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Des fresques

  • À Assise, Giotto ouvre la voie à la Renaissance

    La série de vingt-huit fresques, peintes entre 1290 et 1300, dans la basilique supérieure d’Assise en hommage au fondateur de l’ordre des Franciscains évoque les étapes majeures de la vie de saint François (1182-1226).

    Dans un style pictural d’une exceptionnelle nouveauté, Giotto (1267 -1337) révolutionne en ce lieu l’art de son époque, encore sous influence byzantine, en créant un espace réaliste, en perspective, assorti de scènes figuratives d’une grande expressivité. Ce cycle de fresques révèle là, dès sa jeunesse, le talent de ce peintre florentin, précurseur de la Renaissance qui va fleurir au siècle suivant en Italie au XVe siècle (Quattrocento). La peinture s’engage résolument avec lui dans une voie moderne.

    Michelle Fayet

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  • Deux projets qui nous tiennent à cœur

     
     
     

              Chers amis,

     

         En cette fin d'année, j’aimerais vous présenter à nouveau ces deux magnifiques projets de construction et de rénovation d’église en France.

     

    Deux belles images de la vitalité de notre Église qui se rassemble pour prier et célébrer.

     

         Je vous invite à soutenir ces initiatives tandis que vous cherchez peut-être des projets originaux pour faire un don – même modeste – en cette fin d’année.

     

    PREMIER PROJET

     

    L’art que vous aimez au service de la prière : restauration de l’église Saint Louis de Vincennes

     

         Maurice Denis occupe une des premières places au rang des peintres dont les œuvres ornent les couvertures de vos MAGNIFICAT.

     

         Il était alors bien naturel que MAGNIFICAT s’associe à la paroisse Saint Louis de Vincennes pour soutenir la réfection de cette magnifique église du XXe siècle habillée des fresques de l’artiste (les Huit Béatitudes et la Glorification de Saint Louis).

     
     
     

    EN SAVOIR PLUS SUR CE PROJET

     

    Grâce au Chantiers du Cardinal et à la Fondation du Patrimoinevotre don est défiscalisable si vous êtes assujetti à l’impôt sur le revenu.  Ainsi, votre don de 50 € ne vous coûte en réalité que 17 €.

    JE FAIS UN DON

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  • Paris (quelques photos parmi les 2300 prises)et le sport (50 km à pied en 4 jours)du 23 au 26 octobre 2021(recap ))

    IMG_0924.JPG1.samedi 23: 14,37 km

    lever à 4h30

    descente vers la gare

    train à 6h13

    1.1. arrivée vers 9h

    à la gare de Lyon

    vieilles photos et une nouvelle de moi

    https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/a-la-gare-de-lyon-la-galerie-des-fresques-retrouve-de-sa-superbe-1334774

    J'ai terminé pendant ce séjour mon vieux carnet de tickets RATP (acheté par mon mari)avant d'utiliser les tickets à l'unité:

    https://www.lefigaro.fr/conso/ratp-la-fin-du-carnet-de-ticket-de-metro-c-est-a-partir-du-14-octobre-20210929

    1.3 Maison la Roche réunit mes 3 passions:archi, art et paysage

    Voir l'atelier la prochaine fois

    4 SUR 3200 photos prises de Paris et banlieue: yerres(on avait failli y aller avec Ddier il y a 5 ans mais avec les bouchons, c'était plus long en rer) et malmaison
    Je suis fière j'ai fait 2 aller retour en rer
    car je ne suis pas très douée normalement
     
    pendant ce séjour, j'ai des choses qu'on avait commencé ensemble
     
    de quoi faire un livre!
     
    car j'ai passé aussi  les détails vus
    et les coms sur les visites
    et les photos

    IMG_0929.JPG

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  • Peinture fraîche 2021 : un mois de street-art dans la Métropole

    une oeuvre de street-art

    Peinture fraîche 2021 : un mois de street-art dans la Métropole

    Pour cette édition 2021 de Peinture fraîche, 50 artistes se partagent les murs de la halle Debourg : l’ancien entrepôt se transforme une nouvelle fois en QG du festival de street-art. Des fresques XXL, un mur d’expression libre pour s’essayer au graff, des performances live, de la customisation d’objets, du graffiti sur ipad, de la sérigraphie en direct…
    En savoir plus

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  • J'ai terminé hier soir:Code Victoria / Thomas Laurent(médiathèque)

    Code Victoria / Thomas Laurent | Thomas, Laurent (1994-....)

     
    PALÉOGR. Type d'écriture archaïque utilisé par les orientaux et les Grecs, imitant le mouvement des sillons tracés dans un champ, et dans lequel une ligne se lit de gauche à droite, la suivante de droite à gauche, et ainsi de suite alternativement. Écriture, écrire en boustrophédon (cf. ChateaubriandItinéraire de Paris à Jérusalem, t. 1, 1811, pp. 56-57).Du côté sud de l'église [Saint-Savinles fresques présentent (...) l'apparence de deux lignes d'écriture boustrophédon (MériméeÉt. sur les arts au Moy. Âge,1870, p. 193).
    − P. anal. [En parlant d'une démarche] En boustrophédon :
    ... partant d'un mur il visait un angle et marchant ainsi parallèlement à la sortie atteignait l'autre mur, là donnait un coup supplémentaire et repartait en boustrophédon. QueneauLes Enfants du limon,1938, p. 194.
    Rem. 1. Ac. Compl. 1842, Besch. 1845 et Nouv. Lar. ill. signalent la forme synon. boustrophe, subst. fém. (déjà dans Trév. 1752). 2. Besch. 1845 et Lar. 19eattestent un emploi adj., avec une forme fém. inscription boustrophédone; var. boustrophé ou bustrophé.
    Prononc. : [bustʀ ɔfedɔ ̃]. Étymol. et Hist. xvies. (VigenèrePhilostrate dans Delb. Rec. dans DG). Boustrophedon, transcription du gr. β ο υ σ τ ρ ο φ η δ ο ́ ν (de β ο υ ̃ ς « bœuf » et σ τ ρ ο φ α ́ ς, α ́ δ ο ς « qui se meut en tournant ») adv., littéralement « en tournant d'une ligne à l'autre, comme les bœufs d'un sillon à un autre » i.e. « en écrivant alternativement de gauche à droite, puis de droite à gauche » mode d'écriture usité dans des inscriptions grecques anciennes (Euphorion dans Liddell-Scott). Fréq. abs. littér. : 1.
     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des fresques, L'Italie:séjours, Le paysage

    Paysages d'ici et d'ailleurs

    Matera, Italie

    lundi 27 juin à 17h45 (26 min)

    Rediffusion lundi 08.08 à 9h00

    Dans le sud-est de l'Italie, en Basilicate, une série de ravins traverse le plateau calcaire des Murge entre les côtes ionienne et adriatique. Les maisons et les églises de Matera prolongent des cavernes naturelles ou des cavités creusées par l'homme dans la roche tendre. Quelque 150 églises rupestres abritent des fresques intactes, patrimoine mondial reconnu par l'Unesco.

    Dans les sassi, habitations troglodytiques aujourd'hui réhabilitées et modèle urbain unique au monde, s'entassaient jusqu'au XIXe siècle les ouvriers agricoles les plus pauvres.

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  • Keith Haring, l'énergie vitale de l'art

     

    Home CULTURE Arts Expositions

    EN IMAGES - Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris rend tout son poids politique au prince du street art.

     
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    Keith Haring n'est pas mort à New York en février 1990, à 31 ans, des suites du sida. Il vit et travaille à Paris, comme le veut la formule consacrée de l'art. Star subversive du street art, ce dessinateur-né a été fêté dans un tourbillon de musique, de happenings et d'œuvres qui se répondent en un langage nouveau, signalétique et direct comme un feu vert à Manhattan. Comme tous les peintres au musée, il reste jeune pour l'éternité. Énergumène aux cheveux frisottés et aux grosses lunettes rondes de clown, il regarde en dehors du tableau, comme à la recherche d'une ligne de fuite (Self-Portrait, 1985). Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris est littéralement balayé par le souffle décapant de cet artiste grave derrière l'éclat de la couleur et virtuose derrière la simplicité du trait qui danse. Un choc visuel, tout en messages, en questions et en émotions.

    Une énergie vitale transporte cet ensemble jamais réuni de quelque 250  œuvres, bâches, dessins, tableaux, céramiques et autres totems géants parcourus par cette nouvelle langue des signes. On monte à plus de 360, si l'on isole chaque élément des nombreuses séries historiques exposées (Storyboard, spectaculaire accrochage, dès la première salle, qui reconstitue l'exposition clé chez Tony Shafrazi à New York en 1980). «Qu'est-ce que cela change?», s'interroge-t-on en lisant la longue liste des expositions monographiques qui ont porté Keith Haring, mort ou vif, du Pittsburgh Center for Arts (1978) à la Kunsthalle de Vienne (2010), du Ludwig Museum de Budapest au Musée d'art contemporain de Lyon (2008). Ou, plus prosaïquement, des enchères de New York à la dernière foire d'Art Basel Miami Beach.

    Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique

    Dieter Buchhart

    «Tout simplement la mesure de l'artiste», souligne Fabrice Hergott, pas fâché que son musée rende sa taille héroïque à ce prince du street art. Keith Haring est souvent résumé à sa formule pop, à un tee-shirt rouge ou noir sur lequel figurent un bébé rayonnant, un chien qui aboie, un corps transpercé d'un soleil, une soucoupe volante des années 1950, un cœur avec deux croix, un sexe dressé comme une arme (son Pop Shop fut l'adresse miraculeuse au 292 Lafayette Street à Soho). Tout un codex apparemment gai - dans les deux acceptions du terme - qui semblait emprunter à la fureur de vivre des années 1980 à Manhattan, avant l'hécatombe de la drogue et du sida (à déguster, le polaroid de ­Madonna, si jeune et fraîche sous sa perruque rose de japonaise). C'est tout le propos de cette rétrospective bluffante par sa réunion de famille in extenso, les ­leçons sous-jacentes qu'elle en tire ­visuellement… Et les prêts princiers qu'elle a obtenus: tableau phare mis en couverture du catalogue, le héros ­traversé par les chiens, peint sur une ­bâche jaune ­soleil en 1982, est prêté par la Sheikha Salama Bint Hamdan al-Nayan, autrement dit la famille régnante d'Abu Dhabi!

    Prévenez les allergiques à l'esprit clairement engagé: Keith Haring, c'est politique. Le point de départ des commissaires de cette exposition «Keith Haring. The Political Line», Dieter Buchhart et Odile Burluraux, n'est pas une théorie fumeuse de plus. Tout est là, dans le cadre. «Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique, analyse Dieter Buchhart. Au sens de l'individu dans l'espace public. Pour la liberté d'expression avec sa série de dessins à la craie dans le métro de New York. Pour le droit d'être différent et heureux avec tous ses dessins qui célèbrent l'amour libre. Contre l'homophobie, mais aussi le racisme aux États-Unis et la ségrégation en Afrique du Sud. Contre le capitalisme et ses excès d'esclavagiste.»

    Prévenez les parents, soucieux d'une enfance à jamais innocente: Keith Haring, c'est sexe. Comme chez son compatriote Robert Crumb. Le plus souvent entre hommes (Safe Sex, acrylique sur toile fort explicite, 1985), les femmes étant plutôt réservées à la maternité ou à la conception du monde, tota mulier in utero. Parfois - et c'est le plus terrifiant de ces fresques primitives si pimpantes avec leur rose, leur vert salade, leur mauve psychédélique - entre victimes et bourreaux, duels cruels entre chiens et loups (énorme diptyque de 1984 aux chiffres de l'Apocalypse, 666, qui sublime les défunts en anges parmi les ovnis).

    Prévenez les sceptiques: Keith ­Haring, c'est géant. Par les formats, par la variété des matériaux, de la voiture à l'énorme céramique maya, par la déclinaison du signe, joyeux, vivant jusqu'à la mort, atroce punition de la condition humaine.

    «Keith Haring. The Political Line», jusqu'au 18 août au Musée d'art moderne de la Ville de Paris.

    • Préc
      Rudy Ricciotti, architecte en béton armé
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      Les trésors du Louvre Abu Dhabi
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  • Dossiers d'Archéologie n° 366

    Dossiers d'Archéologie n° 366
    L'empire de la couleur. La peinture romaine de Pompéi aux Gaules

    N° 366 - novembre/décembre 2014 - 9,50 €

    ISSN : 1141-7137

    Dossiers d'Archéologie n° 366 - novembre/décembre 2014


     Feuilletez ce numero

           

    Description du numéro Dossiers d'Archéologie n° 366

    De la Grèce hellénistique à la Gaule romaine, en passant par Pompéi, les maisons ont été décorées de fresques qui ont connu des évolutions stylistiques importantes. Si les innovations formelles sont réalisées à Rome dans les milieux impériaux, elles se répandent ensuite sur les parois des demeures de tout l’Empire. Imitations d’architecture publique, trompe-l’œil, tableaux mythologiques se retrouvent donc en Gaule, où se créera progressivement un style régional propre.

    À l’occasion de l’exposition au musée des Antiques de Toulouse «L’empire de la couleur. De Pompéi au sud des Gaules», ce numéro des Dossiers d’Archéologie propose une synthèse de la peinture romaine, depuis ses origines grecques jusqu’à sa réception en Gaule et sa permanence au Moyen Âge.


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    Numéro précédent : Dossiers d'Archéologie Hors-série n° 27 - Sésostris III, pharaon de légende
  • L'empire de la couleur. La peinture romaine de Pompéi aux Gaules

    Dossiers d'Archéologie n° 366

    N° 366 - novembre/décembre 2014 - 9,50 €

    ISSN : 1141-7137

    Dossiers d'Archéologie n° 366 - novembre/décembre 2014


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    Description du numéro Dossiers d'Archéologie n° 366

    De la Grèce hellénistique à la Gaule romaine, en passant par Pompéi, les maisons ont été décorées de fresques qui ont connu des évolutions stylistiques importantes. Si les innovations formelles sont réalisées à Rome dans les milieux impériaux, elles se répandent ensuite sur les parois des demeures de tout l’Empire. Imitations d’architecture publique, trompe-l’œil, tableaux mythologiques se retrouvent donc en Gaule, où se créera progressivement un style régional propre.

    À l’occasion de l’exposition au musée des Antiques de Toulouse «L’empire de la couleur. De Pompéi au sud des Gaules», ce numéro des Dossiers d’Archéologie propose une synthèse de la peinture romaine, depuis ses origines grecques jusqu’à sa réception en Gaule et sa permanence au Moyen Âge.


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  • Composition aux deux perroquets

     

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    Reproduction d'une œuvre

     

    © Jacques Faujour - Centre Pompidou, MNAM-CCI (diffusion RMN)
    © Adagp, Paris

    À propos de l'œuvre

    Fernand Léger (1881 - 1955)

    Composition aux deux perroquets

    1935 - 1939

    Huile sur toile

    400 x 480 cm

    Bookings :

    S.D.B.DR. : F. LEGER 35-39

    T.S.D. au revers : composition / aux deux perroquets / F. LEGER 1935-39

     
     

    Don de l'artiste, 1953

    Numéro d'inventaire : AM 3026 P

     

    Point de vue

    Extrait du catalogue Collection art moderne - La collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, sous la direction de Brigitte Leal, Paris, Centre Pompidou, 2007


    Marie l’acrobate(1933, Paris, coll. part.) inaugure un cycle nouveau sur le thème des acrobates – un thème déjà abordé par Léger en 1920, et qui sera prolongé dans les années 1940 et 1950 par ceux des « Plongeurs », puis de « La Grande Parade ». Outre son goût avéré pour le cirque et pour la saveur naïve, populaire, des différents « numéros » qui en forment le programme, Léger s’intéresse particulièrement au motif de la pyramide humaine, à ces empilements qui nouent les uns aux autres les membres des athlètes, masculins ou féminins.

    La mise au point définitive de la Composition aux deux perroqu...

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  • J'ai fini de lire aujourd'hui:Diego Rivera: révolutionnaire et agitateur

    Rivera (Petite Collection Art)Picasso, Dali et André Breton ont décrit Diego Rivera, le mari de Frida Kahlo, comme un révolutionnaire et un agitateur, mais celui-ci a aussi été à l’origine d’un art public, à la fois très élaboré et profondément accessible.

    En 1910, Rivera s’installe en Europe où il se nourrit de l’influence cubiste. Après la révolution mexicaine, il rentre dans son pays pour mettre les leçons de l’avant-garde européenne au service du peuple mexicain. Ses propres fresques, ainsi que celles des muralistes mexicains qui ont suivi son exemple offrent une vision utopique d’un Mexique postrévolutionnaire.

    Les tableaux historiques de Rivera expriment sa manière de concevoir la révolution et ses idéaux, dans un style qui le conduit à revenir aux racines précolombiennes de la culture mexicaine, en réinventant un langage visuel réaliste et coloré capable de s’adresser directement au peuple en grande partie illettré. Cet ouvrage propose la première étude qui, en dehors du circuit des expositions, aborde de manière globale l’œuvre de cet artiste extraordinaire.

    Rivera

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  • J'ai aimé hier à Lyon:Les 25 murs peints du Musée urbain Tony Garnier

    Murs peints musée Tony Garnier, Cité idéale du Mexique par Marisa Lara et Arturo Guerrero, mur n°21 - Lyon-visite.info

    Cité idéale du Mexique par Marisa Lara et Arturo Guerrero, mur peint n°21

     

    D’habitude, les tableaux sont à l’intérieur des musées. Dans le musée urbain Tony Garnier c’est le contraire, ils sont dehors :

    • 25 fresques murales de 230 m² peintes sur des pignons d’immeubles,
    • dont une dizaine reprenant les croquis du jeune architecte Tony Garnier esquissant sa vision de la future cité idéale,
    • et des murs peints des 5 continents réalisés par des artistes d’Egypte, de l’Inde, du Mexique, de la Côte d’Ivoire, de Russie et des USA.

    Ce musée Tony Garnier « en plein air » et en pleine ville est une balade faisable à pied ou à Vélo’v en groupes ou en famille. Le quartier lui-même participe de la visite puisqu’il a été  la première approche de la   »cité idéale » rêvée, théorisée et détaillée par l’architecte urbaniste Tony Garnier (lauréat du prix de Rome, il a séjourné à la Villa Médicis entre 1899 et 1904).

    C’est cette cité idéale  et ses autres vues mondiales que vous allez visiter à travers ces 25 oeuvres.

    On y va.

    Infos pratiques :

    • Accessible en tramway : Ligne T4 arrêt Etats-Unis Musée Tony Garnier.
    • Durée : environ 2 heures.

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  • J'ai terminé hier soir:Le Tour du monde des chefs-d'œuvre en péril

    19 décembre 2013

    L’équipe de Beaux Arts fait ici le tour du monde des chefs-d’œuvre en péril : un état d’une situation inquiétante.
    Ce numéro soulève aussi bien le problème des fresques de Pompéi que ceux des temples d’Angkor qui se délitent, aux ruines romaines de Palmyre sous le feu des combattants syriens, qu’au chef-d’oeuvre de Léonard de Vinci La Cène, les spécialistes s’avérant incapables de se mettre d’accord sur une technique de restauration.
    Un tour du monde à la fois positif et décourageant. Car les causes de détérioration sont multiples : inconscience des peuples qui s’entretuent et détruisent ce qui a fait la grandeur de leur passé, fléaux climatiques de toute nature, manque cruel de moyens comme en Italie, tourisme de masse qui sera certainement la pire des plaies à venir, tous facteurs qui provoquent ou provoqueront un jour la transformation de sites grandioses en sanctuaires protégés et inaccessibles. Mais des moyens nouveaux existent pour les sauver, l’UNESCO joue dans ce domaine un rôle très positif, des mécènes viennent à la rescousse, les techniques de restauration s’améliorent.
    Un numéro destiné à ceux que les grandes civilisations et l’histoire de l’art passionnent.


    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-773-Le-Tour-du-monde-des-chefs-d-uvre-en-peril.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des fresques

    Irish Celtic » : la vague irlandaise déferle sur la France

     

    Par Martine Robert | 30/09 | 06:00 | mis à jour à 15:09

     

     

     

    Les grandes fresques touristiques musicales sont la marque de fabrique de la société Indigo Productions .

    « Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
    « Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault

    Le producteur Indigo est sur le pied de guerre. La trentaine de danseurs et musiciens d’« Irish Celtic » répètent cette superproduction qui va déferler sur la France le 26 octobre – pour une soixantaine de dates et de villes, sans compter l’étranger. Le

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des fresques

    Pompéi : l'ultimatum de l'Unesco à l'Italie

    Home CULTURE Arts Expositions
      • Par Richard Heuzé
      • Mis à jourle 01/07/2013 à 18:33
      • Publiéle 02/07/2013 à 07:00

    Grèves à répétition, pénurie de fonds, sécurité non respectée... l'organisation onusienne s'inquiète de la situation chaotique du site.

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des fresques

    Prix Jean Giono et Casanova

    Metin Arditi pour son roman «Le Turquetto» (Actes Sud).

     
    L’auteur
    Genevois, Metin Arditi, est né à Ankara en 1945. Il préside l’Orchestre de la Suisse romande et la fondation Les Instruments de la Paix-Genève. Son œuvre est publiée chez Actes Sud.

    Sur la couverture du «Turquetto» apparaît la main de «l’Homme au gant» du Titien, célèbre tableau exposé au Louvre. Et si ce tableau n'était pas du pinceau du maître, mais de celle d'un peintre tombé dans l'oubli? Une anomalie relevée dans la signature permet toutes les suppositions...

    Elevé à Constantinople, le petit Elie n'a qu'une passion: le dessin. Mais quand on est fils de marchand d'esclaves – activité réservée aux juifs par les Turcs –, dessiner est inimaginable. Pourtant, le jeune garçon s'obstine, s'initie à la calligraphie avec un musulman, copie les fresques de  Saint-Sauveur... Parti de Constantinople pour Venise, Elie change de nom, prenant celui de «Turquetto», et travaille auprès des maîtres italiens du Cinquecento, dont il devient l’égal – Véronèse, Titien. Il dévoile ses origines juives en peignant une «Cène» somptueuse. L'église le fait immédiatement arrêter et juger. Condamné à mort, ses toiles brûlées, il échappe de peu à la pendaison grâce à un prélat. De son œuvre, il ne restera que cet « l’Homme au gant » miraculé. Réflexion sur la création et sur la difficulté d’échapper à un destin tracé, ce récit «historique» est enlevé et profond. Un beau prix Giono.

    http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20111018.OBS2713/prix-jean-giono-a-metin-arditi.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des expositions, Des fresques

    José Maria Sert : peintre adulé mais trop vite oublié

     

    Par Véronique Prat Mis à jour le 01/06/2012 à 19:04 | publié le 01/06/2012 à 11:39 
    En 1917, Sert peint un ensemble de fresques dans lequel il associe les quatre parties du monde aux quatre saisons (ici, <i>L'Amérique ou l'Hiver</i>). L'artiste est alors en pleine possession de ses moyens et c'est avec brio qu'il mêle plusieurs sources d'inspiration: l'espace théâtrale à la manière de Tiepolo et les mascarades des fêtes vénitiennes... Tout cela, sur fond de gratte-ciel new-yorkais...
    En 1917, Sert peint un ensemble de fresques dans lequel il associe les quatre parties du monde aux quatre saisons (ici, L'Amérique ou l'Hiver). L'artiste est alors en pleine possession de ses moyens et c'est avec brio qu'il mêle plusieurs sources d'inspiration: l'espace théâtrale à la manière de Tiepolo et les mascarades des fêtes vénitiennes... Tout cela, sur fond de gratte-ciel new-yorkais... Crédits photo : Archivo fotográfico Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía,

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