Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai lu cette semaine:
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il y a "Sylvie" de mon cher Nerval
Je sais maintenant que chaque homme porte en lui - et comme au-dessus de lui - un fragile et complexe échafaudage d'habitudes, réponses, réflexes, mécanismes, préoccupations, rêves et implications qui s'est formé et continue à se transformer par les attouchements perpétuels de ses semblables.
Vendredi ou les limbes du Pacifique -
Michel Tournier
La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie parconséquent pleinement vécue, c'est la littérature. Cette vie qui, en un sens,habite à chaque instant chez tous les hommes aussi bien que chez l'artiste.
A la recherche du temps perdu, Le Temps retrouvé (1927) de

Montesquieu (1689-1755), Lettres persanes, 1721:"Tu ne le croirais pas peut-être, depuis un mois que je suis ici, je n'y ai encore vu marcher personne. Il n'y a pas de gens au monde qui tirent mieux partie de leur machine que les Français; ils courent, ils volent: les voitures lentes d'Asie, le pas réglé de nos chameaux, les feraient tomber en syncope."
Voltaire, "Candide":
"Après le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel auto-da-fé ; il était décidé par l'université de Coïmbre que le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler. "
Rousseau, "Julie":
"- Il faut des spectacles dans les grandes villes, et des romans aux peuples corrompus. J'ai vu les mœurs de mon temps, et j'ai publié ces lettres. Que n'ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu ! "





Non classé à la médiathèque en polar, sans doute parce qu'on connaît le(s) meurtres dès le début
et que c'est le déroulement psychologique des personnages avant et après qui est l'essentiel du livre
PASSIONNANT PSYCHOLOGIQUEMENT ET AU NIVEAU DES REFERENCES ARTISTIQUES ET LIVRESQUES



page 153
https://www.facebook.com/pg/female.artists.in.history/photos/?tab=album&album_id=1447273375557547

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16e arrt
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| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 16e | ||
| Quartier | Quartier de Chaillot | ||
| Début | Rue de Chaillot, 53 | ||
| Fin | Rue La Pérouse, 38 | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 425 m | ||
| Largeur | 12 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1836 | ||
| Dénomination | 1946 | ||
| Ancien nom | Rue Pauquet Rue Pauquet-de-Villejust |
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| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 4802 [archive] | ||
| DGI | 4893 | ||
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Géolocalisation sur la carte : Paris |
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p.13-14:Jeremy Nelson avait toujours vu Londres à travers ses lectures de Dickens : une ville tentaculaire bâtie au hasard, où les émanations d’essence se diluaient dans les effluves de tabac blond, de goudron humide et d’eau de mer. Depuis son retour d’une tournée épuisante à Brighton, il rongeait son frein en misant sur la chance et la constance. Il était à cran : impossible de contacter ce M. Legris susceptible de lui fournir des indices quant à ses origines. Déterminé à ne pas lâcher prise, il consacrait ses dernières journées sur le sol anglais à guetter le lieu où il aurait l’opportunité de le rencontrer.
Depuis le matin il arpentait Charing Cross Road. Il avait comptabilisé plus de deux cents bus rouges à impériale, soixante-douze tricycles de livraison, une kyrielle de chapeaux melon-parapluies, ingurgité des fish and chips aussi salés que la mer Morte, sans que la pancarte closed de la librairie ne le cède à open.
Il s’octroya un ultime essai en priant le génie des quêtes problématiques de lui accorder le succès. Un nuage creva. Il s’arracha à la contemplation de la jeune femme en pantalon et casquette juchée sur une échelle, en train de tapisser les murs d’affiches criardes à la gloire de Bovril, « le plus goûteux des concentrés de bœuf », et fila se réfugier dans le hall du Garrick Theatre. Indifférent aux photographies de Basil Rathbone1, il tira de sa poche un bout de papier tellement manipulé qu’il partait en lambeaux et vérifia l’adresse :
Legris and Co
Booksellers
72, B Charing Cross Road
WC2, Westminster
Il consulta sa montre musicale, satisfait d’avoir fait réparer cet oignon dont l’aigre mélodie lui rappelait son enfance. Bientôt dix-sept heures trente.
Le ciel s’était tari. Un joueur d’orgue de Barbarie débitait l’impérissable You Should See Me Dance the Polka.
George Grossmith, né le 11 mai 1874 à Londres (Royaume-Uni) et mort le 6 juin 1935 à Londres (Royaume-Uni), est un acteur et scénariste britannique. Il est fils de l'écrivain et acteur George Grossmith (en) (1847-1912).
https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Grossmith
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http://www.tate.org.uk/whats-on/tate-britain/exhibition/frank-auerbach



