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  • Catégories : Des expositions

    Expo vue lundi 28 avril:L'envers du motif (Frac Picardie) à Saint Quentin

    963134809.jpg

    Alighiero Boetti, Jean Dewasne, Maria Hahnenkamp, Hubert Kiecol, Annette Messager, Etienne Pressager, Guy Rombouts et Monika Droste, José Maria Sicilia, Peter Stämpfli, Craig Wood,
    exposition du 25 avril au 15 juin 2008
    Espace Saint-Jacques
    14 rue de la Sellerie 02100 Saint-Quentin
    tél. 03 23 06 93 71 fax 03 23 06 93 54

    ouverte du lundi au vendredi de13h00 à 18h00, le samedi de 14 h 00 à 18 h 00
    le dimanche de 15 h 00 à 18 h 00, sauf jours fériés, entrée libre

    journée portes ouvertes : jeudi 24 avril 2008 de10h00 à 17h30

    visites commentées à 15h00, samedi 17 mai 2008 et samedi 7 juin 2008
    entrée libre

    accueil des groupes scolaires et constitués par un animateur-conférencier sur rendez-vous en contactant l'Espace Saint-Jacques au 03 23 06 93 71

    contact : Pomme Legrand et Delphine Carré

    Image/ Etienne Pressager
    Une fin en soi, 1993
    Sans titre, Une fin en soi, 1993
    © droits réservés





    Des alphabets enluminés ou turbulents, des tapis et des ailes de papillons caressés par la lumière, des fleurs et des feuilles d'acanthes parsemées sur le papier, des réseaux géométriques subtilisés à des objets du quotidien, autant de regards et d'attitudes aux incidences différentes, propices à une interrogation renouvelée sur le motif.

    En rapport direct aux objets du quotidien identifiables d'après leurs motifs, Peter Stämpfli zoome sur le dessin des pneus pour en révéler la structure géométrique ; point par point, Craig Wood cerne les contours fantaisistes de blocs de désodorisants d'intérieur en neutralisant l'expressivité du dessin pour redéfinir les contours artificiels de la consommation de masse ; et Jean Dewasne conçoit une matrice qui entrelace des contours d'instruments de musique pour moduler un «corps musical» chromatique. Au sol, la trame du kilim d'Alighiero Boetti est l'aboutissement d'une des multiples combinaisons formelles issues d'une alternance paritaires de carrés noirs et
    blancs sur un damier.

    Maria Hanhnenkamp décline une série blanc sur blanc où le vide architectural et le motif ornemental de la feuille d'acanthe se relient par un ouvrage de couture. Tout en interrogeant la frontière entre cube blanc et motif décoratif, l'artiste dessine en creux une réflexion sur la représentation de la féminité.

    Pour José Maria Sicilia, la sensualité des couleurs ou le velouté de certaines surfaces révèlent les textures aussi délicates que celles des ailes de papillons, aussi impalpables que le suspens du temps ou de la lumière, aussi subtiles que le délitement d'une fleur. A contrario
    Hubert Kiecol fabrique des tampons de caoutchouc pour composer des champs de force contradictoires à partir de formes simples.

    A la faveur de l'imagination débridée d'Annette Messager, d'Etienne Pressager et de Guy Rombouts et Monika Droste, l'espace codifié de l'alphabet acquiert une saveur et un relief que seuls les mots suscitent d'ordinaire. Les vingt-six lettres se confrontent aux mots et aux illustrations, invectivent, servent la drôlerie et surtout rêvent de devenir «fin en soi».


    http://pedagogie.ac-amiens.fr/arts_plastiques/pages/7apamiens351.htm

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail, Mes photos

    Pour bien démarrer notre voyage vers Casablanca le 29 octobre 2011

    nous nous sommes garés sur le parking longue durée de l100_2058.JPG'aéroport de Lyon.... le plus éloignée... appelé "Agadir"... où je ne suis jamais allée

    Je publierai peu de photos de  ce voyage car je pense en faire un livre

    En attendant, commandez mes autres livres en passant par les bannières sur ce blog ou le petit blog en lien à droite

  • Catégories : Blog

    Des vacances

    et de ceux et qui ont  la chance(souvent sans s'en rendre compte) d'en avoir plus que les autres

    J'en fais partie....actuellement... et involontairement

    J'en ai profité pour prendre plus que des vacances: quelques jours au Maroc  où j'ai vécu trois ans et où je n'étais pas retournée depuis 3 ans

    Du soleil, des baignades (piscine, océans) alors que les marocains sont souvent déjà en doudoune et botttes, des photos pour voir autrement ce que j'avais déjà vu, des poèmes....  des mots, des paysages, un futur livre?

    Un sac de femmes? non, un sac de mots

  • Catégories : CE QUI M'ENERVE/ce que je n'aime vraiment pas

    J'ai lu:"For ever "(Une enquête de Regan Reilly ) de Carol Higgins Clark

    D01DEVI.jpgDans quelques jours, regan reilly dira " oui " à jack, son fiancé, le chef de la brigade des enquêtes spéciales. pour l'occasion, la célèbre détective privée doit être habillée par deux stylistes new-yorkais. mais leur atelier est cambriolé, et sa robe, envolée ! il ne lui reste plus qu'à prendre l'enquête en main.
    au même moment, jack est chargé de résoudre une série de hold-up qui sème la panique dans le monde des banquiers. sans se douter que les deux affaires, dangereusement liées, risquent de compromettre leur mariage...
    avec ce nouveau suspense pétillant, carol higgins clark nous entraîne dans une folle course contre la montre, des beaux quartiers de park avenue aux casinos d'atlantic city.

    http://www.babelio.com/livres/Higgins-Clark-For-ever--Une-enquete-de-Regan-Reilly/44493

  • Catégories : CE QUI M'ENERVE/ce que je n'aime vraiment pas

    Avant-premières : l’émission remplacée le mercredi soir par Julien Courbet dès janvier 2012 ?

    01-11-2011 - 11h32 |

     Avant-premières : l’émission remplacée le mercredi soir par Julien Courbet dès janvier 2012 ?

    L’émission Avant-premières présentée par Elizabeth Tchoungui devrait être remplacée en janvier 2012 par une nouvelle émission de consommation présentée par Julien Courbet. C’est en tout cas ce qui a été annoncé ce matin dans Le Grand direct des médias diffusé sur Europe 1.

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  • Catégories : Des photographies

    Jack London photographe

    Par Françoise Dargent Mis à jourle 29/09/2011 à 11:10 | publiéle 27/09/2011 à 19:04

    CRITIQUE LITTÉRAIRE - Le grand écrivain américain a pris 12.000 photographies lors de ses voyages entre 1900 et 1916. Ce trésor découvert récemment fait l'objet d'un livre qui sortira le 6 octobre, aux éditions Phébus.

    Crédits photos : Reproduit avec l'aimable autorisation de California State Parks, Jack London State Historic Park 2011.

    » EN IMAGES - Sylvain Tesson commente cinq photos de Jack London

    http://www.lefigaro.fr/livres/2011/09/27/03005-20110927ARTFIG00884-jack-london-photographe.php

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Le centre ville historique, « le futur quartier bobo »

    Début de notre série sur l'immobilier à Casablanca. Direction aujourd'hui le Casa historique, celui des appartements art déco magnifiques, derrière des façades qui ne payent pas de mine. Un petit trésor qui prend très vite de la valeur.

    Autrefois, des appartements comme ça, il y en avait partout. Au Maarif, à Gauthier, à Racine. Depuis, tout a été détruit, et les immeubles art déco, les vrais, ne survivent que dans ce qu’on appelle Le Centre ville, qui va de derrière le boulevard Zerktouni jusqu’à l’avenue des FAR.
    Fouzia Ejjawi est une militante pour la protection du patrimoine, une amoureuse du quartier, une agent immobilier spécialisée dans les appartements historiques. « Ici, tout a été construit entre 1912 et 1970, par des grands architectes de renom. » Les points forts du quartier : ses appartements « dans leur jus », avec des hauteurs de plafond impressionnantes, des parquets, d’immenses terrasses, et un cachet art déco, fer forgé, moulures, tout d’origine.

    Des prix raisonnables

    « Le problème, c’est que le quartier prend de la valeur, et que les propriétaires préfèrent souvent détruire pour reconstruire. C’est criminel. » En attendant, les immeubles sont souvent mal entretenus, pas toujours très propres, avec des syndics inexistants et des ascenseurs régulièrement en panne. « Ce que j’essaye de faire, c’est de louer ou vendre ces appartements à des prix raisonnables, de façon à ce que les propriétaires puissent entretenir les immeubles, les façades. » Résultat, comptez, pour une location, de 4.000 dirhams pour un appartement avec un salon et une chambre, jusqu’à 15.000 dirhams pour d’immenses et beaux appartements de 3 chambres avec terrasse. Le charme d’un appartement authentique, pour une superficie bien plus grande que dans un quartier comme Racine au même prix.

    Bienvenue au tramway

    Si vos souhaitez acheter, il faut miser entre 8.000 et 13.000 dirhams le mètre carré. « On trouve encore des choses à 4 ou 5.000 dirhams le mètre carré, mais c’est assez rare, et ce sont souvent des immeubles qui sont mal entretenus, sans syndic, etc., même si l’appartement peut avoir un potentiel extraordinaire. Et puis dans certaines résidences de très haut standing, restaurées, avec un bon syndic, des appartements qui appartenaient à des banques ou des compagnies d’assurance, les prix peuvent aussi très vite monter. »
    Le quartier peut aussi compter sur le tramway, qui arrive, pour redorer son blason et avancer. « Le boulevard Mohammed V va être restauré, ajoute Fouzia Ejjawi, et certaines boutiques commencent à s’installer, des chausseurs de luxe, des petits restaurants. A terme, on peut se diriger vers un quartier bobo, comme le Marais, à Paris, avec beaucoup de cachet. » Mais si vous voulez en profiter, il faut vous dépêcher. « Les prix ont été multipliés par plus de 4 en 5 ans, et ça va continuer ».

    Texte & photo
    Mathias Chaillot

    http://casablanca.madeinmedina.com/fr/article-vivre-a-casa-14-le-centre-ville-historique-le-futur-quartier-bobo-260.html

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Découvrir Casablanca

    Patrimoine architectural

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    Casablanca, ville moderne édifiée par des populations aux origines très variées, a pendant longtemps été un creuset de cultures, et a inspiré une architecture urbaine originale. De nombreux traits font de l’espace urbain et des édifices de Casablanca une contribution exceptionnelle au corpus de l’architecture sud-méditerranéenne.
    Les premiers bâtiments qui surgissent extra-muros sont soit de type néo-mauresque, soit néo-classique, plus rarement art nouveau.
    Le néo-mauresque dont il s’agit ici est assez anecdotique. Il consiste essentiellement dans le plaquage des éléments de décor  empruntés au vocabulaire arabo-andalou sur des façades à l’ordonnance commune dans un souci de pittoresque et de couleur locale. Le bâtiment de l’hôtel Excelsior, place des Nations Unies, réalisé en 1916 par Joseph Delaporte, en est la parfaite illustration.

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