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  • Catégories : La littérature

    Daniel Pennac, prix Renaudot pour "Chagrin d'école"

    Le 5 novembre 2007 à 13h28 | LE FIL LIVRES

    A soixante-deux ans, Daniel Pennac lève le voile sur son passé de cancre en publiant "Chagrin d'école" (Prix Renaudot 2007), qui mêle souvenirs autobiographiques, réflexions pédagogiques et considérations sur l'époque. Il lit pour Télérama.fr un extrait de son texte.

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    rss | lire les (9) réactions

    "Mais comment un cancre pourrait-il être joyeux ?" : Entretien - Daniel Pennac

    http://www.telerama.fr/livre/

  • Catégories : La cuisine

    Clafoutis aux abricots secs

    39d0374c064d4c9206aaf4a7ff7df94a.jpgPréparation : 20 min + 1h de macération
    Cuisson : 1 h 20 min

    Ingrédients pour 6 personnes:

    - 3 oeuf(s)
    - 50 g de sucre en poudre
    - 300 g d' Abricot(s) sec(s)
    - 1,5 dl de lait
    - 60 g de farine de blé
    - rhum
    - 1 pincée(s) de sel
    - 50 cl d' eau
    - 0,5 cuillère(s) à café d' extrait de vanille

    Vins conseillés :
      • Un Sauternes, semillon doux
      • Un Sauternes

    Faites tremper les abricots secs dans 1/2 litre d'eau pendant une heure au moins, puis faites-les cuire 30 minutes dans leur eau de trempage.
    Laissez-les refroidir, séchez-les puis coupez-les en deux et saupoudrez-les de farine pour qu'ils ne collent pas.
    Préchauffez le four à 180°C (th. 6).
    Mélangez le sucre, les oeufs entiers, ajoutez la farine, du sel, le rhum, et le lait.
    Parfumez avec l'extrait de vanille ou 1/2 sachet de sucre vanillé.
    Mélangez les abricots à la pâte, versez le mélange dans un plat beurré et faites cuire au four 50 minutes à 200°C (th 6/7).
    Saupoudrez de sucre glace et continuez la cuisson 5 à 6 minutes sous le gril en surveillant pour que le dessus ne brûle pas.
    Servez tiède, vous l'apprécierez mieux.

    Bon à savoir sur les abricots secs:

    http://www.isaveurs.com/outils/tampon_mailing.php?mid=MjUsMzU2MCwzOTY3ODUsNTU1MDk1NywxMDM0OTA%3D

    Source: isaveurs

  • Catégories : Science

    Une ligne grande vitesse Paris-Clermont à l'étude

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    Clermont-Paris en deux heures par le train à l'horizon 2020. En Auvergne, on se réjouit de cette annonce...

    Le 30 octobre, le gouvernement a annoncé son intention de réaliser une ligne ferroviaire à grande vitesse reliant Paris à Lyon, via Clermont-Ferrand. Objectif : désengorger l'actuelle liaison TGV Paris-Lyon. Une ligne au bord de la saturation. Paris et Clermont sont actuellement reliées par une ligne classique qui passe par Nevers et Vichy

    "Dans le cadre du Grenelle de l'environnement, nous avons décidé (...) de demander une étude à Réseau ferré de France" (RFF) sur cette liaison qui pourrait passer par Orléans et Bourges, a annoncé mardi le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau lors d'un point de presse. Il était aux côtés de Brice Hortefeux ministre de l'Immigration,de l'identité nationale et du co-développement, et conseiller régional d'Auvergne. Cette étude de faisabilité, commandée cette semaine, doit être remise "avant le printemps" et sera alors présentée au CIACT (Comité interministériel d'aménagement et de compétitivité des territoires) avant une prise de décision du gouvernement, a-t-il ajouté. Il faudra alors compter dix à quinze ans pour la réalisation de la ligne sielle est décidée, a estimé Dominique Bussereau.  "L'objectif est de mettre Paris à deux heures de Clermont à terme" contre près de 03h30 actuellement, et Clermont à environ une heure et demie de Lyon, a précisé Brice Hortefeux. Le tracé exact ainsi que le coût seront déterminés par l'étude de RFF, propriétaire du réseau national et à ce titre maître d'ouvrage en matière de construction de lignes.


    En 2005, le conseil économique et social d'Auvergne avait préconisé une rénovation de la ligne classique plutôt que la construction d'une ligne nouvelle pour réduire le temps de parcours entre la capitale et Clermont-Ferrand.

    - France 3 -
    Cliquez ici pour voir en grand

    Une liaison ferroviaire rapide entre Paris et la capitale auvergnate : le dossier n'est pas nouveau. Mais ce nouveau projet ferroviaire, qui pourrait voir le jour d'ici treize ans, est différent de tous les autres projets élaborés depuis plus de vingt ans en Auvergne. En décembre 1988, on parlait déjà d'un TGV pour Clermont reliant la ligne Lyon-Paris via Vichy et Montchanin. Aujourd'hui, ce nouveau projet doit beaucoup au Grenelle de l'Environnement dont l'une des dispositions retenues est la réalisation de 2.000 km de lignes à grande vitesse nouvelles à l'horizon 2020. A terme, grâce à cette nouvelle ligne à grande vitesse Nord-Sud qui se poursuivrait jusqu'à Lyon, l'Auvergne pourrait se trouver au centre d'un carrefour ferroviaire majeur. En effet, Clermont Métropole défend au autre projet  : le Transline, un TGV Bordeaux-Milan.

    Ci-dessous le reportage signé N.Ferro & L. Jardy (+ images FR3-1988)
    Intervenant : Renée Souchon, Président du Conseil Régional Auvergne

     Une ligne à grande vitesse entre Paris et Clermont (JT 19/20 le 30/10/2007)

    Vidéos


    Liaison rapide Paris-Clermont sur les rails ?
    Les explications de Dominique Bussereau et Brice Hortefeux ...

     

    http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/35865530-fr.php
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  • Catégories : Daho Etienne

    Daho,un père et gagne

    Chanson. Entre mélancolie amoureuse et lettre au père, le bel ami nous revient avec un neuvième album en studio.
    GÉRARD LEFORT
    QUOTIDIEN : mardi 6 novembre 2007
     

    Ami-chemin de l’album l’Invitation, planté comme un pieu dans le cœur de Dracula pour empêcher qu’il se réveille jamais, cette chanson censément exorciste : Boulevard des capucines. Qui dit, au refrain, «Quelle erreur, quelle perte de temps/Si je n’ai pas su te dire à temps/Que je pensais à toi, tout le temps/Mon guerrier, mon roi, mon petit prince» . Qui parle ? A qui ? Et de quoi ? Tous les sens sont permis, sans dessus dessous. Un amant repentant ? (C’est froid). Un vieux parlant à son jeune ? (C’est chaud). Un père à son fils ? (Ça brûle !).

    Crève-cœur. Contre toutes attentes, il s’agit en effet d’une lettre de Daho à Daho, de père en fils – ou l’inverse. Ce qui trouble plus que de raison. Car tout de même, écrire ainsi, en y insistant, cette complainte d’homo erectus, copulation astrale avec Daddy Daho (à l’Olympio !) : «Mais tu ignores mes signes, toi mon cruel funambule/Alors je crache ces lignes, fracassé et somnambule.» Et la semer en chanson à tous vents, sont-ce bien des façons ? Tout le reste est sous influence de ce déchirement crève-cœur. Alors oui, on se sent le droit, pas gêné mais un peu quand même…, de s’adresser à son tour au «garçon».

    Etienne, vous le savez, vous nous importez, corps et âme. Damoiseau depuis si longtemps, hanté par la jeunesse depuis que vous étiez jeune, entre Epaule Tatoo (ouh ?) en jean déchiré, et Week-end à Rome, vacances cinématographiques sur le scooter de référence (un Vespa sinon rien), tout chaud serré contre Gregory Peck au guidon puisque vous avez déclaré que votre mère, qui fut abandonnée par Papa, est un sosie d’Audrey Hepburn.

    A l’aurore des années 80, vous étiez ce héros pour lycéen en phase terminale (A) de province extrême, quand, entre Hubert-Félix Thiéfaine et Francis Lalanne, pour s’identifier on n’avait pas d’autre solution que vous. Mythomane d’entrée de jeu (1981), puis matelot de quincaillerie érotique, plus Querelle que Billy Budd, portant beau le pull à rayures bretonnant pour les enchâssants Pierre et Gilles sur la couverture en mousse de la Notte , la notte (1984). Plus de vingt ans déjà. Et après ?

    Un peu perdu de vue mais toujours à l’œil. Bien qu’il ait fallu endurer quelques égarements sur lesquels mieux vaut ne pas revenir sauf à aimer les scènes de ménage. Ce qui semble être votre cas, qu’on en juge, quand sous prétexte de célébrer Un merveilleux été, vous dites à quelqu’un : «Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps/Fais comme si j’étais mort.»

    Cantharide. Mais quel homme êtes-vous donc ? Artiste et invivable, vous chantez ce pléonasme dans Cet air étrange qui fut la première chanson écrite pour l’album. Où l’on entend aussi, que «si tu flirtes avec les cimes, tu entrevois aussi l’abîme». Aimerait-on à cet égard être votre ami ? Mieux vaut sans doute ne pas vous connaître, écouter vos chansons en restant bons copains. D’ailleurs on est prévenu par un Toi jamais, toujours où Brigitte Fontaine, en coup de main-coup d’écriture, nous abreuve de maux délicieux : «Satan de soie», «crapaud de Dieu», «tubéreuse mortelle» ou «cantharide acide». Hein ? Cantharide ? Une décoction de coléoptères aux vertus aphrodisiaques. On qualifie aussi de «cantharide» une allumeuse. Plus que jamais une Invitation, donc.

    Qui fait un carton «clappé» en guise d’ouverture. Sur un air flamenco, c’est une auberge espagnole où la vie est un banquet entraînant. Les convives, assassins et poètes, sont idéalement excitants, mais s’il venait l’envie de se lever de table pour taper à son tour du talon, c’est «pieds nus sur du verre». Et vous vous (nous) emballez au final tout en décharges d’adrénalines. Fort bien. Et du calme. Pour un tête à tête entre vous et toi, où s’ouvrent les gouffres de la sexualité («Ça fait très, très peur mais aussi très envie»), prétexte aussi à une première bouffée de violonades qui, en arrière-monde, font penser aux déambulations de Gainsbourg dans la maison close de Melody Nelson.

    Gamin. Mélodie en sous-sol, plutôt, qui est aussi le titre d’un film de Verneuil (1963) avec Beau Delon. Ça coule à pic, la fin des années 60 cogne à la porte. Car, ce qui fait surtout écho souterrain à l’arrière-plan de votre Invitation, c’est le Velvet. Vous chantez, Etienne, tandis que ne manquent au rappel ni tambourin ni ligne à haute tension des guitares électriques, comme Nico. Pas faux non, mais… Une voix de gamin, de Petit Prince si vous y tenez, poseur mais posé, qui tinte à nos oreilles comme celle d’un enfant de chœur qui chercherait ses basses dans If, le film soixante-huitard de Lindsay Anderson. Autant dire «gâté pourri», prêt à tirer dans le tas en aube sanglante.

    Comment peut-on chanter français sur un son aussi anglo-saxon ? D’autant qu’autre fantôme, comme une chatte Motown dans la gorge, Diana Ross vous hante. Or, ça colle. Et vous en donnez la preuve dans Sur la terre comme au ciel. Sur des vers boiteux à se ramasser, voilà que tout en montée vers un septième ciel de fantaisie, la voix rapido caracole, de «poussière» en «esprit» jusqu’à un pic de «poésie», juste avant de dévaler d’une octave pour valdinguer «sur terre». Cette galvanique incantation nous cueille et nous terrasse.

    C’est bientôt la fin, le chant du départ. Un Cap Falcon qui est sans conteste le nom d’une pointe aux environs d’Oran (Algérie), histoire d’un retour à rebours, bouffée d’enfant pied-noir inconsolable qui naquit «là-bas» un 14 janvier 1956. Mais aussi, parce qu’un amour d’antan est appelé Lit de Roses, impossible de se quitter sans évoquer Jean Genet-Génie, Notre-Dame-des-Fleurs et des fêlures répandant sa fragrance dans les Fleurs de l’interdit où vos «aubiers» sont à deux doigts des aubépines de Proust. Ce qui vous fait fredonner, cher garçon : «Comme le nectar assassin, tiens, tiens, prends ma main…» Soit. Mais où ?

    http://www.liberation.fr//culture/musique/289424.FR.php?utk=008b428a

  • Catégories : La littérature

    "Le Goncourt 2007 ? Une vraie surprise !"

    Gilles Leroy.
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    Vincent Fertey (lefigaro.fr).
     Publié le 05 novembre 2007
    Actualisé le 05 novembre 2007 : 18h33

    VIDÉO Le plus célèbre des prix littéraires français a été décerné cette année à Gilles Leroy pour son roman "Alabama Song". Un livre magistral selon Mohamed Aissaoui, critique littéraire au Figaro.

  • Catégories : L'actualité

    la grande quinzaine des prix littéraires de l'automne

    Officiellement ouverte le 25 octobre dernier avec l'attribution à Vassilis Alexakis du grand prix du Roman de l'Académie Française (pour Après J.-C., éd. Stock), la grande quinzaine des prix littéraires de l'automne connaîtra ce lundi son point d'orgue : c'est à treize heures que seront connus les lauréats des prix Goncourt et Renaudot. Demain, mardi, ce sera le tour du jury du prix Décembre — notons qu'habituellement, il s'agit du jury le plus avisé. Lundi 12, place au Fémina et au Médicis. Et alors, enfin, on en aura fini avec ces récompenses rituelles dont il n'est hélas jamais acquis qu'elles viennent saluer les romans les plus réussis de la saison. Faut-il pour cela réclamer la tête des jurés ? Une fois de plus crier au scandale ? Non. « La principale utilité des prix littéraires, c'est qu'ils font parler des livres », expliquait il y a quelques années un éditeur interrogé sur la question, et il faut bien se ranger à son avis clair et lucide. Quel jour de l'année les JT de 13h des grandes chaînes de télévision et des radios sont-ils suspendus à l'actualité littéraire ? Quand voit-on un romancier invité à la table de la grand-messe du 20h ? Le lundi de la fin novembre où l'Académie Goncourt rend son verdict (ajoutons-y éventuellement le jeudi du mois d'octobre où est connu le nom du Nobel de littérature). Pour cela — et rien que pour cela —, il sera beaucoup pardonné aux jurys... ◆ Na.C.
    sOURCE: Télérama

  • Catégories : Paysages de Cannelle. Nouvelles

    Le prince charmant

    Cannelle est féministe et pour elle ce rêve de prince charmant n’est pas féministe. Pourtant, elle aussi a rêvé au prince charmant. Et ce rêve s’est transformé en cauchemar. Il y avait dans les années quatre-vingt une série japonaise (à l’époque c’était nouveau) d’animation qui racontait la vie d’une orpheline, Candy. Les vieux trentenaires et les jeunes quarantenaires doivent se souvenir… Devenue jeune fille, Candy fait la rencontre d’un jeune aristocrate, Elle est pauvre. Leur amour est impossible et comble du tragique, il meurt. Cannelle est une petite fille unique, sage, très bonne élève. Une petite fille de réfugiés laotiens arrive dans sa classe. Elle est plus âgée, plus mûre que Cannelle et devient sa meilleure amie. Cannelle a aussi rencontré, à la bibliothèque de l’école primaire, un garçon, plus vieux, de deux classes au-dessus d’elle, Patrick. C’est le grand-frère d’un garçon de sa classe avec lequel elle a joué à touche-pipi à la maternelle. Elle a cru qu’il l’avait regardée d’une façon particulière et elle s’est bâtie toute une histoire. Un jour, elle tombe dans la cour de l’école et il se porte à son secours. Le rêve prend des proportions énormes pour une petite fille sage. Sa meilleure amie dessine très bien et notamment les personnages de ce qu’on appelait encore des « mangas.» Dans leurs cahiers d’écolières, il y a donc Candy mais aussi Anthony, son prince charmant qui ressemble bien sûr au prince charmant de Cannelle : blond, grand, mince, peau diaphane, yeux bleus. Un jour, sa meilleure amie lui écrit une lettre comme si c’était Patrick, une lettre d’amour sûrement mais elle ne se souvient pas du contenu de cette lettre. Elle se rappelle que c’était son trésor et qu’elle l’avait glissé sous son oreiller tout près de ses rêves nocturnes. Un matin, sa mère trouve cette lettre en faisant du rangement dans sa chambre. Elle l’a lit et s’indigne de son contenu, ce même contenu dont Cannelle n’a plus aucun souvenir. La mère comprend que ce n’est pas Cannelle qui a écrit cette lettre mais sa meilleure amie. Car cette lettre ne peut pas être la lettre d’une petite fille mais d’une fille plus mûre déjà bien au fait des choses de la vie. Sa mère lui demande de ne plus revoir son amie et lui annonce qu’elle va aller voir le directeur de l’école. Tout au long de sa vie, sa mère est intervenue dans ses amitiés disant que tel amie était trop ceci  ou pas assez cela  pour elle. Et elle, Cannelle ne s’est pas révoltée avant un certain temps.

     

    En ce qui concerne l’entrevue entre sa mère et le directeur d’école, ce fut une honte pour la sage Cannelle. Le directeur convoqua ensuite la petite fille. Le rêve du prince charmant, partagé avec sa meilleure amie s’était transformé en désastre.
  • Catégories : Jeux, Mes poèmes

    L'absence au monde

    Mots imposés (Kildar)

    Un exercice que l'on n'a presque plus besoin de présenter tant il a l'air de vous inspirer : une liste de mots (25 en l'occurrence), un texte à construire en intégrant ces mots (il est demandé d'en utiliser au moins 15, idéalement tous, en conjuguant les verbes si vous le souhaitez, et en jouant sur le féminin et le pluriel pour les mots donnés au masculin et / ou au singulier)... Que dire de plus ? Amusez-vous bien avec cette nouvelle liste : -)

     Absence - Souffrance - Déchéance - Extravagance - Expérience - Volontiers - Indifféremment - Exceptionnel - Décomposé - Novembre - Egorger - Sourire - Jubiler - Lamentable - Formidable -  Simuler - Courroux - Persuasif - Pouvoir - Exacerbé - Lancinant - Alchimie - Communautaire - Enchainer - Tourbillon    

    http://www.ecritureludique.net/article-13363082.html

     

     

    MON POEME  

      

    L’absence au monde

     

    L’absence au monde

    La solitude

    Est perçue comme une souffrance

    Une déchéance

    Lamentable

    Une extravagance

    Par ceux qui n’en ont pas l’expérience.

    Mais le refus de la vie communautaire

    Peut-être

    Comme un sourire

    Dans le froid de novembre ;

    Une chance formidable.

    Regarder indifféremment la foule,

    Ce besoin lancinant des êtres

    Exceptionnels et uniques

    D’être comme les autres.

    Que les moutons de Panurge

    Se laissent égorger l’âme,

    Décomposer le caractère.

    Ils se perdent et en jubilent.

    Pour ne pas simuler, le solitaire

    Volontiers  s’enferme

    Pour ne pas qu’on l’enchaîne.

    Sa sensibilité s’exacerbe,

    Son courroux arrive vite.

    Persuasif, le monde

    Parfois l’attire

    Mais il garde

    Dans ce tourbillon alchimique

    Ce pouvoir magique

    De s’absenter du monde

  • Catégories : La télévision

    Du théâtre en direct et en prime time un samedi soir

    diable, France 2 sort l’arsenal ! Faisons un rêve donc, et imaginons que cette brillante pièce de jeunesse de Guitry envoie se coucher Les enfants de la télé. En direct du Théâtre Edouard-VII, à Paris. Mise en scène : Bernard Murat. 95 mn. Avec Pierre Arditi, François Berléand, Michèle Laroque. 1443406.

    Source: Télérama.fr

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Les plages marocaines propres primées

    Le travail paie. Les régions qui ont fait l’effort de valoriser leur littoral récoltent aujourd’hui les fruits de leur labeur: des trophées récompensant les plages propres, ainsi que les opérateurs qui y ont participé, ont été octroyés à l’occasion d’une grande cérémonie, mardi soir à Tanger, présidée par la princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’Environnement.

    Cette année, 54 plages, représentant 37 communes situées sue les côtes nationales, se sont associées à l’opération. Le montant total des investissements publics et privés des sponsors a représenté près de 53 millions de DH. Cette somme est consacrée à l’équipement des sites, la collecte des déchets, l’animation et la sécurité. A noter que la Direction générale des collectivités locales a, pour sa part, alloué une enveloppe budgétaire de 8 millions de DH au profit de 27 plages non incluses dans le cadre du programme Plages Propres.

    Pour l’édition 2007, des trophées ont été remis à la plage de Riffienne (commune de Fnideq) et à son partenaire Maroc Telecom. La plage d’Asilah est par ailleurs sortie grand vainqueur en remportant deux trophées, celui de l’engagement et de l’innovation en duo avec l’Office national des chemins de fer. La plage de M’diq, soutenue par l’Agence de développement du Nord, a également eu droit à un trophée pour la mise en place d’un filet de protection contre l’invasion des méduses.

    Les autres primés sont les plages d’Aïn Diab et son partenaire, l’Office national de l’électricité; Essaouira et ses sponsors, l’association Achoula et l’Agence nationale des ports; Agadir et Royal Air Maroc; Bouznika ainsi que de la Lydec et l’Office national de l’eau potable. Le Club royal de jet-ski et ski nautique de Tanger a également été distingué.

    Enfin, à l’issue de la cérémonie de remise des trophées, la princesse Lalla Hasna a été nommée ambassadrice de la côte par les représentants du Plan d’action pour la Méditerranée (PAM), programme dépendant du Programme des Nations unies pour l’environnement.

    Ali Abjiou
    Source: L'Economiste

    http://www.yabiladi.com/article-societe-2177.html

  • Catégories : La cuisine

    Le plat du jour: quiche au crabe

    Préparation : 20 minutes
    Cuisson : 35 minutes

    Ingrédients pour 6 personnes

    3 oeuf(s)
    - 250 g de pâte brisée
    - 25 cl de crème fleurette
    - 1 pincée(s) de paprika
    - sel, poivre
    - 5 brin(s) de persil
    - 300 g de chair de crabe

    Vins conseillés :
      • Un Entre-deux-mers

    Préchauffez le four à 220°C (th. 7). Faites égoutter la chair de crabe. Lavez et hachez le persil.
    Foncez un moule à tarte de pâte brisée. Faites-le cuire à blanc 10 minutes.
    Séparez les blancs des jaunes d'oeufs. Battez les blancs en neige ferme. Réservez.
    Mélangez la chair de crabe avec la crème fraîche liquide fleurette et les jaunes d'oeufs.
    Salez, poivrez, ajoutez une pincée de paprika et le persil haché.
    Incorporez les blancs d'oeufs.
    Versez sur la tarte et faites cuire 25 minutes à 180°C (th. 6).

    Source: i-saveurs

  • Catégories : Jeux, Mes poèmes

    Ma chambre

    "Décrire une chambre à coucher, la vôtre ou celle où vous avez préféré dormir, chez des amis ou à l'hôtel, celle que vous voyez en rêve, celle que vous avez vue
    dans un Musée, etc....
    Vous pouvez y ajouter une touche personnelle, mais pas trop ...

    Donc en vers ou en prose, court ou long, en précisant bien l'Url de votre blog, si vous en avez un, à mon adresse :


    jb3essarts@orange.fr

     

     

    http://papierlibre.over-blog.net/article-13365029.html

     

    MON POEME

     

     

    MA CHAMBRE

     

    Ma chambre

    Est celle

    Où je l’aime

    Et le désire

     

    Ma chambre

    Est celle

    Où il me découvre

    Et me recouvre

     

    Ma chambre

    Est celle

    Où je pose un livre

    Et repose mon angoisse

     

    http://papierlibre.over-blog.net/article-13466078.html

     

  • Catégories : Jeux

    A PROPOS D'HALLOWEEN/Ecriture sur images (Martine)

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    Martine (http://moncarnetamalices.over-blog.com/)nous propose cette fois d'écrire autour de 4 pièces de puzzle, qui ne constituent pas l'image entière, mais qui ont un sens par elles-même. Il est possible de s'inspirer de l'une ou l'autre des images, de plusieurs ou de toutes, librement.
    Comme vous pouvez le découvrir ci-dessous, ces images ont un rapport avec Halloween (qui se fête justement le 31/10 au soir). Vous pouvez vous inspirer de ce contexte, ou bien chercher à vous en éloigner, ce ne sont pas les images qui ont le pouvoir, mais vous !

    http://www.ecritureludique.net/article-13363082.html

     

    MA PARTICIPATION

     

    Comme je suis d’origine bretonne et que je m’intéresse à la culture celte en général (une catégorie « Univers Celte » dans mon blog), je voulais rappeler les origines de cette fête.

    La  fête païenne celte ("Samain")

    Il y a 2000 ans, les Celtes fêtaient, pendant trois jours, le changement d'année – appelé Samonios en Gaule, Samain en Irlande – aux environs du 1er novembre. Importée, pour finir, sur le continent nord-américain par les immigrants catholiques irlandais – l'Irlande ayant été évangélisée très tardivement au VIe siècle, c'est le pays où la fête de Samain a subsisté le plus longtemps.

    Son nom actuel est une altération de All Hallow's Eve, qui signifie littéralement : « la veille de la fête de tous les saints », c'est-à-dire la veille de la fête chrétienne de la Toussaint ("hallow" est une forme archaïque du mot anglais "holy" qui signifie : "saint").

    C’était pour les Celtes le début de la « saison sombre » (par opposition à l’autre la « saison claire »). C’est une fête de transition, vers un autre monde, celui des Dieux. Elle  est donc propice aux événements magiques.  Il y avait des rites druidiques, des banquets, des assemblées et des beuveries.

    L'imagerie qui entoure Halloween aujourd’hui n’ est elle pas  largement liée à   la saison d'Halloween elle-même (saison où les nuits deviennent de plus en plus longues par rapport au jour), la « saison sombre. » On parle aussi de « Temps de Toussaint », une période où le temps (si ce n’est pas déjà fait) fraîchit (quelquefois les premières gelées, je me souviens en France), s’assombrit.

    La principale tradition veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur (squelettes, sorcières, monstres, etc.) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux aussi déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent en disant, « Trick or treat ! » (« Des friandises ou un mauvais tour ! ») ou simplement «Halloween!»

    Le mauvais tour, la malchance est représentée par le chat noir. Ce sont aussi les forces magiques maléfiques comme les sorcières.

     Le principal symbole d'Halloween est la citrouille, remplacée quelquefois par un potiron (Jack-o'-lantern en anglais) : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre.

    L'orange et le noir sont les couleurs traditionnelles d'Halloween.

    Une tradition qui a survécu jusqu'a nos jours en Irlande est la cuisson (ou l'achat) d'un barmbrack (en irlandais : "báirín breac"), un gâteau aux fruits léger. Un anneau est placé dans le gâteau avant la cuisson. On dit que quiconque trouve l'anneau va trouver le véritable amour durant l'année.

    Comme mes livres sur les Celtes sont en carton, je me suis aidée de Wikipedia.

     

     

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Halloween