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Mes Avent et NOEL - Page 14

  • J'ai aimé visiter vendredi dernier:les collections permanentes du Centre Pompidou

    LES OEUVRES DE 1905 À 1960
    NIVEAU 5
    LES OEUVRES DE 1960 À NOS JOURS
    NIVEAU 4
    ATELIER BRANCUSI

    Vers Niveau 4 Salle 1 Salle 2 Salle 3 Salle 4 Salle 5 Salle 6 Salle 7 Salle 8 Salle 9 Salle 10 Salle 11 Salle 12 Salle 13 Salle 14 Salle 15 Salle 16 Salle 17 Salle 18 Salle 19 Salle 20 Salle 21 Salle 22 Salle 23 Salle 24 Salle 25 Salle 26 Salle 27 Salle 28 Salle 29 Salle 30 Salle 31 Salle 32 Salle 33 Salle 34 Salle 35 Salle 36 Salle 37 Salle 38 Salle 39 Salle 40 Salle 41 Rue Terrasse nord Terrasse ouest Terrasse sud

     

    Ernst, Laurens.

    -> Toutes les oeuvres accrochées par créateurs
    ->Toute la collection en ligne



    Attention : cette présentation virtuelle des oeuvres exposées au Musée est régulièrement mise à jour. Toutefois, les modifications de l'accrochage du Musée (expositions temporaires, prêts d'oeuvres...) peuvent créer un léger décalage entre les informations données ici et les oeuvres réellement présentes dans les salles.

     

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Musee.nsf/AccrochageWeb?readform&RestrictToCategory=1N5&sessionM=3.2.1&L=1

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La presse, Mes Avent et NOEL

    L'Atlantide, continent englouti

     

    Mots clés : ,

    Par Jean Louis TREMBLAIS
    08/07/2011 | Mise à jour : 13:54
    Le mont Calpé (426 mètres), l'une des deux colonnes d'Hercule pendant l'Antiquité, a été rebaptisé djebel Tariq lors de l'invasion musulmane de 711, puis déformé en Gibraltar par les Espagnols. (Noël Quidu/Le Figaro Magazine)
    Le mont Calpé (426 mètres), l'une des deux colonnes d'Hercule pendant l'Antiquité, a été rebaptisé djebel Tariq lors de l'invasion musulmane de 711, puis déformé en Gibraltar par les Espagnols. (Noël Quidu/Le Figaro Magazine)

    Le mythe de l'Atlantide, légué par Platon, est aussi celui du paradis perdu. Une civilisation exceptionnelle, engloutie 9600 ans avant J.-C., au-delà des colonnes d'Hercule, l'actuel détroit de Gibraltar. Et que certains cherchent toujours...

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  • Le grand Rex

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    Le Grand Rex est une salle de cinéma parisienne située au n°1 boulevard Poissonnière dans le 2e arrondissement, sur les grands boulevards. Classée au titre des monuments historiques depuis 1981, échappant alors de peu à la destruction, ce géant peut accueillir plus de 2 700 personnes dans sa configuration actuelle et affiche, encore aujourd'hui, une fréquentation de 1,25 million de visiteurs annuels.

    Au début des années 1930, Jacques Haïk, riche producteur et distributeur dans le cinéma, est propriétaire de l'Olympia à l'époque. Il se lance dans la construction d'une salle de cinéma complètement extravagante : une salle qui pourrait accueillir plus de 5 000 spectateurs sur une superficie de 2 000 m2, avec un plafond culminant à plus de 30 m, représentant une voûte étoilée.

    Ses concepteurs en sont, l'architecte Auguste Bluysen et l'ingénieur John Eberson.

    Le Grand Rex est un modèle réduit du célèbre Radio City Music Hall de New York.

    Le cinéma est surtout connu pour sa décoration intérieure. Spécialisés dans les « salles atmosphériques », ses architectes ont construit aux États-Unis plus de 400 décors de cités fantasmatiques sous des ciels nuageux ou étoilés.

    Ici, la grande salle a été décorée par une ville « méditerranéo-antique » en relief, situé en plein air avec ses parois colorées restituant l'ambiance Art déco des villas de la « French Riviera ».

    Tous les rêves de ce visionnaire seront réalisés, à l'exception du nombre de places, qu'il a fallu ramener à 3 300 à l'origine.

    La salle du Grand Rex ouvre ses portes au soir du 8 décembre 1932 et connaît un succès immédiat. C'est l'une des plus belles salles de Paris.

    La cabine de projection se trouve dans l'encorbellement de la rue Poissonnière. La lanterne de l'angle est en fait seulement un treillis sur lequel a été projeté du ciment.

    Pendant les heures sombres de l'Occupation, le Grand Rex est réquisitionné par l'armée allemande qui le transforme en « Soldatenkino », le réservant ainsi à ses troupes de permissionnaires.

    Des jeux d'eau animent la grande salle chaque année à Noël depuis 1954, la « féerie des eaux », peu avant la projection du film Disney de fin d'année.

    L'escalier mécanique du Grand Rex a été inauguré en 1957 par Gary Cooper et Mylène Demongeot. Ce fut la première fois qu'une salle européenne se dotait de ce genre de matériel.

    En 1974, trois petites salles ont été ajoutées au complexe, à l'emplacement des loges, salles de répétition etc., et le Rex Club, remplace le dancing « Rêve ».

    Le cinéma et sa façade art-déco ont été inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1981.

    En 1988, le Grand Rex s'offre le plus grand écran de France, le « Grand Large », 21 m de long sur 11 m de hauteur (dépassé aujourd'hui par le plus grand écran d'Europe au Mégarama (Villeneuve-la-Garenne) 27 m × 13 m. Le « Grand Large » est inauguré par Le Grand Bleu de Luc Besson, qui remplit la salle pendant trois ans.

    Le Grand Rex est devenu, en France et même en Europe, l'un des derniers temples du cinéma, remarquable par son architecture et sa décoration. Le Grand Rex peut accueillir aujourd'hui de 2 700 à 2 800 spectateurs et a ouvert sa programmation à des festivals, et aux concerts ou one man shows de nombreux artistes qui investissent sa scène.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand_Rex

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  • Terre à ciel

    il fait soleil dehors

    mais on est dedans

    retour tou jo urs au même point

    quoiqu’on fasse dise ou tente

    tou jo urs on revient à ça

    cette chose-là

    en tas d’espoirs rouillés sur le dos

    notre Nord intérieur

    celui que désigne toutes les aiguilles

    quoiqu’on fasse

    il fait soleil dehors

    mais on reste à l’intérieur

    (Jasmine Viguier)

    *

    lorsque nous entrons dans la chambre

    mon premier geste est de tirer les rideaux

    dans la pénombre je prends ton visage entre mes mains

    et je retrouve le goût de ta bouche

    plus tard blottie contre toi

    je pense aux heures d’après

    quand tu seras parti

    revenu à ta vie

    et qu’allongée seule entre les draps

    je chercherai le sommeil et l’odeur de ton corps

    (Cécile Glasman)

    *

    on appuie le dos contre la barrière en

    bois craque un peu

    on regarde autour de soi

    mais on ne sait pas ce qu’on

    regarde

    on reste pétrifié

    (sous le soleil)

    il y a d’autres maisons d’autres

    corps des arbres

    (nus)

    l’odeur de la neige

    presque rien

    on ne se sent plus

    autant en vie


     

    (Sophie G. Lucas)

    *

      idiots charlots des manque une case fous

    laissés pour compte

      cinglés bar jo s tapés sonnés piqués

    timbrés toc-toc maboul dingo

    s’a jo utent :

      démence aliénation malades mentaux

    égarement

      siphonnés déraisonnés incapables

    détraqués

      assommés complètement cachetons

    décharges camisoles machins trucs

      les abrutir encore

      fêlés éperdus transportés étourdis

    marteaux sans raison déboussolés

      mais ça oui ils le sont

      sans famille sans rien ni personne ni visite

    ni Noël ni même

      une pièce une lettre un coup de fil une

    poignée de main un bonbon un baiser

      fous sont fous idiots du village mon

    village et même un peu plus

      mon cœur mes yeux premiers gestes

    gazouillis pas sourires mots fous

    (Cécile Guivarch)

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars, Mes Avent et NOEL

    iNFO D'UN DE MES LECTEURS

    BP Mortelle hôtesse

    Bernard Pasobrola

    Broché: 320 pages

    Editeur : La Vie du Rail (31 mars 2011)

    Collection : RAIL NOIR ISBN-10: 2918758272 ISBN-13: 978-2918758273 Prix 15 €

     

    Des passagers décèdent de mort pas tout à fait « naturelle » à bord du TGV Paris-Londres. Un homme est kidnappé dans une clinique de thérapie génique près de Genève. Un virus inconnu cause une épidémie de cécité à Anvers. Les militantes d’une ONG lancent une campagne de presse qui s’achève par une sanglante tuerie dans un hôtel de Londres. Quelqu’un découvre qu’il existe un lien entre cette série d’événements. Il se nomme Richard Meyer. Il est agent de renseignement pour le compte d’une officine privée et sa mission consiste à retrouver Humbert Katz, un patient dont on a perdu la trace quelques mois plus tôt. Prise dans le tourbillon d’une guerre sans merci entre sociétés transnationales, son enquête se transforme en un périple forcené à travers l’Europe au sein d’un univers dont le burlesque apparent a du mal à dissimuler l’impitoyable violence. On retrouve dans ce roman à l’architecture maîtrisée et à l’humour caustique plusieurs personnages de « L’Hypothèse de Katz » du même auteur paru initialement aux éditions Denoël. « Bernard Pasobrola, nous offre avec cette « Mortelle hôtesse », un thriller médical impitoyable et nerveux comme son écriture, haletant comme les tourbillons secrets du sanglant conflit économique qu’il décrit. » Luis Alfredo, Rayon Polar, 6 mai 2011 « Un bon roman divertissant pour un bon moment de lecture (...) Ce roman est une bonne surprise. » Pierre Faverolle, Black Novel, 8 mai 2011 « J'admire toujours la virtuosité avec laquelle les auteurs de romans noirs bâtissent une intrigue, entre-croisent des thèmes qui semblent à des lieux les uns des autres et qui finissent par se rejoindre pour la plus grande satisfaction du lecteur. (...) Le danger dénoncé de ces laboratoires qui n'ont de cesse que d'augmenter leurs profits et sont prêts à fomenter des épidémies (ou des craintes d'épidémie) pour mieux vendre leurs antidotes et gagner ainsi sur tous les tableaux est loin d'être imaginaire. Les amateurs apprécieront. » Patrick Rödel, Mediapart, 13 mai 2011 « Au fur et à mesure que le voyage littéraire se poursuivait mon esprit trépidait au rythme des roues, m’arrêtant à quelques gares afin de laisser reposer la motrice neuronale. Puis je repartais pressé d’arriver au terme du voyage. Et cette arrivée fut un éblouissement, un concert, non de chevaux-vapeurs mais de vaches en folie, une scène très visuelle dans un déchaînement désordonné et bruyant... » Paul Maugendre, Mystère jazz, 18 mai 2011"

  • Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Marceau Sophie, Mes Avent et NOEL

    "Parlez-moi d'amour"

    216254_139530752786292_100001881054048_261797_1662057_n.jpgJustine et Richard ont trois enfants et quinze ans de vie commune. Tous les deux vont se séparer. Richard vit déjà dans un autre appartement et vient d'accepter un travail à l'étranger.
    Un retour vers le passé et les souvenirs d'enfance de Justine : le père qui fiche le camp, la première déception amoureuse et la rencontre avec Richard.
    C'est bientôt Noël et ils ne se sont pas revus. Justine et les enfants vivent toujours dans le même quartier, dans le même immeuble où Richard passe ce soir-là. Une année s'est écoulée.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Mes Avent et NOEL, SAND George

    Le dernier amour de George Sand

    Décembre 1849. George Sand est en France une célébrité au faîte de sa gloire. Pour Noël, son fils Maurice invite à Nohant un jeune homme de ses amis, un graveur inconnu : Alexandre Manceau. George Sand a quarante-cinq ans, Alexandre trente-deux. Ils ne se quitteront plus. 

  • Poésie des usines, par Brice Vanel

    Poésie des usines, par Brice VanelDu 11 octobre au 31 décembre 2010. Médiathèque du Grand Troyes.

    Mon moyen d’expression est la photographie, d’autres écrivent des poèmes, des romans, certains allient musique et paroles comme Romain Dudek.

    Une de ses chansons "Poésie des usines" (tirée de l'album du même nom sorti en 2006)
    retranscrit bien le message et l'émotion que je veux faire passer dans mes photos du patrimoine industriel.
    Voici le premier couplet et le refrain de cette chanson :

    " C'est pas tellement que c'était Noël
    Ça fait longtemps qu'on y croit plus
    C'est pas tellement qu'elles étaient belles
    Nos machines mais elles n'y sont plus
    C'est pas tellement que c'était Noël
    C'est pas tellement qu'elles étaient belles
    Dans les aciéries, au fond des mines
    Y'a d'la poésie dans les usines
    Dans les ateliers, dans les cantines
    Y'a d'la poésie dans les usines
    Dans le cambouis, dans la calamine
    Y'a d'la poésie dans les usines
    Dans les outils, dans les machines
    Y'a d'la poésie dans les usines (…)
    "

    Brice Vanel

    Toutes les photos de cette exposition ont été prises dans l'Aube.

    http://www.mediatheque-agglo-troyes.fr/webmat/content/poesie-des-usines-par-brice-vanel

  • Poème écrit avec les élèves

    Je vous souhaite de bonnes fêtes

    On aime à se retrouver en famille

    De la joie autour de la table

    Et la paix règne dans les cœurs

    Une nuit merveilleuse s’ouvre devant nous

    Xylophone et chants mettent de la joie

     

    Neige et froid nous réunissent près du feu

    On se sourit, on se parle, ENSEMBLE

    Et Noël sera un souvenir magique

    Les étoiles plein les yeux.

     

    17 décembre 2010

  • Lectures de l'Avent :"Le coq de bruyère" de Michel Tournier

    E119244.gifComment le Père Noël donnerait-il le sein à l'Enfant Jésus ? L'Ogre du Petit Poucet était-il un hippie ? Un nain peut-il devenir un surhomme ? Est-il possible de tuer avec un appareil de photographie ? Le citron donne-t-il un avant-goût du néant ? A ces questions - et à bien d'autres plus graves et plus folles encore - ce livre répond par des histoires drôles, navrantes, exaltantes et toujours exemplaires.

    http://www.decitre.fr/livres/Le-Coq-de-bruyere.aspx/9782070372294

  • Marché de NOEL ce we dans mon quartier

    100_0154.JPGjE ME SUIS OFFERT  de jolies boucles d'oreilles anciennes ainsi que du champagne (de chez moi) pouur les fêtes et de la bière du Forez (ici) brassée dans le nord que j'aime

    Il y avait aussi du vin chaud pour passer entre les flocons et résister aux - 5

    uNE VRAIE Ambiance de NOEL qui me manquait tant lorsque nous étions au Maroc

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  • TEMPS FORT : QUI NOUS FERA VOIR LE BONHEUR ?

    Au bonheur des dames d’Emile ZOLA


    Résumé : Début de la "grande distribution", le magasin "au bonheur des dames" est en lutte avec les petits commerçants.
    Descripteurs : Zola, Emile : 1840-1902

    Livre (2006) Roman

    Défi d'enfer


    Résumé : Yael Hassan nous conte l'histoire de Léopold, qui déteste l'école et qui va découvrir le bonheur de lire ! Et le jeune garçon s’y adonne par défi, lui qui passe aux yeux des autres pour un « incapacitant » en la matière. Et avec un peu d’application, Léopold développera une vraie passion pour les livres et découvrira toute l’importance de savoir argumenter ses lectures puisqu’il s’engagera à participer au défi-lecture de son école.
    Genres : Fait de société

    L'Odyssée chants 13 à 24


    Résumé : Après 20 ans d'absences, voici enfin Ulysse de retour à Ithaque. Mais avant de connaître à nouveau le bonheur avec la fidèle Pénélope, il lui reste encore des épreuves à surmonter.
    Descripteurs : Homère / Ulysse / Grèce ancienne

    Le billet gagnant et deux autres nouvelles


    Résumé : Alvirah et Willy ont touché le gros lot. Femme de ménage, plombier, les voici désormais milliardaires. Les ennuis vont commencer... Dans leur luxueux appartement de Central Park, Alvirah et Willy découvrent un cadavre dans le placard... Uni pour le meilleur et pour le pire, le couple attire la convoitise : attention aux kidnappeurs ! Et même une reposante cure thermale peut tourner au cauchemar peuplé de malfaiteurs... L'argent ne fait pas forcément le bonheur : il suscite l'envie ; et des désirs parfois peu avouables.
    Genres : Fait de société

    Le drôle de Noël de Scrooge


    Résumé : Le soir de Noël, un vieil homme égoïste et solitaire choisit de passer la soirée seul. Mais les esprits de Noël en ont décidé autrement. L'entraînant tour à tour dans son passé, son présent, et son futur, les trois spectres lui montrent ce que sera son avenir s'il persiste à ignorer que le bonheur existe, même dans le quotidien le plus ordinaire. "Le drôle de Noël de Scrooge" est un film de Robert Zemeckis adapté de l'œuvre de Charles Dickens "Un chant de Noël", un des contes les plus célèbres du patrimoine littéraire mondial.
    Descripteurs : solitude / pauvreté / fête de fin d'année
    Mots clés : esprit de Noël, cupidité, partage, spectre, fantôme
    Genres : Merveilleux / Fantastique

    Le Vent de Feu : Les secrets d'Aramanth - Tome 1


    Résumé : Dans la cité d'Amaranth, chacun ne vit que pour les périodiques examens qui garantissent à l'individu bien-être et promotion sociale en cas de réussite - ou le condamnent à la pauvreté et au mépris général en cas d'échec. Mais un jour, Kestrel se rebelle contre ce système. Obligée de fuir, la jeune fille part alors à la recherche de la clef du mystérieux chanteur de Vent pour restaurer le bonheur et l'harmonie dans la ville.

    Que cent fleurs s'épanouissent


    Résumé : Quelle faute a bien pu commettre Hua Xiayu, élève de l'Institut d'Art de Pékin et peintre promis à un avenir brillant, pour se retrouver du jour au lendemain dans une fabrique de céramique au fin fond de la Chine ? S'il le savait...Commencent alors ses épreuves : pauvreté, brimades, amour brisé, amitiés trahies et l'exil, enfin, dans un camp de rééducation. Seule la certitude de créer lui fera accepter l'inacceptable... Ce récit bouleversant sur la Chine de Mao évoque avec une grande délicatesse la magie de l'art, le bonheur de la création et dénonce l'intolérance impitoyable de la Révolution culturelle.
    Genres : Fait de société

    L'essence du bonheur

    Que demain soit un jour de bonheur


    Auteurs : Dikaiou, Heleni  Du même Auteur

     

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Mes Avent et NOEL

    Noel au balcon, Pâques aux dictons

    Critique

    L’origine de 2 286 proverbes mise en lumière par Renzo Tosi

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    Par ROBERT MAGGIORI

    La question est simple : qui l’a dit, ou écrit, le premier ? Qui a écrit le premier qu’il faut se hâter lentement, qu’une mens sana doit être dans un corpore sano, qu’il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs, que tu auras une augmentation à la saint-glinglin ou quand les poules
  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Mes Avent et NOEL, Nerval Gérard de

    L'épancheur de rêves

    Par Thierry Clermont
    06/10/2010 | Mise à jour : 17:31 Réagir

    Jacques Abeille, cet écrivain, aussi rare que secret, est l'auteur des Jardins statuaires . Un roman à l'histoire mouvementée, enfin réédité.

     

     

    Bordeaux, dans la clarté douce de l'été finissant. Entre l'esplanade des Quinconces et l'entrepôt Lainé. Jacques Abeille connaît la ville comme sa poche; il a débarqué là voici plus d'un demi-siècle, en 1959, à dix-sept ans. Elle apparaît ici ou là, dans la trentaine d'ouvrages qu'il a publiés, sous le nom de Terrèbre, comme une ténèbre de terre. «Je rêve de voir Bordeaux plongée dans une eau-forte» ,lâche l'ancien professeur d'arts plastiques, qui a découvert sur le tard qu'il était daltonien.

    La récente réédition de son chef-d'œuvre, Les Jardins statuaires, a remis Jacques Abeille sous les projecteurs. Publié une première fois par Bernard Noël chez Flammarion en 1982, le roman a connu une destinée pour le moins erratique. «Je ne voulais plus en entendre parler, je considérais Les Jardins comme définitivement maudit», soupire-t-il.

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  • L'amant oublié de George Sand

    Par Thierry Clermont
    29/09/2010 | Mise à jour : 18:03 Réagir

    Alexandre Manceau fut le dernier compagnon de la romancière, avec qui il vécut quinze ans.

     

     

    Rares sont ceux qui savent son nom, et c'est à peine si on connaît son portrait par Nadar: Alexandre Manceau y apparaît figé, tourmenté, las; il a quarante-six ans et est déjà gagné par la tuberculose qui l'emportera deux ans plus tard. Il fut le dernier compagnon de George Sand ; leur liaison aura duré une quinzaine d'années. La postérité l'a oublié. «Son talent de graveur, sa fierté, son humour gouailleur, son courage, son habileté manuelle, son activité, ses emportements, son amour, son inlassable bonté et ses secrets disparurent avec lui» , souligne Évelyne Bloch-Dano, à qui l'on doit précédemment Madame Zola et Madame Proust . L'histoire n'a retenu que les noms de ses amours prestigieuses : Musset, Chopin et Mérimée. George Sand a certainement sa part de responsabilité : le fils de limonadier Alexandre Manceau n'apparaît dans aucun de ses livres, pas même dans Histoire de ma vie. Ils se rencontrent à Nohant lors de la Noël 1849; son amie Marie Dorval, la muse de Vigny, vient de disparaître et Chopin va la suivre; Sand vient d'achever un nouveau roman champêtre: La Petite Fadette. Elle a quarante-cinq ans, Manceau en a trente-deux.

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  • Lumières

    Fête des lumières à Lyon jusquà ce soir 8 décembre 2008(et depuis le 5) et mon poème inédit

    lyon 28 mai 2010 002 hf (15).jpgNous y sommes allés(pour la première fois depuis 3 ans du Maroc) hier soir. Il faisait un froid acceptable, sec (5 degrés à  17h) et ma bronchite ne s'est pas aggravée...
    Ce sont mes jambes et mon dos qui ont failli me lâcher car à déambuler dans Lyon, mine de rien, on fait des kilomètres... et nous étions garés assez loin... (faute de place où nous nous garons d'habitude) près de la voie rapide (pratique pour repartir) ... pas loin des filles de joie.
    Et puis je crois que mes jambes(et le reste), habituées à 3 (à 5h) de gym, muscu et piscine par semaine, n'ont pas du apprécier d'en être privés pendant une semaine(pour cause de bronchite)... à part la marche. Je tente ce soir la reprise, ça manque trop.

    Revenons à la fête des Lumières.
    Déjà, vu la difficulté à se garer, nous nous sommes dits qu'il y avait du monde et enarrivant en haut des escalators de Perrache, nous avons vu une marée humaine en basau marché de Noël de Carnot et au loin dans la rue Victor Hugo.
    Idem place Bellecour, dans le vieux Lyon(où c'est plus compliqué dans les ruelles)mais une foule vivable, assez disciplinée.

    Nous avons vu :

    -Lyon en 5 éléments sur la colline de Fourvière :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=374


    -La visite des rois à la Cathédrale Saint-Jean:

    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=373


    -Les Lumignons du cœur(ci-contre) :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=361


    -SPOT (Square Piece Of Time)
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=367


    Impossible de tout voir…


    Si vous passez par Lyon aujourdhui, viola le programme:
    http://lumieres.static.lyon.fr/static/contenu/lumieres%202008/ContenuEditorial/CompressProg08.pdf


    Pour en savoir plus sur cette fête :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/lyon_et_la_lumiere/histoire_dune_fete6970


    Mon poème ci-dessous :

    Lire la suite