Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Jean-Noël Guérini devant les juges
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Nobel de Modiano: les librairies sur le pied de guerre
Vous vous êtes permise de parler en mon nom (et celui d’autres princesses de contes de fées) mais je ne suis pas telle que me présentent les livres d’enfants et je veux rétablir certaines vérités. Je n’avais plus de maman depuis mes deux ans mais j’avais encore un gentil papa, parfois très gentil… On dit qu’il chercha une nouvelle maman pour me faire plaisir. Il disait aussi à tout le monde que c’était difficile d’être père-célibataire. La réalité c’est que je ne lui suffisais plus, que les rencontres d’un soir ne comblaient pas son besoin d’une femme qui m’aide à m’occuper de lui. Il rencontra sa deuxième femme sur internet où il est facile de cacher une nature obscure sous un joli minois et deux filles au caractère aussi ingrat que le physique. A la mort de mon père, je vécus l’enfer entre ces trois femmes qui loin de m’aider à la maison dilapidaient mon héritage dans les boutiques de luxe et laissaient traîner partout leur linge sale.
CENDRILLON Lettre de la jeune fille parfaite:www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/10/30/mon-texte-inedit-sur-ce-blog-jeu.html C'est un peu calme par ici, vous ne trouvez pas ? Je propose à ceux qui en auront envie de choisir une lettre (ou plusieurs selon l'inspiration) parmi celles écrites au Syndicat des Héros et d'inventer une réponse. Aucune crise d'égo et de jalousie si certaines lettres inspirent plusieurs réponses, et d'autres aucune, n'est-ce pas ? Dans le désordre, voici les possibilités... - le grand méchant loup chez Sacados : sacados.blogs.psychologies.com/sac_a_dos_ou_comment_on_p/2007/11/syndicat-des-hr.html - Gerda (et la reine des neiges) chez La Pomme : lapomme.blogs.psychologies.com/lapomme/2007/11/une-question-me.html - Antigone chez Polly : mpolly.over-blog.com/article-13550844-6.html - Adèle, héroïne de Claude Ponti, chez ABC : detente-en-poesie.over-blog.com/article-13478606.html - Le collectif des princesses de contes de fées en colère chez Cassandrali : devantmoi.canalblog.com/archives/2007/11/01/6733288.html - Martine chez Azalaïs : marge-ou-greve.over-blog.com/article-13471096-6.html - La laitue aux lunettes noires chez Lomi Lomi : kauai.blogs.psychologies.com/lomi_lomi/2007/10/lettre-de-rclam.html - Raoul, fils d'Athos chez la cigale : lacigalechezlesfourmis.over-blog.com/article-13448515.html - Sophie chez Camomille : www.camomille64.com/article-13416749.html - La mère Noël chez Enriqueta (le blog Palabras) : enriqueta.blogs.psychologies.com/ecrire/2007/10/le-jeu-de-capta.html - Plusieurs héroïnes-princesses de contes de fées chez Laura : www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/10/30/mon-texte-inedit-sur-ce-blog-jeu.html - Esméralda chez Pénéloppe : www.murmures.biz/article-13438348.html - Rhett Butler chez Captaine Lili (moi donc, hihi !...) : captainelili.blogs.psychologies.com/vivre_avec_et_croire_enco/2007/10/lettre-au-syndi.html En espérant n'avoir oublié personne... Moi, j'ai répondu à Raoul... et c'est sur mon blog, donc ici : captainelili.blogs.psychologies.com/vivre_avec_et_croire_enco/2007/11/rponse-du-syndi.html A vos plumes ! http://lequipedechoc.over-blog.com/article-14003835-6.html#anchorComment
Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes livres en vente sur ce blog
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Auteur(s) : Olivier Barde-Cabuçon
Trois hommes sont retrouvés égorgés et la langue arrachée avant la Noël à Paris. Au même moment, des inconnus veulent ressusciter la fête des Fous, des convulsionnaires se roulent sur le sol des églises et une jeune fille pousse des cris d’oiseau. Mais que vient faire là-dedans le mystérieux chevalier d’Eon, peut-être membre du Secret du roi ? En quelques jours, l’ordre social semble s’inverser et... Editeur : Actes Sud Editions Date de parution : 5 Février 2014 Catégorie : Policier et Suspense Voir le livre » |
Micheline Dax en janvier 2004, lors des répétitions de «Miss Daisy et son chauffeur» au théâtre Saint-Georges à Paris. (Photo François Guillot. AFP)
La comédienne Micheline Dax, une des reines du théâtre de boulevard depuis les années 50, est décédée dimanche à l’âge de 90 ans dans la région parisienne, a indiqué lundi à l’AFP son agent, Jean-Pierre Noël.
ATELIER - GALERIE " LA PECADILLE "
3, rue BRUN-LAROCHETTE
26220 DIEULEFIT
France
"Il faut prendre conscience de l'importance des choses qu'il faut ressentir avec force avant d'aborder...l'irréalité du sujet."
Né en 1947 à MONTELIMAR dans la Drôme.
Vit et travaille dans son atelier-Galerie d'art à DIEULEFIT en Drôme provencale.
Elève et disciple des peintres Louis AMALVY et Robert FALCUCCI, remarqué et lauréat de nombreux salons nationaux et internationaux depuis 1985, il est sociétaire du salon des Armées, des artistes indépendants et artistes francais.
Ses toiles figurent dans les musées du LAVANDOU (france) et de VALADOLID ( espagne) ainsi que dans de nombreuses collections privées, tant en France qu'à l'étranger.
http://www.alain-noel-mary.odexpo.com/pro_page.asp
VIDÉO - Le film de Brian Percival est le parcours initiatique d'une petite fille allemande à travers la Seconde Guerre mondiale.
LE MONDE | 16.08.2011 à 17h32 • Mis à jour le 17.08.2011 à 08h23 | Par Laura Cappelle
Le Grand Rex est un rêve d'enfant, celui de Jacques Haïk, fou de cinéma devenu producteur et distributeur de films à l'âge de 20 ans. En 1929, il rachète l'Olympia pour le transformer en cinéma, avant de bâtir, en 1931, son propre palais du 7e art, le Grand Rex. L'architecte Auguste Bluysens se charge de dessiner la façade Art déco, que la presse horrifiée qualifie alors de "fort militaire".
La salle monumentale, en revanche, convainc les plus réticents. L'inventeur des "salles atmosphériques", John Eberson, recrée l'ambiance d'une nuit méditerranéenne surplombée, au plafond, par un ciel d'un bleu profond, dans lequel chaque étoile est supposée représenter une star de cinéma. Un décor insolite l'encadre, qui conjugue balcons italiens, hacienda et statues gréco-romaines : "Pour le spectateur, c'est Tolède et Venise à la fois, c'est le monde des Mille et Une Nuits", raconte Anthony Zaccardo, chargé des visites guidées de la maison. Le 8 décembre 1932, jour de l'inauguration, le pari semble réussi. L'inventeur du cinématographe, Louis Lumière, vient donner sa bénédiction, et Paris-Soir titre le lendemain : "Un éclat d'Hollywood en passant par la Méditerranée vient de tomber comme par magie sur les Grands Boulevards".
Reste à se distinguer d'une concurrence pléthorique, et le Rex choisit encore la démesure, avec trois classes de tickets, comme sur un paquebot, et une incroyable offre de services. Une cinquantaine d'ouvreuses et des guichetiers en gants blancs attendent les clients au niveau de la première classe, où le champagne coule à flots. Un animal de compagnie ? Le chenil l'accueille le temps de la séance. Une infirmerie se charge des petits bobos, tandis qu'un poste de police occupe le deuxième sous-sol.
Les spectateurs les plus modestes sont relégués au "poulailler", tout en haut, mais le Rex ne les oublie pas : "Jacques Haïk a pensé la salle pour attirer tous les publics. Il a compris que les Grands Boulevards, c'est à la fois la bourgeoisie qui parade, la classe moyenne du côté des faubourgs, et juste derrière, les Halles, où règne une misère noire", explique Anthony Zaccardo.
Pour un sou, racontent les anciens habitués, on pouvait voir trois films par semaine en apportant son casse-croûte, avant d'être raccompagné un bus du Grand Rex à la fin de la dernière séance. Et puis, le Rex accueille beaucoup d'avant-premières durant l'entre-deux-guerres, dont La Petite Princesse, de Walter Lang, avec Shirley Temple.
Mais à la fin des années 1930, rattrapé par la crise, Jacques Haïk est contraint de vendre son joyau à Gaumont, qui le cédera ensuite à la famille Hellmann. Sous l'Occupation, le Rex est transformé en Soldatenkino, cinéma réservé aux soldats allemands, et à la Libération, l'Etat français réquisitionne la salle et la transforme en centre d'accueil des prisonniers de guerre.
Le Rex retrouve son écran et son éclat à l'automne 1945. Hollywood n'a pas oublié cet étendard du 7e art, et lui offre une renaissance flamboyante. La toile tutoie à nouveau les superlatifs. En 1953, le Rex accueille la première séance en cinémascope d'Europe. Son Escalator, le premier installé dans un cinéma européen, est inauguré par Gary Cooper. En 1954, le Rex renoue avec la tradition des spectacles d'avant-film en créant la Féérie des eaux, un show aquatique qui met en action 1 200 jets d'eau et une piscine en fond de scène. Aujourd'hui encore, ce prologue unique est présenté chaque fin d'année avant le dessin animé de Noël. Des stars créent la sensation, comme Liz Taylor, venue en 1963 pour y présenter Cléopâtre.
Le titre de "plus grand cinéma d'Europe" reviendra au Rex dans les années 1970, alors que les cinémas démesurés des années 1920 et 1930 disparaissent les uns après les autres (le Gaumont Palace, qui comptait 6 000 places, est rasé en 1972), pour laisser la place à des salles plus petites ou à des multiplexes. Le Rex, classé monument historique en 1981, s'adapte sans perdre son âme : la grande salle reste intacte, s'ouvrant à d'autres spectacles (des concerts notamment) mais six salles plus modestes, de 100 à 500 places, font leur apparition dans les sous-sols, à la place du chenil ou de l'infirmerie.
La famille Hellmann, propriétaire de la salle, ne perd pas de vue les innovations. En 1988, le Rex se dote du plus grand écran d'Europe (300 m2), baptisé le Grand Large, mais entièrement visible uniquement depuis le balcon. Il est inauguré avec le film culte de Luc Besson : "C'était Le Grand Bleu en Grand Large au Grand Rex", commente Anthony Zaccardo. 30 % des spectateurs français de ce film l'ont vu sur cet écran, Le Grand Bleu restant à l'affiche trois ans d'affilée.
La programmation fait aujourd'hui la part belle aux gros films américains, en version française, propres à remplir la grande salle, d'Avatar à Harry Potter. Sans nostalgie : "Nous restons dans un cinéma populaire", explique Anthony Zaccardo. Le numérique comme la 3D sont à l'honneur avec le Grand Large, et les stars qui font déplacer les foules pour des avant-premières ont aujourd'hui pour nom Justin Bieber ou Shahrukh Khan, gourou de Bollywood.
Le Rex n'oublie cependant pas son histoire. Le lieu propose au public, depuis 1996, un parcours interactif - Les Etoiles du Rex - qui dévoile les coulisses de ce cinéma. Une manière de conjuguer le passé et le présent.
Le Grand Rex,
1, boulevard Poissonnière, Paris 2e. Legrandrex.com
Les peluches interactives Furby devraient être les jouets les plus vendus de l'année. Crédits photo : blamethecrane/ flickr cc2.0
Noël a rebattu les cartes du marché des jouets. Après un millésime 2012 marqué par un recul des ventes (- 2%), fabricants et distributeurs ne cachent pas leur soulagement à l'heure du bilan.
Mots clés : La grande épicerie de Paris, Paris, Patrice Wagner, Groupe Bon Marché
Monsat, Colette
13/12/2013 | Mise à jour : 18:58
Noël 1627: la cité des Doges est le théâtre d'une conspiration baroque. Crédits photo : Jean-Paul Garcin/Photononstop
Septième volet des aventures du capitaine Alatriste, soldat désabusé mais toujours fidèle à la couronne espagnole. Sa dernière mission, quasi impossible : éliminer le doge de Venise.
| Bernard Noël / L'Empreinte charnelle du verbe |
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la revue Fusées, dans son n° 5 (oct 2001) consacre un épais dossier à Bernard Noël avec un inédit, cette étude majeure sur Antonin Artaud |
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4 octobre 2002 : pour revenir au coeur même de la question, nous vous proposons en téléchargement un texte fondamental, peut-être déjà dans votre bibliothèque en postface au Château de Cène : il s'agit de L'Outrage aux mots, de Bernard Noël, écrit en 1975 - L'Outrage aux mots - téléchargement RTF - © Pauvert - réservé à la consultation personnelle |
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L'espace du poème Bernard Noël / L'Acte de poésie |
François Bon (1997) : sur Bernard Noël François Bon / écrire c'est comme s'effondrer au-dedans |
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dans "Le reste du voyage", trois poèmes performance de Bernard Noël : écrits du TGV |
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Kate Moss en une de Playboy, Lady Gaga digitalisée en déesse de l’amour par Jeff Koons… Face à la morosité, les créateurs célèbrent le glam sex, et la sexualité s’impose comme rempart à la toute-puissance du moi. Pour vivre heureux, vivons couchés.
2013, année de braise ? Art, mode, cinéma…, le glam sex s’affiche partout. Lors de la dernière Fashion Week de Milan, fin septembre, l’œil cherchait en vain la bretelle du soutien-gorge que Kate Moss ne portait pas sous son chemisier transparent, laissant poindre des seins irradiant de sensualité insolente sous les flashs des photographes. Et l’on brûle de découvrir le cadeau torride que la top britannique va s’offrir pour fêter ses 40 ans : la une de la revue de charme Playboy. Loin du porno triste et nihiliste façon Houellebecq, ce nouvel érotisme chic et radieux rejaillit dans la mode, qui adoube des bimbos hotissimes (Nabilla chez Jean Paul Gaultier, Zahia chez Karl Lagerfeld). Les artistes s’emparent aussi de nudités flamboyantes.
Sur la pochette du nouvel album de Lady Gaga (Artpop, le 8 novembre), le plasticien Jeff Koons a transformé la star en Vénus botticellienne digitalisée par la cybernétique. En littérature, l’écrivain Jean-Philippe Toussaint signe cet automne une ode au désir sensuelle et délicate, sobrement intitulée Nue. Plus sulfureux enfin, le cinéaste Lars von Trier offre à Charlotte Gainsbourg un grand rôle érotique dans Nymphomaniac, qui retrace la vie sexuelle d’une femme, de la puberté à la cinquantaine (en salles le 25 décembre).
Que révèle ce soudain réchauffement climatique des sens ? Le sexe – et l’amour au sens large – serait-il notre nouvelle parade pour contrer la morosité ? La sexologue Ghislaine Paris, qui publie cette semaine L’Importance du sexuel (éd. Odile Jacob), l’affirme : « Nous reconnecter à notre énergie sexuelle nous rend plus forts pour affronter la crise. La libido est l’énergie motrice de la société. Face à l’ambiance mortifère de la récession, symbolisée par Thanatos, nous avons plus que jamais besoin de la force d’Éros. C’est Éros qui nous pousse à travailler, à entreprendre, à réfléchir, à créer, à aimer. Le désir, c’est le carburant de la vie. » Face à cette promesse de bonheur en érection, voici nos six arguments pour nous réconcilier avec la félicité sexuelle.
Mots clés : Mostra de Venise, Venise, Terry Gilliam
Tranchant, Marie-Noëlle
02/09/2013 | Mise à jour : 19:49
Federico Fellini est décédé à Rome le 31 octobre 1993 à l'âge de 73 ans Crédits photo : Rainer Klostermeier/ASSOCIATED PRESS
La trame que le maestro avait écrite et qui n'a jamais pu être tournée est publié sous forme de roman.
Antoine, photographe aussi doué que désabusé (Benoît Poelvoorde) et sa jolie voisine, Elena (Ariane Labed) dans Une place sur la terre. Crédits photo : HASSEN BRAHITI
INTERVIEW - Le comédien fait sa rentrée dans le film de Fabienne Godet Une place sur la terre et crée un festival littéraire à Namur.
Astrid mène une vie sans histoires entre son job de coursière et la grande maison qu'elle partage à Londres avec plusieurs autres personnes, pour certains des amis de longue date. Jusqu'au jour où, sur son vélo, elle se fait renverser par une voisine. Plus de peur que de mal... sauf que la voisine est retrouvée le lendemain, battue à mort. Puis, c'est le tour d'une cliente chez qui Astrid devait aller chercher un colis, et qu'elle découvre sans vie, sauvagement assassinée. Coïncidence ? La police n'y croit guère. Pour Astrid et ses six colocataires, c'est le début du cauchemar, surtout lorsque le tueur frappe à nouveau, cette fois-ci au coeur du petit cercle d'amis. Mais sont-ils vraiment si proches que ça ? Lentement, l'amitié se transforme en méfiance, l'amour en haine, et chacun se demande : qui sera le prochain sur la liste ?
http://www.evene.fr/livres/livre/nicci-french-jusqu-au-dernier-40347.php
Le 25 novembre 1985 mourait, à 73 ans, dans une clinique de Rome, Elsa Morante, sans doute la plus grande romancière italienne du XXe siècle. Jean-Noël Schifano, son traducteur et ami, lui a rendu régulièrement visite de novembre 1984 à sa mort.Ce livre, qu'il a sous-titré « roman confidentiel non finito », est la chronique de leurs conversations durant la dernière année. Ce n'est pas une biographie, même si, en fragments indépendants de la chronologie, il nous permet de retrouver Elsa – qu'il appelle Elisa – à certains moment de sa vie: son enfance triste et pauvre dans un quartier populaire ...
Sanglé dans l'uniforme vert-de-gris du général von Choltitz, gouverneur militaire du «Grosse Paris», Niels Arestrup[...]le geste d'un Parisien sur le point de lancer une pierre au général vaincu[...]ce général[...]le général von Choltitz
Chaque pièce de cette exposition est un décor, un climat intérieur. Ci-dessus, la cuisine de 37,2° degrés le matin. Crédits photo : Philippe Fuzeau/M-A30Musée des Années Trente de Boulogne-Billancourt
Le metteur en scène de Diva ou de La Lune dans le caniveau, cinéaste, plasticien, poète, s'expose jusqu'au 29 septembre au musée des Années Trente de Boulogne-Billancourt. Anthologie de films , de tableaux, de décors, une balade attrayante à faire dans son univers, en ces mois d'été.,
Des catacombes aux procès de délinquants sexuels, un journaliste bon vivant s'invite dans les couloirs du '36'. Irrévérencieux et truculent, il aime bien la police quand elle est efficace, et certains de ses membres quand ils sont féminins. L'intrigue tire ici sa force des liens de respect et de connivence tissés entre policiers et journalistes. En dépit du ton badin, la bonne et la mauvaise conscience de la société finiront par remonter en surface
http://www.evene.fr/livres/livre/pj-lambert-le-vengeur-des-catacombes-32428.php