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  • Catégories : Acrostiches. Poésie

    Charles Baudelaire(avec des titres de ses poèmes)

    vienne 13 juin 2009 003 hf tbe.jpg« Correspondances » entre visible et invisible.

    « Harmonie du soir », mystique de l’espérance.

     

    Cette note a été selectionnée par Paperblog:
    Ce poème(complet) est désormais lisible dans mon recueil "Mes paysages de Nerval et Baudelaire" et "Acrostiches" en vente à sur ce blog.

  • Catégories : Mes poèmes

    Un banc

    banc.JPG 

     

    © jacqueline HUYGHE

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

     

    Un banc pour reposer

    Son âme et ses pieds

    Son coeur épuisé

     

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

     

    Un banc pour admirer

    L'infini salé

    Et la ronde des marées

     

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

     

    Un banc pour sentir

    L'air iodé

    Sur son corps fatigué

     

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

     

    Un banc pour penser

    Aux rêves brisés

    Sur les rochers

     

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

     

    Un banc pour rêver

    A un futur idéalisé.

    Pouvoir espérer

     

    Un banc entre terre et mer

    Entre mer et ciel

    Entre ciel et air

    Pour lire d'autres poèmes de moi, cf. mes 5 recueils que vous pouvez acheter par les bannières sur ce blog.

     

  • Catégories : Les polars

    R.I.S. Police scientifique

    Retraite anticipée

    Dans une maison de retraite moderne, un infirmier, Joseph Cipriani, s'électrocute et meurt en changeant une ampoule électrique. L'enquête montre rapidement qu'il s'agissait d'un piège. Les enquêteurs découvrent dans son casier un sac qui les conduit à s'intéresser à une autre mort, celle de Lucette Legrand, deux jours avant. Ces deux décès sont-ils liés ? Quelqu'un a-t-il pu penser que Joseph a tué Lucette ? Mais la réalité des rapports humains est plus compliquée que les apparences... Les enquêteurs du R.I.S devront composer avec les sensibilités de chacun des pensionnaires pour faire émerger la vérité...

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  • Catégories : Des librairies

    Le samedi 24 avril, fête des libraires

    La tradition catalane veut que le 23 avril, jour de la Sant Jordi, les amoureux s’offrent un livre et une rose. Cet événement est devenu, sous l’égide de l’Unesco, la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur.
     
     
    Ce jour-là, une rose sera offerte à chaque client de nos librairies pour le remercier de son attachement à une certaine idée du monde du livre. C’est en effet grâce à vous tous, lecteurs fidèles, que nous pouvons jour après jour maintenir cette indépendance précieuse et proposer sur nos tables et dans nos rayons toute la diversité de la production éditoriale.
     
    Plus que jamais, alors que le monde du livre se redessine au gré d’achats et de concentrations, nous sentons la nécessité de revendiquer une politique culturelle réellement indépendante, qui préserve la création du seul culte de la rentabilité. En cette ère du numérique, la librairie indépendante va devoir se réinventer et se battre pour continuer à exister. Et c’est avec vous, lecteurs clients et amis de nos librairies, que nous pourrons le faire !

  • Catégories : Kandinsky Vassily

    Vassili Kandinsky et le Cavalier bleu

    29996.jpgGemeente Museum - La Haye
    Dates : du 6 Février 2010 au 24 Mai 2010

    Au début du XXe siècle, un groupe d'artistes cause un scandale dans le monde de l'art munichois. Baptisé Le Cavalier bleu (Der Blaue Reiter), ces artistes produisent des toiles expressives, très colorées, aux traits lyriques qui allaient accélérer le développement de l'expressionnisme en Allemagne. Le noyau dur de ce groupe est incarné par l'artiste russe Vassili Kandinsky et son âme soeur Franz Marc. Bien que le groupe fût également important pour le développement de l'art moderne, l'exposition se focalise sur Kandinsky. Beaucoup d'oeuvres ont déjà été montrées lors de la très réussie exposition itinérante de Kandinsky, au Guggenheim museum de New York et au centre Pompidou à Paris.

    http://www.evene.fr/culture/agenda/vassili-kandinsky-29996.php

  • Catégories : Des expositions

    Les Orientales

    Lieu : Maison de Victor Hugo - Paris
    du 26 Mars 2010 au 4 Juillet 2010

    La critique EVENE par Julie de la Patellière :
    Construction fantasmatique d’une Europe en pleine Révolution industrielle, l’Orient fait fureur au début du XIXe siècle. De Chateaubriand à Lord Byron, de Delacroix à Baudelaire, c’est le même Orient abasourdi de soleil, noyé dans les vapeurs du bain et les fumées du "kief", plus sensuel, plus libre, plus heureux que la vieille Europe corsetée. D’aucuns reprochent à la jeune avant-garde de choisir là un bien mauvais sujet. La célèbre préface des ‘Orientales’ de Victor Hugo proclame alors la liberté d’un "livre inutile de pure poésie" et jette les bases d’une nouvelle modernité artistique. Pourtant l’écrivain n’a jamais visité l'Orient. Peu importe. Cette terre est avant tout un long rêve, le souvenir entêtant d’une vie vécue avant. Les parfums y sont lourds, l’azur immobile, et les chairs alanguies se pâment longuement comme le vent indolent qui meut le feuillage des arbres. L’exposition de la maison Victor Hugo parvient à retracer très clairement les différentes étapes de cette fiévreuse obsession. Les compartiments de couleurs chaudes isolent les femmes captives au harem, et les guerriers sauvages, nous invitant à leur rendre visite individuellement. Fluide et naturel, le passage du texte (présenté en extraits aux murs) aux tableaux s’opère en un seul coup d’oeil, le temps d’une ruade de cheval, d’une cascade d’or, du flottement d’un voile. Rêveries de sang, reflets d’argent, dômes bleus et nudités : l’Orient romantique n’est pas une réalité mais le travestissement idéal d’un imaginaire en quête d’ailleurs. La magie du portrait exotique offre la possibilité d’un miroir inversé, dépaysant… avant qu’il ne s’éloigne : "Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne / Ton soleil d’Orient s’éclipse, t’abandonne / Ton beau rêve d’Asie avorte, et tu ne vois / Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée / Brouillard à ta fenêtre et longs flots de fumée."

     Plus sur "Les Orientales"

    Cf aussi:

    http://www.lemonde.fr/culture/portfolio/2010/06/07/les-orientales-s-exposent-a-la-maison-de-victor-hugo-a-paris_1367923_3246.html

  • Catégories : Des expositions

    L’Impressionnisme au fil de la Seine

    La note evene : 4/5
    La note evene : 4/5

    Lieu : Musée des Impressionnismes - Giverny
    du 1 Avril 2010 au 18 Juillet 2010

    La critique EVENE par Guillaume Benoit :
    Entre Paris et la Normandie, le coeur des puristes balance pour déterminer avec exactitude le lieu de naissance de l'impressionnisme. Pourtant, du Salon des refusés aux plaines délicates de Giverny, la Seine irrigue ses quais avec la même régularité, entraînant les marques de l'histoire avec une égale constance. Car avant d'être le sujet privilégié de ces peintres de la modernité, la Seine a, tout au long du XIXe siècle, constitué le témoin de l'évolution des techniques et de la culture. C'est sur ses rives que les Français découvrent ces machines de fer qui chargent et déchargent ce que les hommes ne peuvent lever, sur ses quais que s'ouvrent les guinguettes des plaisirs, où musiciens et artistes se donnent rendez-vous pour trinquer sous les lampions. Quelques instants d'une vie de bohème. Un formidable Théodore Rousseau ouvre ainsi l’exposition : aussi beau qu'inquiétant, il vient annoncer toute l'ambiguïté du sujet, sonnant la fin d'un romantisme exacerbé pour découvrir des paysages dont toute la beauté se mesure à présent à l'aune des techniques de l'homme ; où la marque de l'industrie imprègne désormais jusqu'aux lignes d'horizon. La première partie est d’ailleurs à cette image, sombre, où les silhouettes s'amoncellent, actives et dures à la tâche. Gigantesque et intime, la Seine trimballe ainsi ses paradoxes de Paris au Havre, de Caillebotte à Marquet. Le parcours traite son sujet de la plus belle des manières, en développant toute une constellation de problématiques autour du thème. De la Seine des plaisirs à la Seine sociale, les Impressionnistes restent loin du seul fantasme d'un fleuve comme simple sujet. Au contraire, la somme de toutes ces toiles très différentes et indéniablement pleines de qualités parvient à faire de celui-ci un véritable personnage dont le visage change au gré des yeux qui l'observent, l'apprivoisent et le ramènent à la vie. Jusqu'à l'éclat total, avec un merveilleux Monet, 'Les Glaçons' qui vaut, à lui seul, le voyage.

     Plus sur "L’Impressionnisme au fil de la Seine"

  • Catégories : Munch Edvard

    Sous les feux de la vamp

    JUSTE UN DETAIL : LE VAMPIRE D'EDVARD MUNCH

    Exposé à la Pinacothèque de Paris jusqu'au 18 juillet, ce tableau de Munch est d'abord intitulé 'Amour et douleur', avant d'être rebaptisé. Son nouveau titre, autrement plus effrayant, vient apporter un éclairage bien différent à la scène… Méfiez-vous !

    Au moment de peindre cette toile, autour de 1893, Edvard Munch a entrepris un grand projet : 'La Frise de la vie', un ensemble de tableaux dont fera partie 'Le Cri'. Il s'agit d'un "vaste poème" sur l'amour sombre, la vie violente, la mort menaçante, qui agit comme un manifeste. Car l'artiste norvégien ne veut plus de ces tranquilles "intérieurs avec des hommes lisant et des femmes tricotant", mais "des êtres vivants qui respirent, ressentent, souffrent et aiment". Et la toile en question a été peinte en quatre versions. Si elle traite bien de vie bouleversée et de mort passionnelle, de peine exacerbée et de sentiments sensuels, il n'est pas sûr que l'identité exacte des personnages saute tout de suite aux yeux…

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  • Catégories : Des expositions

    L'art de l'ambivalence

    LEONARD TSUGUHARU FOUJITA

    g2654_home.jpgEmilie Trochu pour

    Evene.fr - Avril 2010

    Un an après la mort de sa veuve, le 2 avril 2009, le musée des Beaux-Arts de Reims consacre une importante exposition au peintre Léonard Foujita, jusqu'au 28 juin 2010. L'occasion de se familiariser avec cet artiste surprenant et inclassable qui a choisi pour dernière demeure la capitale du champagne. Autour de ses oeuvres ou dans les fresques de l'étonnante chapelle qu'il a conçue et dans laquelle il repose, flotte encore un parfum de mystère. Portrait d'un artiste qui cultive l'ambivalence. Sur la simple dalle de marbre gris qu'abrite la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix de Reims, on déchiffre en lettres dorées un patronyme aux étranges sonorités : Léonard Foujita. A l'image de celui qui l'a porté, ce nom évoque des origines contrastées, mi-japonaises mi-européennes. Autrefois dénommé Tsuguharu Fujita, le peintre francise son patronyme à son arrivée à Paris en 1913. Bien des années plus tard, presque au terme d'une carrière mouvementée mais couronnée de succès, il se convertit au catholicisme et choisit comme nom de baptême celui de l'un des plus grands artistes de la Renaissance, qu'il a beaucoup admiré. Au-delà du choix religieux, ce changement d'identité rappelle le sentiment de dualité qui transparaît aussi bien dans sa biographie que dans son oeuvre. Aussi mondain qu'acharné de travail, en équilibre entre deux cultures et plusieurs esthétiques, tantôt omniprésent, tantôt absent, plusieurs fois marié d'un côté ou de l'autre du Pacifique… difficile de cerner ce personnage à l'allure aussi atypique qu'insaisissable.

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  • Catégories : CDI Lycée Saint-Marc de Lyon(Rhône,69)

    'PENSEES' DE BLAISE PASCAL

    Leçons de ténèbres

    Fragments retrouvés à la mort de Pascal, les 'Pensées' étaient destinées à constituer une vaste 'Apologie de la religion chrétienne'. A priori, un projet aussi austère que dogmatique... Mais c'est sans compter sur la vision profondément tragique de Pascal qui, loin d'asséner des certitudes, peint le coeur obscur de l'homme. Echappant au discours théologique strict, ces pensées inachevées constituent avant tout un vaste poème.

     Lire "'PENSEES' DE BLAISE PASCAL"

    http://www.evene.fr/livres/actualite/bac-2010-pensees-pascal-dieu-2436.php

  • Catégories : CDI Lycée Saint-Marc de Lyon(Rhône,69)

    Ulysse ou la nostalgie d'Ithaque

    'L'ODYSSEE' D'HOMERE

    Sophie Lebeuf et Aurélie Mongour pour Evene.fr - Février 2010

    Ulysse ou la nostalgie d'Ithaque | Aller plus loin


    Après 'L'Iliade' et les aventures d'Achille, Homère chante l'épopée d'Ulysse dans 'L'Odyssée'. Une histoire mythologique, où le désir de retourner dans sa patrie mène le héros par-delà les mers dangereuses, les terres accueillantes et les Enfers.

     

    Au VIIIe siècle avant notre ère, les écrits d'Homère servaient de manuels d'enseignement aux enfants. Depuis, le personnage d'Ulysse, devenu un classique, demeure une référence. Car derrière son épopée, le poète dessine l'immuabilité de la condition humaine, en relatant les sentiments humains à travers les comportements des divinités et des héros. Depuis le haut de l'Olympe jusque dans les campagnes grecques, mortels et immortels subissent les mêmes humeurs : ruse, jalousie, vengeance, désir… Parmi elles, la nostalgie est le tourment qui ronge Ulysse chaque jour de son voyage. C'est le fameux mal du pays, plus exactement de l'île d'Ithaque pour le héros. "Pour guérir, il n'y a qu'à rentrer chez soi. Le retour est le médicament de la nostalgie comme l'aspirine est celui de la migraine", écrit Vladimir Jankélévitch dans son étude sur la nostalgie. (1) En retrouvant sa patrie, Ulysse devrait ainsi rompre le charme maléfique du mal-être. Son retour sonne dans son coeur comme l'unique but à atteindre. Aura-t-il seulement le goût tant attendu ?

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  • Catégories : Des expositions

    Désirs d'éternité,rituels pour l'au-delà

    Exposition 'hors les murs'
    présentée
    au Musée Gallo-Romain
    de Saint-Romain-en-Gal - Vienne
    du 15 avril au 14 novembre 2010.
     


    L’être humain, à la différence des autres êtres vivants, a conscience de sa propre mort.

    Et cette mort, celle des autres, la nôtre, nous touche tous.

    Comment donc l’humanité compose-t-elle alors avec la mort ?Ad5076770St1Sz170Sq4129910V0Id1.gif

    Cet obstacle oblige nos cultures à s’organiser. Les rituels funéraires, les croyances en un avenir après la fin, seraient avant tout les expressions d’une tentative d’accepter et de dépasser l’inacceptable : tout finira un jour.

    Le dernier passage est entouré de pratiques destinées à faciliter la séparation des vivants et des morts. Les gestes, les paroles, le cérémonial apaisent, remettent de l’ordre en attribuant une nouvelle place à chacun, donnent du sens à l’insensé.

    Reflets culturels des sociétés, quels que soient l’époque et le lieu, les conceptions et les usages liés à la mort se modifient.

    Aujourd’hui encore, de nouveaux enjeux relationnels se tissent autour de la mort.

    Une grande diversité d’objets est présentée :

    • collections archéologiques, provenant de l’Égypte des pharaons, d’une nécropole caucasienne du 1er Âge du Fer, de l’Asie du Sud-est du 10e siècle ;
    • collections ethnologiques de la province du Fujian en Chine, d’Asie du Sud-est, d’Afrique, d’Australie (Aborigènes), de Nouvelle Calédonie (Kanaks) et de France ;
    • collections contemporaines (photographies, peintures, sculptures).

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  • Catégories : La poésie

    Puzzle multimédia à la Maison de la poésie

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  • Catégories : Des évènements

    Journée mondiale du livre et du droit d'auteur - 23 avril

    En célébrant cette journée dans le monde entier, l'UNESCO s'efforce de promouvoir la lecture, l'industrie éditoriale et la protection de la propriété intellectuelle à travers le droit d'auteur. 

    Le 23 avril 1616, disparaissaient Cervantes, Shakespeare et Garcilaso de la Vega dit l’Inca. Ce 23 avril marque aussi la naissance, ou la mort d’éminents écrivains comme Maurice Druon, K. Laxness, Vladimir Nabokov, Josep Pla ou Manuel Mejía Vallejo. C’est pourquoi, cette date ô combien symbolique pour la littérature universelle, a été choisie par la Conférence générale de l’UNESCO afin de rendre un hommage mondial au livre et à ses auteurs, et encourager chacun, en particulier les plus jeunes, à découvrir le plaisir de la lecture et à respecter l’irremplaçable contribution des créateurs au progrès social et culturel.

    L’idée de cette célébration trouve son origine en Catalogne (Espagne) où il est de tradition d’offrir une rose pour l’achat d’un livre. Le succès de cette initiative dépend essentiellement du soutien que peuvent lui apporter les milieux intéressés (auteurs, éditeurs, libraires, éducateurs et bibliothécaires, institutions publiques et privées, organisations non gouvernementales et médias) qui sont mobilisés dans chaque pays par l'intermédiaire des Commissions nationales pour l'UNESCO, les associations, centres et clubs UNESCO, les réseaux d'écoles et de bibliothèques associées et tous ceux qui se sentent motivés pour participer à cette fête mondiale.

    http://portal.unesco.org/culture/fr/ev.php-URL_ID=5125&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html

  • Catégories : L'art

    L'abstraction géométrique, un art qui bouge toujours

    300x200_1603742_0_f943_ill-1341021-3c05-000-par2004060309335.jpgLEMONDE | 22.04.10 | 16h48  •  Mis à jour le 22.04.10 | 16h48

    Bâle (Suisse) Envoyé spécial

    En 1955 s'est tenue à la galerie Denise René, à Paris, une exposition collective intitulée "Le mouvement". Elle fit date, car la galeriste défendait - elle défend toujours, et ce depuis 1944 - l'abstraction géométrique. Le Musée Tinguely, à Bâle (Suisse), a eu la belle idée de reconstituer cette exposition, à voir jusqu'au 15 mai.

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  • Catégories : Des anniversaires

    Cérémonies dimanche pour la Journée nationale des déportés

    23/04 AFP

    De nombreuses cérémonies vont marquer dimanche la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, qui marque également le...

    http://www.lemonde.fr/depeches/2010/04/23/ceremonies-dimanche-pour-la-journee-nationale-des-deportes_3246_88_42258491.html