Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Les économistes doutent de la reprise annoncée par Hollande
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Le Figaro - il y a 17 heuresLa majorité des experts parient plutôt sur un rebond fragile et très lent de l'activité.
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Le Monde.fr | 11.07.2013 à 10h14 • Mis à jour le 12.07.2013 à 12h17 | Par Yann Plougastel et Christine Ferniot
Le Monde.fr | 04.07.2013 à 12h33 • Mis à jour le 11.07.2013 à 10h12 | Par Yann Plougastel et Christine Ferniot
20.07.2013 - 21:00
Tout l’été, France Culture s’associe au Monde et à SNCF dans le cadre de la collection « Les Petits Polars du Monde ». Treize nouvelles inédites écrites par les meilleurs auteurs de polar français. Les nouvelles illustrées seront publiés par Le Monde et disponibles en kiosque chaque jeudi à partir du 13 juin. Certains de ces auteurs sont les lauréats du PRIX SNCF DU POLAR. Ces polars, adaptés pour la radio seront diffusés tous les samedis soirs à partir du 29 juin sur France Culture et présentés par François Angelier dans le cadre d’une émission spéciale consacrée au polar.
Le Monde.fr | 20.06.2013 à 15h11 • Mis à jour le 02.07.2013 à 16h03 | Par Yann Plougastel et Christine Ferniot
Vous êtes à la recherche d’un polar à dévorer sur la route des vacances ou à la plage ? Le Monde et SNCF vous présentent la saison 2 des Petits Polars du Monde, un joyeux pèle-mèle de nouvelles illustrées. Découvrez une série de 13 nouvelles inédites, associant cette année des grands noms du polar contemporain comme Franck Thilliez, Didier Daeninckx, Caryl Ferey, Jean Vautrin, Brigitte Aubert à des dessinateurs de talent : Loustal, Baru, Dominique Corbasson, Miles Hyman, et bien d’autres. Ils vous emmèneront dans des contrées lointaines où il ne fait pas bon croiser des meurtriers. Retrouvez chaque semaine, une nouvelle des Petits Polars du Monde en kiosque, dès le jeudi 13 juin et jusqu'au 15 septembre.
http://www.sncf.com/fr/actualite/petits-polars-monde
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13/06/2013 21:55
Loué par ses contemporains, Dante, Pétrarque et Boccace, admiré par Léonard de Vinci et copié par Michel-Ange, Giotto di Bondone (vers 1267-1337) a été perçu au fil des siècles comme l’auteur d’une révolution picturale sans précédent depuis l’Antiquité.
Cette mutation radicale n’est pas seulement d’ordre stylistique, elle s’explique aussi par une attitude différente vis-à-vis du monde sensible que l’artiste entend restituer dans sa diversité et sa réalité tridimensionnelle.
La carrière itinérante du peintre, qui l’a mené de Florence, où se déroulera l’essentiel de sa carrière, jusqu’à Milan, en passant par Assise, Rimini, Padoue, Rome, Naples et peut-être même Avignon, a provoqué une véritable onde de choc dans toute la péninsule italienne et, plus tard, en Europe. La renommée de Giotto fut si grande, les commandes si nombreuses que, dès les années 1290, le peintre fait travailler des compagni – des assistants – dont certains le suivront dans ses diverses pérégrinations, tandis que d’autres, recrutés localement, à Naples par exemple, contribueront, après son départ, à l’éclosion de foyers artistiques autonomes.
À travers une trentaine d’oeuvres – peintures, dessins, enluminures et sculpture –, venues majoritairement des collections françaises mais aussi de l’étranger, l’exposition tentera de mettre en évidence les inventions de Giotto tout en abordant des questions comme les réseaux, franciscain notamment, qui ont favorisé leur diffusion ; l’organisation de son atelier – ou de ses ateliers ; la typologie des panneaux peints, questions que des recherches récentes sur divers fronts ont contribué à renouveler.
Commissaire(s) :
Dominique Thiébaut, département des Peintures, musée du Louvre
Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux.
Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.
Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.
La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.
La XIe édition de la Biennale de Sharjah redessine le monde avec l'exposition Bubbles. Crédits photo : DR
INFO LE FIGARO - À l heure où s'ouvre la Biennale de Venise, le Qatar prepare en grand secret sa biennale en 2014 pour concurrencer celle de Sharjah, émirat voisin du Golfe persique.
À la fin des années 1880, la Slovénie est sous l'emprise de l'Autriche et s'ouvre au même moment à la modernité. Le sentiment d'identité nationale gagne du terrain. Ce besoin d'affirmation pousse le peintre slovène Anton Azbe à ouvrir, en 1891, une académie à Munich.
Dans cet établissement, quatre hommes liés par une passion commune, la peinture en plein air, se rencontrent. Ils s'appellent Rihard Jakopic, Ivan Grohar, Matej Sternen, Matija Jama et deviendront les quatre "grands" impressionnistes slovènes.
Leur impressionnisme se différencie du mouvement français, leur ambition étant de dépasser le réalisme pour conserver le pouvoir émotionnel dans des compositions qui frôlent parfois l'abstraction.
Au-delà de ces quatre peintres, le Petit Palais en profite aussi pour faire un état de la création à Ljubljana ( capitale de la Slovénie) entre 1890 et 1920 avec de la sculpture, des illustrations, des livres d'auteurs contemporains, de la photographie et des réalisations architecturales
Ce hors-série parcourt sept siècles d'histoire de Murano, l'île vénitienne qui a fait du verre sa spécialité depuis la Renaissance. Verres anciens et verres contemporains se côtoient ici pour révéler l'inventivité constante dont ont fait preuve des dynasties de maîtres verriers.
http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2564
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12/05/2013 16:16
CHEFS-D’ŒUVRE DE VERRE DE LA RENAISSANCE AU XXIe SIECLE
Après Canaletto, le musée Maillol prolonge le séjour à Venise. C’est en 1453, que les verriers vénitiens développent une technique du verre qui permet un rendu de la matière fine et claire (cristallo) telle qu’on la connaît aujourd’hui. De chefs-d’œuvre en brevets, ils sont les acteurs et les témoins de six siècles d’histoire.
Deux cents œuvres sont présentées : de la coupe nuptiale en lattimo décorée d’émaux raffinés et miroirs audacieux du XVIe siècle, aux coupes gravées à la pointe de diamant du XVIIe, aux curieux meubles de verre et aux lustres fous des XVIIIe et XIXe siècles, à l’Art nouveau et aux objets du design, véritables signes sociaux de leur époque, jusqu’aux installations des grands artistes contemporains tels que Jean Arp, César, Jean-Michel Othoniel, Jan Fabre, Maria Grazia Rozin, Mona Hatoum et d’autres.
Sous le haut patronage de la Ville de Venise, avec la participation des Surintendances des musées de Venise, Rome, Naples, Florence et Milan, du Victoria and Albert Museum de Londres, du National Museum et du Museum of Decorative Arts de Prague, du Stiftung Museum Kunstpalast de Düsseldorf, du Kunstsammlungen der Veste Coburg de Cobourg, du Musée des Arts Décoratifs Paris, du Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, du Petit Palais, des plus importantes collections particulières internationales et des artistes contemporains.
Précédente publication: 12/05/2013 16:14 |
http://www.venise-serenissime.com/home/salon_lecture/geo.htm
Passion Venise
Très complet ce numéro Hors Série de Géo, est bien fait, c'est même une réussite totale.
Une fois de plus nous ne sommes pas déçu par ce grand magazine. On y retrouve bien sur des articles de fond, incontournables, mais aussi des inédits. Le renouveau, les chantiers, magnifique photo de La Fenice retrouvée, enfin bien des articles qui vous intéresseront.
J'ai bien aimé aussi l'extrait du livre de Tiziano Scarpa "Venise est un poisson" livre que j'ai particulièrement apprécié.
Nicole