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  • Fin de:Modernisme ou Modernité

    Gustave Le Gray (1820-1884), le plus important photographe du Second Empire, a initié à la photographie une génération d’amateurs provenant de tous les milieux sociaux. Autour du maître, ces derniers ont inventé une esthétique en rupture avec l'enseignement des Beaux-Arts. Ebauchant, avec plus de 70 ans d’avance, le mouvement moderniste de l'entre-deux-guerres, ces photographes construisent des images qui surprennent par leur audace et leur perfection. La liste des élèves, aussi longue qu’hétéroclite, s’est étoffée depuis l’importante rétrospective, que la Bibliothèque nationale de France a consacrée à Le Gray, en 2002. De nouvelles œuvres ont surgi. Aux noms de Le Secq, Nègre, Greene, Salzmann, il faut désormais ajouter ceux de Bérenger, Delaunay, Du Manoir, et bien d’autres.

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  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre

    J'ai acheté dans une librairie française à Istanbul

    Un jeune officier, rencontre à Salonique une jeune Circassienne appartenant au harem d'un riche vieillard à Istanbul. Son amant, officier de marine britannique, rappelé en Angleterre, la quitte malgré lui. Quand il la retrouve, la jeune femme est morte de chagrin. Il meurt à son tour au combat. « Si tout n'est pas fini dans la sombre poussière, je le saurai bientôt peut-être. Je vais tenter de mourir pour le savoir... » Un roman quasi autobiographique de Pierre Loti qui séjour en Turquie et rencontre Azidayé en 1877.

    Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise - entre au service de la Turquie le 10 mai 1876, tué dans les murs de - Kars, le 27 octobre 1877.

    1893 Ce roman, publié en 1879, fait l’objet d’une suite titrée : Fantôme d’Orient qui paraît en 1892.

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  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre, Voyage

    Pierre Loti, pêcheur d'images

    S'il n'eût abandonné pour les magies de la peinture écrite celle du pinceau, Pierre Loti compterait aujourd'hui parmi les grands virtuoses, de même que Hugo n'eût point connu de maître dans le domaine de l'eau-forte », disait le poète ­Henry Mériot. Cet aspect de l'œuvre de Loti, s'il n'était pas inconnu des spécialistes, n'avait jamais été estimé à sa juste valeur. La publication de 500 de ses dessins, réalisés lors de ses premiers voyages au long cours, notamment en Polynésie, au ­Sénégal, en Turquie répare cette injustice. Elle permet aussi de redécouvrir un auteur que la postérité avait un peu vite relégué au rang d'écrivains pour bourgeoises et jeunes gens avides de sentimentalisme et d'exotisme de pacotille.

    Artiste, Julien Viaud, alias Loti, le fut dès sa prime jeunesse. Enfant, il aimait se réfugier dans l'atelier de sa sœur Marie, peintre professionnelle. Déjà fantasque, il composa en 1864 une sorte de bande dessinée qu'il intitula Aventures de Monsieur Pygmalion Piquemouche et de Mlle Clorinda sa poétique fiancée. Adolescent, lorsqu'il entreprit de rédiger son journal intime, ce fut dans une écriture cryptée, sorte de hiéroglyphes très élaborés déchiffrables par lui seul ! Au collège, Loti était, de son propre aveu, « nul en narration française ». En revanche, il suivait chaque jour une à deux heures de leçons de dessin. Il bénéficia donc d'une véritable éducation artistique, qu'il peaufinera à Paris en copiant des œuvres dans les musées. Au concours d'entrée à l'École navale, il mit à profit son habilité technique pour l'épreuve de dessin doté d'un lourd coefficient. Admirateur d'Ingres, il refusera de céder à la mode artistique, « des taches de couleur, boueuses, informes, par lesquelles aujourd'hui on arrive beaucoup plus facilement et plus vite à des semblants d'effets ».

    Une anecdote confirme que l'art graphique prima chez l'auteur du Roman d'un spahi et de Pêcheur d'Islande, et façonna, comme le dira Chardonne, sa « manière tout à fait nouvelle de peindre en prose ». En 1871, lorsque Julien Viaud se met en tête, avec son ami La Varende (père du romancier), de composer des contes pour La Vie parisienne, c'est son comparse qui rédige les textes tandis que lui-même les illustre…

     

    Femmes de Gorée (Juillet 1872) » [lire : Juin 1871]. Aquarelle et gouache. Collection particulière
    Femmes de Gorée (Juillet 1872) » [lire : Juin 1871]. Aquarelle et gouache. Collection particulière

     

    Jusque-là, le dessin était son violon d'Ingres. À partir de 1872, lors de ses escales sur l'île de Pâques et à Tahiti, subjugué par ce qu'il voit d'une part, contraint par ailleurs de gagner de l'argent pour éviter la ruine à sa famille et la vente de sa chère maison natale, il envoie ses dessins à sa sœur afin qu'elle tente de les faire publier dans la presse. Détail piquant, lorsque Marie lui demande d'écrire un article de commentaire, le futur académicien lui répond de le rédiger elle-même à partir des notes qu'il lui fait suivre ! C'est ainsi que pendant quatre ans, Julien Viaud adressera des dessins à L'Illustration qui les transposera en gravures avant de les publier. Il collaborera ensuite au Monde illustré (1876-1881).

    Pourtant, Loti note, à plusieurs reprises, son impuissance à traduire par le dessin l'ambiance d'une scène. Petit à petit, l'écriture prend le dessus. Lorsqu'il commence à transformer son journal intime en romans, a fortiori lorsque la célébrité lui vient avec le Roman d'un spahi en 1881, il n'aura plus de temps à consacrer à son art premier.

    Si la publication de larges extraits de son journal en 1997 (Cette éternelle nostalgie, La Table ronde) a contribué à sortir Loti de l'enfer de mépris où les hommes qui disaient le bon goût au XXe siècle l'avaient consigné, le considérant comme trop ­narcissique, trop soumis à sa sensibilité et à sa fantaisie pour être un orientaliste sérieux, la notice condescendante que lui consacre Le ­Dictionnaire des orientalistes de langue française, paru l'an dernier, montre que Loti n'est toujours pas considéré comme un vrai poète. Pourtant, à travers ses dessins, où le goût des formes et le sens du tragique se répondent, on sent le respect, l'empathie qu'il a pour ses sujets. Le primitif en lui est saisi, captivé par ces peuples et ces paysages, leur « poésie sauvage » que la rationalité occidentale n'a pas encore complètement étouffée. Contrairement à d'autres écrivains des lointains, Loti ne cherche pas à prendre de la distance pour mieux gloser sur ce qu'il voit : il le peint, l'imprime, avec force et gravité.

    «Pierre Loti dessinateur» par Alain Quella-Villéger, Bruno Vercier, Bleu autour, 289 p., 34,50 €. En librairie le 25 octobre.

    http://www.lefigaro.fr/livres/2009/10/08/03005-20091008ARTFIG00454-pierre-loti-pecheur-d-images-.php

    Cf. les autres notes de la catégorie Pierre Loti

    Note précedemment publiée:

    13/07/2010 15:12

  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre, Voyage

    Évadez-vous avec Pierre Loti !

    Loti et la litho: une invitation au voyage autant qu'un certain sens de la mise en scène comme ici avec cette cérémonie sur l'île de Pâques.. :

     

    Vos moyens ne vous permettent pas de partir en vacances. Le musée, au travers
    de l'exposition sur Pierre Loti, vous propose un tour du monde tel qu'il existait à la fin
    du XIXe siècle.

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  • J'ai malheureusement raté à Aix

    Photo perso du 27 janvier27 JANVIER 2012 017.jpg

    Exposition "Voyage en Orient", Aix-en-Provence

    Aix-en-Provence (13)

    Du 11 octobre 2011 au 29 janvier 2012, Exposition
    Pierre Loti déguisé en Ramsès II, Album de photographies, 1880-1930, photographie noir et blanc © Collection Bernard Laplaud

    Du 11 octobre 2011 au 29 janvier 2012, Exposition "Voyage en Orient" à Aix-en-Provence.
    Des collections inconnues du public à des œuvres plus célèbres, de Pierre Lotti à des oeuvres plus contemporaines..

    Au programme: Des documents inédits sur Pierre LOTI; une collection privée avec des objets rares et précieux (bijoux, ustensiles, livres enluminés); des œuvres de maîtres du XIXe siècle et du début du XXe siècle de l'Orientalisme (œuvres sur papier de Delacroix et de Matisse..); lit turc de harem doré en fer forgé du début du XIXe siècle; des photographies de Nan Goldin, de Maloberti..; et une section plus contemporaine avec les œuvres de Mona Hatoun originaire du Liban et de l’iranienne Shirin Neshat..
    - Visites commentées gratuites (sur Rendez-vous) : durée 1 heure environ (tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés)
    -Ateliers pour tous (à partir de 8 ans) sont prévus : "Les couleurs du rêve oriental"...

    Lieu: Galerie d’art du Conseil Général (Hôtel de Castillon, 21 bis cours Mirabeau), Aix-en-Provence. Entrée libre
    Renseignements : 04 13 31 50 70

    Plus de détails


    http://actuprovence.com/index.php?option=com_rsevents&view=events&layout=show&cid=684:exposition-qvoyage-en-orientq-aix-en-provence&Itemid=76

    Note précédemment publiée:

    11/02/2012 18:14

  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour

    J'ai acheté dans une librairie française à Istanbul

    Tu écraseras le serpent de Yachar Kemal

     

    Tu écraseras le serpent

    Le mardi 8 octobre 2002 par catherinem

    La mère d’Hassan est mariée à un homme qu’elle n’aime pas et qu’elle fait assassiner. La famille du père n’a alors de cesse de réclamer vengeance, et le père lui même, revenant, apparaît aux yeux des villageois sous diverses formes, clamant haut et fort que seul l’assassinat de sa femme pourra lui rendre le repos éternel.

    Tous font pression sur Hassan pour qu’il accomplisse ce geste, dont personne ne parvient à se charger, tant la beauté de sa mère est exceptionnelle et semble d’essence divine. En Hassan se bousculent un sentiment d’impuissance à commettre un acte aussi odieux, et l’envie d’en finir avec tout ça et de voir disparaître sa mère pour ne plus subir toutes ces pressions.

    http://www.livres-online.com/Tu-ecraseras-le-serpent.html

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

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  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre

    J'ai acheté dans une librairie française d'Istanbul:Pierre Loti,Constantinople

    « Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)

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  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Des femmes comme je les aime

    Jeanne Moreau : « Je partirai le jour où je ne vivrai plus la création comme une gourmandise »

     

    Publié le 23/12/2012 à 06:00


     
     

    A 85 ans, elle se souvient du tourbillon de sa vie. De ses débuts, des insultes, de ses choix audacieux, de Jean Genet et des amis pour lesquels elle réclame le mariage gay. Sa devise : « Le cœur brûlant, la parole froide ». Elle sera le 26 décembre à l’affiche de « Une Estonienne à Paris ».

    Photo DR
     
    Photo DR

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  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour

    Le palais de Topkapi

    Le palais de TopkapiSitué derrière la basilique Sainte Sophie, le palais de Topkapi était la résidence des Sultans, aussi appelée "Sérail", ou encore "palais des mille et une nuits" en occident. Son emplacement, à la pointe sud du quartier Sultanahmet, est un point stratégique à l'entrée du Bosphore.

    Il fut progressivement délaissée à partir du XIXième siècle au profit des palais de style plus européen situés sur les rives du Bosphore, comme le palais de Dolmabahçe.

    La visite complète du palais coûte relativement chère car divisée en trois parties, chacune payante : le palais, le harem et le trésor. Cela n'empêche pas le site d'être bondé de touristes, surtout les week-ends et l'été.

    Le plan du palais s'organise en quatre cours intérieures plus le harem.

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  • Les trains mythiques

    Le train est sans doute le moyen de transport permettant de profiter au mieux de paysages magnifiques. Son allure modérée et ses grandes vitres permettent de se sentir en vacances dès le démarrage. Adeptes du slow travel, montez à bord des trains mythiques du monde !

    Europe, l’illustre Orient Express

    Ce train mythique a inspiré les plus belles plumes : Agatha Christie y a mis en scène son personnage fétiche Hercule Poirot; Graham Greene s’est inspiré du fameux train pour l’intrigue de « Stamboul Train »; sans oublier Guillaume Apollinaire  qui décrit des scènes plutôt crues se déroulant à bord du train, dans l’un de ses romans érotiques au nom très évocateur des Onze mille verges.

    L’Orient Express qui fonctionne depuis 1883 reliait Paris à Vienne et Istanbul.

    Depuis 1982, c’est la compagnie Venice-Simplon-Orient-Express qui gère les trajets. Le parcours s’étend de Calais à Istanbul, en passant par Paris, Venise, Vienne (ou Innsbruck)

    D’illustres passagers ont voyagé à bord : Agatha Cristie, Marlène Dietrich, Jean Gabin, Mata Hari, Lawrence d’Arabie et Pierre Loti.

    Le trajet classique (et romantique !) de l’Orient Express est sans doute celui qui relie Paris à Istanbul. Attention de ne pas le manquer : il n’y a qu’un seul départ par an ! Pour cette année, le départ a lieu le 2 septembre. Les prochains départs auront lieu le 31 août 2012 et le 30 août 2013.

    Budapest, Bucarest, Bulgarie … de magnifiques paysages dérouleront devant vos yeux pendant que vous serez très confortablement installés dans les célèbres cabines bleues et or. Le voyage est ponctué de délicieuses attentions comme le thé servi à l’heure du Tea Time, les dîners gastronomiques et les escales permettant de se dégourdir les jambes et d’apprécier des visites comme celles du château de Peles ou la très jolie campagne bulgare.

    Comptez 6 jours à bord du train, pour un prix allant de 6780 € pour une cabine double à 10 240€ pour la suite.

    La suite p.2> le Transsibérien

  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour

    "Istanbul, souvenirs d'une ville" d'Orhan Pamuk

    Istanbul

    « La vie ne peut être à ce point mauvaise. Mais, quoi qu’il en soit, on peut toujours, en fin de compte, aller marcher du côté du Bosphore »

    Evocation d'une ville, roman de formation et réflexion sur la mélancolie, 'Istanbul' est tout cela à la fois. Orhan Pamuk se remémore ses promenades d'enfant, à pied, en voiture ou en bateau, et nous entraîne à travers ruelles en pente et jardins, sur les rives du Bosphore, devant les villas décrépites, dessinant ainsi le portrait fascinant d'une métropole en déclin.

    http://www.evene.fr/livres/livre/orhan-pamuk-istanbul-27737.php

  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour, La peinture

    Christine Peltre, "Les orientalistes"

     

    medium_les_orientalistes.jpg 

     

     

     

     

     

    source de l'image: http://halldulivre.fr/cgi-bin/db2www.cgi/nancy.mac/show_book?book_index=9782850258954&ref_id=autre&revue=&nb=

     

     

     

    L'0rient est une préoccupation générale qui agite l'Europe du XIXe siècle ; la production picturale reflète très précisément l'histoire de cet intérêt né avec la campagne d'Egypte de 1798 et lié aux évolutions de la " question d'Orient ", dont l'insurrection grecque à partir de 1821 ou la prise d'Alger en 1830 marquent entre autres les étapes.

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  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour

    Le Bosphore

    Le détroit du Bosphore sépare l'Europe de l'Asie. Il relie la mer de Marmara à la mer noire tandis que le détroit des Dardanelles, avec lequel on le confond souvent, relie la mer de Marmara à la mer méditerranée.

    Ne manquer pas de consacrer une journée, au départ d'Istanbul, pour faire l'une des nombreuses excursions proposées sur le Bosphore. Les rives du détroit sont tout simplement magnifiques.

    (Re-)Découvrez-les en 70 photos : hôtels luxueux, "yalis" (villas en bois au bord de l'eau), palais de marbre, forteresses et autres villages de pêcheurs sont au programme...

    Ou utilisez les raccourcis ci-dessous pour accéder directement aux principaux sites :

    Raccourcis vers les principaux sites de la rive européenne

     

    Le palais de Dolmabahçe
    Le palais de Ciragan
    Rumeli Hisari
         
    Istiniye
    Tarabya
    Rumeli Kavagi

     

    Raccourcis vers les principaux sites de la rive asiatique

     

    La mer noire
    Anadolu Kavagi
    Les yalis de Kanlica
         
    Anadolu Hisari
    Le palais Küçüksu
    La tour de Léandre

    http://www.la-turquie.com/tr_rubrique/tr_bosphore.php

  • Catégories : Mes poèmes

    2013



    Qu’elle soit l’année de toutes les réussites
    De celles que l’argent accrédite
    Ou des rêves qu’on ressuscite ;
    Qu’elle soit l’année des dettes qu’on acquitte ;
    L’année où le corps s’agite
    De bons mouvements, où il s’excite
    De baisers et de caresses inédites
    Qu’elle ne soit pas l’année des fuites
    En avant, de ces années dont on évite
    De parler mais de celles qu’on cite
    En exemple, vive 2013 !

    BONNE ANNEE A TOUS

    Pour lire d'autres textes de moi, cf mes 11 livres en vente sur ce blog



     

  • Catégories : Des spectacles, Musique

    Fin de:West Side Story

    du 26 octobre 2012 au 1er janvier 2013 - Avant première le 24 octobre

    La comédie musicale absolue

    Lorsque West Side Story ouvre à New York le 26 septembre 1957, en plein âge d’or de Broadway, les critiques sont loin d’imaginer le phénomène que ce musical va devenir. Les auteurs, Jerome Robbins, Leonard Bernstein
    et Arthur Laurents, travaillaient depuis longtemps sur une version de Roméo et Juliette des temps modernes sans concrétiser le projet. Avec l’arrivée de Stephen Sondheim en 1955 pour en écrire les lyrics (chansons), le quatuor trouve l’équilibre parfait entre le livret, la musique, la danse et la mise en scène.

    Pour la première et seule fois de toute l’histoire de la comédie musicale américaine, la chorégraphie de Jerome Robbins fait avancer le récit au même titre que le livret. Le film de 1961 et ses dix Oscars, dont celui du meilleur film, donnera une notoriété aux Jets et aux Sharks dans le monde entier, faisant de West Side Story une œuvre culte jamais égalée.

    Spectacle présenté en version originale surtitrée

    Acte I : 75 minutes
    Entracte : 20 minutes
    Acte II : 45 minutes

    Photo: Nilz Boehme

    Site officiel

     

    Distribution

    Musique
    • Leonard Bernstein
    Livret
    • Arthur Laurents
    Lyrics
    • Stephen Sondheim
    Chorégraphies originales
    • Jerome Robbins
    Supervision musicale et direction
    • Donald Chan
    Mise en scène et chorégraphie
    • Joey McKneely
    Décors
    • Paul Gallis
    Costumes
    • Renate Schmitzer
    Lumières
    • Peter Halbsgut
    Son
    • Rick Clarke
    Tony
    • Liam Tobin
    • Christopher Behmke
    Maria
    • Elena Sancho-Pereg
    • Jasmina Sakr
    Anita
    • Yanira Marin
    Riff
    • Andy Jones
    Bernardo
    • Pepe Muños

    Médias

     

    VIDÉOS

    1. Bande annonce

     

    Compléments

    Des audiodescriptions sont mises en place sur les spectacles suivants: le 25 novembre (dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire), les 13 et 15 décembre 2012

    Réalisation Accès Culture avec le soutien de la Mairie de Paris.

    Des casques sont à retirer au contrôle après réservation préalable par téléphone au 01 40 28 28 40.

    Le tarif appliqué est le demi-tarif, sur les catégories 1, 2, 3 et 6 pour le non-voyant et l'accompagnateur.

    http://chatelet-theatre.com/2012-2013/west-side-story-fr

     

    accès culture  

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  • Catégories : Istanbul(Turquie):travail et séjour, Voyage

    "Istanbul" par Daniel Rondeau

    Récit de voyage, flânerie érudite, évocation poétique...

    « Après Tanger et Alexandrie, avec cet Istanbul, Daniel Rondeau arrive au terme d’un voyage en Méditerranée commencé il y aura bientôt vingt ans. Trois villes entre deux mondes, entre deux mers, situées sur le parcours d’un voyage homérique, trois villes comme des charnières à la surface du monde…

    Istanbul ou la Sublime Porte : le portrait d’une ville magique, une promenade dans ses mystères, et une autre façon d’interroger l’histoire et la littérature. De nombreux séjours ont conduit l’auteur à entrer dans l’intimité de la ville. À la manière de Pausanias, ce voyageur et géographe grec du IIe siècle, qui parcourut les villes de la Grèce, petites et grandes, pour en faire une Description dans un style simple et sans prétention, Rondeau raconte ce qu’il voit là où ses pas le mènent : le long de la muraille, sur les rives du Bosphore, aux îles des Princes, dans les cimetières d’Europe et d’Asie.

    Choses vues, choses lues, choses vécues aussi, glanées en quelques années de fréquentation assidue d’une ville inoubliable : une invitation au voyage merveilleusement écrite, un souffle chargé de couleurs et de passions.

    Son livre nous parle des choses qui sont et de celles qui ne sont plus, de la Grèce et de Rome, de la culture des tulipes, de la vente des tourterelles, des yeux clairs des Natacha, des Arméniens et des Juifs, des travestis qui courent sur l’Istiklal, de la mémoire et de l’histoire, et des trois Dieux qui veillent sur l’ancienne capitale ottomane. « Le lyrisme et la culture de Rondeau effacent la poussière du temps », écrivait Bruno Corty dans le Figaro littéraire au sujet d’Alexandrie… » (présentation de l'éditeur)

    « Rondeau est le seul écrivain français à ma connaissance qui est sensible aux quartiers non touristiques d'Istanbul et à la vie du menu peuple qui y vit. Qui aurait en effet l'idée de parler non pas des cimetières de la Corne d'Or chers à
    Loti, mais des cimetières de voitures américaines. (...) Cela dit, l'auteur parle aussi de cimetières, de tous les cimetières de la ville pour commémorer les morts, tous les morts, qu'ils soient musulmans, chrétiens ou juifs. Daniel Rondeau porte un nouveau regard sur une ville ancienne pour y déceler des vies cachées et faire des portraits de gens dont on ne parle pas (...).

    En dépit de quelques coquilles concernant les noms de lieux, ce beau livre est un des rares ouvrages qui parlent à la fois des slpendeurs et des misères de ma ville bien-aimée qui m'a suivi partout et dont le souvenir, tel un fer rouge, est à jamais planté dans ma mémoire. Rondeau a trouvé une belle métaphore pour expliquer son expansion qui fait peur : "Un jour, la ville a sauté le mur. Depuis, elle galope." » (extraits d'un article de Nedim Gürsel, Le Monde, décembre 2002)


    Un extrait sur le site de l’éditeur

    http://www.bibliomonde.com/livre/istanbul-1024.html