Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J- 18 jours avant Noël:offrez mes livres
dédicacés au départ de chez moi ou en cliquant sur les bannières sur de blog ou mon petit blog en lien en haut à droite de ce blog
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
dédicacés au départ de chez moi ou en cliquant sur les bannières sur de blog ou mon petit blog en lien en haut à droite de ce blog
| LES OEUVRES DE 1905 À 1960 NIVEAU 5 |
LES OEUVRES DE 1960 À NOS JOURS NIVEAU 4 |
ATELIER BRANCUSI |

|
Ernst, Laurens. |
-> Toutes les oeuvres accrochées par créateurs ->Toute la collection en ligne |
|
Attention : cette présentation virtuelle des oeuvres exposées au Musée est régulièrement mise à jour. Toutefois, les modifications de l'accrochage du Musée (expositions temporaires, prêts d'oeuvres...) peuvent créer un léger décalage entre les informations données ici et les oeuvres réellement présentes dans les salles. |
|
Mots clés : Atlantide, détroit de Gibraltar
Par
Jean Louis TREMBLAIS 
Le Grand Rex est une salle de cinéma parisienne située au n°1 boulevard Poissonnière dans le 2e arrondissement, sur les grands boulevards. Classée au titre des monuments historiques depuis 1981, échappant alors de peu à la destruction, ce géant peut accueillir plus de 2 700 personnes dans sa configuration actuelle et affiche, encore aujourd'hui, une fréquentation de 1,25 million de visiteurs annuels.
Au début des années 1930, Jacques Haïk, riche producteur et distributeur dans le cinéma, est propriétaire de l'Olympia à l'époque. Il se lance dans la construction d'une salle de cinéma complètement extravagante : une salle qui pourrait accueillir plus de 5 000 spectateurs sur une superficie de 2 000 m2, avec un plafond culminant à plus de 30 m, représentant une voûte étoilée.
Ses concepteurs en sont, l'architecte Auguste Bluysen et l'ingénieur John Eberson.
Le Grand Rex est un modèle réduit du célèbre Radio City Music Hall de New York.
Le cinéma est surtout connu pour sa décoration intérieure. Spécialisés dans les « salles atmosphériques », ses architectes ont construit aux États-Unis plus de 400 décors de cités fantasmatiques sous des ciels nuageux ou étoilés.
Ici, la grande salle a été décorée par une ville « méditerranéo-antique » en relief, situé en plein air avec ses parois colorées restituant l'ambiance Art déco des villas de la « French Riviera ».
Tous les rêves de ce visionnaire seront réalisés, à l'exception du nombre de places, qu'il a fallu ramener à 3 300 à l'origine.
La salle du Grand Rex ouvre ses portes au soir du 8 décembre 1932 et connaît un succès immédiat. C'est l'une des plus belles salles de Paris.
La cabine de projection se trouve dans l'encorbellement de la rue Poissonnière. La lanterne de l'angle est en fait seulement un treillis sur lequel a été projeté du ciment.
Pendant les heures sombres de l'Occupation, le Grand Rex est réquisitionné par l'armée allemande qui le transforme en « Soldatenkino », le réservant ainsi à ses troupes de permissionnaires.
Des jeux d'eau animent la grande salle chaque année à Noël depuis 1954, la « féerie des eaux », peu avant la projection du film Disney de fin d'année.
L'escalier mécanique du Grand Rex a été inauguré en 1957 par Gary Cooper et Mylène Demongeot. Ce fut la première fois qu'une salle européenne se dotait de ce genre de matériel.
En 1974, trois petites salles ont été ajoutées au complexe, à l'emplacement des loges, salles de répétition etc., et le Rex Club, remplace le dancing « Rêve ».
Le cinéma et sa façade art-déco ont été inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1981.
En 1988, le Grand Rex s'offre le plus grand écran de France, le « Grand Large », 21 m de long sur 11 m de hauteur (dépassé aujourd'hui par le plus grand écran d'Europe au Mégarama (Villeneuve-la-Garenne) 27 m × 13 m. Le « Grand Large » est inauguré par Le Grand Bleu de Luc Besson, qui remplit la salle pendant trois ans.
Le Grand Rex est devenu, en France et même en Europe, l'un des derniers temples du cinéma, remarquable par son architecture et sa décoration. Le Grand Rex peut accueillir aujourd'hui de 2 700 à 2 800 spectateurs et a ouvert sa programmation à des festivals, et aux concerts ou one man shows de nombreux artistes qui investissent sa scène.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand_Rex
il fait soleil dehors
mais on est dedans
retour tou jo urs au même point
quoiqu’on fasse dise ou tente
tou jo urs on revient à ça
cette chose-là
en tas d’espoirs rouillés sur le dos
notre Nord intérieur
celui que désigne toutes les aiguilles
quoiqu’on fasse
il fait soleil dehors
mais on reste à l’intérieur
(Jasmine Viguier)
*
lorsque nous entrons dans la chambre
mon premier geste est de tirer les rideaux
dans la pénombre je prends ton visage entre mes mains
et je retrouve le goût de ta bouche
plus tard blottie contre toi
je pense aux heures d’après
quand tu seras parti
revenu à ta vie
et qu’allongée seule entre les draps
je chercherai le sommeil et l’odeur de ton corps
(Cécile Glasman)
*
on appuie le dos contre la barrière en
bois craque un peu
on regarde autour de soi
mais on ne sait pas ce qu’on
regarde
on reste pétrifié
(sous le soleil)
il y a d’autres maisons d’autres
corps des arbres
(nus)
l’odeur de la neige
presque rien
on ne se sent plus
autant en vie
(Sophie G. Lucas)
*
idiots charlots des manque une case fous
laissés pour compte
cinglés bar jo s tapés sonnés piqués
timbrés toc-toc maboul dingo
s’a jo utent :
démence aliénation malades mentaux
égarement
siphonnés déraisonnés incapables
détraqués
assommés complètement cachetons
décharges camisoles machins trucs
les abrutir encore
fêlés éperdus transportés étourdis
marteaux sans raison déboussolés
mais ça oui ils le sont
sans famille sans rien ni personne ni visite
ni Noël ni même
une pièce une lettre un coup de fil une
poignée de main un bonbon un baiser
fous sont fous idiots du village mon
village et même un peu plus
mon cœur mes yeux premiers gestes
gazouillis pas sourires mots fous
(Cécile Guivarch)
BP Mortelle hôtesse
Bernard Pasobrola
Broché: 320 pages
Editeur : La Vie du Rail (31 mars 2011)
Collection : RAIL NOIR ISBN-10: 2918758272 ISBN-13: 978-2918758273 Prix 15 €
Des passagers décèdent de mort pas tout à fait « naturelle » à bord du TGV Paris-Londres. Un homme est kidnappé dans une clinique de thérapie génique près de Genève. Un virus inconnu cause une épidémie de cécité à Anvers. Les militantes d’une ONG lancent une campagne de presse qui s’achève par une sanglante tuerie dans un hôtel de Londres. Quelqu’un découvre qu’il existe un lien entre cette série d’événements. Il se nomme Richard Meyer. Il est agent de renseignement pour le compte d’une officine privée et sa mission consiste à retrouver Humbert Katz, un patient dont on a perdu la trace quelques mois plus tôt. Prise dans le tourbillon d’une guerre sans merci entre sociétés transnationales, son enquête se transforme en un périple forcené à travers l’Europe au sein d’un univers dont le burlesque apparent a du mal à dissimuler l’impitoyable violence. On retrouve dans ce roman à l’architecture maîtrisée et à l’humour caustique plusieurs personnages de « L’Hypothèse de Katz » du même auteur paru initialement aux éditions Denoël. « Bernard Pasobrola, nous offre avec cette « Mortelle hôtesse », un thriller médical impitoyable et nerveux comme son écriture, haletant comme les tourbillons secrets du sanglant conflit économique qu’il décrit. » Luis Alfredo, Rayon Polar, 6 mai 2011 « Un bon roman divertissant pour un bon moment de lecture (...) Ce roman est une bonne surprise. » Pierre Faverolle, Black Novel, 8 mai 2011 « J'admire toujours la virtuosité avec laquelle les auteurs de romans noirs bâtissent une intrigue, entre-croisent des thèmes qui semblent à des lieux les uns des autres et qui finissent par se rejoindre pour la plus grande satisfaction du lecteur. (...) Le danger dénoncé de ces laboratoires qui n'ont de cesse que d'augmenter leurs profits et sont prêts à fomenter des épidémies (ou des craintes d'épidémie) pour mieux vendre leurs antidotes et gagner ainsi sur tous les tableaux est loin d'être imaginaire. Les amateurs apprécieront. » Patrick Rödel, Mediapart, 13 mai 2011 « Au fur et à mesure que le voyage littéraire se poursuivait mon esprit trépidait au rythme des roues, m’arrêtant à quelques gares afin de laisser reposer la motrice neuronale. Puis je repartais pressé d’arriver au terme du voyage. Et cette arrivée fut un éblouissement, un concert, non de chevaux-vapeurs mais de vaches en folie, une scène très visuelle dans un déchaînement désordonné et bruyant... » Paul Maugendre, Mystère jazz, 18 mai 2011"
Justine et Richard ont trois enfants et quinze ans de vie commune. Tous les deux vont se séparer. Richard vit déjà dans un autre appartement et vient d'accepter un travail à l'étranger.
Un retour vers le passé et les souvenirs d'enfance de Justine : le père qui fiche le camp, la première déception amoureuse et la rencontre avec Richard.
C'est bientôt Noël et ils ne se sont pas revus. Justine et les enfants vivent toujours dans le même quartier, dans le même immeuble où Richard passe ce soir-là. Une année s'est écoulée.
Du 11 octobre au 31 décembre 2010. Médiathèque du Grand Troyes.
Mon moyen d’expression est la photographie, d’autres écrivent des poèmes, des romans, certains allient musique et paroles comme Romain Dudek.
Une de ses chansons "Poésie des usines" (tirée de l'album du même nom sorti en 2006)
retranscrit bien le message et l'émotion que je veux faire passer dans mes photos du patrimoine industriel.
Voici le premier couplet et le refrain de cette chanson :
" C'est pas tellement que c'était Noël
Ça fait longtemps qu'on y croit plus
C'est pas tellement qu'elles étaient belles
Nos machines mais elles n'y sont plus
C'est pas tellement que c'était Noël
C'est pas tellement qu'elles étaient belles
Dans les aciéries, au fond des mines
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans les ateliers, dans les cantines
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans le cambouis, dans la calamine
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans les outils, dans les machines
Y'a d'la poésie dans les usines (…) "
Brice Vanel
Toutes les photos de cette exposition ont été prises dans l'Aube.
http://www.mediatheque-agglo-troyes.fr/webmat/content/poesie-des-usines-par-brice-vanel
Je vous souhaite de bonnes fêtes
On aime à se retrouver en famille
De la joie autour de la table
Et la paix règne dans les cœurs
Une nuit merveilleuse s’ouvre devant nous
Xylophone et chants mettent de la joie
Neige et froid nous réunissent près du feu
On se sourit, on se parle, ENSEMBLE
Et Noël sera un souvenir magique
Les étoiles plein les yeux.
17 décembre 2010
Comment le Père Noël donnerait-il le sein à l'Enfant Jésus ? L'Ogre du Petit Poucet était-il un hippie ? Un nain peut-il devenir un surhomme ? Est-il possible de tuer avec un appareil de photographie ? Le citron donne-t-il un avant-goût du néant ? A ces questions - et à bien d'autres plus graves et plus folles encore - ce livre répond par des histoires drôles, navrantes, exaltantes et toujours exemplaires.
http://www.decitre.fr/livres/Le-Coq-de-bruyere.aspx/9782070372294
Présentation, itinéraires de lecture et notes par Marie-Claudette Kirpalani. Jules Supervielle...
Colette... Albertine Sarrazin... Michel Tournier...
jE ME SUIS OFFERT de jolies boucles d'oreilles anciennes ainsi que du champagne (de chez moi) pouur les fêtes et de la bière du Forez (ici) brassée dans le nord que j'aime
Il y avait aussi du vin chaud pour passer entre les flocons et résister aux - 5
uNE VRAIE Ambiance de NOEL qui me manquait tant lorsque nous étions au Maroc
Au bonheur des dames d’Emile ZOLA
Résumé : Début de la "grande distribution", le magasin "au bonheur des dames" est en lutte avec les petits commerçants.
Descripteurs : Zola, Emile : 1840-1902
Livre (2006) Roman
Défi d'enfer
Résumé : Yael Hassan nous conte l'histoire de Léopold, qui déteste l'école et qui va découvrir le bonheur de lire ! Et le jeune garçon s’y adonne par défi, lui qui passe aux yeux des autres pour un « incapacitant » en la matière. Et avec un peu d’application, Léopold développera une vraie passion pour les livres et découvrira toute l’importance de savoir argumenter ses lectures puisqu’il s’engagera à participer au défi-lecture de son école.
Genres : Fait de société
L'Odyssée chants 13 à 24
Résumé : Après 20 ans d'absences, voici enfin Ulysse de retour à Ithaque. Mais avant de connaître à nouveau le bonheur avec la fidèle Pénélope, il lui reste encore des épreuves à surmonter.
Descripteurs : Homère / Ulysse / Grèce ancienne
Le billet gagnant et deux autres nouvelles
Résumé : Alvirah et Willy ont touché le gros lot. Femme de ménage, plombier, les voici désormais milliardaires. Les ennuis vont commencer... Dans leur luxueux appartement de Central Park, Alvirah et Willy découvrent un cadavre dans le placard... Uni pour le meilleur et pour le pire, le couple attire la convoitise : attention aux kidnappeurs ! Et même une reposante cure thermale peut tourner au cauchemar peuplé de malfaiteurs... L'argent ne fait pas forcément le bonheur : il suscite l'envie ; et des désirs parfois peu avouables.
Genres : Fait de société
Le drôle de Noël de Scrooge
Résumé : Le soir de Noël, un vieil homme égoïste et solitaire choisit de passer la soirée seul. Mais les esprits de Noël en ont décidé autrement. L'entraînant tour à tour dans son passé, son présent, et son futur, les trois spectres lui montrent ce que sera son avenir s'il persiste à ignorer que le bonheur existe, même dans le quotidien le plus ordinaire. "Le drôle de Noël de Scrooge" est un film de Robert Zemeckis adapté de l'œuvre de Charles Dickens "Un chant de Noël", un des contes les plus célèbres du patrimoine littéraire mondial.
Descripteurs : solitude / pauvreté / fête de fin d'année
Mots clés : esprit de Noël, cupidité, partage, spectre, fantôme
Genres : Merveilleux / Fantastique
Le Vent de Feu : Les secrets d'Aramanth - Tome 1
Résumé : Dans la cité d'Amaranth, chacun ne vit que pour les périodiques examens qui garantissent à l'individu bien-être et promotion sociale en cas de réussite - ou le condamnent à la pauvreté et au mépris général en cas d'échec. Mais un jour, Kestrel se rebelle contre ce système. Obligée de fuir, la jeune fille part alors à la recherche de la clef du mystérieux chanteur de Vent pour restaurer le bonheur et l'harmonie dans la ville.
Que cent fleurs s'épanouissent
Résumé : Quelle faute a bien pu commettre Hua Xiayu, élève de l'Institut d'Art de Pékin et peintre promis à un avenir brillant, pour se retrouver du jour au lendemain dans une fabrique de céramique au fin fond de la Chine ? S'il le savait...Commencent alors ses épreuves : pauvreté, brimades, amour brisé, amitiés trahies et l'exil, enfin, dans un camp de rééducation. Seule la certitude de créer lui fera accepter l'inacceptable... Ce récit bouleversant sur la Chine de Mao évoque avec une grande délicatesse la magie de l'art, le bonheur de la création et dénonce l'intolérance impitoyable de la Révolution culturelle.
Genres : Fait de société
L'essence du bonheur
Que demain soit un jour de bonheur
Auteurs : Dikaiou, Heleni ![]()
L’origine de 2 286 proverbes mise en lumière par Renzo Tosi
Par Thierry Clermont
06/10/2010 | Mise à jour : 17:31 Réagir

Bordeaux, dans la clarté douce de l'été finissant. Entre l'esplanade des Quinconces et l'entrepôt Lainé. Jacques Abeille connaît la ville comme sa poche; il a débarqué là voici plus d'un demi-siècle, en 1959, à dix-sept ans. Elle apparaît ici ou là, dans la trentaine d'ouvrages qu'il a publiés, sous le nom de Terrèbre, comme une ténèbre de terre. «Je rêve de voir Bordeaux plongée dans une eau-forte» ,lâche l'ancien professeur d'arts plastiques, qui a découvert sur le tard qu'il était daltonien.
La récente réédition de son chef-d'œuvre, Les Jardins statuaires, a remis Jacques Abeille sous les projecteurs. Publié une première fois par Bernard Noël chez Flammarion en 1982, le roman a connu une destinée pour le moins erratique. «Je ne voulais plus en entendre parler, je considérais Les Jardins comme définitivement maudit», soupire-t-il.
Par Thierry Clermont
29/09/2010 | Mise à jour : 18:03 Réagir

Rares sont ceux qui savent son nom, et c'est à peine si on connaît son portrait par Nadar: Alexandre Manceau y apparaît figé, tourmenté, las; il a quarante-six ans et est déjà gagné par la tuberculose qui l'emportera deux ans plus tard. Il fut le dernier compagnon de George Sand ; leur liaison aura duré une quinzaine d'années. La postérité l'a oublié. «Son talent de graveur, sa fierté, son humour gouailleur, son courage, son habileté manuelle, son activité, ses emportements, son amour, son inlassable bonté et ses secrets disparurent avec lui» , souligne Évelyne Bloch-Dano, à qui l'on doit précédemment Madame Zola et Madame Proust . L'histoire n'a retenu que les noms de ses amours prestigieuses : Musset, Chopin et Mérimée. George Sand a certainement sa part de responsabilité : le fils de limonadier Alexandre Manceau n'apparaît dans aucun de ses livres, pas même dans Histoire de ma vie. Ils se rencontrent à Nohant lors de la Noël 1849; son amie Marie Dorval, la muse de Vigny, vient de disparaître et Chopin va la suivre; Sand vient d'achever un nouveau roman champêtre: La Petite Fadette. Elle a quarante-cinq ans, Manceau en a trente-deux.
Par
Marie-Noëlle Tranchant
24/06/2010 | Mise à jour : 12:06

Fête des lumières à Lyon jusquà ce soir 8 décembre 2008(et depuis le 5) et mon poème inédit
Nous y sommes allés(pour la première fois depuis 3 ans du Maroc) hier soir. Il faisait un froid acceptable, sec (5 degrés à 17h) et ma bronchite ne s'est pas aggravée...
Ce sont mes jambes et mon dos qui ont failli me lâcher car à déambuler dans Lyon, mine de rien, on fait des kilomètres... et nous étions garés assez loin... (faute de place où nous nous garons d'habitude) près de la voie rapide (pratique pour repartir) ... pas loin des filles de joie.
Et puis je crois que mes jambes(et le reste), habituées à 3 (à 5h) de gym, muscu et piscine par semaine, n'ont pas du apprécier d'en être privés pendant une semaine(pour cause de bronchite)... à part la marche. Je tente ce soir la reprise, ça manque trop.
Revenons à la fête des Lumières.
Déjà, vu la difficulté à se garer, nous nous sommes dits qu'il y avait du monde et enarrivant en haut des escalators de Perrache, nous avons vu une marée humaine en basau marché de Noël de Carnot et au loin dans la rue Victor Hugo.
Idem place Bellecour, dans le vieux Lyon(où c'est plus compliqué dans les ruelles)mais une foule vivable, assez disciplinée.
Nous avons vu :
-Lyon en 5 éléments sur la colline de Fourvière :
http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=374
-La visite des rois à la Cathédrale Saint-Jean:
http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=373
-Les Lumignons du cœur(ci-contre) :
http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=361
-SPOT (Square Piece Of Time)
http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=367
Impossible de tout voir…
Si vous passez par Lyon aujourdhui, viola le programme:
http://lumieres.static.lyon.fr/static/contenu/lumieres%202008/ContenuEditorial/CompressProg08.pdf
Pour en savoir plus sur cette fête :
http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/lyon_et_la_lumiere/histoire_dune_fete6970
Mon poème ci-dessous :