Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Nous avons vu à la Fondazione Querini Stampalia de Venise le 12 juillet 2013
Gabriel Bella |
Maundy Thursday on the Piazzetta |
mk157 before 1792 oil on canvas |
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Gabriel Bella |
Maundy Thursday on the Piazzetta |
mk157 before 1792 oil on canvas |
The Museum of Fondazione Querini Stampalia is one of the most important examples of House-Museum, in the heart of Venice, and it is one of the best preserved in all Europe. The noble floor of the Palace recreates the the magnificent residence of the Querini Stampalia family. The ancient collections containing precious furniture, paintings, porcelains, globes, fabrics and sculptures create an inseparable connection in a refined atmosphere, with the luxurious rooms covered with plasters and frescos.
The House-Museum has been open to visitors since 1869 telling by means of everyday life, traditional and cultural stories that reflect Venice’s lifetyle: a unique city in the world.
The Museum is presented as an historic dwelling that maintains its ancient atmosphere but opens its doors to novelties, concerts and exhibitions of classic and modern art.
La Fortune et les Atlantes de la Dogana da Mar
La Dogana da Mar, ou douane de Mer, s'offre à la vue de tous les visiteurs de Venise, magnifiquement placée devant l'église de la Salute, à la pointe des Zattere.
A l'origine, la douane générale de Venise était située au Castello, à côté de l'entrée de l'Arsenal.
Mais en 1414 on constata que cette douane ne suffisait plus pour traiter la quantité croissante de marchandises arrivant à Venise.
On décida alors non seulement de déplacer les services de la douane mais également de les dédoubler en douane de terre et en douane de mer.
Le poste de la douane de terre fut installé Riva del Vin au Rialto, tandis que la douane de mer, en charge du commerce purement maritime, fut installée à la pointe du Dorsoduro, face à Saint Marc et au Bacino de San Marco où arrivait alors une grande partie du trafic maritime.
Compte tenu de la forme en “pointe” de cette extrémité du sestiere du Dorsoduro, on y construisit des entrepôts de forme triangulaire pour recevoir les marchandises à dédouaner. Ces entrepôts firent l'objet d'une première reconstruction en 1525 pour être de nouveau totalement reconstruits en 1677.
Prima Matiera / Punta della Dogana, Venezia / Parallèlement à la 55e Biennale de Venise.
Punta della Dogana, l’exposition Prima Matiera offre un aperçu plutôt réjouissant de la collection Pinault dans le superbe espace donnant pile face à la place Saint-Marc.
De la collection, l’on retrouve quelques petites oeuvres de la sud-africaine Marlène Dumas, tableautins sensibles et délicats dont on aime la matière fluide et l’énergie qui les sous-tend. Il faut dire que l’écrin est somptueux, avec ses murs de brique vénitienne, ouverts par d’immenses fenêtres donnant sur la lagune. L’ancienne douane rénovée par le collectionneur fait la nique en douceur à la Biennale, à sa manière, montrant de fort belles pièces dans ce qui est devenu l’un des espaces majeurs de Venise.
Au rez-de-chaussée, l’on reverra avec plaisir quelques bons morceaux Arte povera d’époque, dont des Penone remarquables et un Mario Merz majeur. Mais ce qui vaut le détour dans cette exposition plutôt réussie, ce sont sans contexte les magnifiques Christ crucifiés de Adel Abdessemed, sculptures de métal qui ici trouvent leur juste place, bien mieux que dans sa rétro à Pompidou où ils étaient un tantinet écrasés. De même, les vanités de cristal de Sherrie Levine constituent-elles un détour indispensable du parcours, ainsi que les bustes impressionnants de Thomas Schütte.
L’on termine cette belle matière première par une pièce toute récente de Loris Gréaud, superbe palimpseste de lumière crue et blanche, dont la force d’attraction et la qualité sont sans conteste l’un des "clous" de ce cheminement dans une collection qui dévoile à quelques encablures des Giardini et de l’Arsenale sa conviction, et la très grande tenue de ses constituants.
M.R.
A voir jusque fin décembre à la Punta della Dogana.
Visuel : Adel Abdessemed, sculptures / Installation view at Punta della Dogana, 2013 / ph: © Palazzo Grassi, ORCH Orsenigo Chemollo
Dans un jeu scénographique et didactique qui fait dialoguer les toiles des védutistes, Bożena Anna Kowalczyk met plus particulièrement en regard la filiation entre Canaletto et Guardi. Les comparaisons mises en scène au Musée Jacquemart-André démontrent comment certaines vues de Venise peintes par Canaletto dans sa jeunesse ont pu influencer Guardi, mais aussi Bellotto et Marieschi. L’exposition amène à apprécier les différences de style, la manière dont les uns et les autres s’attachent à rendre la perspective, la lumière, l’architecture… On appréciera particulièrement dans la peinture de Canaletto une recherche de luminosité intense et une rigueur quasi scientifique dans le rendu des détails et des architectures. Le Musée Jacquemart-André rend par ailleurs un bel hommage à Guardi à l’occasion du trois-centième anniversaire de sa naissance, et présente plusieurs chefs-d’œuvre de celui qui a magnifié Venise avec une grande sensibilité et liberté de style.
Des campi aux fameux ponts et lagune de Venise sans oublier ses légendaires fêtes et cérémonies, ce sont tous les visages de la Sérénissime qui sont révélés au Musée Jacquemart-André. On y découvre également une facette moins connue de la production des védutistes : celle des « caprices ». Au milieu de ruines gagnées par la végétation, on reconnaît dans ces paysages fantaisistes des éléments d’architecture classique. Ainsi est décomposée puis recomposée la réalité vénitienne, dans des vues imaginaires et poétiques.
http://www.franceinter.fr/evenement-canaletto-guardi-les-deux-maitres-de-venise
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 12 bannières de ce blog
Précédente publication:
19/11/2012 15:57
Le Musée Correr de Venise célèbre le tricentenaire de la naissance de Francesco Guardi (1712-1793) à travers une centaine de peintures et de dessins. Après une formation picturale auprès de son père Domenico, en compagnie de ses frères Nicolò et Antonio, les toiles de ses débuts représentent des scènes de vie proches de celles de Pietro Longhi tel Le ridotto ou Le parloir des nonnes de San Zaccaria. Ses premières vedute, vers 1755, s’inspirent de celles de Canaletto et Marieschi comme la Place Saint-Marc de la National Gallery à Londres. En 1746, un anglais lui commande deux grandes vues de la Place Saint-Marc, puis il peint les douze toiles des Fêtes doganales d’après les estampes que Giambattista Brustolon grava lui-même d’après les toiles de Canaletto. Suivront en 1782, les quatre peintures commémorant la Venue du pape Pie VI à Venise puis des toiles célébrant le voyage « incognito » de l’archiduc de Russie sous le nom de comte du Nord. Son style devient de plus en plus libre et allusif, les proportions entre les divers éléments moins importantes, les figures se conçoivent en quelques traits de couleurs, la lagune se dissout dans des vastes étendues d’eau et de cieux. Ses Fantaisies et Caprices représentent des villes imaginaires immergées dans le vert de la campagne vénitienne. Oublié à sa mort en 1793, le 19e le redécouvre. Pietro Zampetti lui consacre une grande exposition au palazzo Grassi en 1965.
Gilles Kraemer
Francesco Guardi
Du 28 septembre 2012 au 6 janvier 2013
Musée Correr
San Marco 52 - 30124 Venezia
Tél. +39 041 240 52 11 +39 041 240 52 11
www.correr.visitmuve.it Direction scientifique Gabriella Belli
Commissariat de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco
Catalogue Francesco Guardi sous la direction de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco, éditions Skira.
http://lagoradesarts.fr/Tricentenaire-de-la-naissance-de-Guardi.html
Précédente publication:06/01/2013 00:59
http://www.e-venise.com/vaporetto-ligne-alilaguna-blu-venise.html
Palazzo Malipiero
(gravure)
La Cà Grande (grande maison) de San Samuele a été probablement construite au début du 11e siècle par la famille Soranzo, qui a également construit dans cette période, en collaboration avec la famille Boldù, l'église de San Samuele en face du palais.
Au 13ème siècle un étage a été rajouté au bâtiment préexistant, réalisation fréquente à l'époque. Au début du 15e siècle la famille Cappello, l'une des plus énergiques et créatives de Venise, est devenue propriétaire du palais suite à des mariages avec les Soranzo. A partir de la moitié du 16e siècle les Cappello ont agrandi le bâtiment et lui ont conféré sa façade actuelle sur le Grand Canal.
Van Gogh mis à nu à Amsterdam ; - Giuseppe Penone, un poète à Versailles ; - Pieter Coecke d'Alost, peintre érudit au temps des maniéristes anversois ; - Les Wattel, la céramique féconde de l'après-guerre ; - La légende Hantaï au Centre Pompidou ; - Dale Chihuly, un verrier fait Prométhée.
http://www.estampille-objetdart.com/numero-492/revelations-l-exposition-van-gogh.3833.php
Au pied des montagnes de Kaboul, un héros de guerre gît dans le coma ; sa jeune femme à son chevet prie pour le ramener à la vie. La guerre fratricide déchire la ville ; les combattants sont à leur porte. La femme doit fuir avec ses deux enfants, abandonner son mari et se réfugier à l'autre bout de la ville, dans une maison close tenue par sa tante. De retour auprès de son époux, elle est forcée à l'amour par un jeune combattant. Contre toute attente, elle se révèle, prend conscience de son corps, libère sa parole pour confier à son mari ses souvenirs, ses désirs les plus intimes... Jusqu'à ses secrets inavouables. L'homme gisant devient alors, malgré lui, sa "syngué sabour", sa pierre de patience - cette pierre magique que l'on pose devant soi pour lui souffler tous ses secrets, ses malheurs, ses souffrances... Jusqu'à ce qu'elle éclate !
Date de sortie
Titre original
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Syngué sabour |
Secrets de tournage
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10 anecdotes | |
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Récompenses
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1 prix et 3 nominations |
Box Office France
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217 760 entrées | |
Distributeur
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Le Pacte |
Budget
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- | |
Année de production
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2012 |
Date de reprise
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Date de sortie DVD
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25 juin 2013 |
Format de production
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Couleur
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Couleur |
Format de projection
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Plus de détailFermer
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Syngué Sabour - Pierre de patience est l'adaptation du livre du même nom écrit par Atiq Rahimi en 2008 et lauréat du Prix Goncourt la même année. L'auteur adapte donc lui-même son ouvrage. A noter que le cinéaste en est à sa deuxième adaptation d'un de ses livres, puisqu'il avait déjà tourné Terre et cendres en 2003, adaptation de son roman sorti en 2000. Ce film a remporté le Prix Regard vers l'a... Lire la suite
Dans la mythologie perse, Syngué sabour est la pierre de patience, une pierre qu'on dit magique. On peut lui révéler ses malheurs, ses secrets, tout ce qu'on n'ose pas dire aux autres. La pierre absorbe ces secrets à la manière d'une éponge puis finit par exploser, libérant enfin la personne qui lui a confié ces choses.