et lointaine, fidèle et déformée. Au reflet du spectateur se superpose en effet une image qui vit et se transforme selon la manière dont il se comporte dans l’espace. En fonction de ses mouvements, lents ou rapides, analysés par l’ordinateur, il définit la nature de son autoportrait, sans cesse recomposée à partir de son image et de sa voix. Certains gestes sont mémorisés et réapparaissent ultérieurement, comme si le passé venait périodiquement hanter le présent. D’autres scènes imaginaires et préenregistrées viennent également s’incruster pour élaborer l’autoportrait en mutation. Celles-ci explorent la thématique du rêve, notamment à partir des œuvres musicales de Kaija Saariaho qui y font référence.
Ainsi, au fur et à mesure de l’exploration, un monde d’abord caché se révèle peu à peu au visiteur. L’autoportrait explore le troublant entre-deux qui va de l’identité à l’altérité.
L’image et la voix des visiteurs sont immédiatement transformées, mais aussi retransmises et intégrées à une banque de données visuelles et sonores, enrichissants une mémoire collective. Ils seront ainsi incorporés dans les autoportraits suivants.
Informations pratiques
Entrée libre de 11h à 18h30 du mercredi au dimanche
Déposez vos rêves sur www.jardindessonges.org ou à la station des rêves installée à l’Office du tourisme Place Bellecour à Lyon. Dès le 7 mars, sur place dans les jardins de Gadagne.
Site de l'artiste : http://www.barriere.org
Site de la Biennale : http://www.bmes-lyon.fr/
Déposez vos rêves dès maintenant sur www.jardindessonges.org ou à la station des rêves installée à l’Office du tourisme Place Bellecour à Lyon. Dès le 7 mars, sur place dans les jardins de Gadagne.
[Exposition temporaire du 21 novembre 2013 - 27 avril 2014]
Lyon, centre du monde ! revient sur l’Exposition internationale urbaine de 1914. L’Exposition s’étend sur la surface impressionnante de près de 75 ha ! Elle a une vraie vocation internationale avec 27 000 m2 dédiés aux pavillons des Nations. Plus de 17 000 entreprises y présentent leurs produits et leurs innovations. Lyon met alors en avant son projet d’une cité moderne et originale, qui répond aux besoins nouveaux, aux concepts d’hygiène et au nécessaire progrès social.
Le projet est porté par quatre hommes, Édouard Herriot, Sénateur-Maire de Lyon, futur Président du Conseil et Ministre, Tony Garnier, Jules Courmont et Louis Pradel, Vice-président de la Chambre de commerce.
L'exposition temporaire des musées Gadagne explique les objectifs et les ambitions, l’organisation, le financement et les modèles de l’Exposition internationale urbaine. Elle en appréhende le caractère international et politique. Une place particulière est réservée à l’architecture et aux projets de Tony Garnier ainsi qu’à l’accueil réservé, autant dans la presse que par le public, à cette Exposition située dans un quartier alors peu fréquenté.
Les événements ponctuant le programme de l’Exposition dès l’inauguration et surtout lors de la visite officielle du Président Poincaré seront présentés, jusqu’à la déclaration de la guerre le 3 août 1914 et le départ des nations ennemies.
Du mercredi au dimanche de 11h à 18h30.
Tarifs exposition temporaire : 7 € / réduit 5 €
Gratuité : moins de 26 ans, demandeur d'emploi (sur présentation d’un justificatif à jour), personne en situation de handicap et son accompagnateur
TOPO, le magazine des bibliothèques de Lyon
mars-avril 2014
TOPO vous informe sur les manifestations culturelles et traite plus généralement de toute l'actualité de la Bibliothèque de Lyon.
Il paraît tous les deux mois.
Il est gratuit et disponible dans les quinze bibliothèques du réseau ou sur abonnement.
Feuilleter en ligne Topo mars-avril 2014
Télécharger Topo mars-avril 2014 au format PDF
http://www.bm-lyon.fr/actualites/topo.htm
6
fév.
2014
Projet phare du Grand Lyon, le réaménagement des Rives de Saône permet à tous les Grands Lyonnais de "renouer" avec la rivière.En mettant en valeur l'ensemble des visages et caractéristiques de la Saône, la promenade piétonne, au plus près de l'eau et la plus continue possible, est le fil conducteur du projet. Un axe de vie et de bien-être pour les habitants qui vient raccrocher la ville à la Saône et à la nature avec des espaces de détente, ouverts et vivants, tout au long du parcours.
Sur les 50 kilomètres de rives du Grand Lyon, artistes et maitres d’œuvreont travaillé ensemble pour dessiner une promenade piétonne qui traverse 14 communes, dont 5 arrondissements de Lyon. En 2013, 15 kilomètres sur les 22 que comptera le projet final sont achevés entre la Confluence et l'île Barbe et entre Fontaines-sur-Saône et Rochetaillée-sur-Saône.
Pour tout savoir sur les aménagements, les artistes impliqués, la médiation menée ou le calendrier du projet, découvrez notre site dédié www.lesrivesdesaone.com