Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aim&é ce matin à Lyon:Louis Calaferte:"La poésie,ça ne s'invente pas"
exposition
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Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
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Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
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Récits, théâtre, journal, poésie, essais, aphorismes, abécédaire… Œuvre avant tout autobiographique, aucun genre littéraire n’a échappé à Louis Calaferte dont les écrits sont aussi abondants et inspirés que divers. Homme volontairement isolé, créateur prolixe, auteur de plus d’une centaine d’ouvrages, il laisse à son décès, le 2 mai 1994, des milliers de pages manuscrites et des archives littéraires constituées, entre autres, de dessins, d’illustrations, d’affiches, de correspondances.
Guillemette Calaferte, selon le vœu de l’écrivain et au fil des parutions, a donné depuis 1996 cet ensemble à la Bibliothèque municipale de Lyon. Le département Langues et Littératures de la BmL a traité et encodé les documents offrant ainsi aux chercheurs un fonds Louis Calaferte exhaustif quasi unique. L’exposition de 1988, où Louis Calaferte proposait ses créations graphiques et celle de 1996, au moment de la première donation, mettant l’accent sur l’œuvre théâtrale, lui rendaient hommage.
TOPO, le magazine des bibliothèques de Lyon
mars-avril 2014
TOPO vous informe sur les manifestations culturelles et traite plus généralement de toute l'actualité de la Bibliothèque de Lyon.
Il paraît tous les deux mois.
Il est gratuit et disponible dans les quinze bibliothèques du réseau ou sur abonnement.
Feuilleter en ligne Topo mars-avril 2014
Télécharger Topo mars-avril 2014 au format PDF
http://www.bm-lyon.fr/actualites/topo.htm
de
Pour Ace Atkins, le fléau qui ravage le Mississipi rural est double : les promoteurs immobiliers véreux et les bouilleurs de meth. La ville imaginaire de Jericho, dans le comté de Tibbehah possède les deux.
Quinn Colson, tout juste revenu de missions en Afghanistan et en Irak, s’y rend pour assister aux obsèques de son oncle, le shérif local, qui s’est apparemment « suicidé » avec son calibre .44. L’adjointe du shérif, Lilly Virgil, pense qu’on l’a aidé. L’horrible Johny Stagg, malfrat de l’immobilier, souhaite récupérer la ferme du shérif, dont Colson a hérité, et qu’il aurait gagné au poker. Colson n’est pas près de se laisser faire. Il fait appel à son vieux camarade, vétéran lui aussi, pour régler ses comptes. Il croise aussi la route d’une adolescente de seize ans, enceinte jusqu’aux dents, à la recherche du père de l’enfant, probablement sous les verrous dans la prison du coin.
Elle est « recueillie » dans la ville champignon qui a fleuri sur un terrain vague à l’entrée de Jericho et dont le chef de tribu, un gourou de la suprêmatie blanche, a un labo de meth. Bref, il faudra toute la force de caractère et l’expérience acquise à l’armée pour que Colson démêle cette histoire.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch
Une pétition a été lancée pour élargir leurs horaires d'ouverture, qui seraient particulièrement restreints et dignes d'«un pays en voie de développement».
Plusieurs auteurs et personnalités de la littérature, dont l'académicien Dany Laferrière, ont signé l'appel de l'ONG Bilbiothèques sans frontières demandant une ouverture en soirée et le week-end.
À Prague, deux jeunes Tchèques ont lancé un projet pour reconvertir ces objets tombés en désuétude en lieux d'échange de livres. Ce recyclage insolite existe dans de nombreux pays.
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Ce douzième opus plonge dans le romantisme avec Eugène Delacroix. Inspiré par l’Orient, le peintre s’oppose à la rigueur des Lumières en exaltant le sentiment et le rêve.
La Mort de Sardanapale
Charles Baudelaire aura pour le peintre des mots qui campent l’homme, l’artiste comme le territoire qu’il a choisi d’explorer : « Quel est donc ce je-ne-sais-quoi de mystérieux que Delacroix a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme. » Son Sardanapale (1827), aussi alangui qu’impassible, indifférent à son propre destin, est un emblème du héros mythique désabusé, qui préfère précipiter son peuple dans le chaos et le néant plutôt qu’accepter la défaite en renonçant au pouvoir. Il périra par le feu, et sa cour par les armes. Dans cet Orient romantique et imaginaire – que Delacroix ira étudier sur place – s’affirme le privilège du sentiment sur la raison, du rêve et de la fantaisie sur une vision lucide ou maîtrisée du monde. Les romantiques s’opposent à la rigueur rationnelle des Lumières et au néoclassicisme de leurs prédécesseurs. Le drame et la passion entrent dans l’histoire, et avec eux la délicatesse de Corot ou la sensualité de Géricault. Avaient-ils raison ? La violence d’un tigre au combat, le regard détourné d’une esclave dans un harem en disent peut-être davantage sur les moeurs et les idées d’un temps que bien des discours. Le regard de Delacroix possède ce pouvoir flamboyant de vie, nous répétant sans cesse que la modernité est en marche. Signac ou Van Gogh s’en saisiront, rappelant eux aussi que le romantisme n’a pas seulement traversé le xixe siècle mais les passions de tout temps.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-12-delacroix.html
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Le Musée du Monde - vol. 10
Frais d'expédition
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.
L'Immaculée Conception
Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
l’éternité comme un socle de modernité.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
Noël 1627: la cité des Doges est le théâtre d'une conspiration baroque. Crédits photo : Jean-Paul Garcin/Photononstop
Septième volet des aventures du capitaine Alatriste, soldat désabusé mais toujours fidèle à la couronne espagnole. Sa dernière mission, quasi impossible : éliminer le doge de Venise.
La loi ouvrant le mariage à tous a soulevé les passions. Mais n’est-‐il pas la conséquence normale d’un processus engagé depuis plusieurs siècles ? Comment se sont construites les notions de féminité et de masculinité?
Qu’en disent les biologistes, les psychiatres, les historiens les anthropologues?
Le Point Références présente dans ce hors-‐série un panorama de textes emblématiques du rapport homme-‐femme à travers l’histoire et le monde. De la Bible aux « gender studies », d’Aristote à Judith Butler, de Rome à l’Afrique, l’identité sexuelle et les rôles assignés aux genres sont aussi variés que flexibles.
L’anthropologue Françoise Héritier, digne successeur de Claude Lévy‐Strauss au Collège de France, mais aussi Catherine Vidal,
Delphine Horvilleur, Florence Dupont, Rémi Brague et beaucoup d’autres analysent ces lois du genre que l’on a crues immuables.
Et nous montrent que ces mutations sont bien plus qu’un simple effet de mode…
http://boutique.lepoint.fr/produit/490/homme-femme%E2%80%A6-les-lois-du-genre
Laurent Fabius devant "La cathédrale de Rouen. Le portail et la tour d'albane, temps gris", Claude Monet, 1894. ©C.Helie Gallimard
Référence bibliographique : Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique, Buchet-Chastel, collection "Essais et Documents", 2012. EAN13 : 9782283025833.
Depuis 2010, le livre imprimé, relié, vertical tend à se diluer dans le virtuel de nos écrans. Certains déplorent l’avènement de ce nouveau livre-fantôme, d’autres y voient une avancée extraordinaire. Tous se demandent si le numérique ne tuera pas le totem mis sur pied par Gutenberg.
Dépassant les prophéties et les clivages qui enflamment les débats actuels, Olivier Larizza s’interroge sur ce qui fragilise ou au contraire consolide notre désir de livre tel qu’il se manifeste depuis plus de cinq siècles. En quoi sommes-nous si attachés à l’objet papier ? Que gagnerions-nous, ou que perdrions-nous, à l’abandonner ? L’e-book le remplacera-t-il ? Et avec quelles conséquences sur la lecture, la littérature, nos sociétés ?
« Le livre a ses raisons que la raison ne livre pas » : il sécrète des affects et des fantasmes particuliers. Il fallait donc cet essai original et plein d’acuité pour nourrir une réflexion essentielle.
Olivier Larizza est professeur de littérature anglaise à l’université des Antilles-Guyane (campus de Schoelcher) et chercheur à l’université de Haute-Alsace (Institut de recherches en langues et littératures européennes). Il a aussi enseigné à la faculté de Strasbourg. Il est par ailleurs romancier et l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages.
La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique de Olivier Larizza, Paris, Buchet-Chastel, 2012.
128 pages
13 euros
Quels projets pour le Louvre ? Entretien avec Jean-Muc Martinez, président-directeur du Louvre. Le goût de Diderot, exposition au musée Fabre de Montpellier. Le nouvel écrin du palais Galliera. Michiel Coxcie, le Rapahël flamand ? Le service Orloff, cadeau d'adieu à Catherine II. Daniel-Henry Kahnweiler, le marchand des cubistes. Paris Tableau, la valse des attributions.
L'Estampille/L'Objet d'Art n° 494 - Vallotton, le feu sous la glace
Pour la pochette de son album, “Les Chansons de l’innocence retrouvée”, Etienne Daho pose accompagné d’une créature aux seins nus.
Hugo Pratt (Auteur), Guido Fuga (Auteur), Lele Vianello (Auteur)
Ils sont partis un petit matin d’avril 2008 d’un village du Haut-Doubs, à vélo couché, pour rejoindre Téhéran sept mois plus tard. En tout, près de 13 000 kilomètres, des cols et des plaines, et huit pays traversés dont le Monténégro, l’Albanie, la Turquie et la Cappadoce… Des paysages grandioses et des routes inconnues, autant de rencontres exceptionnelles et de mésaventures pour Nathalie et Michel Courtet qui réalisent là un rêve de gosse : voyager avec le moins de contraintes possibles, sans sponsors, et pour le seul besoin de l’ailleurs. Aux portes de l’Orient est le premier tome d’un récit de voyage relatant cette traversée de l’Europe et de l’Orient à vélo couché.
http://www.editionsphebus.fr/aux-portes-de-l-orient-nathalie-courtet-9782752907271
Ce livre fait partie des livres à lire par le jury dont je fais partie:
Découvrez notre sélection de récits de voyages :
Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.
Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.
Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)
Précédente publication:
22/12/2012 21:46
Le Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d’histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l’île de Kyusku où la fille du propriétaire d’une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l’aimait en secret.
Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n’y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l’un aux motifs de rats et de mulots, l’autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu’un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s’enfuit à la poursuite d’une grue…
Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l’amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…
http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=47