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  • Catégories : Des musées

    Un projet de musée du vaudou à Strasbourg

    Un musée du vaudou à Strasbourg ? L'idée, de prime abord insolite, est portée très sérieusement par l'ancien PDG des brasseries Fischer et Adelshoffen, Marc Arbogast, propriétaire d'une exceptionnelle collection d'objets vaudou africains.
    Un musée du vaudou à Strasbourg ? L'idée, de prime abord insolite, est portée très sérieusement par l'ancien PDG des brasseries Fischer et Adelshoffen, Marc Arbogast, propriétaire d'une exceptionnelle collection d'objets vaudou africains.
    Grand amateur de safaris, Marc Arbogast raconte avoir commencé à glaner fétiches et statuettes au hasard de chasses africaines, avant d'acheter en 2007 356 pièces au collectionneur et journaliste Jean-Jacques Mandel, un fonds qu'il n'a cessé d'enrichir depuis.
    Grand amateur de safaris, Marc Arbogast raconte avoir commencé à glaner fétiches et statuettes au hasard de chasses africaines, avant d'acheter en 2007 356 pièces au collectionneur et journaliste Jean-Jacques Mandel, un fonds qu'il n'a cessé d'enrichir depuis.
    Né dans l'ancien royaume du Dahomey (sud de l'actuel Bénin), le culte vaudou s'est propagé avec la traite des esclaves jusqu'aux Caraïbes et en Amérique.
    Né dans l'ancien royaume du Dahomey (sud de l'actuel Bénin), le culte vaudou s'est propagé avec la traite des esclaves jusqu'aux Caraïbes et en Amérique.

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  • Catégories : Des musées

    Christophe Leribault nommé à la tête du Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris

     

     

    28/8/12 - Nomination - Paris, Petit Palais -Adjoint au directeur du département des Arts Graphiques du Musée du Louvre où il était entré en 2006 et directeur du Musée Delacroix1 depuis 2007, Christophe Leribault, 48 ans, prendra le 1er novembre prochain la tête du Petit Palais à Paris.

    Le nouveau directeur revient ainsi dans les musées de la capitale, lui qui avait été reçu au concours des conservateurs de la Ville de Paris en 1988 avant d’entrer à l’École du Patrimoine. Son premier poste, de 1990 à 2006, avait été au Musée Carnavalet.
    Ayant mené un double cursus École du Louvre / Université, Christophe Leribault est également docteur en histoire de l’art, après avoir soutenu brillamment sa thèse sur Jean-François de Troy en 1999, publiée ensuite aux éditions Arthéna dont il est devenu par ailleurs l’une des chevilles ouvrières. Il a été le commissaire (ou co-commissaire) d’un nombre considérable d’expositions portant sur la peinture et le dessin des XVIIIe et XIXe siècles français. Parmi celles-ci, nous citerons notamment quelques-unes que nous avions ici recensées : Maestà di Roma, Delacroix et la photographie, L’Antiquité rêvée, Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’Hommage à Delacroix... Il est également l’auteur d’un grand nombre d’articles et de notices de catalogue.

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  • Boudoir cherche mécènes

    Par Claire Bommelaer Publié le 07/09/2012 à 06:00
     
    Ce lit de repos, commandé par Joséphine à l'ébéniste Jacob-Desmalter, fait grise mine avec soieries brûlées par le temps. Crédits photo : DR
     

    Pour récolter des fonds, le château de Fontainebleau expose le mobilier turc de Joséphine, à Paris.

    Les mécènes ne viennent pas à nous, nous irons à eux: voici le simple raisonnement tenu par Jean-François Hébert, président du Château de Fontainebleau, avant de lancer son opération «des mécènes pour Fontainebleau». Il y a trois jours, le mobilier du boudoir turc de l'impératrice Joséphine, stocké dans les réserves du château depuis des décennies, a été transporté en plein cœur de Paris, dans la galerie Aveline. La petite pièce y a été fidèlement reconstituée, avec ses décors peints. Jusqu'au 29 septembre, et tandis que la Biennale des antiquaires battra son plein, le public pourra venir contempler le boudoir. Originellement, il est situé au-dessus du boudoir argenté de Marie-Antoinette, une des curiosités du château de Fontainebleau.

    Jean-François Hébert espère susciter des vocations de mécènes parmi les visiteurs. Lit, fauteuils et bergère, commandés par Joséphine à l'ébéniste en vogue Jacob-Desmalter, font aujourd'hui grise mine, avec leurs soieries brûlées par le temps. On ne retrouve pas trace des couleurs blanche et corail qui les paraient, et le motif oriental se devine à peine. Mais si des entreprises ou des particuliers jouent le jeu, le tout sera restauré.

    Travailler à l'ancienne

    Tassinari, un des derniers soyeux lyonnais sachant travailler à l'ancienne, retissera le tissu de velours de soie à la main, et les décors de la petite pièce imaginés par les frères Rousseau seront ­refaits. «Nous souhaiterions rouvrir le boudoir au premier semestre 2013», explique Xavier Salmon, conservateur du Château. Il faut pour cela recueillir 270.000 euros, sachant que 230.000 ont déjà été récoltés.

    Pour la direction, cette exposition parisienne a aussi valeur de test. Fontainebleau souffre de son éloignement, les tour-opérateurs préférant emmener les touristes à Versailles. «La tendance est difficile à inverser, admet Jean-François Hébert, mais une opération comme celle-ci permettra à la fois de mesurer et d'accroître notre notoriété».

    Galerie Aveline, 94, Fbg Saint-Honoré, Paris VIIIe. Tél.: 01 42 66 60 29.

  • Catégories : Aix-en-Provence(13,Bouches-du-Rhône):séjours

    Lors de mon prochain séjour à Aix, j'essaierais d'aller à Gardanne

      Gardanne

    De 1885 à 1886, pour se rapprocher d’Aix, Cézanne a choisi ce village où il a pu s’installer avec Hortense Fiquet et le petit Paul au 27 cours Forbin. Ce bourg de 2645 habitants lui permet une vie sereine ; il se lie d’amitié avec quelques Gardannais et le petit Paul fréquente l’école communale de garçons. Cette période est ponctuée par deux événements marquants de la vie du peintre : c’est de Gardanne qu’il rompt avec son ami d’enfance Emile Zola et le 28 avril 1886 il épouse sa compagne à Aix, régularisant ainsi sa situation familiale vis à vis de ses parents. Pendant ces quelques mois il s’est attaché à peindre le vieux village perché sur la colline du Cativel. Joachim Gasquet, un ami, écrit : «  il peint sous toutes ses faces ce village de Gardanne enraciné dans son coteau, le clocher rugueux, le troupeau roussi des maisons, les toits brûlés, une masse de grands feuillages mettant toujours une fraîcheur, un puits de lumière verte quelque part dans la chaleur ». En suivant le boulevard Paul Cézanne on peut visiter sur la « colline des frères » le musée de plein air où l’on se rend bien compte avec les reproductions des oeuvres du musée de Brooklyn, du Métropolitan Museum et de la fondation Barnes comment le peintre a cherché à rendre la forme pyramidale du village et sa structure complexe. « La période de Gardanne constitue une période charnière. La structure composite de la ville a servi de prototype à la conception structurale de la peinture que Cézanne était en train de développer » dit John Rewald.
    Voir les peintures
    Le village
    Les alentours

     

  • Catégories : Des expositions, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Eugène Isabey (1803-1886)

     

    Par les ruelles et par les grèves

     

    Eugène Isabey, Rochers à Saint-Malo

    Cette exposition consacrée à Eugène Isabey présente l'exploration inédite des paysages normands et bretons par un artiste dont la palette et la virtuosité font regarder autrement le spectacle de la nature.

    Aile Sully, 2e étage, salles 20-23, jusqu'au 17 Septembre 2012

    http://www.louvre.fr/expositions

  • Catégories : Bonnard Pierre

    BONNARD, ENTRE AMIS.

    expoete2012MATISSE, MONET, VUILLARD...

    20 MAI - 16 SEPTEMBRE 2012

     

    expoete2012Cet été, le musée Bonnard au Cannet présente une exposition temporaire composée de regards croisés entre Bonnard et ses amis, Matisse, Monet, Vuillard...

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  • Catégories : Rousseau Jean-Jacques, Voyage

    Enchantement du paysage au temps de Jean-Jacques Rousseau

    Enchantement du paysage au temps de Jean-Jacques RousseauJean-Jacques Rousseau a développé une vision très particulière du paysage. De ses voyages et de ses promenades, il tire de nombreuses observations liées au relief, à la météorologie ou encore à la botanique. Il mène également une réflexion philosophique, attribuant à chaque paysage des valeurs qui lui sont propres et décrivant ses particularités ainsi que ses qualités. Cette nouvelle approche constitue une transition entre une vision topographique du paysage et l’avènement du paysage émotionnel. Elle trouve sa place en premier lieu dans les textes de Rousseau pour être ensuite reprise par les graveurs et artistes qui la diffusent à travers l’Europe. En accordant une place importante à l’image imprimée, l’exposition sera dédiée à cette transformation de la perception du paysage, entamée par Rousseau. Conçue comme un parcours thématique dans l’Europe du 18e siècle, elle permettra au visiteur de découvrir, à travers l’estampe, cette évolution que l’on remarque notamment dans les représentations de la montagne, de la campagne, de l’eau ou encore de l’air.



    • jeu 28. 06. 12 - dim 16. 09. 12
    • Musée Rath| Place Neuve
    • Ouvert de 10 à 18 h, mercredi de 10 à 20 h. Fermé le lundi
    • Entrée CHF 10.- | CHF 5.-
      Entrée libre jusqu'à 18 ans
    • Inauguration mer 27. 06. 12 18h00

     

    http://www.ville-ge.ch/mah/index.php?content=5.2.1.1.1.1....

     
  • Catégories : A voir, Des évènements, Voyage

    Empreintes d'un voyage au Japon

    Empreintesd’unvoyageauJapon

    Du 1er avril au 31 décembre

    L’exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 5 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis, aquarelles et peintures qu’il ramène en France à son retour.

    Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant.

    http://www.bretagne-japon2012.fr/empreintes-d-un-voyage-au-japon/

    A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans son œuvre : œuvres en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, la collection présentée au Musée de Lamballe propose des peintures, dessins et estampes.

  • Catégories : A voir, Des musées, Le paysage

    Musée des Beaux-Arts de Beaune

    L’originalité de la scénographie révélera les collections sous un angle inattendu et insolite. Elle constituera sans aucun doute un véritable événement culturel pour la saison estivale.

    Par une approche et un discours renouvelés, le musée offrira un double parcours au fil des salles, à la fois thématique et chronologique. Les collections pourront être vues et appréhendées d’une manière nouvelle. La confrontation des œuvres se fera en fonction de thématiques ou de sujets iconographiques communs. A l’occasion de ce nouveau regard porté sur les fonds du Musée, certains thèmes ont été privilégiés : l’histoire de Beaune, la représentation du paysage entre le XVIIe et le XIXe siècle, ou bien encore l’Orient qui a fasciné grand nombre d’artistes bourguignons.

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  • Catégories : J'ai lu, Les polars

    "Lieutenant Eve Dallas, tome 1" : de Nora Roberts

    mediumAutant les autres romans de Nora Roberts me laissent indifférentes, autant j’apprécie la série Eve Dallas qui se passe dans les années 2050.
    Le lieutenant Eve Dallas fait passer son boulot avant toute chose dans l’espoir d’oublier son passé extrêmement douloureux. On la charge d’enquêter sur une affaire très délicate: le meurtre de la petite fille d’un sénateur ultra-conservateur devenue prostituée de luxe. Son principal suspect devient Connors, l’un des hommes les plus riches de la planète (et l’un des plus séduisants, évidemment, c’est du Nora Roberts, quand même).
    Vous devinez la suite, bien sûr. Le premier tome n’est pas mon préféré, loin de là. La série se bonifie avec le temps, devenant un peu moins à l’eau de rose une fois le temps de la séduction passé. Le gros point fort de la série sont ses personnages secondaires, tous très bien définis et sympathiques: Peabody, la partenaire de Dallas, fille New-Age sentimentale; Finney, l’ancien mentor d’Eve, toujours en train de grignoter quelque chose; McNabb, le flic excentrique qui craque pour Peabody; Summerset, le majordome de Connors, l’ennemi juré d’Eve (du moins, elle aimerait le croire)…
    Les enquêtes ne sont pas d’un très bon niveau. J’avoue que je lis cette série pour les personnages récurrents (il m’arrive parfois de sauter les passages qui ne sont liés qu’à l’enquête, honte à moi…).
    J’ai mis longtemps avant de me décider à lire un livre de la série Eve Dallas (ben oui quoi, lire du Nora Roberts, ça fait pas vraiment intello, désolée…) mais je n’ai jamais regretté. Avis aux amateurs.

    http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18748

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars

    Michel Quint :" Triste comme un enfant "(Petits polars du Monde)

    QUINT-2012-ppm

    Écrivain à succès, Stanislas Carpentier s’est spécialisé dans les romans historiques et traîne une réputation de plagiaire et d’usurpateur de la culture. Le coup de téléphone d’une femme inconnue va bouleverser sa vie et ses certitudes. Mais pourquoi accepte-t-il d’aider cette Iulia dont il ignore tout ? En se jetant dans la gueule du loup, Stanislas refuse enfin de tricher avec les autres et, surtout, avec lui-même.

    http://boutique.lemonde.fr/les-petits-polars-du-monde.html

  • Catégories : A lire, CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia

    "Suis-je snob" de Virginia Woolf

    Suis-je snob ?

    Lorsqu’elle contemple son miroir, Virginia Woolf ne lui demande pas si elle est plus belle qu’Oscar Wilde, mais elle y pense…
    « Suis-je snob ? » : de cette question cruciale, la géniale romancière a fait le thème d’une méditation joyeuse et enlevée, exposée à la fin des années trente devant ses amis du Memoir Club. La réponse, évidemment, est affirmative. Car l’acuité du regard de Virginia Woolf impose tout autant à ses romans une sévère critique sociale qu’à sa vie une vigilance absolue en matière de goût.

    L’esthétique de l’existence, que Wilde faisait jouer contre la morale, prend chez elle la valeur absolue d’une exigence à l’égard du réel. Tout alors se réenchante : des « Réflexions sur une voiture » à celles sur « La nouvelle robe », les autres textes qui composent ce volume montrent Virginia Woolf qui laisse libre cours à ses émotions de jeune fille, tout en maîtrisant pleinement son art d’écrivain. Et pourquoi pas ? L’émerveillement ici n’est pas celui d’une consommatrice moderne et ne s’attache pas aux objets ; il signale l’agrandissement du champ de l’expérience. « Le rire, l’humour et la comédie » lui donnent le ton. C’est ainsi qu’avec les instruments de la fiction comme de la théorie, Woolf volette autour de toutes choses, s’enthousiasme, s’extasie, et termine en contemplant en face « La Mort du Papillon ».

    Cinq des sept textes de ce volume sont inédits.
     
  • Catégories : Des expositions, Des musées

    L’Éternel Printemps

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    Cet ensemble fait partie des grandes décorations que Maurice Denis a réalisées pour des particuliers. Le commanditaire, Gabriel Thomas (1854-1932), fait construire en 1895, sur le coteau de Bellevue à Meudon, une vaste demeure en briques roses, de style Louis XIII, qu’il baptisera « Les Capucins ». Lorsque Maurice Denis propose à Gabriel Thomas de réaliser le décor de sa salle à manger, ce dernier lui suggère de s’inspirer de la nature environnante, des vergers et des fleurs que l’on trouve alors à Meudon.

    Le décor se compose d’une suite d’images ravissantes et paisibles qui représentent des femmes au bain, à la fontaine, au jardin, réunies pour la musique ou la conversation. L’impression de douceur est paradoxalement obtenue par la juxtaposition de teintes vives avec des tons pastel et du blanc. Déposées en touches fragmentées, parfois pointillistes, elles harmonisent l’ensemble dans une atmosphère de « rêve blanc ». Les panneaux de L’Éternel Printemps mêlent si étroitement le profane et le religieux que le jardin terrestre idéal se transforme en Éden et la femme, en Madone.

    http://www.musee-mauricedenis.fr/maurice-denis/quelques-oeuvres/article/l-eternel-printemps

  • Catégories : Des expositions

    José Maria Sert : peintre adulé mais trop vite oublié

     

    Par Véronique Prat Mis à jour le 01/06/2012 à 19:04 | publié le 01/06/2012 à 11:39 
    En 1917, Sert peint un ensemble de fresques dans lequel il associe les quatre parties du monde aux quatre saisons (ici, <i>L'Amérique ou l'Hiver</i>). L'artiste est alors en pleine possession de ses moyens et c'est avec brio qu'il mêle plusieurs sources d'inspiration: l'espace théâtrale à la manière de Tiepolo et les mascarades des fêtes vénitiennes... Tout cela, sur fond de gratte-ciel new-yorkais...
    En 1917, Sert peint un ensemble de fresques dans lequel il associe les quatre parties du monde aux quatre saisons (ici, L'Amérique ou l'Hiver). L'artiste est alors en pleine possession de ses moyens et c'est avec brio qu'il mêle plusieurs sources d'inspiration: l'espace théâtrale à la manière de Tiepolo et les mascarades des fêtes vénitiennes... Tout cela, sur fond de gratte-ciel new-yorkais... Crédits photo : Archivo fotográfico Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía,

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