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Le journal (quotidien) le parisien - Page 5

  • Et vous, quelle est votre expression préférée ?

    les editions de lopportun  

     

    Notre belle langue française possède un trésor que nous partageons tous : les expressions ! Si nous les utilisons quotidiennement, il est rare de connaître les histoires souvent cocasses qui les accompagnent et surtout leurs véritables origines. Pourquoi dit-on «passer l’arme à gauche», «verser des larmes de crocodiles», «se mettre dans de beaux draps», «avaler des couleuvres» ou bien «devenir chèvre»?
    Le livre de Georges Planelles qui a déjà séduit plus de 75 000 lecteurs, est un véritable hommage à notre inventivité linguistique. Il vous est enfin proposé en version illustrée par 50 dessins signés Romain Dutreix.

    « Cet ouvrage contient de savoureuses anecdotes sur l’origine de ces maximes ! »

    Le Parisien

     

    « Les expressions ont une histoire, Georges Planelles la raconte.»

    Ouest France

    Cliquez ici pour commander !les editions de lopportun

  • L’actualité du Livre

                        
     
     
     
     
    Meilleures ventes il y a 12 heures
    Zemmour, premier dans les meilleures ventes
    Numérique il y a 13 heures
    Les archives du Web en accès libre dans 26 bibliothèques
    Bande dessinée il y a 10 heures
    Hervé Bourhis remporte le prix Landerneau BD 2014
    Deuxième sélection il y a 18 heures
    Le jury du Flore retient cinq finalistes
    Grande-Bretagne il y a 15 heures
    Richard Flanagan reçoit le Man Booker Prize 2014
    Manifestation il y a 12 heures
    Première Nuit des bibliothèques à Lille Métropole
    Manifestation il y a 13 heures
    Gauz, Serge Joncour, Brigitte Fontaine et Noémie Lvovsky à Paris en toutes lettres
    Proclamation il y a 13 heures
    Le Parisien Magazine choisit Eric Vuillard
    Aventure il y a 15 heures
    “Les cavaliers afghans” primé à Dijon

     

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  • Les beaux paysages alpins d’Emmanuel Renaut

    14/03/2014

     

    livre, gastronomie,Le chef de Megève sort un nouveau livre où la nature qui l’environne a autant d’importance que la cuisine


    Que ceux qui pensent que le Parisien est une espèce qui se transplante mal viennent voir Emmanuel Renaut, venu de sa banlieue s’installer d’abord chez Marc Veyraz avant d’ouvrir son Flocon de Sel, à Megève, et d’y progresser si vite qu’il a reçu en 2012 sa troisième étoile et le titre de chef de l’année.

    Cet artisan qui dit ne pas aimer la starification des chefs n’aime rien moins que courir la montagne pour y cueillir ses champignons comme Régis Marcon, partir à 3 heures du matin sur le Léman avec Eric Jacquier, le pêcheur de Lugrin, s’imprégner des saisons dans sa cuisine épurée, colorée et incroyablement inventive.

    Après avoir signé La montagne et le cuisinier, qui mettait déjà en avant ses interprétations de paysage, il récidive avec Nature d’un chef, livre de cuisine comme livre de voyage, où les photos magnifiques de Francis Hammond racontent la nature alentour comme les plats du chef qui y plongent leurs racines, comme ces filets de féra à la salamandre et leur pâte de citron, ou ces girolles juste saisies que parfument mélisse, oxalys et noisettes.

    http://davemog.blog.24heures.ch/archive/2014/01/31/les-beaux-paysages-alpins-d-emmanuel-renaut-855038.html

    "Nature d’un chef", Emmanuel Renaut et Isabelle Hintzy, Ed. Flammarion 256 p., 74 fr. 30

  • Le Train Bleu fait passer ses plats aux enchères

     

    Mots clés : Le Train bleu, Paris

    Bommelaer, Claire
    19/06/2014 | Mise à jour : 07:00

    Avant l'ouverture de ses travaux pour restauration, le célèbre établissement de la gare de Lyon  vend une partie de son mobilier professionnel et des lots de vaisselles siglés.

     

    Ce n'est pas une table parisienne exceptionnelle. Mais tous les voyageurs qui transitent par la gare de Lyon connaissent le Train Bleu, ce restaurant hors normes par ses décors. Inauguré en 1901, dans...

    http://recherche.lefigaro.fr/recherche/access/lefigaro_fr.php?archive=BszTm8dCk78atGCYonbyztlTG06koJ0TjtviJ6sBEIJMxslZF0jhjzOrTOVF0A%2FDu2IGtjAq08M%3D

  • Une idée pour « Libé »

     

     

    6/3/14 - 00 H 00

                            
     

    Les journalistes de Libération ne sont pas franchement enthousiastes à l'idée de déménager en banlieue. Bien entendu, ils n'ont rien contre la banlieue, vu que, écrivent-ils, un bon nombre d'entre eux y vivent déjà. Mais les lieux de pouvoir et de décision étant concentrés « dans un grand quart nord-ouest de Paris intra-muros », faire un « quotidien d'information générale » hors de Paris leur semble quasiment mission impossible. La preuve, expliquent-ils, « Le Parisien et L'Humanité sont les seuls titres qui ont franchi le périphérique ». Je suis heureux ­d'apprendre aux journalistes de ...

    ...

    REMOND Alain

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  • Paris: la résurrection du cinéma le Louxor

    Home ACTUALITE Société
      • Par Lena Lutaud
      • Mis à jourle 17/04/2013 à 12:14
      • Publiéle 17/04/2013 à 07:00

    EN IMAGES - Après trente ans de «momification», cette mythique salle parisienne a retrouvé sa magie d'antan.

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  • Piaf, un chant d'amour

    Ce livre-album est un voyage. Un voyage au bout des nuits (et des jours) d’Edith Piaf. Une vie pas toujours rose, qu’elle a pourtant voulu chanter, voire louer, en guise d’exorcisme. Ce voyage, au cœur d’une époque en noir et blanc, est conduit par le trait d’un artiste, l’illustrateur Philippe Lorin, maître du crayonné et du fusain. Un portraitiste d’abord, mais aussi un gardien d’atmosphères, tel que l’aurait adoubé Arletty. Ce voyage est guidé par les mots de Patrick Mahé, auteur de nombreuses biographies, récits, « beaux livres » et romans. C’est lui qui en a conçu le découpage. Ancien rédacteur en chef de Paris Match, il a ponctué du « poids des mots » cette balade autour d’une vie, pas comme les autres… De Piaf, on croit tout connaître, tout savoir. Pas si sûr… De sa naissance mystérieuse à sa mort pathétique, à 44 ans – on l’a d’abord cachée pour conduire clandestinement sa dépouille de la Côte d’azur à son domicile Parisien – l’histoire vraie tutoie le légendaire. Ce livre album jalonne les mille et une étapes d’une vie tumultueuse. Elle signe le contre-point des fastes de « la Belle Epoque ». Son fanal tient en un mot : l’amour. Mais le désespoir et la mort en rythment trop souvent l’infernal tempo

    http://www.hoebeke.fr/ouvrages/391/

  • Soufflot chez lui au Panthéon

    CULTURE Arts et Expositions S'abonner au Figaro.fr

    «Les Dieux du Stade» :
    bain d'huiles

     
    «Les Dieux du Stade» : <br/>bain d'huiles

    LA CHRONIQUE D'ÉRIC NAULLEAU - L'édition 2014 du calendrier de sportifs dénudés, phénomène commercial depuis 14 ans, sort en librairie.
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    Loustal, mélancolie de la lumière

     

    L'illustrateur et auteur de bandes dessinées peint aussi des huiles sur toile. L'inspiration reste la même mais l'œuvre est plus épurée.

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    Miss.Tic détourne
    les Unes des magazines

     

    EN IMAGES -L'artiste plasticienne s'inspire des couvertures de la presse féminine et masculine pour créer une vingtaine d'œuvres d'art, exposées à la Galerie W jusqu'au 20 octobre. Florilège.

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    Dréros, la belle oubliée

     

    LA CHRONIQUE D'ADRIEN GOETZ - En Crète, l'École française d'Athènes tente de faire revivre une cité qui édicta la première loi contre le cumul des mandats.
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    4e édition
    de Photoquai

     

    La 4e édition de Photoquai propose une sélection de photographies sur le thème de «la figure humaine», installées sur les quais de la Seine et dans le jardin du musée du Quai Branly. Les travaux de 40 artistes non-européens sont ainsi exposés au grand public en accès libre.

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    Pendant la nuit blanche, l'art contemporain descend en ville

     

    Samedi 5 octobre pour la 12e édition de Nuit Blanche, de nombreux artistes venus des cinq continents animeront les Berges de Seine, le canal Saint-Martin, les quartiers de République, du Marais, de Belleville et de Ménilmontant...

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    Salgado: la Terre grandeur nature

     

    Le photographe brésilien célèbre la planète. Après les horreurs de la guerre, retour à la vie toute nue.

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    Félix Vallotton, le mal helvète

    Félix Vallotton, le mal helvète

    La rétrospective qui s'ouvre mercredi au Grand Palais montre les forces et les failles de cet artiste trop orgueilleux.

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    L'art en Frac à Toulouse

     

    CHRONIQUE - Le Musée des Abattoirs lance l'exposition «Les Pléiades» à l'occasion des 30 ans des Fonds régionaux d'art contemporain.
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    Un Napoléon peint
    par David?

    Les experts français ne croient pas à la découverte annoncée par l'université de Reading, en Angleterre.

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    Photoquai, tour
    du monde en 20 photos

    EN IMAGES - La 4e édition de cette biennale des «images du monde» réunit des dizaines de clichés de 29 pays jusqu'au 17 novembre.

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    Photoquai, le monde revit
    sur grand écran

    EN IMAGES - Pour sa quatrième édition, la biennale du Quai Branly ouvre un regard résolument plus optimiste sur la planète.

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    L'art rend les péchés mignons

     

    Luxure, envie, paresse, gourmandise… Promenade au jardin des délices en cette rentrée culturelle où de nombreuses expositions abordent ces thèmes indissociables de la création artistique.
    » INTERVIEW - André Rauch : «La paresse, cet abandon»

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    Salgado: «On est beaucoup
    plus vieux que l'on imagine»

     

    INTERVIEW - Après des années vécues au cœur du drame humain, le grand photographe brésilien célèbre à la MEP le retour au début du monde.
    » EN IMAGES - Sebastiao Salgado, une exploration photographique en terres vierges

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    Salgado, exploration
    en terres vierges

     

    EN IMAGES - L'exposition Genesis présentée à la Maison européenne de la photographie jusqu'au 5 janvier 2014 est un monument dédié à la nature et à la protection de la planète. Pendant huit ans, le photographe épaulé par sa femme Lélia a exploré sur plusieurs continents des terres lointaines encore intactes.

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    Un atelier d'art sous les combles du Sacré-Cœur

    VIDÉO - Romain Gamez, artiste contemporain, vient y chercher l'inspiration dans le vent puissant qui balaye les sommets de Montmartre. Il dévoile exceptionnellement au Figaro son havre secret sur le toit de la basilique.
    » Que faire à Paris ce week-end ?
    » Les 5 meilleurs cafés de Paris

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    Budget 2014 : la Culture perd ses moyens

    L'année prochaine, le ministère va privilégier le spectacle vivant et l'enseignement artistique. Et sabrer dans le budget des musées.
    » Coupes budgétaires : les musées s'adaptent

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    Masculin/Masculin: un 2e homme se dénude

    Après l'étudiant des Beaux-Arts venu dans le plus simple appareil au vernissage de l'exposition, une autre personne a fait de même, mardi, devant l'entrée du musée d'Orsay.

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    Le gay savoir d'Orsay

    Le musée rapproche œuvres anciennes et contemporaines pour révéler la constance d'une fascination longtemps inavouée : celle du nu masculin.

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    La ronde éblouissante de Bosch et Bruegel

     

    CHRONIQUE - À l'Institut néerlandais, à Paris, l'univers fantastique des deux peintres se déploie autour d'un artiste méconnu, Hieronymus Cock.
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    Ils sont fous
    ces Étrusques ! 

     

    VIDÉO - Fastes, fêtes et génie de ces maîtres du centre de l'Italie pré-romaine au Musée Maillol.

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    Le boom
    du design hollandais

     

    Alors que les créateurs néerlandais ont la part belle dans la collection de Lidewij Edelkoort exposée à l'occasion de la Paris Design Week, l'on redécouvre le «dutch design» des années 1950-1960 à la galerie Coin Canal.

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    Le voleur d'une toile
    de Delacroix interpellé

    Un Serbe de 50 ans a été arrêté la semaine dernière, présumé coupable du vol de plusieurs œuvres d'art, dont Les Arabes d'Oran, une aquarelle du peintre qui n'a toujours pas été retrouvée.

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    NKM, une madone en mission contemporaine

     

    LA CHRONIQUE DE VALÉRIE DUPONCHELLE - Nathalie Kosciusko-Morizet visite les galeries du Marais et met l'art à son programme de campagne municipale.
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    Recadrage pour le Centre Pompidou-Metz

     

    Aurélie Filippetti a convoqué la direction du musée et les élus pour réfléchir à l'avenir du centre d'art messin. Au cœur du problème: l'absence de collections d'œuvres permanentes.

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    «Nick» Nichols, le Tarzan de l'image

     

    PORTRAIT - Ce vétéran de la photo animalière est un personnage digne d'un grand roman d'aventures américain.
    À 61 ans, il est le héros de Visa pour l'image à Perpignan.
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    Des œuvres d'art repêchées par la police

     

    Lors d'une plongée d'entraînement dans la Marne, dimanche 15 septembre, la brigade fluviale a trouvé deux bustes en bronze. D'après Le Parisien, il s'agit d'objets de valeur dérobés à une habitante de Saâcy-sur-Marne, il y a treize ans.

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    Avant Rome étaient
    les Étrusques

     

    Ce peuple venu on ne sait d'où, à la religion terrifiante, à l'écriture mal déchiffrée, intrigue toujours les historiens. Cet automne, deux superbes expositions traquent le mystère fascinant de cette civilisation apparue à la fin du IIe millénaire avant notre ère.

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    Les outsiders de l'art
    entrent au panthéon

     

    Au Grand Palais, Braque le discret se démarque de son frère glorieux Picasso, tandis qu'en face, au Petit Palais, Jordaens s'affranchit de Rubens, son si célèbre aîné.µ
    » Loin de Picasso, Braque mène sa barque

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    Le jour de l'inauguration de l'exposition, la grande porte du Panthéon était ouverte à deux battants, comme pour une panthéonisation. Beau symbole: celui qu'on honore n'a pas besoin d'y entrer - il y est déjà, depuis 1829. Les étudiants de la Montagne-Sainte-Geneviève savent que la rue qui va du jardin du Luxembourg au temple des grands hommes porte son nom.


     

     

    LA CHRONIQUE D'ADRIEN GOETZ - L'exposition consacrée au génial architecte de l'édifice permet de comprendre qu'il n'est pas seulement l'inventeur du retour à l'antique, mais un amoureux du Moyen Âge et de la Renaissance.

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  • Des œuvres d'art repêchées par la police

    Home CULTURE Arts Expositions
    Les photographies des deux bustes retrouvés dans la Marne dimanche, parues dans la lettre hebdomadaire de la Préfecture de Police <i>Pprama </i>le 18 septembre dernier. (DR).

    Les photographies des deux bustes retrouvés dans la Marne dimanche, parues dans la lettre hebdomadaire de la Préfecture de Police Pprama le 18 septembre dernier. (DR).

    Lors d'une plongée d'entraînement dans la Marne, dimanche 15 septembre, la brigade fluviale a trouvé deux bustes en bronze. D'après Le Parisien, il s'agit d'objets de valeur dérobés à une habitante de Saâcy-sur-Marne, il y a treize ans.

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  • Étienne Daho : découvrez le clip de son nouveau single "Les chansons de l'innocence"

    Toujours occupé par une multitude de projets pour le cinéma et pour les autres, Etienne Daho est de retour avec un nouveau single, "Les chansons de l'innocence", premier extrait de son onzième album à paraître au mois d'octobre prochain. Un morceau léger, emprunt de nostalgie 80's. Découvrez le clip sur Pure Charts !
     
    Crédits photo : Capture YouTube
    Etienne Daho est de retour ! On le savait depuis quelques temps déjà, le chanteur français travaille d'arrache-pied sur un nouvel album, annoncé pour l'automne 2013. Le temps passe et forcément son projet se dévoile enfin un peu plus, avec tout d'abord le premier single "Les chansons de l'innocence" qui est diffusé dès aujourd'hui sur nos ondes, notamment sur France Bleu, et qui a été mis en vente sur les plateformes de téléchargement légales dans la foulée. Cela fait depuis 2007 et "L'invitation" que le public n'a pas pu se procurer de disque original de l'interprète de "Week-end à Rome", c'est dire si l'attente est grande. A 57 ans, l'artiste, qui a signé le succès "Places" de Lou Doillon ou encore la bande originale du film "Une histoire d'amour" récemment, a eu envie d'effectuer un retour aux sources et assure dans Le Parisien qu'il s'agit-là d'un « album humaniste, ouvert sur les autres, qui raconte les autres ».

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  • Etienne Daho a "La peau dure" : écoutez son nouveau single !

    Le 18 novembre, Etienne Daho sera de retour dans les bacs avec "Les chansons de l’innocence retrouvée", dont le premier extrait éponyme cède aujourd'hui sa place à "La peau dure". De quoi se faire un premier avis sur ce dixième opus que le chanteur défendra sur scène à partir du 14 février 2014. La billetterie est ouverte.
     
    Crédits photo : Richard Dumas
    Trois ans après avoir chanté "Le condamné à mort" avec Jeanne Moreau, Étienne Daho annonce la sortie d'un nouvel album, le dixième, qu'il a décidé d'appeler "Les chansons de l'innocence retrouvée". L'interprète de "Week-end à Rome" a-t-il décidé de retomber en enfance ? Il a en tout cas pris l'initiative de collaborer avec un ami de longue date, Jean-Louis Piérot, dont le chemin a également croisé celui de Renan Luce, d'Yves Simon, d'Hubert-Félix Thiéfaine et celui de Brigitte Fontaine. Dans leur quête, Étienne Daho et Jean-Louis Piérot ont fait appel à d'autres talents comme Richard Woodcraft et Nile Rodgers, au sommet des charts du monde entier avec le tube "Get Lucky" de Daft Punk. Artisan de sa propre réussite, Étienne Daho nous apportera le 18 novembre le témoignage d'une « éternelle jeunesse » selon son label Polydor/Universel, un « album humaniste, ouvert sur les autres, qui raconte les autres » selon lui (Le Parisien).

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  • Arts et sciences humaines


    1.  
      Les enchères ne plongent pas à Monaco
      Le Figaro ‎- il y a 3 jours
      Comme chaque été, la planète art s'est déplacée à Monaco pour y suivre les ventes d'Artcurial, qui ont totalisé près de 16 millions d'euros en ...

    1.  
      Des photos inédites de Marilyn mises aux enchères en Californie
      Le Parisien ‎- il y a 3 jours
      Plus de 3.700 photos de Marilyn Monroe, prises par le photographe de mode américain Milton Greene, seront dispersées samedi près de Los ...

    Lire la suite

  • Dans "Livres hebdo"

    les titres à la une
    [Bibliothèques]  Edouard Cointreau offre ses 40 000 livres à la Cité de la gastronomie

    23/07/2013

    [Prix]  Antoine Sfeir, lauréat du prix Livre et droits de l'Homme

    23/07/2013

    [Edition]  Le groupe Moniteur aurait changé de mains

    23/07/2013

    [Médias / Manifestations]  [Tour de France des festivals] BD et livres jeunesse à La Fouillade

    23/07/2013

    [Prix]  Le Parisien Magazine crée son prix littéraire

    23/07/2013

    Toutes les actualités

  • Vous voyez que ça n'arrive pas que dans le cyclisme


    1.  
      Dopage : après Tyson Gay, le sprinter Asafa Powell également contrôlé positif
      Le Parisien ‎- il y a 12 heures
      Sombre journée pour l'athlétisme mondial. L'Américain Tyson Gay, détenteur de la meilleure performance mondiale de l'année sur 100 m avec ...

  • Réouverture de la statue de la Liberté pour la fête nationale

     
    Réouverture de la statue de la Liberté pour la fête nationale
    Les Échos ‎- il y a 10 heures
    Huit mois après l'ouragan Sandy, qui l'avait endommagée, la statue de la Liberté a rouvert, hier, à New York, juste à temps pour la fête nationale américaine, ...

  • Canaletto-Guardi:Les deux maîtres de Venise

    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

     


     

     

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/



  • Le Grand Paris au milieu du gué ?

    Les Echos Par Laurence Salmon | 15/02/13

    C’est un chantier ambitieux et complexe s’il en est. Le Grand Paris, initié par Nicolas Sarkozy en 2007, concerne l’avenir et le rayonnement de la région capitale. L’objectif est d’en faire une métropole attractive, multiple, solidaire et durable, sur fond de compétition économique internationale.
    L’équation se résume assez simplement, de prime abord. Le projet du Grand Paris vise à redessiner les contours du territoire francilien, regroupant un peu plus du sixième de la population nationale (11,5 millions d’habitants), avec pour objectif, de booster l’économie de cette région qui contribue pour près de 30 % à la richesse du pays. « L’image de ce territoire est difficilement perceptible, sorte de marée urbaine où des pouvoirs politiques, techniques, économiques s’exercent à des échelles différentes, parfois complémentaires, parfois coïncidentes », souligne Jean-Pierre Courtiau, rédacteur en chef du nouveau magazine Objectif Grand Paris. Selon les porteurs du projet, il y a urgence à clarifier cette image au vu des dysfonctionnements de toutes sortes (saturation des transports en commun, pénurie de logements, inégalités territoriales et sociales…) qui entravent la qualité de vie de la région et son développement. La réussite du Grand Paris sous-tend la création d’une identité métropolitaine forte, qui passe par le rééquilibrage entre l’hyperattractivité de Paris, héritée de l’histoire du pays, et les banlieues, qui seraient à terme intégrées, comme jadis les faubourgs. En clair, il s’agit de sortir Paris du périphérique qui l’enserre, qui l’étouffe et qui génère de l’exclusion. Quel est le périmètre de ce Grand Paris ? Rien n’est pour l’instant encore tout à fait précisé. La Seine serait l’axe majeur autour duquel la métropole a vocation à s’ordonner. Mais là comme ailleurs, l’entrelacement des niveaux de réflexion et de décision complexifie le débat. Des réponses sont à trouver urgemment. On n’a guère le choix si la région capitale veut consolider sa place de pôle attractif, de première région économique d’Europe, dans un contexte de mondialisation marqué par la forte concurrence entre les villes-mondes, ces fameuses grandes métropoles à l’image de New York, Londres, Tokyo, Shanghai ou Hongkong. C’est à Nicolas Sarkozy que l’on doit ce plan stratégique pour l’aménagement de l’Île-de-France. En 2007, il déclarait vouloir faire du Grand Paris, « un laboratoire de la modernité humaine ». Pour ce faire, dix équipes internationales d’architectes et urbanistes furent mises à contribution pour enrichir la réflexion. Ce brainstorming fit l’objet d’une exposition à la Cité de l’architecture et du patrimoine en 2009. Avec rien que du beau monde : Richard Rogers, Jean Nouvel et Christian de Portzamparc, le jeune Djamel Klouche, Antoine Grumbach, Roland Castro… Impossible de tous les citer et de tout résumer. Mais tenter retrouver la mixité sociale perdue faisait en tout cas consensus. Une seconde consultation a été programmée en 2012, par l’Atelier international du Grand Paris. Cette structure, née en 2010, a pour mission de poursuivre cette production d’idées et de scénarios, et d’articuler de façon cohérente la constellation de projets de développement urbain, petits et grands, qui alimentent le chantier du Grand Paris. L’alternance politique à la tête du pays n’a pas remis pas en cause le Grand Paris. « Je prends un engagement, celui de créer les conditions nécessaires à l’émergence d’une métropole parisienne capable d’affronter, à l’échelle pertinente, tous les défis qui se présentent à elle », a rassuré François Hollande, quelques jours à peine après son élection à l’Elysée, en mai 2012. Toutefois, en décembre dernier, la remise à Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, du rapport Auzannet concernant le financement et le phasage du Grand Paris Express a jeté un froid. En effet, la pierre angulaire du Grand Paris est ce projet de supermétro automatique souterrain en forme de double boucle dont le coût avait été estimé, sous l’ère Sarkozy, à plus de 30 milliards d’euros. À charge pour ce « grand huit » de façonner et d’oxygéner durablement cette ville de demain, qui compte aujourd’hui 41 millions de déplacements quotidiens. Or la réévaluation des coûts (plus 9 milliards d’euros) et l’allongement du calendrier (plus 5 ans) font craindre qu’il soit sacrifié sur l’autel de la crise. La ministre rendra son arbitrage en février. « Paradoxalement, l’impôt pour le Grand Paris, lui, est prélevé depuis des mois auprès des entreprises, alors que le projet n’est pas encore lancé », s’étonnait un chef d’entreprise dans les colonnes des Echos. L’inquiétude grandit. De la réalisation du Grand Paris Express dépendent notamment les projets de construction de logements, question effectivement cruciale qui vise à réduire les déséquilibres sociaux et territoriaux. À suivre, donc

    http://associationgrandparis.fr/2013/02/15/le-grand-paris-au-milieu-du-gue/

  • J'ai aimé vendredi l'expo de Jacquemart André et samedi, nous avons aimé celle de Maillol

     Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées


     

     
     
    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    Photo :
    Le Grand Canal vu de San Vio à Venise. Peinture à l’huile (XVIIIe siècle)
    © Archives Larbor


    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/
  • Le "Charlot" Gérard Rinaldi est mort

     

     

    Lefigaro.fr Mis à jour le 02/03/2012 à 12:15 | publié le 02/03/2012 à 11:36 
     
     

    Il a connu le succès avec le groupe des "Charlots", créé en 1966. A 69 ans, Gérard Rinaldi est décédé, révèle Le Parisien. Il a perdu la vie ce matin, dans un hôpital de l'Essonne, des suites d'une grave maladie.

    Lire la suite

  • Laurent Fignon : le dernier adieu. Le bouleversant témoignage de sa femme

    Laurent Fignon, qui nous a quittés ce mardi  à l'âge de 50 ans d'un cancer,  a été incinéré dans la plus stricte intimité au crématorium du cimetière du Père-Lachaise. Lire la suite l'article

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    Laurent Fignon : le dernier adieu. Le bouleversant témoignage de sa femme

    Valérie, son épouse, se confie longuement ce matin dans Le Parisien. Un dernier hommage bouleversant.

    Extraits :

    - "Sur ce Tour-ci, il était en pleine forme. Il ne devait pas tout faire et il me disait au téléphone : "Je suis en pleine forme, pas la peine de rentrer, je continue !". Et il était content de le faire. C'était une forme de thérapie. Il se sentait porté, il recevait énormément de messages d'affection et de soutien. Ça le portait."

    - "Il avait l'espoir tout le temps, tout le temps, tout le temps. (?) Jusqu'au bout, Laurent n'a pas cru qu'il allait mourir."

    "On s'en sortira, il y a pleins de gens qui en guérissent, me disait-il."

    - "Je ne connaissais pas le champion. Je l'ai connu après. J'ai vraiment l'impression qu'il y a eu deux Laurent Fignon. Le coureur cycliste et celui de la vie d'après. Il était naturel, il était amoureux, généreux. Et puis râleur, tout le monde le sait. C'était un bon mari, quelqu'un sur qui on pouvait vraiment compter. J'ai passé de très, très bons moments avec lui. Il va me manquer."

    http://fr.news.yahoo.com/45/20100903/ten-laurent-fignon-le-dernier-adieu-le-b-a4307fe.html