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  • Les collections du château Borély

     
     
    18 septembre 2013

    À l’occasion de la réouverture, après rénovation, du musée Borély, Beaux arts éditions publie un hors-série exceptionnel sur ce chef-d’œuvre de l’architecture baroque et sur ces étonnantes collections.
    Réalisée au XVIIIe siècle par de riches négociants marseillais, les Borély, et aujourd’hui classée au registre des monuments historiques et labellisée "musée de France", la bastide Borély accueille les collections d’Arts
    décoratifs – mobiliers, textiles, céramiques et verres, arts graphiques et objets d’art – de faïence et de mode, du XVIIe siècle à l’époque contemporaine.
    Le musée des Arts décoratifs occupera une place unique au sein d’un espace cher aux Marseillais, qui auront le plaisir de retrouver un lieu témoignant de l’histoire patrimoniale.

    Couverture provisoire

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-695-Les-collections-du-chateau-Borely.html

  • Bonjour Monsieur Matisse !

    (s)

     

     
    03 juillet 2013

    En 2013, du 20 juin au 23 septembre, le musée Matisse de Nice fêtera son cinquantième anniversaire. À cette occasion, la Ville de Nice organise un cycle de 9 expositions consacrées à la figure d’Henri Matisse.

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  • Catégories : Voyage

    Romances d’Arabie

    19 juin 2013 à 19:06

    Critique Gilles Kepel revisite les pays musulmans à l’heure des révolutions

    Par JEAN-PIERRE PERRIN
    Libération

    Une affiche de cinéma, à la belle époque des documentaires militants sur les révolutions du tiers-monde. Gilles Kepel, alors «jeune gauchiste», n’a plus aucun souvenir du film qui exaltait la lutte du Floga, un mythique front de libération du sultanat d’Oman. Mais de l’affiche il n’a rien oublié et la décrit encore avec une manière d’adoration : «une jeune femme à la peau cuivrée, en short kaki, les cheveux courts bouclés, assise en tailleur à même le sol, jambes et cuisses bronzées, tenant droit un fusil dont la crosse reposait à terre, sourire conquérant aux lèvres». Le ravissement continue : «Elle évoquait ma première répétitrice d’arabe à la fac de Censier, Fayza. Pour les beaux yeux de cette Joconde yéménite, je m’étais épuisé en vain à réaliser à la perfection gutturales, laryngales et fricatives au laboratoire de langues.»Ce ne sont pas seulement les études des grands aînés, Rodinson, Massignon, ou la quête épique de Lawrence qui poussent à devenir orientaliste. Il y a aussi les femmes, présentes tout au long de cette Passion arabe, où Kepel raconte sous la forme d’un journal de voyage les récentes révolutions arabes, du Maghreb au Machreq, via la péninsule arabique. Passion, au sens amoureux du mot, et aussi christique : le livre peut se lire comme le récit de la montée au calvaire d’un monde arabe qui n’en finit pas de s’autocrucifier - comme les stations du Golgotha, il est divisé en 14 chapitres.

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  • L’art et la jachère

    19 juin 2013 à 20:56 (Mis à jour: 21 juin 2013 à 12:03)

    Par EDOUARD LAUNETEnvoyé spécial à Amiens et à Chaumont-sur-Loire

    Jardins. A Chaumont-sur-Loire et Amiens, deux festivals invitent des artistes à rhabiller les paysages.

    «Last Splash» de Boris Chouvellon. - Photo Paul Kanitzer

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  • Istanbul pourrait être touchée par un séisme important d’ici à vingt ans

    Des géologues ont étudié 835 microséismes dans la région entre 2006 et 2010. Selon leurs estimations, il y a de fortes probabilités qu’un séisme de magnitude supérieure à 7 se produise d’ici à 2034. 

     
     
     
     
     
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    Alexandre Darmon

     
     

    Alexandre Darmon

     

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  • Catégories : Voyage

    J'ai aimé récemment:Deon Meyer, l'Afrikaner fasciné par le noir

    Le Monde | 19.06.2013 à 17h59 | Par Macha Séry

     
     
    Deon Meyer, chef de file du polar sud-africain ? L'idée fait sourire ce romancier peu loquace, de passage à Paris pour la promotion de son dernier roman, "7 jours".

     

    On aura beau faire, impossible de prononcer à l'afrikaans le nom de Benny Griessel, héros de 7 jours, le nouveau polar de Deon Meyer. Par chance, celui-ci est patient. Et, dans sa barbe blanche piquetée de poils roux, il a le rire facile. Gommer le "g" puis rugir le "r". Oui, pas de doute, l'homme qui claque sa langue à répétition est jovial. Pedigree ? Bon vivant. Au rang de ses passions : la musique, le rugby, la moto, la photographie, la cuisine, les voyages, la danse, "oh, et la France", ajoute-t-il. Lors de son passage à Paris, il a posté sur son compte Twitter de magnifiques clichés des quais de Seine et une vue de la pierre tombale de Sartre et Simone de Beauvoir, au cimetière du Montparnasse, où il s'est rendu en pèlerinage.

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  • J'ai adoré le dernier livre d'Elisabeth Leroy:Arthur et Madeleine

    Bien écrit aussi bien par le grand-père d'Elisabeth que par Elisabeth elle-même.

    Passionnant, émouvant, intéressant,palpitant.

    Du courage, de l'amour, de l'amitié

    Des paysages, des hommes, des femmes, des enfants et des petits enfants

    comme Elisabeth qui rend là un très bel hommage à sa famille

    Bravo et merci

    Il y a tout ce qu'il faut dans ce livre, je l'ai dévoré en quelques heures alors allez vite l'acheter:

    http://www.thebookedition.com/arthur-et-madeleine-elisabeth-leroy-p-87909.html

  • Orson Welles et Rita Hayworth, une si belle illusion

     

    Parole malheureuse. À un maquilleur qui lui faisait remarquer que Rita Hayworth était en sueur sous les projecteurs, Orson Welles répliqua, royal: «Les animaux suent, les humains transpirent, Mme Hayworth irradie.» C'était sur le plateau de La Dame de Shanghaï . Le couple était déjà séparé depuis deux ans. Harry Cohn, le patron de la Columbia, ne décolérait pas. Qu'est-ce qui avait pris à Welles de décolorer sa vedette en blond platine, de lui couper les cheveux? Le nabab jura que c'était la dernière fois qu'il embauchait quelqu'un pour diriger un film et jouer dedans en même temps. Pourquoi? «Parce que je ne peux virer ni l'un ni l'autre!» Cohn avait même fait poser des micros dans les bureaux de Welles qui, facétieux, arrivait le matin en saluant son auditoire invisible et partait le soir en lui donnant rendez-vous pour le lendemain.

    http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/08/13/03002-20130813ARTFIG00363-orson-welles-et-rita-hayworth-une-si-belle-illusion.php

  • Richard Gere crève l'écran en Giorgio Armani dans American Gigolo

    Home MON FIGARO Mon Figaro

    Les critiques cinéma de l'époque sont unanimes. Et dithyrambiques, aussi, pour décrire, dans les colonnes des journaux français de juin 1980, l'élégance, le charisme et le sex-appeal de Richard Gere, alias Julian Kay dans American Gigolo, qui sort prochainement en salle. Dans Le Journal du dimanche, Sylvie Marcovitch commente: «Avec un tel corps agréablement musclé, bien proportionné, et un visage en harmonie, nul autre que Richard Gere ne pouvait être choisi…» Ou encore Anne de Gasperi dans Le Quotidien de Paris: «Il a une gueule d'ange, un sourire de boy-scout, il évolue avec une aisance diabolique. Son élégance est naturelle, ses muscles semblent pleins d'une santé à faire rêver les vieilles rentières en mal d'un dernier caprice. Il bat les records de sex-appeal, avec lui Paul Newman ou Robert Redford prennent un coup de vieux.»

  • À Beyrouth, la renaissance en suspens

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      • Par Sibylle Rizk
      • Mis à jourle 13/08/2013 à 17:20
      • Publiéle 13/08/2013 à 16:42

    Une poignée de jeunes Libanais se retrouvent pour dire «non au retour de la guerre civile». Leur point de ralliement: la place des Martyrs, seul espace public en plein cœur de Beyrouth qui, depuis le rassemblement du quart de la population libanaise le 14 mars 2005 pour dire non à la tutelle syrienne, est dans leur esprit le précurseur de ceux des places Tahrir ou Taksim. Pourtant, ils savent que leur secret espoir de se noyer dans une marée humaine est vain. Plus divisé que jamais, le Liban est l'otage de la guerre dévastatrice en Syrie voisine. Et les héros du «printemps de Beyrouth» ont été assassinés. Ses victimes remplacent dans l'imaginaire collectif les nationalistes pendus en 1916 par le gouverneur ottoman, représentés dans le groupe statuaire des martyrs au centre de la place. Le portrait géant de Gébrane Tuéni, le patron assassiné d'An-Nahar, a longtemps habillé la façade du siège du quotidien. Situé au coin nord-ouest de la place, c'est le premier immeuble neuf construit après que sont passés les excavateurs de Solidere, la société privée chargée de reconstruire le centre-ville au lendemain de la guerre, dont le principal actionnaire n'était autre que le premier ministre Rafic Hariri, qui avait fait fortune dans le bâtiment en Arabie saoudite. À quelques mètres de là, dans une rue adjacente, un monument est dédié à l'intellectuel Samir Kassir, tué lui aussi ; tandis que la tente blanche abritant le mausolée de Rafic Hariri, victime d'un attentat en février 2005, occupe une parcelle du flanc ouest de la place, au pied de la monumentale mosquée Mohammad al-Amine, emblème de son legs architectural.

  • Cameron prend position en faveur du gaz de schiste

    Home ACTUALITE International
      • Par Florentin Collomp
      • Mis à jourle 13/08/2013 à 19:45
      • Publiéle 13/08/2013 à 18:59
    Le 6 août, à Balcombe (sud de Londres), des opposants au gaz de schiste manifestent contre les travaux de la société Cuadrilla, qui a commencé à creuser un puits dans l'espoir d'y trouver des hydrocarbures.

    Le 6 août, à Balcombe (sud de Londres), des opposants au gaz de schiste manifestent contre les travaux de la société Cuadrilla, qui a commencé à creuser un puits dans l'espoir d'y trouver des hydrocarbures. Crédits photo : LUKE MACGREGOR/REUTERS

    Le gouvernement britannique adopte la fiscalité «la plus favorable au monde» pour encourager l'exploration.

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  • Picardo : «L'Espagne est un géant qui essaie d'étouffer Gibraltar»

    Picardo : «L'Espagne est un géant qui essaie d'étouffer Gibraltar»

    Fabian Picardo: «Allons à l'Union européenne ou allons au Tribunal international du droit de la mer pour déterminer à qui appartiennent ces eaux».

    Fabian Picardo: «Allons à l'Union européenne ou allons au Tribunal international du droit de la mer pour déterminer à qui appartiennent ces eaux». Crédits photo : Edu Bayer / Polaris / Starface

    INTERVIEW - Le premier ministre du « rocher » exclut un retour au statu quo ante et met Madrid au défi de saisir la justice internationale

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  • BleuForêt, la chaussette tricotée dans les Vosges et vendue jusqu'en Chine

    Home MON FIGARO Mon Figaro

    Du coton noir. De la laine bleue. Du cachemire jaune. À l'entrée de l'usine, qui compte 210 salariés, des bobines de fil viennent d'être livrées. À quelques mètres, des métiers à tricoter informatisés fabriquent tout seuls des centaines de chaussettes aux motifs variés. Des ouvriers s'assurent seulement que ces machines sophistiquées ne tombent pas en panne. À côté, des femmes en blouse bleue vérifient que les produits sont sans défaut.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/08/12/10001-20130812ARTFIG00379-bleuforet-la-chaussette-tricotee-dans-les-vosges-et-vendue-jusqu-en-chine.php

  • Gallimard se prépare à ouvrir son capital

    Home ECONOMIE Médias & Publicité
    Antoine Gallimard, posant à côté d'un portrait  de son grand-père Gaston Gallimard, fondateur du groupe, lors du centenaire de la célèbre maison d'édition,  en 2011.
     

    Antoine Gallimard, posant à côté d'un portrait  de son grand-père Gaston Gallimard, fondateur du groupe, lors du centenaire de la célèbre maison d'édition,  en 2011. Crédits photo : VINCENT BOISOT/Le Figaro

    L'éditeur, qui a racheté Flammarion en 2012, cherche 40 millions d'euros

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  • Anna Magnani porte des broches et boucles d'oreilles Bulgari

    Home LIFESTYLE LifeStyle
      • Par Elodie Baerd
      • Mis à jourle 07/08/2013 à 22:49
      • Publiéle 06/08/2013 à 16:35

    Est-ce le fait de revenir à Rome qui la rend si joyeuse? Anna Magnani rentre en effet tout juste de Hollywood. Elle y a passé plusieurs mois d'enfer sur le plateau de L'Homme à la peau de serpent, de Sidney Lumet, à s'écharper continuellement avec Marlon Brando. Le public américain apprécie son tempérament volcanique mais les paillettes hollywoodiennes la laissent de marbre et son accent indélébile la cantonne à des rôles moyens aux États-Unis. Trois ans plus tôt, elle est pourtant la première actrice italienne à recevoir un oscar, pour son interprétation dans La Rose tatouée de Daniel Mann. Elle joue également sous la direction de George Cukor dans Car sauvage est le vent. Mais à Burt Lancaster et à Anthony Quinn, elle préfère définitivement Toto, l'ami de ses débuts au théâtre dans des comédies musicales…

    http://www.lefigaro.fr/lifestyle/2013/08/06/30001-20130806ARTFIG00362-anna-magnani-porte-des-broches-et-boucles-d-oreilles-bulgari.php

  • Ingrid Bergman et Roberto Rossellini: scandale à l'italienne

    Home CULTURE Cinéma
      • Par Eric Neuhoff
      • Mis à jourle 12/08/2013 à 18:19
      • Publiéle 12/08/2013 à 16:53

    L'amour al dente? Soudain, Anna Magnani renversa un plat de spaghettis sur la tête de Roberto Rossellini. C'était en 1948, à l'Albergo Luna Convento d'Amalfi. Motif: le cinéaste venait de recevoir un télégramme signé Ingrid Bergman. Sa maîtresse n'avait pas apprécié. Cela jeta un froid au milieu du dîner. On suppose que l'actrice au tempérament de lionne quitta la table avec fracas. Rude concurrence, quand même. Ingrid Bergman, il fallait voir ce que c'était à l'époque. Plus star qu'elle, ça n'existait pas. La Suédoise aux larges épaules avait détrôné Garbo. Elle avait été Jeanne d'Arc, avait embrassé fougueusement Cary Grant dans Les Enchaînés, raflé un oscar pour Hantise. Hitchcock fondait pour elle, au sens propre: il se mit au régime pour l'impressionner. Peine perdue. Elle tournait tellement qu'une plaisanterie courait: «Vous vous imaginez, hier soir j'ai vu un film SANS Ingrid Bergman.» Normalement, la vedette et le pape du néoréalisme n'avaient aucune chance de se rencontrer.

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