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  • Catégories : La littérature

    Festival est-ouest à Die le 27 septembre 2009

    MAGRE.jpgAperçu Judith Magre:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Judith_Magre

    et:

    GRIGNAN 26 septembre 2009 161.jpg

    LA TURQUIE VUE PAR LES ÉCRIVAINS VOYAGEURS FRANÇAIS


    Composée de textes extraits des œuvres d'auteurs tels que J. Thévenot, T. Gautier, J.-B. Tevernier, G. de Nerval, A. de Lamartine, G. Flaubert, E. About, J.-J. Ampère, F. de Chateaubriand, M. du Camp, P. Loti, J. Michaud, B. Poujoulat et A. de Valon, l’exposition couvre la période allant du XVIIe jusqu’au début du XXe siècle. À l'intérêt littéraire s'ajoute celui du témoignage d'une rencontre des cultures...

    http://www.est-ouest.com/pages/00_som.htm

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  • Catégories : Mes poèmes

    Quinze ans ans d'amour

    Voilà un précédent poème pour nos onze ans:

     

    Après une année difficile

    Nous pouvons nous dire

    Joyeux anniversaire

    Pour notre rencontre

    Il y a 11 ans, un soir

     

                                                              26 septembre 2005

     

    Pour lire la suite et d'autres textes, cf. mes 13 livres en vente sur ce blog

  • Catégories : Mes poèmes

    Une fleur qui sourit

     

    Une fleur qui sourit
    C’est un poème d’enfant
    Un enfant qui grandit
    C’est l’histoire de la vie



    Et mon poème d’aujourd’hui
    C’est un morceau de mon cœur
    C’est un moment de ma vie
    C’est une angoisse de mes nuits.

     

    Pour lire d'autres poèmes de moi, cf. mes 5 recueils en vente sur ce blog.

  • Catégories : Mes photos, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    1, rue du DÔME le 16 septembre 2009

     

    Ô Mort, vieux capitaine, il est temps, levons l’ancre.

     

    À quoi bon insister sur ce qui suit ? Voici les faits : à Namur, dans l’église Saint-Loup, qu’il visite en compagnie de Félicien Rops et de Malassis, lequel est venu le rejoindre, Baudelaire est pris d’un étourdissement. Il chancelle, il tombe. Le pied, dit-il, lui a glissé. Mais le lendemain il donne des signes de trouble mental. On le ramène à Bruxelles, paralysé du côté droit, la parole déjà confuse.

    Pourtant il peut encore dicter de courts billets. Et même, dans l’un d’eux, qu’il adresse, le 29 mars 1866, à Prarond, son vieux camarade de la pension Bailly et de l’École normande, pour le remercier de l’envoi de ses Airs de flûte, il lui signale un vers faux. Mais l’aphasie, en huit jours, fait de sensibles progrès. Malassis prévient Ancelle, Asselineau, Jules Troubat.

    Bientôt, Ancelle arrive, toujours empressé, toujours dévoué, profondément ému. Baudelaire est transporté dans une maison de santé tenue par des religieuses. Ses facultés baissent rapidement. Madame Aupick, à son tour, est prévenue par Ancelle avec tous les ménagements possibles. C’est aujourd’hui une femme de soixante-treize ans à demi impotente. N’importe ! avec Aimée, sa servante, elle prend le train pour Bruxelles. À la vue de son fils, sa douleur éclate. Malassis mêle ses larmes aux siennes. « Quel excellent jeune homme ! dit-elle, Comme il est bon ! Ce jeune homme doit avoir une belle âme !  »

    Au bout de deux semaines, les religieuses qui soignaient Baudelaire à la maison de santé s’étant scandalisées des jurons qu’il proférait, le malade est reconduit à l’hôtel du Grand-Miroir, où sa mère s’installe auprès de lui. Quand le temps est beau, il sort en voiture avec madame Aupick et Stevens, quelquefois même à pied, appuyé sur une canne. Un jour « Coco » l’emmène déjeuner à la campagne. Cependant, le malheureux a presque totalement perdu l’usage de la parole. Tantôt, il s’impatiente des vains efforts qu’il fait pour articuler un mot, tantôt il a des accès d’hilarité qui épouvantent sa mère. « Cette tête, dit-elle, a trop travaillé. » Un tel aveu, de la part de la vieille dame, pourrait sembler l’expression d’un repentir tardif. Baudelaire n’a-t-il pas été toujours méconnu des siens ? Mais non, malgré son grand âge et malgré son chagrin, Caroline est demeurée trop futile pour avoir de ces retours sur elle-même.

    Dans les premiers jours de juillet, le malade est ramené à Paris. Madame Aupick l’accompagne, avec l’assistance d’Aimée. Arthur Stevens s’est joint au cortège. Asselineau, venu à la gare du Nord pour recevoir son ami, l’aperçoit de loin dans la foule, s’appuyant du bras gauche sur Arthur Stevens, le bras droit pendant, inerte, le long du corps, sa canne accrochée au bouton de son habit. Le paralytique, à son tour, le reconnaît. Il rit, d’un rire sonore, aigu, prolongé, qui glace le coeur d’Asselineau.

    Après quelques jours passés à l’hôtel, Baudelaire, le 4 juillet, est transféré, par les soins d’Ancelle, à Chaillot, dans la maison de santé que dirige le docteur Émile Duval, rue du Dôme. Madame Sabatier, Léon Cladel, Champfleury, Manet et sa femme, d’autres encore, accourent, attristés. Madame Meurice obtient la permission de jouer dans la chambre du malade des fragments de Tannhäuser. Nadar même, une ou deux fois, au cours de l’automne, eut la singulière idée d’emmener Baudelaire dîner chez lui avec quelques intimes. Et le plus étonnant, c’est que le docteur ait autorisé ces sorties.

    Pendant plusieurs mois, le mal demeure stationnaire. Mais l’aphasique en est resté à ces mots : Non, cré nom, non. Poulet-Malassis, répondant de Bruxelles à Asselineau, qui lui avait envoyé des nouvelles de leur pauvre ami, cite cette profonde réflexion de Trousseau : « Rappelez-vous, en voyant un aphasique qui vous paraît en possession de son intelligence, quoiqu’il ait perdu la faculté de s’exprimer, combien de fois vous avez dit, à propos de certains animaux, qu’il ne leur manquait que la parole. »

    Rien de plus vrai. Si les premiers biographes de Baudelaire ont cru devoir s’étendre longuement sur cette année d’agonie, c’est sans doute parce qu’il ne leur semblait pas absurde que les amis du poète aient pu, encore à cette date, conserver quelque espoir. Mais aujourd’hui que l’on sait pertinemment que, dans l’état actuel de la médecine, la paralysie générale, une fois déclarée, est incurable, l’histoire des mois qui suivent la congestion fatale ne présente aucune espèce d’intérêt. Si triste, et répugnante, et révoltante est même cette liquéfaction progressive d’un puissant cerveau, qu’on n’a plus qu’une hâte : en finir. Pour l’état civil, Baudelaire vit encore quelque temps, mais en réalité, il est déjà mort : il a été foudroyé à Namur, dans l’église Saint-Loup. À partir du printemps 1867, le malade ne quitte plus son lit. Enfin, le 31 août de la même année, ce qui reste, en apparence, de celui qui fut Baudelaire, ce paralytique à la bouche écumeuse, cette loque lamentable, rend le dernier soupir.

    Alors, le masque grimaçant se détache, tombe et, brusquement, pour quelques heures, le visage du poète reparaît, purifié, pacifié, triomphant.

    paris 16 septembre 2009 024.jpghttp://www.biblisem.net/etudes/porchvdb.htm

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  • Catégories : Mes photos

    Nyons le 27 septembre 2009

    nyons 26 septembre 2009 087.jpg

    Nyons (Niom en provençal classique et Nioun selon la norme mistralienne) est une commune française, sous-préfecture du département de la Drôme en région Rhône-Alpes.

    Ses habitants sont appelés les Nyonsais.

    Située en bordure de la vallée du Rhône, côté est, à la latitude de Pierrelatte dont elle est séparée par l'enclave de Valréas, Nyons est une petite ville située dans une cuvette naturelle, au bord de l'Eygues. Elle est environnée de moyennes montagnes (Essaillon, Garde Grosse, Saint-Jaume et Vaux), qui lui procurent son climat si particulier. Surnommée « le Petit Nice » en raison d'un ensoleillement comparable à celui de Nice, elle est un site de villégiature apprécié depuis le XIXe siècle. La commune de Nyons se trouve à environ 1 heure 18 minutes au sud de Valence, préfecture du département.

    Elle est située à l'ouest d'une cluse qui marque une des entrées occidentales des Baronnies, région de moyennes montagnes méditerranéennes, située entre le sud de la Drôme et les Hautes-Alpes.

    Son vent local, le Pontias, souffle à partir de 10 heures du soir et jusqu'à 10 heures du matin. Ce vent, froid l'hiver mais rafraîchissant l'été, fournit une parfaite aération à la ville. Une légende locale, rapportée dans l'ouvrage de Gervais de Tilbury, le Livre des Merveilles, veut qu'il ait été apporté dans un gant par l'archevêque Césaire d'Arles, au début du VIe siècle. Gabriel Boulé, ancien pasteur et historiographe du roi, en a écrit l'histoire au XVIIe siècle.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyons

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  • Catégories : Mes photos

    Valréas le 27 septembre 2009

    GRIGNAN 26 septembre 2009 072.jpg

    Valréas est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Ses habitants sont appelés les Valréassiens.

    Avec les trois autres communes du canton (Grillon, Richerenches et Visan), Valréas constitue une enclave du département de Vaucluse dans celui de la Drôme et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur dans la région Rhône-Alpes (surnommée  Enclave des Papes).

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Valr%C3%A9as

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  • Catégories : Mes photos, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    L'Arc de Triomphe le 16 septembre 2009

    paris 16 septembre 2009 019.jpgDans Aurélia, deuxième partie, assimilant la fin du monde pour lui à la vision apocalyptique de l’univers où le soleil noir (l’absence de la femme) apparaît et la nuit éternelle commence, Nerval écrit: «Arrivé sur la place de la Concorde, ma pensée était de me détruire. À plusieurs reprises, je me dirigeai vers la Seine, mais quelque chose m’empêchait d’accomplir mon dessein. Les étoiles brillaient dans le firmament. Tout à coup il me sembla qu’elles venaient de s’éteindre à la fois comme les bougies que j’avais vues à l’église. Je crus que les temps étaient accomplis, et que nous touchions à la fin du monde annoncée dans l’Apocalypse de saint Jean. Je croyais voir un soleil noir dans le ciel désert et un globe rouge de sang au-dessus des Tuileries. Je me dis: La nuit éternelle commence, et elle va être terrible»

    http://agora.qc.ca/thematiques/mort.nsf/Dossiers/Gerard_de_Nerval

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  • Catégories : Mes photos, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Paris le 16 septembre 2009

    paris 16 septembre 2009 016.jpg

    Depuis soixante-dix ans, la Galerie d’Art de la Compagnie de la Chine et des Indes offre son écrin à une exceptionnelle collection d’objets d’antiquité de l’Extrême-Orient. Poteries, bronzes archaïques, art funéraire, porcelaines, peintures, sculptures ou mobiliers sont présentés afin de redécouvrir la grandeur de ces civilisations. Hervé du Peuty et Mike Winter-Rousset poursuivent depuis trente ans cette activité dans un esprit d’ouverture et dans le respect de l’exigence artistique qui leur a été transmise.


    En Chine, la céramique est considérée comme un art majeur, les amenant naturellement à suivre le travail de céramistes travaillant le grès et la porcelaine. Dans cet esprit de recherche et de liens entre l’Extrême-Orient et la création contemporaine, et après avoir exposé huit céramistes de renom: Marc Uzan, Xavier Duroselle, Roger Capron, Fance Franck, Charles Hair, Yvon Le Douget, Jacques Haeberlin et Masamichi Yoshikawa leur intérêt se porte en cet hiver sur le travail de Catherine Vanier. La parution de son livre et la rencontre de ses œuvres avec les arts de la Chine ancienne animent cette fin d'année riche en évènements artistiques.

    Compagnie de la Chine et des Indes

    39 avenue de Friedland

    75008 PARIS

    http://www.compagnie-chine-indes.fr/

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  • Catégories : Des expositions

    J'ai vu le 16 septembre 2009:Bruegel, Memling, Van Eyck... La collection Brukenthal au Musée Jacquemart- André

    brueghel.jpg

    Le Musée Jacquemart-André accueille, du 11 septembre 2009 au 11 janvier 2010, les chefs-d’œuvre de la collection Brukenthal, l’une des plus prestigieuses d’Europe centrale qui rassemble des œuvres flamandes des plus grands maîtres du XVème siècle au XVIIème siècle : Van Eyck, Jordaens, Bruegel, Memling ou Teniers.

    En savoir plus sur l'expo sur mon site source :

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailALaUne&eventId=485

    et sur le musée dans ma note d'hier.

  • Catégories : La poésie

    Le P'tit Quinquin

    L'Canchon-Dormoire

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main.

    Ainsi l'aut' jour, eun pauv' dintelière, In amiclotant sin p'tit garchon Qui d'puis trois quarts d'heure, n'faijot qu'braire, Tâchot d'lindormir par eun' canchon. Ell' li dijot: Min Narcisse, D'main t'aras du pain d'épice Du chuc à gogo Si t'es sache et qu'te fais dodo.

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main.

    Et si te m'laich eun'bonn' semaine, J'irai dégager tin biau sarau, Tin patalon d'drap, tin gilet d'laine Comme un p'tit milord te s'ras farau J't'acaterai, l'jour de l'ducasse Un porichinel cocasse, Un turlutu, Pour jouer l'air du capiau-pointu.

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

    Nous irons dins l'cour Jeannette-à-Vaques, Vir les marionnett's. Comme te riras, Quand t'intindras dire: un coups pou Jacques Pà d'porichinel qui parl' magas. Te li mettra din s'menotte, au lieu d'doupe, un rond d'carotte it'dira merci Pins' comme nous arons du plaisi

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

    Et si par hasard sin maite s'fâche, Ch'est alors Narcisse; que nous rirons! sans n'avoir invi', j'prindrai m'nair mache J'li dirai sin nom et ses sournoms, J'li dirai des faribolles I m'in répondra des drôles; Infin un chacun Vera deux pesta'c au lieu d'un

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

    Allons serr' tes yeux, dors min bonhomme J'vas dire eun' prière à P'tit-Jésus Pou'qui vienne ichi, pindant tin somme, T'fair' rêver qu'j'ai les mains plein d'écus, Pour qu'i t'apporte eun'coquille, Avec du chirop qui guile Tout l'long d'tin minton Te pourlèqu'ras tros heur's de long

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

    L'mos qui vient, d'Saint'Nicolas ch'est l'fête. Pour sûr, au soir, i viendra t'trouver. It f'ra un sermon, et t'laich'ra mette In d'zous du ballot, un grand pannier. I l'rimplira, si tes sache d'séquois qui t'rindront bénache, San cha, sin baudet T'invoira un grand martinet.

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

    Ni les marionnettes, ni l'pain n'épice N'ont produit d'effet. Mais l'martinet A vit rappagé l'petit Narcisse, Qui craignot d'vir arriver l'baudet Il a dit s'canchon dormoire S'mèr, l'a mis dins d'nochennoire A r'pris son coussin, Et répété vingt fos che r'frain.

    Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

     

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  • Catégories : La poésie

    Wattriquet Brassenel de Couvin(vers 1330)

    Doucement me réconforte

    Celle qui mon cœur a pris.

     

    Doucement me réconforte

    Une chatte à moitié morte

    Qui chante tous les jeudis

    Une alléluia si forte

    Que les clenches de nos portes

    Dirent que leur est Lundi.

    S'en fut un loup si hardi

    Qu'il alla, malgré sa sorte,

    Tuer Dieu en paradis,

    Et dit " Copain, je t'apporte

    Celle qui mon cœur a pris"

    J'ai découvert ce poète ainsi que d'autres poètes du nord lors de mon dernier voyage dans le Nord.

  • Catégories : Mes photos, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Eglise Saint-Laurent le 16 septembre 2009

    L'église Saint-Laurent est une église du 10e arrondissement de Paris (119, rue du Faubourg-Saint-Martin, 68, boulevard de Strasbourg ou 68, boulevard de Magenta).[près de la gare de l'est]

    L'église Saint-Laurent est construite sur l'axe nord-sud de Paris qui relie Senlis et Orléans tracé par les Romains au cours de la moitié du Ier siècle av. J.-C. (les actuelles rue du Faubourg-Saint-Martin, rue Saint-Martin, rue Saint-Jacques et rue du Faubourg-Saint-Jacques).

    Cette église fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 1er février 1945[1].

    La façade occidentale de cette église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er février 1945[2].paris 16 septembre 2009 005.jpg

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Laurent_(Paris)

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    Autre note sur ce quartier de la gare de l'est:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html

     

     

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